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Re: Nos poèmes
Merci Le énième Thomas du site ! Le poème que tu viens de poster est aussi très joli^^ Fluide et avec une chute inattendue.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Et ainsi naquit entre eux une estime réciproque !
Le énième Thomas du site- Messages : 41
Date d'inscription : 19/02/2020
Age : 25
Re: Nos poèmes
Je vous rejoins, amis poètes Je n'ai pas encore pu lire tout votre post, je viens à peine de débarquer, mais je pose ma pierre à l'édifice comme on poserait une gerbe de fleurs sur la tombe de l'être aimé <3
Se cacher. Ne jamais se dévoiler ni se dévêtir.
Jouer le jeu du caméléon tout en étant lion ;
Savez-vous qui je suis ? Je ne fais que mentir !
Toujours dépendante et au-delà de votre vision
Je me perds entre les apparences et les miroirs
Qui sait ce qui se trouve dans tous les tiroirs
Quand je ne peux expliquer pourquoi je pense ?
Quand je ne peux comprendre l'offense ?
Un seul m'a jamais vue comme moi
Un seul a su capter toute la complexité
De nos essences humaines monta l'émoi
Piégée dans un filet de pêche abandonné
Si l'inspecteur passe par là avec sa loupe
Il saura que je n'ai nulle part où aller
Il verra combien je répugne, divisée
En tant de facettes qui se recoupent
On croirait que je suis brisée
Se cacher. Ne jamais se dévoiler ni se dévêtir.
Jouer le jeu du caméléon tout en étant lion ;
Savez-vous qui je suis ? Je ne fais que mentir !
Toujours dépendante et au-delà de votre vision
Je me perds entre les apparences et les miroirs
Qui sait ce qui se trouve dans tous les tiroirs
Quand je ne peux expliquer pourquoi je pense ?
Quand je ne peux comprendre l'offense ?
Un seul m'a jamais vue comme moi
Un seul a su capter toute la complexité
De nos essences humaines monta l'émoi
Piégée dans un filet de pêche abandonné
Si l'inspecteur passe par là avec sa loupe
Il saura que je n'ai nulle part où aller
Il verra combien je répugne, divisée
En tant de facettes qui se recoupent
On croirait que je suis brisée
Re: Nos poèmes
Haha^^ J'aime beaucoup ce nouveau vers
Savez-vous que ma vie, je ne fais qu'en sortir
Les portes toujours franchir, des chaînes s'affranchir
Mettre de l'impair dans toutes ces choses ordonnées
Puis le tableau multicolore contempler...
Savez-vous que ma vie, je ne fais qu'en sortir
Les portes toujours franchir, des chaînes s'affranchir
Mettre de l'impair dans toutes ces choses ordonnées
Puis le tableau multicolore contempler...
Re: Nos poèmes
En un radeau sur une mer bleue de désir
Deux naufragés heureux de leur sort...
Les nuages peuvent poindre alors,
Le soleil reviendra, vague de plaisirs.
Il saura être accueilli, tendrement,
Le clapoti de leurs corps ardents
Apaisant leurs esprits et tourments.
Impression délicieuse d'étirer le temps...
Quand le radeau vient s'échouer sur le sable fin
De la Réalité, l'écume tentant d'effacer le dessin
De ces heures délicieuses rassasiant leur faim,
Resteront les souvenirs chéris, qui ne seront vains.
L'Eau, symbole de la Vie, marquera leur rencontre
D'où naît le Feu de leur union, imprimant son sceau
Si flamboyant non pas seulement à fleur de peau
Mais au plus profond de leurs êtres, sans fondre...
... L'apaisement d'un bain chaud...
Deux naufragés heureux de leur sort...
Les nuages peuvent poindre alors,
Le soleil reviendra, vague de plaisirs.
Il saura être accueilli, tendrement,
Le clapoti de leurs corps ardents
Apaisant leurs esprits et tourments.
Impression délicieuse d'étirer le temps...
Quand le radeau vient s'échouer sur le sable fin
De la Réalité, l'écume tentant d'effacer le dessin
De ces heures délicieuses rassasiant leur faim,
Resteront les souvenirs chéris, qui ne seront vains.
L'Eau, symbole de la Vie, marquera leur rencontre
D'où naît le Feu de leur union, imprimant son sceau
Si flamboyant non pas seulement à fleur de peau
Mais au plus profond de leurs êtres, sans fondre...
... L'apaisement d'un bain chaud...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Demain je vais appuyer sur le bouton
Je vais attendre une demi seconde
Puis je vais appuyer sur dix touches
Puis je vais attendre et peut-être m'asseoir
Puis peut-être assis je vais saisir mon mot de passe
Et j'espère que la passe sera bonne
Pour le client — et Windows seven s'ouvrira
Le télétravail, ce n'est pas exactement regarder la télé en travaillant,
Me dis-je chaque matin — où je travaille
Mon home devient mon work, beurk,
Mais c'est cool de travailler décoiffé
Ou de puer — la terre est vaste
Vaste la longueur d'onde humaine
Vastes les clitoglyphes assoiffés et repus
Vastes les chants de batailles eternelles
Morts les chants de joie des quenelles.
Je vais attendre une demi seconde
Puis je vais appuyer sur dix touches
Puis je vais attendre et peut-être m'asseoir
Puis peut-être assis je vais saisir mon mot de passe
Et j'espère que la passe sera bonne
Pour le client — et Windows seven s'ouvrira
Le télétravail, ce n'est pas exactement regarder la télé en travaillant,
Me dis-je chaque matin — où je travaille
Mon home devient mon work, beurk,
Mais c'est cool de travailler décoiffé
Ou de puer — la terre est vaste
Vaste la longueur d'onde humaine
Vastes les clitoglyphes assoiffés et repus
Vastes les chants de batailles eternelles
Morts les chants de joie des quenelles.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
En embrassant mon rêve un deux trois
J'ai ouvert le peut-être d'un roi
Il y avait de quoi être heureux
Fallait-il pour cela être preux ?
C'est maintenant qu'un deux trois je ris
L'on peut prendre qui jadis nous pris
Et le dire ce n'est pas de trop
Qu'une marotte a grandi d'un rot
Qu'un fleuve eut d'abord été un ru
Un érudit fut un malotru
Tout vient à point à qui sait attendre
Un deux trois, juste, ne pas se rendre.
J'ai ouvert le peut-être d'un roi
Il y avait de quoi être heureux
Fallait-il pour cela être preux ?
C'est maintenant qu'un deux trois je ris
L'on peut prendre qui jadis nous pris
Et le dire ce n'est pas de trop
Qu'une marotte a grandi d'un rot
Qu'un fleuve eut d'abord été un ru
Un érudit fut un malotru
Tout vient à point à qui sait attendre
Un deux trois, juste, ne pas se rendre.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Sur la large allée de terre ferme
Et jaune, les grumeaux d'ocre inertes
S'éboulent sans bouger, c'est le terme
Vain et mort d'un périple sans perte.
Sur cette allée donc, un blanc cyprès
Regarde en bas si la terre est plate
Mais ne voit rien, de loin ou de près,
Il n'a pas d'yeux, que ne le croyâtes.
Le cyprès blanc est un animal
Fait d'une matière végétale,
Et si vous en vîtes jamais un,
Vous savez que je ne suis zinzin.
Et jaune, les grumeaux d'ocre inertes
S'éboulent sans bouger, c'est le terme
Vain et mort d'un périple sans perte.
Sur cette allée donc, un blanc cyprès
Regarde en bas si la terre est plate
Mais ne voit rien, de loin ou de près,
Il n'a pas d'yeux, que ne le croyâtes.
Le cyprès blanc est un animal
Fait d'une matière végétale,
Et si vous en vîtes jamais un,
Vous savez que je ne suis zinzin.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le rustre frustre le lustre
Illuminé de l'intellectuel délecté
D'une métaphore aphorisant le météore
Qui alors prend la mouche
Et s'indigne — c'est le lot de l'intello
Laissant les jeux de mains
Aux manuels d'entretiens
Des voies, des bâtis et des vaisseaux.
L'intello est celui qui pense, avec vertu
Les autres gens sont des sots, avec vertu zégalement
Donc la vertu n'est rien, seule la pensée compte
La pensée du lucre, du stupre, du sucre.
Illuminé de l'intellectuel délecté
D'une métaphore aphorisant le météore
Qui alors prend la mouche
Et s'indigne — c'est le lot de l'intello
Laissant les jeux de mains
Aux manuels d'entretiens
Des voies, des bâtis et des vaisseaux.
L'intello est celui qui pense, avec vertu
Les autres gens sont des sots, avec vertu zégalement
Donc la vertu n'est rien, seule la pensée compte
La pensée du lucre, du stupre, du sucre.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ce matin je naquis d'un prêtre
Qui d'une aumônière fit goûter son tertre
Mon éducation fut religieuse
Je devint curé à mon tour
Haranguant la foule mécréante
Qui chevauchait des vies de débauche
Je fut déporté avec grâce
Et pendu avec panache
Arrivé au ciel je constatai
Que c'était une vaste hypercherie
Que le ciel n'était que du vide
Lui aussi victime du/de la covid
Ce matin je naquis d'un prêtre
Et ce soir je fus pendu
La foi ne me semblait être
Qu'un vulgaire sac-de-cul.
Qui d'une aumônière fit goûter son tertre
Mon éducation fut religieuse
Je devint curé à mon tour
Haranguant la foule mécréante
Qui chevauchait des vies de débauche
Je fut déporté avec grâce
Et pendu avec panache
Arrivé au ciel je constatai
Que c'était une vaste hypercherie
Que le ciel n'était que du vide
Lui aussi victime du/de la covid
Ce matin je naquis d'un prêtre
Et ce soir je fus pendu
La foi ne me semblait être
Qu'un vulgaire sac-de-cul.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ô capitaine mon capitaine
La bienséance est capiteuse
Moi je ne vois que de la haine
L'humanité est bien piteuse
Ô capitaine mon capitaine
Où donc es-tu mon maigre dieu
Tes phalanges sont-elles donc vaines
Es-tu donc prisonnier des cieux
Ô capitaine tu capitules
Pourquoi tant de gens te vilipendent
Ils te violent et ils t'enculent
Et un beau jour — peut-être moche — ils te pendent.
Ô capitaine mon capitaine
Longtemps j'ai dû marcher sur rien
Ô, cap..., capi..., capitai... ne...
Penser à toi m'a quand même fait du bien.
La bienséance est capiteuse
Moi je ne vois que de la haine
L'humanité est bien piteuse
Ô capitaine mon capitaine
Où donc es-tu mon maigre dieu
Tes phalanges sont-elles donc vaines
Es-tu donc prisonnier des cieux
Ô capitaine tu capitules
Pourquoi tant de gens te vilipendent
Ils te violent et ils t'enculent
Et un beau jour — peut-être moche — ils te pendent.
Ô capitaine mon capitaine
Longtemps j'ai dû marcher sur rien
Ô, cap..., capi..., capitai... ne...
Penser à toi m'a quand même fait du bien.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le blond au crâne rasé
Me regarde l'œil lubrique
Il espère se caser
Au fond de mon ombilic
Halte là ! Mon mignon
Vois-tu, mon orifice
Te ferais prendre un gnon
Pars loin de moi, mon fils
Mais le blond ne cessa pas
Notez qu'il était peut-être
Brun, on ne peut pas savoir
Son poil roux était masqué.
Le blond ne cessa pas donc
Alors avec un gourdin
Qui n'était pas ma bite
Je le trucidai, vite.
Me regarde l'œil lubrique
Il espère se caser
Au fond de mon ombilic
Halte là ! Mon mignon
Vois-tu, mon orifice
Te ferais prendre un gnon
Pars loin de moi, mon fils
Mais le blond ne cessa pas
Notez qu'il était peut-être
Brun, on ne peut pas savoir
Son poil roux était masqué.
Le blond ne cessa pas donc
Alors avec un gourdin
Qui n'était pas ma bite
Je le trucidai, vite.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Séremande où es-tu mon petit corps sucré
Qui pieds nus venait à moi à pas feutrés
Séremande allonge-toi près moi
Ta petite peau vole tout l'or du monde
Près toi qu'il fait bon et chaud
Tu es un igloo chaud au milieu de la glace
Tu es un lit douillet, tu es un molleton
Près toi je ne peux que crier grâce.
Séremande un jour viendra oui un jour viendra
Où tes calices feront mes délices
À moins qu'ils fassent mes supplices,
On ne sait pas, après rien, après tout.
Qui pieds nus venait à moi à pas feutrés
Séremande allonge-toi près moi
Ta petite peau vole tout l'or du monde
Près toi qu'il fait bon et chaud
Tu es un igloo chaud au milieu de la glace
Tu es un lit douillet, tu es un molleton
Près toi je ne peux que crier grâce.
Séremande un jour viendra oui un jour viendra
Où tes calices feront mes délices
À moins qu'ils fassent mes supplices,
On ne sait pas, après rien, après tout.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le surdoué est un être supérieur
La conscience de son intelligence est sa consolation
D'être rejeté quand il est rejeté
D'être blessé quand il est blessé
Le surdoué est un fat
Ou au mieux un do dièse
Haut de gamme parmi les bas de gamme
Le surdoué est assez piètre
Le surdoué est idéaliste
Et impuissant
L'intelligence, pourtant,
Ne se jauge-t-elle pas à l'aune de l'adaptabilité ?
Alors il est parfois très bête ?
La conscience de son intelligence est sa consolation
D'être rejeté quand il est rejeté
D'être blessé quand il est blessé
Le surdoué est un fat
Ou au mieux un do dièse
Haut de gamme parmi les bas de gamme
Le surdoué est assez piètre
Le surdoué est idéaliste
Et impuissant
L'intelligence, pourtant,
Ne se jauge-t-elle pas à l'aune de l'adaptabilité ?
Alors il est parfois très bête ?
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
On est bien peu de chose
Et mon amie la rose
Est absente ce matin
Car je n'ai pas de jardin (ni de pot de fleurs)
On est bien peu de chose
Et l'on se perd en glose
Sur le bord du chemin
Et c'est déjà très bien
Arrive la turpitude
De l'esclavage discret
Arrive le confort
De la belle inconscience
La ruelle est déserte
Et le hameau pas beau
La ruelle est déserte
Et le hameau toujours pas beau... Non... Toujours pas...
On est bien peu de chose
Un sac d'os comme dirait Stephen King
Idéaliste poivré
D'un tantinet de réalisme surnaturel.
Et mon amie la rose
Est absente ce matin
Car je n'ai pas de jardin (ni de pot de fleurs)
On est bien peu de chose
Et l'on se perd en glose
Sur le bord du chemin
Et c'est déjà très bien
Arrive la turpitude
De l'esclavage discret
Arrive le confort
De la belle inconscience
La ruelle est déserte
Et le hameau pas beau
La ruelle est déserte
Et le hameau toujours pas beau... Non... Toujours pas...
On est bien peu de chose
Un sac d'os comme dirait Stephen King
Idéaliste poivré
D'un tantinet de réalisme surnaturel.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un jour je voulus parler à quelqu'un
Était-ce une femme était-ce un homme ?
Un jour je voulu parler à quelqu'un
Je ne suis même pas sûr que c'était un humain — une humaine.
Je voulus mais n'y parvins
Alors pour avoir l'air malin — quand même
Je fis semblant d'être bête
Et la chose humanoïde en face de moi gloussa de soulagement
C'était pas sa faute, ni la mienne (j'ose espérer)
C'était une différence voilà tout
Voilà rien, et on accuse le destin
Ou la religion.
Alors je fis un long voyage en terre sainte
J'explorai mon inconscient et mon subconscient
J'explorai mon incontinent et mon subcontinent
Et je trouvai quelque chose, oui, je trouvai quelque chose, mais quoi ? J'ai oublié.
Était-ce une femme était-ce un homme ?
Un jour je voulu parler à quelqu'un
Je ne suis même pas sûr que c'était un humain — une humaine.
Je voulus mais n'y parvins
Alors pour avoir l'air malin — quand même
Je fis semblant d'être bête
Et la chose humanoïde en face de moi gloussa de soulagement
C'était pas sa faute, ni la mienne (j'ose espérer)
C'était une différence voilà tout
Voilà rien, et on accuse le destin
Ou la religion.
Alors je fis un long voyage en terre sainte
J'explorai mon inconscient et mon subconscient
J'explorai mon incontinent et mon subcontinent
Et je trouvai quelque chose, oui, je trouvai quelque chose, mais quoi ? J'ai oublié.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai vu un poème une fois c'était un poème bleu
Il n'allait pas trop avec mon pardessus noir
Bleu marine oui oui bleu marine
Alors j'ai laissé ce poème dans le caniveau
Mais quelqu'un d'autre l'a ramassé
Et et et et, et et et et,
Et rien.
Il n'allait pas trop avec mon pardessus noir
Bleu marine oui oui bleu marine
Alors j'ai laissé ce poème dans le caniveau
Mais quelqu'un d'autre l'a ramassé
Et et et et, et et et et,
Et rien.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Au cœur des méandres insestueux de la glue
Je progressais lévitant comme Claude Piéplu
Les jambes dans le vide mais le buste pris
D'une voix aigre-aigre je me tortille et ris
Soudain le chameau aperçoit un bain chaud
Et sirotant le vaste liquide chaud
Qu'il prenait pour un géant mojito
Il gonfle il enfle il obèse aussitôt
Claude Piéplu arrosant ses pourpiers
Rattrapa le chameau et le perça
De sa voix perçante et de son épée
L'arroseur arrosé du contenu du camélidé
Claude Piéplu me dit du fond de ses ténèbres
"S'il te plaît peux-tu me remettre cette vertèbre ?
"Le chameau éventré me l'a bel déplacée"
Mais je partis m'exclamant "c'est assez."
Je progressais lévitant comme Claude Piéplu
Les jambes dans le vide mais le buste pris
D'une voix aigre-aigre je me tortille et ris
Soudain le chameau aperçoit un bain chaud
Et sirotant le vaste liquide chaud
Qu'il prenait pour un géant mojito
Il gonfle il enfle il obèse aussitôt
Claude Piéplu arrosant ses pourpiers
Rattrapa le chameau et le perça
De sa voix perçante et de son épée
L'arroseur arrosé du contenu du camélidé
Claude Piéplu me dit du fond de ses ténèbres
"S'il te plaît peux-tu me remettre cette vertèbre ?
"Le chameau éventré me l'a bel déplacée"
Mais je partis m'exclamant "c'est assez."
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les sanglots longs des violons de l'automne
Commencent à me rabattre sérieusement les oreilles
N'y a-t-il pas déjà assez de pleurs
Par surcroît nous sommes actuellement en hiver
De nos jours il faut que ça aille vite
Ça aurait été aujourd'hui les sanglots auraient été courts
Tout au plus quelques spasmes
Holà ! Loin de moi ces miasmes !
Eh Paulo allez donc pleurer un peu plus loin
De nos jours ni pleurs ni joies — voyons
De nos jours le sourire est en plastique
Et les larmes de pétrole
Nos sourires sont jetables et nos larmes lyophilisées
La télé — ce retable — nous les a achetés
Pour pas plus que quelques deniers
Notre âme est aujourd'hui au grenier.
Commencent à me rabattre sérieusement les oreilles
N'y a-t-il pas déjà assez de pleurs
Par surcroît nous sommes actuellement en hiver
De nos jours il faut que ça aille vite
Ça aurait été aujourd'hui les sanglots auraient été courts
Tout au plus quelques spasmes
Holà ! Loin de moi ces miasmes !
Eh Paulo allez donc pleurer un peu plus loin
De nos jours ni pleurs ni joies — voyons
De nos jours le sourire est en plastique
Et les larmes de pétrole
Nos sourires sont jetables et nos larmes lyophilisées
La télé — ce retable — nous les a achetés
Pour pas plus que quelques deniers
Notre âme est aujourd'hui au grenier.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans une écurie somme toute assez sommaire
Un jour se promenait monsieur le maire
Et et et et, et et et et,
Et, ri ien.
Un jour se promenait monsieur le maire
Et et et et, et et et et,
Et, ri ien.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Aujourd'hui j'ai maigri
J'ai perdu un jour de ma vie
Certains pensent avoir perdu une année
En une matinée
C'est
Qu'ils
N'ont
Pas su compter.
J'ai perdu un jour de ma vie
Certains pensent avoir perdu une année
En une matinée
C'est
Qu'ils
N'ont
Pas su compter.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Euh bonne année
que j'voulais dire
en fait
On fête
On souhaite
Une tête
Parfaite
On pense
Parfois
La foi
Est rance
Mais là
Le la
Est bien
Qu'il reste
Un zeste
De rien
que j'voulais dire
en fait
On fête
On souhaite
Une tête
Parfaite
On pense
Parfois
La foi
Est rance
Mais là
Le la
Est bien
Qu'il reste
Un zeste
De rien
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un jour on me dit
"C'est de bien beaux poèmes que tu écris là
"Mais ils n'ont pas de titre ?"
"Ah non" répondis-je, "pour le titre il faut payer"
Ainsi est la vie très cher,
Quand je dis très cher, je veux dire, très cher ami
Car oui la vie est chère
On nait, c'est un fait, mais pour vivre, il faut payer, s'il, vous, plaît.
"C'est de bien beaux poèmes que tu écris là
"Mais ils n'ont pas de titre ?"
"Ah non" répondis-je, "pour le titre il faut payer"
Ainsi est la vie très cher,
Quand je dis très cher, je veux dire, très cher ami
Car oui la vie est chère
On nait, c'est un fait, mais pour vivre, il faut payer, s'il, vous, plaît.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Moi j'aime bien les Chinois
Par Chinois entendez asiatiques, mais surtout Chinois
Ils aiment bien les clichés
Par clichés entendez stéréotypes
Ils aiment bien les clichés ?
Moi aussi — alors allons-y
Les chinois sont un peuple aux yeux bridés
Qui savent pourtant les ouvrir grand
C'est un peuple travailleur (leurs enfants aussi)
Ils riz jaune — elle est facile (et un peu/beaucoup moche)
Ils sont innocents et croient leurs autorités
Ils sont patriotes par obligation
C'est dur pour les expats
Doivent-ils renier leur patrie ? Mais ce reniement peut les éclabousser, et ils ont,
Une belle fierté, ces gens-là
Non ce que j'aime vraiment chez ces gens
En plus de tous ces clichés vrais et faux
C'est qu'il leur reste un peu d'entrain
Par rapport zà les français, dont je ne connais pas un seul
Dont, je, ne, connais, pas, un, seul,
Qui ne soit blasé
Par Chinois entendez asiatiques, mais surtout Chinois
Ils aiment bien les clichés
Par clichés entendez stéréotypes
Ils aiment bien les clichés ?
Moi aussi — alors allons-y
Les chinois sont un peuple aux yeux bridés
Qui savent pourtant les ouvrir grand
C'est un peuple travailleur (leurs enfants aussi)
Ils riz jaune — elle est facile (et un peu/beaucoup moche)
Ils sont innocents et croient leurs autorités
Ils sont patriotes par obligation
C'est dur pour les expats
Doivent-ils renier leur patrie ? Mais ce reniement peut les éclabousser, et ils ont,
Une belle fierté, ces gens-là
Non ce que j'aime vraiment chez ces gens
En plus de tous ces clichés vrais et faux
C'est qu'il leur reste un peu d'entrain
Par rapport zà les français, dont je ne connais pas un seul
Dont, je, ne, connais, pas, un, seul,
Qui ne soit blasé
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
On me dit que j'ai un grain
Un grain ? C'est que vous n'avez pas su compter
J'en ai deux, exactement
Le troisième je l'ai essuyé
Mon premier est ma bêtise
De croire que je suis intelligent
Il faut bien que je vous dise
Que mon cerveau est indigent
Mon deuxième est ma candeur
Oui oui vous avez bien lu lu
Ma candeur je l'aime bien
Car elle me fait aimer la vie
Quant au troisième — celui que j'ai essuyé
Car il faisait tâche,
C'était mon goût pour les maths
Bah, je n'ai pas su si bien l'essuyer, peut-être...
Un grain ? C'est que vous n'avez pas su compter
J'en ai deux, exactement
Le troisième je l'ai essuyé
Mon premier est ma bêtise
De croire que je suis intelligent
Il faut bien que je vous dise
Que mon cerveau est indigent
Mon deuxième est ma candeur
Oui oui vous avez bien lu lu
Ma candeur je l'aime bien
Car elle me fait aimer la vie
Quant au troisième — celui que j'ai essuyé
Car il faisait tâche,
C'était mon goût pour les maths
Bah, je n'ai pas su si bien l'essuyer, peut-être...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ce que je préfère dans les maths
C'est le dessin des signes et la poésie des concepts
Ces signes presque kabbalistiques, presque sorciers, presque magiques
Incompréhensibles pour le profane — dont je suis dans une grande proportion
Sans déconner ? Homomorphe à une 3-sphère ? Vous m'avez bien regardé ? Tête de nœud va.
Ben oui j'ai regardé cette conjecture de Poincaré aujourd'hui démontrée. Putain one million de dollars
Ça rapporte les maths (enfin ça peut)
Avec un nom pareil, ça m'aurait mis la pression d'être mathématicien
Non ce que j'aime c'est la poésie des concepts
Les fonctions transcendantes
Les intégrales
J'eusse aimé vous en citer d'autres, mais ne suis pas tant connaisseur
Si quand même un dernier : le théorème
Celui qui fait détester les maths —
ou les adorer
Enfin c'est peut-être plus la faute des profs (des vrais)
Qui ensaignent les élèves (parfois)
Au lieu de les aider à construire leur intelligence
Ce qui démontre, par A + B
Qu'ils n'en ont pas...
C'est le dessin des signes et la poésie des concepts
Ces signes presque kabbalistiques, presque sorciers, presque magiques
Incompréhensibles pour le profane — dont je suis dans une grande proportion
Sans déconner ? Homomorphe à une 3-sphère ? Vous m'avez bien regardé ? Tête de nœud va.
Ben oui j'ai regardé cette conjecture de Poincaré aujourd'hui démontrée. Putain one million de dollars
Ça rapporte les maths (enfin ça peut)
Avec un nom pareil, ça m'aurait mis la pression d'être mathématicien
Non ce que j'aime c'est la poésie des concepts
Les fonctions transcendantes
Les intégrales
J'eusse aimé vous en citer d'autres, mais ne suis pas tant connaisseur
Si quand même un dernier : le théorème
Celui qui fait détester les maths —
ou les adorer
Enfin c'est peut-être plus la faute des profs (des vrais)
Qui ensaignent les élèves (parfois)
Au lieu de les aider à construire leur intelligence
Ce qui démontre, par A + B
Qu'ils n'en ont pas...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'intelligence est quelque chose qui se laisse déposer
Devant le regard
Devant son regard pour commencer
Il faut lui laisser le temps d'agir sur nous
L'intelligence est pacifique, elle est contemplation
C'est un regard posé avec attention
Regard des yeux, regard des tympans, regard du toucher
Regard d'enfant qui se demande
Regard depuis l'intérieur de l'âme
Regard par les cheveux
C'est une construction aux constantes variables
Une ligne droite et circulaire à la fois
Ce n'est pas, donc, apprendre des choses
Alimenter notre savoir
Que simple, notre regard se pose,
Afin qu'enfin nous puissions voir.
Devant le regard
Devant son regard pour commencer
Il faut lui laisser le temps d'agir sur nous
L'intelligence est pacifique, elle est contemplation
C'est un regard posé avec attention
Regard des yeux, regard des tympans, regard du toucher
Regard d'enfant qui se demande
Regard depuis l'intérieur de l'âme
Regard par les cheveux
C'est une construction aux constantes variables
Une ligne droite et circulaire à la fois
Ce n'est pas, donc, apprendre des choses
Alimenter notre savoir
Que simple, notre regard se pose,
Afin qu'enfin nous puissions voir.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Rire en ce monde est une jouissance
Une jouissance qu'est-ce, à tout prendre ?
Un plaisir teinté de revanche ?
N'avons-nous pas le droit à une revanche ?
Finalement on rit parce qu'on est triste
Point de tristesse vaut point de ris
Les plus grands rigoleurs sont les plus tristes
Sarcasme cynisme dérision moquerie sont cousins
C'est ainsi par tristesse (profonde) que je vous veux faire rire (superficiellement)
Superficialité étant simplification
Simplification étant s'adapter à la bêtise
Je m'en vais un instant être bête — pour vous plaire
Et vous amener la considération suivante :
"Ce ne sont pas les hommes qu'il faut blâmer, c'est le système"
Certes, mais retranchez arithmétiquement les hommes (les Hommes) au système, que reste-il à part rien ? Les hommes sont le système
Comme quoi les maths ça sert (des fois).
Une jouissance qu'est-ce, à tout prendre ?
Un plaisir teinté de revanche ?
N'avons-nous pas le droit à une revanche ?
Finalement on rit parce qu'on est triste
Point de tristesse vaut point de ris
Les plus grands rigoleurs sont les plus tristes
Sarcasme cynisme dérision moquerie sont cousins
C'est ainsi par tristesse (profonde) que je vous veux faire rire (superficiellement)
Superficialité étant simplification
Simplification étant s'adapter à la bêtise
Je m'en vais un instant être bête — pour vous plaire
Et vous amener la considération suivante :
"Ce ne sont pas les hommes qu'il faut blâmer, c'est le système"
Certes, mais retranchez arithmétiquement les hommes (les Hommes) au système, que reste-il à part rien ? Les hommes sont le système
Comme quoi les maths ça sert (des fois).
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La mort et l'amour ont cela en commun
Qu'ils peuvent nous faire tout oublier pendant quelques instants
L'amour bien sûr nous soulève les hanches
Et la mort qui nous noie de tristesse
La tristesse qui nous noie est parfois une nuit
Qui nous enveloppe et nous protège
Mais il faut qu'elle soit intense, qu'elle dépasse un certain seuil
Alors nous voilà soulevé dans un monde incertain
Un monde de catharsis, un baume de tristesse
Après tout pleurer n'est pas si mal, quand on considère que les victimes de la guerre en ex-yougoslavie dans les années 90 n'arrivaient même plus à pleurer — elles et d'autres bien sûr, mais toujours anonymes
Et pleurer est interdit, c'est mal vu, c'est faible
Mais pleurer fait du bien, c'est pour cela que c'est dangereux
Soyons donc heureux.ses de pleurer — nous irons mieux après
La tristesse intense comme toute émotion intense, fait par ailleurs oublier
Toutes les vaines contraintes de nos vains quotidiens
Les anicroches mesquines — la personne endeuillée est plus respectée que la personne joyeuse — c'est toujours ça de pris aux instances calomnieuses — et hypocrites
Et en cela est un repos salutaire qu'il ne faut dédaigner.
Qu'ils peuvent nous faire tout oublier pendant quelques instants
L'amour bien sûr nous soulève les hanches
Et la mort qui nous noie de tristesse
La tristesse qui nous noie est parfois une nuit
Qui nous enveloppe et nous protège
Mais il faut qu'elle soit intense, qu'elle dépasse un certain seuil
Alors nous voilà soulevé dans un monde incertain
Un monde de catharsis, un baume de tristesse
Après tout pleurer n'est pas si mal, quand on considère que les victimes de la guerre en ex-yougoslavie dans les années 90 n'arrivaient même plus à pleurer — elles et d'autres bien sûr, mais toujours anonymes
Et pleurer est interdit, c'est mal vu, c'est faible
Mais pleurer fait du bien, c'est pour cela que c'est dangereux
Soyons donc heureux.ses de pleurer — nous irons mieux après
La tristesse intense comme toute émotion intense, fait par ailleurs oublier
Toutes les vaines contraintes de nos vains quotidiens
Les anicroches mesquines — la personne endeuillée est plus respectée que la personne joyeuse — c'est toujours ça de pris aux instances calomnieuses — et hypocrites
Et en cela est un repos salutaire qu'il ne faut dédaigner.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans ma prison zébrée j'aimerais parfois sortir
Écarter ces barreaux blancs et noirs, et risquer un regard
Cet habit semblant un code barre
Cet habit qui parfois fait frémir
En réalité beaucoup de choses m'en empêchent
Le regard des autres certes "il faut être le meilleur !" (et ta sœur)
Le besoin de lucre qui besoine de la matière grise premier choix
Une habitude prise il y a longtemps — à la préhistoire, je présuppose
Bref nul besoin de faire une liste rigoureuse
La tentation zébrée est un tabou non dit et même, si si, silencieux, quoique tu
Mais la gloriole intello est-elle juste salaire
D'années revêches, d'une sociale misère ?
Au fond que m'apportâtes
À part un bel appart — de deux pièces
Des années d'exclusions
Pour une frêle estime — à trois sous
Alors je me suis dit...
Pas grand chose...
Et aujourd'hui...
J'en suis là. Et c'est déjà ça, ma foi... Ma... Foi... Ma a f fo fo ii oo iii ooo iii foi.
Écarter ces barreaux blancs et noirs, et risquer un regard
Cet habit semblant un code barre
Cet habit qui parfois fait frémir
En réalité beaucoup de choses m'en empêchent
Le regard des autres certes "il faut être le meilleur !" (et ta sœur)
Le besoin de lucre qui besoine de la matière grise premier choix
Une habitude prise il y a longtemps — à la préhistoire, je présuppose
Bref nul besoin de faire une liste rigoureuse
La tentation zébrée est un tabou non dit et même, si si, silencieux, quoique tu
Mais la gloriole intello est-elle juste salaire
D'années revêches, d'une sociale misère ?
Au fond que m'apportâtes
À part un bel appart — de deux pièces
Des années d'exclusions
Pour une frêle estime — à trois sous
Alors je me suis dit...
Pas grand chose...
Et aujourd'hui...
J'en suis là. Et c'est déjà ça, ma foi... Ma... Foi... Ma a f fo fo ii oo iii ooo iii foi.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Nul n'est tenu à une continuité sociale, aussi voici une chanson à boire.
Qu'elle est belle ma zézette
Elle prie tout les matins
À une ou à deux mains
On voit toujours sa tête
Quand je vois Mélanie
Je range mon zizi
Quand je vois Émilie
C'est la surprise party
Mais quand arrive Georges
Je fuis à toutes gorges
L'histoire de ma quéquette
Peut vous prendre la tête
Sachez qu'elle prend la mienne
Et qu'elle la fait — parfois — sienne.
(notez qu'il y a un point d'orgue sur le "parfois", suivi d'une retombée conclusive)
Qu'elle est belle ma zézette
Elle prie tout les matins
À une ou à deux mains
On voit toujours sa tête
Quand je vois Mélanie
Je range mon zizi
Quand je vois Émilie
C'est la surprise party
Mais quand arrive Georges
Je fuis à toutes gorges
L'histoire de ma quéquette
Peut vous prendre la tête
Sachez qu'elle prend la mienne
Et qu'elle la fait — parfois — sienne.
(notez qu'il y a un point d'orgue sur le "parfois", suivi d'une retombée conclusive)
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'aimerais que ma vie soit un lit douillet
Avec un livre à portée — ou une amante — de préférence une amante — pour être tout à fait honnête — non non c'est parce que je n'arrive pas vraiment à lire
Et et et et, et et et et,
Et.
Avec un livre à portée — ou une amante — de préférence une amante — pour être tout à fait honnête — non non c'est parce que je n'arrive pas vraiment à lire
Et et et et, et et et et,
Et.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je te souhaite le livre, l'amante
Le reste, les vestes, l'attente
D'un manque à l'autre
Message d'espoir mon pote
Je se souhaite la douce la strong
Tout en triple, en unique
Que quand le bang du gong
T'ai de joie toute une adriatique
Le reste, les vestes, l'attente
D'un manque à l'autre
Message d'espoir mon pote
Je se souhaite la douce la strong
Tout en triple, en unique
Que quand le bang du gong
T'ai de joie toute une adriatique
Dernière édition par -Océan- le Dim 3 Jan 2021 - 6:30, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Si son san est le nippon alors prononcer son nom serait hypocrite de ma part, et, je ne suis hypocrite que quand cela m'arrange...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Naître c'est un peu comme être amoureux — on n'a rien demandé
Si l'être aimé vous aime aussi, c'est les délices
Sinon, c'est la memerde
Comme la vie quoi, je vais pas vous faire un dessin.
Si l'être aimé vous aime aussi, c'est les délices
Sinon, c'est la memerde
Comme la vie quoi, je vais pas vous faire un dessin.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Quand l'assiette se pose sur la table
Il y a comme une détente qui s'opère
Une sorte de soulagement joyeux
Qui fait oublier, l'espace d'une seconde, l'instant d'un interstice
Tout ce que nous a coûté cette putain d'assiette
Combien d'heures travaillées, combien de bousculades
Combien d'embouteillages asphyxiant de bêtise
Combien de dead lines toujours repoussées (par ma faute)
La culpabilité est-elle rente viagère ?
Quand je contemple mon carrelage — pas toujours très propre il est vrai — c'est-à-dire jamais, il faut savoir mentir — l'a-t-il été un jour ? C'est ce que je me demande en réalité — mais qu'est-ce que la réalité ? Une construction mentale ? Mais qu'est-ce que le mental ? L'opposé du physique ? Mais qu'est-ce que le physique ? La réalité ? Eh merde, c'est pas aujourd'hui que je vais y comprendre quelque chose
Qui vient de la fabrique
Combien chaque centimètre carré, enfin, soi-disant carré, ça c'est ce qu'ils disent sur l'emballage
M'a coûté
Et bien je déprime quelque peu
Mais la déprime, c'est jamais qu'un temps un peu gris
"Souris" me dis-je
En fait non, c'était juste pour aller avec gris.
Il y a comme une détente qui s'opère
Une sorte de soulagement joyeux
Qui fait oublier, l'espace d'une seconde, l'instant d'un interstice
Tout ce que nous a coûté cette putain d'assiette
Combien d'heures travaillées, combien de bousculades
Combien d'embouteillages asphyxiant de bêtise
Combien de dead lines toujours repoussées (par ma faute)
La culpabilité est-elle rente viagère ?
Quand je contemple mon carrelage — pas toujours très propre il est vrai — c'est-à-dire jamais, il faut savoir mentir — l'a-t-il été un jour ? C'est ce que je me demande en réalité — mais qu'est-ce que la réalité ? Une construction mentale ? Mais qu'est-ce que le mental ? L'opposé du physique ? Mais qu'est-ce que le physique ? La réalité ? Eh merde, c'est pas aujourd'hui que je vais y comprendre quelque chose
Qui vient de la fabrique
Combien chaque centimètre carré, enfin, soi-disant carré, ça c'est ce qu'ils disent sur l'emballage
M'a coûté
Et bien je déprime quelque peu
Mais la déprime, c'est jamais qu'un temps un peu gris
"Souris" me dis-je
En fait non, c'était juste pour aller avec gris.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Assommé d'une chaleur un peu fraîche
Je m'allongeai dans l'herbe humide et sèche
(avec deux telles rimes on aurait envie de s'arrêter là, mais il faut bien mériter son cachet)
C'est alors que j'ouvris mon sachet
(putain qu'est-ce qu'il peut contenir ce truc ?)
Tout à coup arrive Jean-Luc
(putain c'est qui ?)
"Hey Jean-Luc, qu'est-ce que tu fîtes ici ?
"Et bien rien !" me dit cette bonne âme
Avant de sortir son flingue et de se gratter avec
Se laisser guider par les rimes, c'est un peu comme... Euh... Quelque chose qui serait comme se laisser guider par les rimes
Donc ça rime à rien
Voilà
C'est laisser faire, laisser faire le destin,
Préférer être aussi pire que les autres, plutôt que tout le monde soit mieux
Sans déconner, douze pieds ? on nous fait marcher
Qu'inventions nos propres règles
Ne soyons de sages poètes
Poéter est une réceptivité au monde
Du plus merveilleux au plus immonde
Alors... Allumez vos récepteurs, et surtout, écoutez-les...
Je m'allongeai dans l'herbe humide et sèche
(avec deux telles rimes on aurait envie de s'arrêter là, mais il faut bien mériter son cachet)
C'est alors que j'ouvris mon sachet
(putain qu'est-ce qu'il peut contenir ce truc ?)
Tout à coup arrive Jean-Luc
(putain c'est qui ?)
"Hey Jean-Luc, qu'est-ce que tu fîtes ici ?
"Et bien rien !" me dit cette bonne âme
Avant de sortir son flingue et de se gratter avec
Se laisser guider par les rimes, c'est un peu comme... Euh... Quelque chose qui serait comme se laisser guider par les rimes
Donc ça rime à rien
Voilà
C'est laisser faire, laisser faire le destin,
Préférer être aussi pire que les autres, plutôt que tout le monde soit mieux
Sans déconner, douze pieds ? on nous fait marcher
Qu'inventions nos propres règles
Ne soyons de sages poètes
Poéter est une réceptivité au monde
Du plus merveilleux au plus immonde
Alors... Allumez vos récepteurs, et surtout, écoutez-les...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai un toc des chiffres alors je ne peux rester sur 598 réponses
Il en faut donc une de plus
Ben... Voilà... Alors... À plus.
Il en faut donc une de plus
Ben... Voilà... Alors... À plus.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Oh yeah you know what I love in my life ?
Well I don't really love I adore that !!!
I do be so found of that that I can't really, yeah, I can't really, oh, I really can't help to share my passion with you people with so granted minds and so awesome cleverness
Oh yeah, you are, no no no, you really are so brilliant and so machiaveliously skilly and wonderfully smart guys
Hey, you guys I so so want to share a secret with you
Oh yeah let's play a game before that : you people have to find out what I am talking about Jesus christ I can't believe I am with you tonight talking to really really smart French people oh yeah it's a pleasure, it's a very, very, very huge honor to be with you tonight I love you so much you smart French people
Yeah, here's a clue so that you can find out what I'm talking about. Yeah listen carefully listen very very carefully : what I am talking about is about... WORLD WAR II !! Yeah !! Nothing else nothing more nothing hill than WORLD WAR II !!
Nothing else but WORLD WAR ? WORLD WAR ? II !! YES !!!
I love you so much so so much. Hey you, yes you, you know what? I love you !! Yeah !! Hey body, isn't it marvelous to be loved by at least ONE PERSON IN THE WORD !!! YEAH !!!
So. What's my secret ? What do I adore in life ? You want to know ? You really want to know ? Come on! Are you sure ? Really sure ? I mean, really, really sure ?
Ok. What I really really adore, truly love in my life is to say very bad things about NAZI people. Yeah, I hate NAZIs so much, hey, they were really bad people weren't they, no ? They really were mean guys, weren't they, very very bad people, yes of course you know that, I know that, every people in this world know that !
Hey you, you disagree? So what, you like NAZIs? Oh shit son of a bitch you kidding me? Hey... I'm kidding you okay? It's a joke body just a joke
Yes but c'est tellement easy de critiquer des gens que tout le monde (ou presque) critique.
Moi j'aime bien regarder dans le fond de l'œil des gens
Ce que j'y trouve est peu ragoûtant
Il y a comme de la Schutz Schtafel déguisée en... Oh yeah you know what?
En codes sociaux...
Well I don't really love I adore that !!!
I do be so found of that that I can't really, yeah, I can't really, oh, I really can't help to share my passion with you people with so granted minds and so awesome cleverness
Oh yeah, you are, no no no, you really are so brilliant and so machiaveliously skilly and wonderfully smart guys
Hey, you guys I so so want to share a secret with you
Oh yeah let's play a game before that : you people have to find out what I am talking about Jesus christ I can't believe I am with you tonight talking to really really smart French people oh yeah it's a pleasure, it's a very, very, very huge honor to be with you tonight I love you so much you smart French people
Yeah, here's a clue so that you can find out what I'm talking about. Yeah listen carefully listen very very carefully : what I am talking about is about... WORLD WAR II !! Yeah !! Nothing else nothing more nothing hill than WORLD WAR II !!
Nothing else but WORLD WAR ? WORLD WAR ? II !! YES !!!
I love you so much so so much. Hey you, yes you, you know what? I love you !! Yeah !! Hey body, isn't it marvelous to be loved by at least ONE PERSON IN THE WORD !!! YEAH !!!
So. What's my secret ? What do I adore in life ? You want to know ? You really want to know ? Come on! Are you sure ? Really sure ? I mean, really, really sure ?
Ok. What I really really adore, truly love in my life is to say very bad things about NAZI people. Yeah, I hate NAZIs so much, hey, they were really bad people weren't they, no ? They really were mean guys, weren't they, very very bad people, yes of course you know that, I know that, every people in this world know that !
Hey you, you disagree? So what, you like NAZIs? Oh shit son of a bitch you kidding me? Hey... I'm kidding you okay? It's a joke body just a joke
Yes but c'est tellement easy de critiquer des gens que tout le monde (ou presque) critique.
Moi j'aime bien regarder dans le fond de l'œil des gens
Ce que j'y trouve est peu ragoûtant
Il y a comme de la Schutz Schtafel déguisée en... Oh yeah you know what?
En codes sociaux...
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans la fraîche rosée du matin
J'allais marcher plein d'entrain
Le cœur léger et la tête en fête
Comme une fleurs j'étais toute gaite.
Chemin faisant, destin faisa
Que je croisa un hérisson
Je me demanda ce qu'il fait là
En tout cas il était trognon
Dans le vert pâturage verdoyant alentour
Ainsi paré de mes plus beaux atours
Je tournoyai sur moi-même
Prêt à dire à quelqu'un : "je t'aime".
J'allais marcher plein d'entrain
Le cœur léger et la tête en fête
Comme une fleurs j'étais toute gaite.
Chemin faisant, destin faisa
Que je croisa un hérisson
Je me demanda ce qu'il fait là
En tout cas il était trognon
Dans le vert pâturage verdoyant alentour
Ainsi paré de mes plus beaux atours
Je tournoyai sur moi-même
Prêt à dire à quelqu'un : "je t'aime".
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
- Interdit aux -12:
Un petit cochon pendu au plafond
Tient il a de la peinture rouge dessus lui
Il ne bouge pas, il se repose
Sa vie n'a en fait pas été rose
Une souris verte courait dans l'herbe
C'est marrant elle est toute verte
Quand j'appuie dessus elle pousse des petits cris
Tiens, elle pousse plus de petits cris
1, 2, 3 nous irons au bois
Puis nous mangerons des bonbons !
Mmmmh... Où sont mes vêtements ??
Tiens je suis mort
A la claire fontaine
J'ai bu du bon lait
Maintenant j'ai le cancer du sein
Tiens, je suis morte
Dans la vie mon.a petit.e gars.e,
Y'a pas à tortiller,
Comme dirait Renaud,
Y'a rien de plus dangereux que de se faire tuer.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans une aube claire et chatoyante
Tout était tellement chatoyant
Que parfois moi aussi, je chatoyais
Ce qui fait que beaucoup de choses chatoyaient, finalement
L'aube n'était pas encore finie et chatoyait toujours,
Tout était toujours tellement chatoyant
Moi aussi, je chatoyais toujours, un peu clignotant, je dirais
Ainsi ces choses, et moi-même, chatoyaient de concert, sauf moi, pour qui c'était intermittent, et pour certains, interminable, et encore pour certains autres (différents des premiers certains), juste minable
Mais bref. Ce chatoiement inondait d'une onde chatoyante et pure les environs,
Ainsi la police municipale fut soudain tirée de son sommeil par un doux chatoiement - en partie intermittent, si vous avez suivi - accourra en marchant dans des voitures de police, aux gyrophares chatoyants mais, eux, en plus, tournaient, ce qui faisait un chatoiement rotatif (j'avais alors trop de grammes pour bien définir le sens exact de rotation - désolé je sais que vous aimez la rigueur)
Cette aube qui était chatoyante, en partie par intermittence, en partie rotative,
Chatoyait comme vache qui pisse, ainsi qu'à qui mieux mieux.
FIN
Tout était tellement chatoyant
Que parfois moi aussi, je chatoyais
Ce qui fait que beaucoup de choses chatoyaient, finalement
L'aube n'était pas encore finie et chatoyait toujours,
Tout était toujours tellement chatoyant
Moi aussi, je chatoyais toujours, un peu clignotant, je dirais
Ainsi ces choses, et moi-même, chatoyaient de concert, sauf moi, pour qui c'était intermittent, et pour certains, interminable, et encore pour certains autres (différents des premiers certains), juste minable
Mais bref. Ce chatoiement inondait d'une onde chatoyante et pure les environs,
Ainsi la police municipale fut soudain tirée de son sommeil par un doux chatoiement - en partie intermittent, si vous avez suivi - accourra en marchant dans des voitures de police, aux gyrophares chatoyants mais, eux, en plus, tournaient, ce qui faisait un chatoiement rotatif (j'avais alors trop de grammes pour bien définir le sens exact de rotation - désolé je sais que vous aimez la rigueur)
Cette aube qui était chatoyante, en partie par intermittence, en partie rotative,
Chatoyait comme vache qui pisse, ainsi qu'à qui mieux mieux.
FIN
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un jour où le soleil brillait dans une pure atmosphère joyeuse où les enfants jouaient au ballon et les ballons jouaient aux enfants ainsi qu'il y avait des fleurs,
Je cherchis dans un demi-sommeil tout-à-fait professionnel,
Pour me délasser de mon équation différentielle de premier ordre avec qui je n'arrivais pas à conclure,
Et de la collègue à longs cheveux que je n'arrivais pas à résoudre,
Ou l'inverse,
Le nombre 666 sur internet, pouruqoi pas après tout.
Et je trouva qu'il existait une phobie intéressante
Vous remarquerez que les psy inventent des noms de phobie, c'est presque un jeu entre eux on dirait
Ceci étant certaines personnes ont (à tort ou à raison, enfin, c'est comme pour tout, on peut avoir tort ou raison, simplement le fait de le préciser ici est purement rhétorique pour signifier que je juge pas les idiots (dont je suis) qui ont peur de ce chiffre) la phobie de ce nombre
Cette phobie s'appellerait, d'après wikipédia (vous trouvez pas que ça fait un peu niais ce mot, wikipédia ? wiki wiki wiki... quand j'étais gamins y'avait des peluches marrons appelées kiki, d'où une consonance enfantine pour dire que la connaissance n'est pas réservée à une élite à lunettes. Depuis j'ai acheté une encyclopédie papier sur le bon coin je vous donne le tuyau : vous en trouvez des tonnes à moins de 50 euros, pour ceux qui aiment encore le papier (et qui ont de la place) d'ailleurs j'y ai lu que copernic n'avait pas été brûlé, or j'ai toujours cru qu'il l'avait été, donc je suis allé vérifié dans kikipédia, mais je ne l'ai pas trouvé, alors je suis allé dans wikipédia, et effectivement on dirait qu'il n'a pas été brûlé, ni vif ni mort, que son de orbitum rerum planetum est passé totalement inaperçu, j'ai envie de dire, tant mieux pour lui) la Hexakosioihexekontahexaphobie (j'ai mis en gras ça fait moderne).
Pour mon 666e message sous mon 543e pseudo je voulais marquer le coup en étant raccord.
Pendant ce temps, le soleil brillait dans une pure atmosphère joyeuse où les enfants jouaient au ballon et les ballons jouaient aux enfants ainsi qu'il y avait des fleurs, et les fleurs, c'est beau, au cas où vous en doutiez bandes de mécréants cyniques.
Je cherchis dans un demi-sommeil tout-à-fait professionnel,
Pour me délasser de mon équation différentielle de premier ordre avec qui je n'arrivais pas à conclure,
Et de la collègue à longs cheveux que je n'arrivais pas à résoudre,
Ou l'inverse,
Le nombre 666 sur internet, pouruqoi pas après tout.
Et je trouva qu'il existait une phobie intéressante
Vous remarquerez que les psy inventent des noms de phobie, c'est presque un jeu entre eux on dirait
Ceci étant certaines personnes ont (à tort ou à raison, enfin, c'est comme pour tout, on peut avoir tort ou raison, simplement le fait de le préciser ici est purement rhétorique pour signifier que je juge pas les idiots (dont je suis) qui ont peur de ce chiffre) la phobie de ce nombre
Cette phobie s'appellerait, d'après wikipédia (vous trouvez pas que ça fait un peu niais ce mot, wikipédia ? wiki wiki wiki... quand j'étais gamins y'avait des peluches marrons appelées kiki, d'où une consonance enfantine pour dire que la connaissance n'est pas réservée à une élite à lunettes. Depuis j'ai acheté une encyclopédie papier sur le bon coin je vous donne le tuyau : vous en trouvez des tonnes à moins de 50 euros, pour ceux qui aiment encore le papier (et qui ont de la place) d'ailleurs j'y ai lu que copernic n'avait pas été brûlé, or j'ai toujours cru qu'il l'avait été, donc je suis allé vérifié dans kikipédia, mais je ne l'ai pas trouvé, alors je suis allé dans wikipédia, et effectivement on dirait qu'il n'a pas été brûlé, ni vif ni mort, que son de orbitum rerum planetum est passé totalement inaperçu, j'ai envie de dire, tant mieux pour lui) la Hexakosioihexekontahexaphobie (j'ai mis en gras ça fait moderne).
Pour mon 666e message sous mon 543e pseudo je voulais marquer le coup en étant raccord.
Pendant ce temps, le soleil brillait dans une pure atmosphère joyeuse où les enfants jouaient au ballon et les ballons jouaient aux enfants ainsi qu'il y avait des fleurs, et les fleurs, c'est beau, au cas où vous en doutiez bandes de mécréants cyniques.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
ProfDeMaths sur un arbre perché
Ne tenait rien en son bec, car il n'en avait pas,
Mais par contre était bien perché,
En fait d'arbre était assis à son bureau de CE1
Il portait une blouse grise,
Même s'il est assez vieux pour son âge,
C'était déjà très désuet
Et, en plus de ses lunettes, n'avait pas vraiment voire, vraiment pas, besoin de ça, mis à part qu'un jour cela masqua une chemise assez laide qu'il portait et cela le consola (mais pas assez pour éviter les troubles psychiatriques ultérieurs)
Madame la professeure qu'on appelait alors "la maîtresse"
Etait une femme assez gaillarde et joviale,
Avait un visage plutôt carré, muni de lunettes
Et sûrement des habits
Voilà, c'était juste pour dire,
Comme j'ai la phobie du 666,
Entre autres phobies que je vous invite à découvrir sur ma page facebook totalement vide, ou mon site, ProfDeMaths.com, qui recense une liste de psychiatres, j'y promulgue divers conseils sur chacun (j'en ai essayé beaucoup) et quelques de leurs faiblesses par ci par là qui permettent de les entourlouper, ça peut toujours servir,
Je voulais écrire un 667e message
Ne tenait rien en son bec, car il n'en avait pas,
Mais par contre était bien perché,
En fait d'arbre était assis à son bureau de CE1
Il portait une blouse grise,
Même s'il est assez vieux pour son âge,
C'était déjà très désuet
Et, en plus de ses lunettes, n'avait pas vraiment voire, vraiment pas, besoin de ça, mis à part qu'un jour cela masqua une chemise assez laide qu'il portait et cela le consola (mais pas assez pour éviter les troubles psychiatriques ultérieurs)
Madame la professeure qu'on appelait alors "la maîtresse"
Etait une femme assez gaillarde et joviale,
Avait un visage plutôt carré, muni de lunettes
Et sûrement des habits
Voilà, c'était juste pour dire,
Comme j'ai la phobie du 666,
Entre autres phobies que je vous invite à découvrir sur ma page facebook totalement vide, ou mon site, ProfDeMaths.com, qui recense une liste de psychiatres, j'y promulgue divers conseils sur chacun (j'en ai essayé beaucoup) et quelques de leurs faiblesses par ci par là qui permettent de les entourlouper, ça peut toujours servir,
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