Comment faites-vous pour oublier et éteindre votre amour, vous?

ProfDeMaths a écrit:En gros tu te sens dénigré donc tu dénigres. Reaction primaire mais comprehensible.

Je ne me sens pas exactement dénigré, ce n'est pas un combat que je mène (et je ne suis pas sûr qu'il y ait un véritable "ennemi", car "la société" c'est assez vague en soi) mais c'est quand même palpable.
Je n'en veux à personne en particulier, la vie est ainsi.

My_illusion a écrit:Je suis d’accord avec toi Pureté, cette hiérarchie des amours m’est indigeste également.
L’amour envers un parent et son enfant sont aussi des amours très puissants et très beaux. Mon frère me disait que vis-à-vis de ses enfants, il s’est senti tomber amoureux aussi, avec cette même puissance, sans ce désir sexuel fort heureusement! Il supporterait de perdre l’amour de sa femme mais pas celui de ses enfants.

C'est très difficile de définir l'amour selon des termes parfaitement objectifs, mais l'aspect physique/sexuel c'est quand même le marqueur qui sépare l'amour platonique de l'amour dit passionnel.

3615chuna a écrit:Pour ma part, les relations amicales les plus fortes que j'ai ne passeront pas par dessus une relation amoureuse. Mes amies, ce sont mes soeurs, et c'est aussi fort que ça.
La qualité de l'émotion est différente, mais très puissante aussi.
Ptèt que le sentiment amoureux m'embarque plus loin, mais ça ne rend pas moins importantes mes relations amicales.

Donc je comprends que tu te sentes dénigré, mais c'est une projection de ta part, AMHA. (du moins venant de moi)

Je ne me sens pas dénigré, personne ne me vise directement. C'est juste que mon expérience ne s'arrête pas à une frontière simpliste entre amitié (affection plus ou moins détachée) et amour (qui a le potentiel de susciter un tumulte émotionnel).

Je ne suis pas certain que ce soit simplement une projection de ma part. Quand on dit "juste amis" par exemple, ça veut bien dire ce que ça veut dire.

Si ennemi il y a, il est diffus. Mais je pense qu'un ennemi existe. Un ennemi qui est beau comme un sourire d'enfant.

Un ennemi quantique, façon agent Smith de Matrix.

Tout le monde et personne à la fois.

Une colle sociale à laquelle tout le monde n'est pas autant imperméable.

Et donc tu es aussi exempté de cette compétition qui oppose généralement les mâles en présence de femelles [et parfois réciproquement] ? Si ce n'est pas indiscret.

Je ne suis pas sûr de bien comprendre la question, même si j'ai vu quelques documentaires animaliers.

J'ai l'impression qu'il demande si tu est asexuel(le). Je peux me tromper, hein.

Non ça je le sais.

J'aimerais savoir si tu as été perçu comme une menace par certains mâles de l'espèce humaine pour être précis, du fait de cette compétition sexuello-amoureusoforme qu'il règne chez tes pair.e.s sexuel.les ou si au contraire, grâce à ton asexualité, tu en as été épargné autrement dit est-ce que ton asexualité est parfois ou tout le temps ou jamais perçue instinctivement par les autres ?

J'arrive sur ce fil avec retard, j'y ai lu des choses qui m'ont intéressé mais sur lesquelles je ne me vois pas rebondir, désolé... J'aurais quand même des éléments de réponse à la question initiale.

Je me suis fait téje sans explication par la dame de mes pensées, avec qui j'entretenais pourtant une relation affective depuis plus de trente ans. C'était une relation affective, pas complètement platonique, mais très principalement sentimentale et non physique: quand nous étions tout jeunots, elle avait choisi entre moi et un autre et elle avait choisi l'autre, mais elle m'avait offert son amitié en lot de consolation et j'avais accepté... et ma foi ça n'avait pas trop mal marché, avec l'aide de l'éloignement géographique. Elle était ma ferne Geliebte, ma bien-aimée lointaine, comme on dit dans les lieder de Beethoven...



(c'est Dietrich Fischer-Dieskau... et donc pas de la gnognotte)


... et donc elle m'a été pendant des années une confidente avec qui j'ai partagé plein de choses intimes, et réciproquement. Je lui ai raconté tous mes râteaux, elle m'a raconté son infidélité, son divorce, ses nouvelles amours, sa dépression... Ce n'était pas sexuel mais c'était quand même franchement intime. Profond. Enraciné.

Et puis, au lieu de continuer à n'avoir que des relations épistolaires et téléphoniques, nous nous sommes revus pendant les vacances... c'était pépère, complice, pas flamboyant mais confortable comme une paire de charentaises.

Mais graduellement, je me suis mis à la gonfler, elle n'a jamais daigné m'expliquer pourquoi (je ne suis pas sûr qu'elle l'aurait pu si elle avait voulu), elle ne me l'a pas dit mais je l'ai senti... Fallait pas être polytechnicien pour s'en rendre compte: ses sourires ont graduellement disparu, des grimaces ont apparu et se sont multipliées, elle a cessé de rire à mes blagues, elle s'est mise en colère pour des plaisanteries complètement anodines, elle m'a servi de la soupe à la grimace à tous les repas.

J'en ai eu marre, je lui ai dit qu'il fallait qu'on discute. Et là, elle m'a jeté.

Je crois que c'était moins douloureux de voir notre affection franchement cassée que d'y voir une lézarde qui s'élargissait de plus en plus, mais je l'ai quand même mal vécu: ça faisait trente ans, quoi, merde, on aurait pu essayer de sauver quelque chose, de se voir moins, d'être juste un peu plus froids sans se détester... mais elle n'a pas voulu. J'étais un vieil ami, j'ai vraiment eu le sentiment de me faire jeter comme un vieux fauteuil. Avec certes plein de signes avant-coureurs, mais quand même du jour au lendemain.

En m'envoyant promener, elle m'a vraiment traité comme un complet étranger, un domestique qu'on congédie... un paquet de merde. J'étais carrément vexé, pour tout dire, et je suppose que le fait d'être vexé m'a aidé à ne pas fondre en larmes. Ca n'empêche pas que j'ai été privé de la dame de mes pensées du jour au lendemain après lui avoir été profondément attaché pendant trente ans, et ça a été dur à vivre.

J'ai très vaguement essayé de la mépriser, de me dire que je m'étais trompé sur son compte, qu'elle n'était décidément pas telle que je me la figurais: pas si gentille, pas si chaleureuse, pas si intelligente... Mais je ne voulais pas partir dans l'excès contraire: même si ses qualités n'étaient pas poussées à un degré superlatif, je ne les avais pas fantasmées.

Je me suis juste accroché à l'idée qu'on n'entretient pas des relations pour se pourrir la vie, qu'elle et moi étions des personnes banales, avec des qualités et des défauts, et qu'elle ne méritait pas de profiter de mes quelques qualités (pas magnifiques mais pas inexistantes) si elle n'était plus disposée ni à me montrer les siennes, ni à accepter mes défauts.

C'est bien d'être fidèle, mais il ne faut pas être masochiste.

Et là-dessus, il faut laisser faire le temps. Mon désespoir n'a pratiquement pas duré cinq minutes (merci à mon dépit et à mon amour-propre), mais ma tristesse a persisté longtemps, longtemps. Il m'en reste même quelques traces, mais vraiment plus guère. Disons qu'au bout de trois ans j'arrivais à hausser les épaules sans me forcer, et qu'au bout de dix ans j'arrive à y penser comme à un passé révolu qui ne me fait plus mal.

C'est long, hein? Mais bon, on guérit...

C’est touchant, petitagore.
Durant les 30 ans, tu étais engagé ou de passage avec les autres ? Qu’en est il aujourd’hui ?

Une fois qu'elle a rompu avec toi elle t'a jamais donné d'explications ?

Ne le prenez pas mal, mais je n'ai pas envie d'en dire davantage.

Peut être dans 10 prochaines années...

ProfDeMaths a écrit:Non ça je le sais.

J'aimerais savoir si tu as été perçu comme une menace par certains mâles de l'espèce humaine pour être précis, du fait de cette compétition sexuello-amoureusoforme qu'il règne chez tes pair.e.s sexuel.les ou si au contraire, grâce à ton asexualité, tu en as été épargné autrement dit est-ce que ton asexualité est parfois ou tout le temps ou jamais perçue instinctivement par les autres ?

Difficile à dire, j'ai toujours été un outsider mais plutôt "compétiteur". Jamais réellement intégré, jamais réellement exclu non plus.

Tu dois voir beaucoup de choses sous un angle étranger non ? Le sexe est tellement représenté ou suggéré partout.

Je ne suis pas exactement "confus", en général je comprends très bien les sous-entendus et autres allusions.

Du coup, tu as déjà été "amoureux" ?

Selon le sens usuel admis, non.

Mais j'ai déjà ressenti des choses beaucoup plus fortes que "il/elle est sympa".

Est-ce qu'il t'a semblé pertinent de rechercher d'autres personnes asexuelles comme toi ? Si oui en as-tu trouvées ? Si oui cela a-t-il permis des relations plus sereines qu'avec des personnes "sexuelles" ?

(on peut être ami avec une personne avec laquelle il y a de l'amour, du désir, du sexe. Ce fut mon cas. J'ai perdu celle qui fut ma meilleure amie pendant un temps. Mais je la remplace au fil du temps. )

ProfDeMaths a écrit:Est-ce qu'il t'a semblé pertinent de rechercher d'autres personnes asexuelles comme toi ? Si oui en as-tu trouvées ? Si oui cela a-t-il permis des relations plus sereines qu'avec des personnes "sexuelles" ?

Honnêtement non, j'ai vu des communautés sur internet, et ça ne m'a pas vraiment plu.

Névromon a écrit:(on peut être ami avec une personne avec laquelle il y a de l'amour, du désir, du sexe. Ce fut mon cas. J'ai perdu celle qui fut ma meilleure amie pendant un temps. Mais je la remplace au fil du temps. )

Ça montre bien que les notions d'amitié et d'amour sont très relatives.

Quels étaient leurs défauts à tes yeux ?

ProfDeMaths a écrit:Quels étaient leurs défauts à tes yeux ?

Trop imbibés de culture LGBT et de politique d'extrême gauche, avec victimisation systématique des minorités.

C'est vraiment déprimant.

C’est parce que Pureté est déjà amoureux de moi

(J’ai de l’humour oui oui)

My_illusion : Tu serais bien embêtée si la réponse sérieuse était "Oui", non? x)

Amoureux c'est aimer en voulant prendre dans ses bras, cajôler, chouchouter. Ce n'est pas exactement désirer. C'est quand l'autre (ou n'importe quoi d'autre : être amoureux d'une peinture, une voiture, un wasistdas) juste par son évocation suscite instantanément une chaleur qui fait décoller de la routine. C'est comme une anesthésie agréable qui soustrait à la pesanteur du quotidien. D'après ce qui a été dit, cela n'est pas l'exclusivité des personnes "sexuelles". Des couples vous disent d'ailleurs parfois que l'un des deux est toujours amoureux mais ne désire plus l'autre.

Edit. C'est une sorte d'état de béatitude.

My_illusion a écrit:C’est parce que Pureté est déjà amoureux de moi

(J’ai de l’humour oui oui)

Je ne sais même plus ce que ça veut dire, donc à la rigueur si tu veux. Au point où j'en suis...

ProfDeMaths a écrit:Amoureux c'est aimer en voulant prendre dans ses bras, cajôler, chouchouter. Ce n'est pas exactement désirer. C'est quand l'autre (ou n'importe quoi d'autre : être amoureux d'une peinture, une voiture, un wasistdas) juste par son évocation suscite instantanément une chaleur qui fait décoller de la routine. C'est comme une anesthésie agréable qui soustrait à la pesanteur du quotidien. D'après ce qui a été dit, cela n'est pas l'exclusivité des personnes "sexuelles". Des couples vous disent d'ailleurs parfois que l'un des deux est toujours amoureux mais ne désire plus l'autre.

Edit. C'est une sorte d'état de béatitude.

Je suis d'accord avec ta conception, mais d'autres gens diront qu'il n'y a pas d'amour sans désir physique/sexuel pour l'autre.

C'est une pub, mais on connait tous des gens amoureux de leur bagnole. Il est pourtant difficille de s'accoupler avec...

Ronald, je ne l'ai pas fait, mais je suis sûre que plusieurs personnes ont trouvé comment faire pour s'accoupler avec, et qu'une recherche internet te ferait trouver des communautés entières sur Internet en ce sens.

La dimension sexuelle apparait dans l'amour, mais clairement on peut avoir une attirance sexuelle sans être amoureux. Donc pour moi, c'est clairement pas le critère le plus important, même s'il importe.

L'amour semble être un mot qui dérange un petit peu. "aimer" ça semble limpide et sain, être amoureux ça a une connotation enfantine, mais le mot "amour", pour moi, me dérange. Ça me gêne. Je sais pas exactement pourquoi. J'ai l'impression que je ne suis pas le seul. D'autres ici ?...

Edit. Pour tout dire j'ai l'impression que quand on prononce "amûûûr" par exemple, c'est pour masquer cette gêne. Comme si le mot "amour" portait en lui une arnaque, un costume de beaux sentiments pour cacher... quelque chose de moins beau, car ça arrangerait tout le monde de garder cette chose moins belle cachée. Comme si ça arrangeait tout le monde de croire en quelque chose de faux, plutôt que faire face à une triste réalité. Une sorte d'hypocrisie collective et socialement obligatoire.

A mon sens, ce n'est pas le mot "amour" qui pose problème, ce n'est que le nom de l'action d'aimer. C'est surtout qu'il y a différentes façons d'aimer, différentes amours qui parfois se confondent, leurs contours étant souvent flous...
J'aime d'amour filial mes enfants, mon frère et ma soeur (éventuellement les parents pour ceux qui ont de bons contacts avec). J'aime d'amour amical et platonique mes amies et amis, j'aime d'amour physique mes amants. J'aime d'amour amoureux certains de mes amants et à une époque mon ex-mari. Chaque amour est différent mais tous sont amour.


Edit : Amen !

No no no l'amour n'est pas que l'action d'aimer. C'est aussi le nom que l'on donne à ce qui n'est parfois qu'une glue relationnelle, alors "qu'aimer" est une action, non un état.

L'Amour est grand (oui, je suis votre gourou ! Ecoutez-moi !!) et ce que tu nommes glue relationnelle n'en est qu'un ersatz. Donc ça n'invalide pas mon propos. A quoi sert l'Amour, là est ta question.

L'amour est la substance résiduelle d'une action d'aimer non consommée, c'est une chaîne que l'on met à l'autre et à laquelle on colle une noble étiquette faite pourtant de papier mâché. L'amour est la duperie qui engendre le besoin de fidélité. C'est une boue amoureuse.

Edit. C'est une pizza réchauffée, une thésaurisation mercantile d'une énergie volatile, c'est un pichet de sperme (ou de mouille) froid.e, c'est un zoo d'animaux sauvages réduits à la captivité, c'est un calcul social appliqué à un sentiment.

Hmmm....ça c'est ton interprétation de l'amour et je ne suis pas d'accord avec. ^^ Mais pitié, ne me signale pas !!!

on ne peut pas toujours avoir une connaissance théorique, parfois pour comprendre un concept, il faut l'expérimenter....

C'est une analyse expérimentale.

Je trouve que même "l'amour" fraternel devient rance, sans pour autant se brouiller. Les élans passés conservés dans le formol comme une réserve qui est là juste pour dire. L'amour est quelque chose de stagnant, de statique, là où aimer a un courant d'eau. C'est une accroche au passé de peur — ou de flemme — de créer chaque jour.

C'est de la paresse émotionnelle, l'embourgeoisement des sentiments. C'est se créer un pécule qui peu à peu moisit, juste pour se rassurer. L'amour est quelque chose qui se fane de l'intérieur faisant apparaître peu à peu une grisaille qui se désagrège au toucher. C'est une maison de lotissement où chacun se dit bonjour mais vit dans Walt Disney. C'est la peur d'être. Mettre le temps en cage. Se déclarer satisfait. Trier pour déculpabiliser. Au fond c'est juste... la peur d'être seul.

J'ai et j'ai eu des expériences différentes, donc mon analyse est différente.

Aimer c'est bien. L'amour n'est pas aimer.

Si tes enfants te quittent. Tu seras malheureuse ? S'ils ne veulent plus te parler ? Si oui c'est de l'amour.

Bien sûr que je serais triste, même si je sais que le rôle d'un parent est de donner assez d'armes à son enfant pour qu'il s'envole et vive sans moi. Et oui je serais malheureuse s'ils ne me parlaient plus, mais ça ne m'empêchera pas de continuer à les aimer, silencieusement et à distance.

La part de tristesse c'est l'amour que tu éprouves pour eux. C'est le symptôme de l'amour. Comme le manque. Je n'en suis pas exempt. Mais il n'y a rien de noble là-dedans.

L'amour n'est pas une maladie. Et je n'ai jamais parlé de noblesse. Ce sont des concepts moralisateurs qui ne me parlent pas. Je préfère arrêter là ma participation sur ce fil, trop d'interprétation personnelle faite sur un partage et trop de binarité à mon goût. Ceci dit sans reproche ni agressivité, la direction que prend cette discussion ne me convient pas juste et je n'ai pas assez de temps à y consacrer pour expliquer en détail où sont les difficulté de compréhension et les compréhensions erronées.

L'amour fuit dés qu'on essaye de le définir, et c'est toujours une grande perte.

Je ne comprends pas trop ce que viennent faire les jugements personnes de ce style : noble ou pas noble.
Les humains ressentent des émotions, certaines leur font du bien, d'autre non, et basta.
Elles sont là, on les constate, et mettre un jugement dessus me parait vraiment incongru.

Car c'est la différence entre "aimer" et "amour". Aimer est noble et désintéressé, si ce n'est pour l'adéquation à ses principes, autrement dit l'expression de son identité. Mais l'amour c'est "vouloir l'autre", en ce sens c'est différent. Je ne juge pas les gens qui éprouvent de l'amour, j'en éprouve moi-même. Mais il est illusoire de voir de la noblesse dans l'amour : je juge le fait de voir l'amour comme quelque chose de bien. Est-ce que je culpabilise de ressentir de l'amour ? Non. Et je n'invite personne à le faire.

Mais il est illusoire de voir de la noblesse dans l'amour

Mais ya que toi qui vois de la noblesse, hein. Du moins sur ce fil.

Prof, tu as ta propre définition de l'amour à laquelle tu colles des jugements qui te sont personnel. Ne fais pas l'erreur de calquer TON interprétation sur la pensée de l'autre. Je ne considère pas du tout mais pas du tout l'amour de ta façon, et ma manière de voir les choses a autant sa légitimité que la tienne.

Ai-je dit que tu n'avais pas le droit de t'exprimer ?

Le souci est que tu colles ton interprétation sur mon partage et je n'aime pas ça. Tu me fais dire des choses que je n'ai pas dîtes et tu mets un jugement sur l'amour que je porte à mes enfants par exemple, et je n'apprécie pas. Sur ce, bon appétit.

3615chuna a écrit:Mais il est illusoire de voir de la noblesse dans l'amour

Mais ya que toi qui vois de la noblesse, hein. Du moins sur ce fil.

Il me semble que je n'en vois justement pas.