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Re: Nos poèmes
When I see a pretty girl
— Well, every women are pretty to me
So, when I see a pretty girl
I look at her, and then I go
I go because you know
The prettier they are the more trouble I'm in
So I prefer my simple life
So I prefer to have no wife — anyway no girl has ever wished me
It is written that our dear lord
The very god that created us
Created the man, and then woman
But there is a little thing about it
A little thing on this story
That the story didn't tell us :
The story didn't say
How long God takes to understand her.
And God Created The Woman
And... God Understood Her Some Milleniums After That
[Well, don't worry, it's a joke, or, that just means she's cleverer than the man.].
— Well, every women are pretty to me
So, when I see a pretty girl
I look at her, and then I go
I go because you know
The prettier they are the more trouble I'm in
So I prefer my simple life
So I prefer to have no wife — anyway no girl has ever wished me
It is written that our dear lord
The very god that created us
Created the man, and then woman
But there is a little thing about it
A little thing on this story
That the story didn't tell us :
The story didn't say
How long God takes to understand her.
And God Created The Woman
And... God Understood Her Some Milleniums After That
[Well, don't worry, it's a joke, or, that just means she's cleverer than the man.].
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Oh yeah I can feel your anger
So I guess some are understanding my english among you
Well, don't be pissed off, please, don't be pissed off
Well, do your best
Everyone does one's best
That's make us only human
But human isn't so bad
When humans know they're are humans
What is being human after all ?
Does it mean anything to you
Is it be unperfect, or be kind
Maybe you know better than me
But if you know don't be afraid
I won't bite you, well, not too much
So if you know, don't be afraid
Let me a chance, just let me know.
So I guess some are understanding my english among you
Well, don't be pissed off, please, don't be pissed off
Well, do your best
Everyone does one's best
That's make us only human
But human isn't so bad
When humans know they're are humans
What is being human after all ?
Does it mean anything to you
Is it be unperfect, or be kind
Maybe you know better than me
But if you know don't be afraid
I won't bite you, well, not too much
So if you know, don't be afraid
Let me a chance, just let me know.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il y a quelque chose de bizarre en cette vie
Les mecs sont comme des fantômes pour moi
Je vois les mecs qui passent
Dans un sens puis dans l'autre
Là où les femmes s'arrêtent, regardent
Là où les femmes semblent être présentes
Émettant une voix qui a du corps
Émettant un regard qui est intense
J'voudrais pas avoir l'air démago
Ou bien faux-cul — c'est pas mon style
Même sur ce sujet délicat
Si j'ai des problèmes avec les femmes
C'est que y'a qu'elles que je voie
J'ai pas d'probleme avec les spectres
Elles trimbalent leurs mecs qui fanfaronnent
Sans raison apparente — mais j'sais pas tout.
Les mecs sont comme des fantômes pour moi
Je vois les mecs qui passent
Dans un sens puis dans l'autre
Là où les femmes s'arrêtent, regardent
Là où les femmes semblent être présentes
Émettant une voix qui a du corps
Émettant un regard qui est intense
J'voudrais pas avoir l'air démago
Ou bien faux-cul — c'est pas mon style
Même sur ce sujet délicat
Si j'ai des problèmes avec les femmes
C'est que y'a qu'elles que je voie
J'ai pas d'probleme avec les spectres
Elles trimbalent leurs mecs qui fanfaronnent
Sans raison apparente — mais j'sais pas tout.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Pauvres hommes, ils sont pas gâtés
Ils ont le pouvoir, mais la bêtise l'a souvent
Il y a eu répartition
Le pouvoir pour les uns, l'intelligence pour les unes
En mon âme ambidextre
Je me réclame d'aucun sexe
Aucun genre ne me fait
Même si j'ai une bite et deux couilles — enfin si j'ai bien su compter
Parfois dans un demi sommeil
Il me semble que j'ai une taille fine et un beau cul
Je me rêve alors en femme
Ondulant comme une déesse
C'est clair que j'attire les hommes
Est-ce ma cambrure ou bien mes fesses
Mais eux me font plutôt gerber
Tant de prétention et si peu de finesse.
Ils ont le pouvoir, mais la bêtise l'a souvent
Il y a eu répartition
Le pouvoir pour les uns, l'intelligence pour les unes
En mon âme ambidextre
Je me réclame d'aucun sexe
Aucun genre ne me fait
Même si j'ai une bite et deux couilles — enfin si j'ai bien su compter
Parfois dans un demi sommeil
Il me semble que j'ai une taille fine et un beau cul
Je me rêve alors en femme
Ondulant comme une déesse
C'est clair que j'attire les hommes
Est-ce ma cambrure ou bien mes fesses
Mais eux me font plutôt gerber
Tant de prétention et si peu de finesse.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Un homme avait un ami
Un ami de longue date et d'estime
De discussions intéressantes
De discussions enrichissantes
Cette homme était de nature simple
Un peu trop simple pour l'ami
Pas assez jaloux à son goût
Alors l'ami le spoilia
Le sépara de sa compagne
Enleva ses enfants un à un
L'homme était perdu de chagrin
Mais relevait toujours la tête
L'ami alors continua
Lui prit ses biens, ses revenus
Ses amis sa réputation
L'homme vit qu'il n'avait plus rien
Et dit : "ma foi je n'ai plus rien"
"C'est ainsi. Alors ce rien me suffira"
L'ami voyant que ce rien lui convenait encore
Lui prit ce rien : lui rendit tout.
Un ami de longue date et d'estime
De discussions intéressantes
De discussions enrichissantes
Cette homme était de nature simple
Un peu trop simple pour l'ami
Pas assez jaloux à son goût
Alors l'ami le spoilia
Le sépara de sa compagne
Enleva ses enfants un à un
L'homme était perdu de chagrin
Mais relevait toujours la tête
L'ami alors continua
Lui prit ses biens, ses revenus
Ses amis sa réputation
L'homme vit qu'il n'avait plus rien
Et dit : "ma foi je n'ai plus rien"
"C'est ainsi. Alors ce rien me suffira"
L'ami voyant que ce rien lui convenait encore
Lui prit ce rien : lui rendit tout.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Il paraît que la terre est ronde
Mais quand on vous dit qu'elle est plate
Avant de crier au scandale
Avez-vous seulement vérifié sa parfaite rotondité ?
Mais quand on vous dit qu'elle est plate
Avant de crier au scandale
Avez-vous seulement vérifié sa parfaite rotondité ?
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La terre est plate comme une orange
Et elle est bleue comme une chemise
Méfyez-vous car moi je mange
Tous ceux qui disent des bêtises.
Et elle est bleue comme une chemise
Méfyez-vous car moi je mange
Tous ceux qui disent des bêtises.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Mais la terre n'est ni plate ni ronde !
Moi je sais bien qu'elle est carrée
La terre est un rubixe cube
Un rubis con, rouge et mangé.
Moi je sais bien qu'elle est carrée
La terre est un rubixe cube
Un rubis con, rouge et mangé.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Des fois je marche aux quartiers nord
Des quartiers chauds, des quartiers crus
Moi donc le bourgeois malotru
Je dépareille dans ce décor
Les gens me reconnaissent sans me connaître
M'appellent monsieur, tendent de la beuh
M'appellent l'ancien — ça me va bien
On discutaille, parle de rien
Ces révoltés emprisonnés
Ces trafiquants emberlingués
Certains prennent les mots pour des fringues
Dont ils se parent comme des divas
S'empoulant dans des arabesques
Se cachant dans des mots de marque
Des mots cossus, des mots bourgeois
S'étouffant de leurs propres armes.
Des quartiers chauds, des quartiers crus
Moi donc le bourgeois malotru
Je dépareille dans ce décor
Les gens me reconnaissent sans me connaître
M'appellent monsieur, tendent de la beuh
M'appellent l'ancien — ça me va bien
On discutaille, parle de rien
Ces révoltés emprisonnés
Ces trafiquants emberlingués
Certains prennent les mots pour des fringues
Dont ils se parent comme des divas
S'empoulant dans des arabesques
Se cachant dans des mots de marque
Des mots cossus, des mots bourgeois
S'étouffant de leurs propres armes.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Que dirait Baudelaire, messieurs
Que dirait Baudelaire, mesdames
Que là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté ?
Que dirait-il donc l'insolent
D'être repris dans une pub ?
D'avion et de voyage
Lui a-t-on seulement demandé
Mais la belle affaire, il est mort
Et les absents ont toujours tort
Il n'avait qu'à rester en vie
Ce débauché, ce vil dandy
Alors tout est bon à prendre
Selon notre bon vouloir
Un jour cet homme est bon à pendre
Mais le suivant est jour de gloire.
Que dirait Baudelaire, mesdames
Que là tout n'est qu'ordre et beauté
Luxe calme et volupté ?
Que dirait-il donc l'insolent
D'être repris dans une pub ?
D'avion et de voyage
Lui a-t-on seulement demandé
Mais la belle affaire, il est mort
Et les absents ont toujours tort
Il n'avait qu'à rester en vie
Ce débauché, ce vil dandy
Alors tout est bon à prendre
Selon notre bon vouloir
Un jour cet homme est bon à pendre
Mais le suivant est jour de gloire.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Les gens en France sont très outrés
Surtout les blancs, ça c'est un fait
Quand je dis bite, les gens s'énervent
"Il a dit bite, c't'un terroriste !
"Qu'on le pende sans plus tarder
"Qu'on lui coupe la langue, les jarrets
"Qu'on l'interne, et le camisole
"Qu'on l'emprisonne et qu'on l'isole"
Ces braves gens, ces bien pensants
N'ont pas trop tort de me faire taire
Aujourd'hui bite, mais qui sait
Demain peut-être, ce sera couille.
Surtout les blancs, ça c'est un fait
Quand je dis bite, les gens s'énervent
"Il a dit bite, c't'un terroriste !
"Qu'on le pende sans plus tarder
"Qu'on lui coupe la langue, les jarrets
"Qu'on l'interne, et le camisole
"Qu'on l'emprisonne et qu'on l'isole"
Ces braves gens, ces bien pensants
N'ont pas trop tort de me faire taire
Aujourd'hui bite, mais qui sait
Demain peut-être, ce sera couille.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Mon cœur est une hémorroïde géante
Où toute la colère du monde
Vient s'échouer en déferlante
Vient déposer son suc immonde
Mon cœur est un chancre purulent
Où le saint foutre de dieu
Féconde l'amer chaland
Des dévots plus ou moins curieux
Mon cœur est une belle fistule
Un beau furoncle, une tumeur
Assaillie par le ridicule
Qui s'il ne tue compte ses heures
Enfin mon cœur est un anneau
Un anneau pour les gouverner tous
Tous ces agneaux et tous leurs maux
Un cœur qui vient à la rescousse.
Où toute la colère du monde
Vient s'échouer en déferlante
Vient déposer son suc immonde
Mon cœur est un chancre purulent
Où le saint foutre de dieu
Féconde l'amer chaland
Des dévots plus ou moins curieux
Mon cœur est une belle fistule
Un beau furoncle, une tumeur
Assaillie par le ridicule
Qui s'il ne tue compte ses heures
Enfin mon cœur est un anneau
Un anneau pour les gouverner tous
Tous ces agneaux et tous leurs maux
Un cœur qui vient à la rescousse.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
On s'était dit le premier réveillé réveille les autres
Oh Kevin
What you doin
Just wake up please
Just wake up
On s'était dit tu te souviens
On s'était dit on y croyait
L'assurance et la dérivée
Le cosinus et la 3D
Le premier qui finit Myst
Le logarithme dès la cinquième
Les algorithmes transcendantèmes
L'inondine courbique de l'écliptique anhydre
On s'était dit on y croyait
Que reste-t-il vingt ans après
Un monospace et une piscine
So just wake up body Kevin.
Oh Kevin
What you doin
Just wake up please
Just wake up
On s'était dit tu te souviens
On s'était dit on y croyait
L'assurance et la dérivée
Le cosinus et la 3D
Le premier qui finit Myst
Le logarithme dès la cinquième
Les algorithmes transcendantèmes
L'inondine courbique de l'écliptique anhydre
On s'était dit on y croyait
Que reste-t-il vingt ans après
Un monospace et une piscine
So just wake up body Kevin.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Dans la vie y'a les casse-pieds, les casse-couilles et les casse-têtes
Mais qu'est-ce qu'on appelle la vie exactement ?
La vie est-elle le vi, c'est-à-dire le oui
Le oui à une existence absurdement
La vie c'est dire oui alors
Sans vraiment savoir à quoi
Dire oui et oui encore
Sans vraiment savoir pourquoi
Se lever matin car oui
Avaler manger car oui
Dire bonjour car oui car oui
Et dire encore oui oui oui
Moi ma foi je suis pas contre
Mais pendant qu'on dodeline
Autant réfléchir tantôt
À pourquoi qu'on dit tant oui.
Mais qu'est-ce qu'on appelle la vie exactement ?
La vie est-elle le vi, c'est-à-dire le oui
Le oui à une existence absurdement
La vie c'est dire oui alors
Sans vraiment savoir à quoi
Dire oui et oui encore
Sans vraiment savoir pourquoi
Se lever matin car oui
Avaler manger car oui
Dire bonjour car oui car oui
Et dire encore oui oui oui
Moi ma foi je suis pas contre
Mais pendant qu'on dodeline
Autant réfléchir tantôt
À pourquoi qu'on dit tant oui.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je suis un communiste
Car moi je crois en Dieu
Ou bien plutôt en Christ
Quié monté dans les cieux
Je suis un communiste
Ben quoi je communie
Dans la maison du Christ
De mes péchés honnis
Tous les jours à la messe
Je prends l'eucharistie
Je lèche cet ostie
Je prends le corps du Christ
À défaut de son sang
Quié que pour le curé
Le sang est du vin blanc
Qui lave mes péchés.
Car moi je crois en Dieu
Ou bien plutôt en Christ
Quié monté dans les cieux
Je suis un communiste
Ben quoi je communie
Dans la maison du Christ
De mes péchés honnis
Tous les jours à la messe
Je prends l'eucharistie
Je lèche cet ostie
Je prends le corps du Christ
À défaut de son sang
Quié que pour le curé
Le sang est du vin blanc
Qui lave mes péchés.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je me souviens de cet homme
Qui avant de me couper la tête
Me disait l'air désolé
C'est pas ma faute, je fais que mon travail
Je me souviens de cette infirmière
Avant l'injection létale
Qui de son regard fuyant
Me disait c'est pas ma faute
Mais violer c'est pas très bien
Même si je le fus moi-même
Et tuer c'est mal aussi
Même si je le serai sans tarder
Je me souviens du croque-mort
Qui comptait ses billets
Puis je me souviens de plus rien après
C'est peut-être que j'y suis encore.
Qui avant de me couper la tête
Me disait l'air désolé
C'est pas ma faute, je fais que mon travail
Je me souviens de cette infirmière
Avant l'injection létale
Qui de son regard fuyant
Me disait c'est pas ma faute
Mais violer c'est pas très bien
Même si je le fus moi-même
Et tuer c'est mal aussi
Même si je le serai sans tarder
Je me souviens du croque-mort
Qui comptait ses billets
Puis je me souviens de plus rien après
C'est peut-être que j'y suis encore.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Je me souviens du pendu
Qui regardait l'air perdu
La jeune fille amusée
Qui regardait attentive
Je me souviens du pendu
Du bourreau intelligent
Qui faisait le nœud coulant
D'un sperme chaud et gluant
Quand la nonne ramassa
La douce fleurs du pendu
Elle en fit une potion
Un élixir de folie
Qui rendit fou le suivant
Qui tua de pauvres gens
On le pendit à son tour
Et la nonne guetta là.
Qui regardait l'air perdu
La jeune fille amusée
Qui regardait attentive
Je me souviens du pendu
Du bourreau intelligent
Qui faisait le nœud coulant
D'un sperme chaud et gluant
Quand la nonne ramassa
La douce fleurs du pendu
Elle en fit une potion
Un élixir de folie
Qui rendit fou le suivant
Qui tua de pauvres gens
On le pendit à son tour
Et la nonne guetta là.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
On donne le vaccin
On sonne le tocsin
Du virus affamé
D'un troupeau de damnés
Quand sonne le glaieul
De la mort de mon aïeule
Le corona le virus
A un bon goût de thé russe
Ô grand-mère tu es parterre
Relève-toi ma grand-maman
Reprends donc un peu ton air
Prends une tasse de thé vert
Grand-mamie prends ta piquouse
Prends ton shoot vaccinal
Si t'y passes t'inquiète pas
Tu rest'ras dans les annales.
On sonne le tocsin
Du virus affamé
D'un troupeau de damnés
Quand sonne le glaieul
De la mort de mon aïeule
Le corona le virus
A un bon goût de thé russe
Ô grand-mère tu es parterre
Relève-toi ma grand-maman
Reprends donc un peu ton air
Prends une tasse de thé vert
Grand-mamie prends ta piquouse
Prends ton shoot vaccinal
Si t'y passes t'inquiète pas
Tu rest'ras dans les annales.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Au secours ! À moi ! À ma vie !
Le virus me poursuit !
Je l'ai vu par la fenêtre
Je le vois qui là me guette
Je mets mon masque et respire
Y'a ma peau qui se transpire
Ça pourrait pas être plus pire
Tiens, il y a un tapir
J'ai pas compris si le vaccin
C'était pour pouvoir pas attraper cette maladie causée par le coronavirus et ses variants
Ou pour pouvoir aller au cinéma sans se faire refouler
Par les vigilants
Quand l'infirmière m'a planté
L'aiguille dans le bras
J'ai bandé comme un taré
Je sais toujours pas pourquoi.
Le virus me poursuit !
Je l'ai vu par la fenêtre
Je le vois qui là me guette
Je mets mon masque et respire
Y'a ma peau qui se transpire
Ça pourrait pas être plus pire
Tiens, il y a un tapir
J'ai pas compris si le vaccin
C'était pour pouvoir pas attraper cette maladie causée par le coronavirus et ses variants
Ou pour pouvoir aller au cinéma sans se faire refouler
Par les vigilants
Quand l'infirmière m'a planté
L'aiguille dans le bras
J'ai bandé comme un taré
Je sais toujours pas pourquoi.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le vaccin
Le vague sein
La tétine de l'aiguille
Sur qui mes yeux s'écarquillent
Ô je tète à ton téton
Le poison qui m'immunise
Avec un ou deux glaçons
Ça devient une gourmandise
D'adénovirus de chimpanzé sur cellule de rein d'embryon
Voilà bien un bon gueuleton
Ô j'aime sucer ton téton
Ô ma belleu aiguille creuse.
Le vague sein
La tétine de l'aiguille
Sur qui mes yeux s'écarquillent
Ô je tète à ton téton
Le poison qui m'immunise
Avec un ou deux glaçons
Ça devient une gourmandise
D'adénovirus de chimpanzé sur cellule de rein d'embryon
Voilà bien un bon gueuleton
Ô j'aime sucer ton téton
Ô ma belleu aiguille creuse.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'humanité a chaud
Car il fait beau et chaud
Elle a bien chaud aux fesses
Elle a failli partir
Avec le tiroir caisse
Elle expose son ire
De voleuse attrapée
Elle gueule comme un putois
Elle s'est tantôt drapée
D'une fausse indignée
Cache sa scélérat
"C'est la faute de l'autre !"
Chacun trouve son autre
Un autre approprié
Car il fait beau et chaud
Sur cette terre estro-pillée.
Car il fait beau et chaud
Elle a bien chaud aux fesses
Elle a failli partir
Avec le tiroir caisse
Elle expose son ire
De voleuse attrapée
Elle gueule comme un putois
Elle s'est tantôt drapée
D'une fausse indignée
Cache sa scélérat
"C'est la faute de l'autre !"
Chacun trouve son autre
Un autre approprié
Car il fait beau et chaud
Sur cette terre estro-pillée.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Qui cherche l'aventure
N'a pas tellement besoin
De prendre sa voiture
Et de partire loin
Qui cherche l'aventure
L'a pourtant sous les yeux
Dans la rue, au boulot
Ses voisins sont des dieux
Des dieux de ci-ces lieux
Des animaux sauvages
Armés pour le carnage
— Mais la terre est à eux !
À vous à moi à tous
Alors mangeons vaillants
Avant que l'on ne tousse
Pillons-là ardemment.
N'a pas tellement besoin
De prendre sa voiture
Et de partire loin
Qui cherche l'aventure
L'a pourtant sous les yeux
Dans la rue, au boulot
Ses voisins sont des dieux
Des dieux de ci-ces lieux
Des animaux sauvages
Armés pour le carnage
— Mais la terre est à eux !
À vous à moi à tous
Alors mangeons vaillants
Avant que l'on ne tousse
Pillons-là ardemment.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La terre est une vache
Une grosse vache à lait
D'un bon lait nourricier
L'on rit et elle fait meuh
Elle fait meuh c'est certain
Elle nous le doat bien
Elle fait bien meuh pour nous
Mais n'est-ce pas un tocsin ?
Ou bien le cri des seins
De ses grosses mamelles
Où nous sommes pendus
Mâles comme femelles
Où nous plantons nos crocs
De niards affamés
De spectres faméliques
De moutons décharnés.
Une grosse vache à lait
D'un bon lait nourricier
L'on rit et elle fait meuh
Elle fait meuh c'est certain
Elle nous le doat bien
Elle fait bien meuh pour nous
Mais n'est-ce pas un tocsin ?
Ou bien le cri des seins
De ses grosses mamelles
Où nous sommes pendus
Mâles comme femelles
Où nous plantons nos crocs
De niards affamés
De spectres faméliques
De moutons décharnés.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Mais qu'est-ce que la terre
N'est-ce pas finalement
Tout ce qui n'est pas soi
N'est-ce pas ce grand "Autre"
Cette chose qui n'est pas nous
Son voisin son jardin
Son prochain dirait l'autre
Cette chose dont nous sommes
L'arbitre de ses maux
Dans notre incarnation
Nous cherchons le pouvoir
Sur cette institution
Nous cherchons à agir
Avant que de comprendre
Nous cherchons à pouvoir
Avant que de savoir.
N'est-ce pas finalement
Tout ce qui n'est pas soi
N'est-ce pas ce grand "Autre"
Cette chose qui n'est pas nous
Son voisin son jardin
Son prochain dirait l'autre
Cette chose dont nous sommes
L'arbitre de ses maux
Dans notre incarnation
Nous cherchons le pouvoir
Sur cette institution
Nous cherchons à agir
Avant que de comprendre
Nous cherchons à pouvoir
Avant que de savoir.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Nous sommes des Saint Thomas
Mais bien plus pires encore
Car Thomas Saint ou non
A au moins vérifié
A au moins regardé
Le trou dedans ses mains
A au moins caressé
L'absence de cette chair
Avant de regarder
Dedans les yeux du maître
Avant que de comprendre
Son inculque méprise
Voyez-vous chers amis
Le problème est bien là
Méprise est pardonnable
Mais point n'est le mépris.
Mais bien plus pires encore
Car Thomas Saint ou non
A au moins vérifié
A au moins regardé
Le trou dedans ses mains
A au moins caressé
L'absence de cette chair
Avant de regarder
Dedans les yeux du maître
Avant que de comprendre
Son inculque méprise
Voyez-vous chers amis
Le problème est bien là
Méprise est pardonnable
Mais point n'est le mépris.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
"Nous ne voulons pas savoir !"
Répétons tous en chœur
Pas savoir qui nous sommes
Pas connaître ma faute
Ai-je donc endommagé ?
Ai-je donc nui à l'autre
Est-ce donc si important
Est-ce pour battre sa coulpe ?
Qu'est-ce que la connaissance ?
Est-ce donc de savoir ça
Mais d'oublier ceci ?
Et de comprendre Paul
Mais se moquer de Pierre ?
La conscience est un tout
S'il on fait une impasse
Ce tout devient un rien.
Répétons tous en chœur
Pas savoir qui nous sommes
Pas connaître ma faute
Ai-je donc endommagé ?
Ai-je donc nui à l'autre
Est-ce donc si important
Est-ce pour battre sa coulpe ?
Qu'est-ce que la connaissance ?
Est-ce donc de savoir ça
Mais d'oublier ceci ?
Et de comprendre Paul
Mais se moquer de Pierre ?
La conscience est un tout
S'il on fait une impasse
Ce tout devient un rien.
Dernière édition par ProfDeMaths le Dim 15 Aoû 2021 - 22:35, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Hier sur mon chemin
J'ai croisé Jésus-Christ
Aux yeux bien fatigués
Et à la barbe longue
Il m'a pas regardé
Mais je suis pas grand chose
Moins que la putain
Moins que l'adultère
Moins que la merde sous la sandale
Du samaritain à cheval
Ce crottin de chameau
Rempli de bonnes fibres
Moi j'aurais bien aimé
Croiser son regarder
Après tout fut un temps
Je le considérais.
J'ai croisé Jésus-Christ
Aux yeux bien fatigués
Et à la barbe longue
Il m'a pas regardé
Mais je suis pas grand chose
Moins que la putain
Moins que l'adultère
Moins que la merde sous la sandale
Du samaritain à cheval
Ce crottin de chameau
Rempli de bonnes fibres
Moi j'aurais bien aimé
Croiser son regarder
Après tout fut un temps
Je le considérais.
Dernière édition par ProfDeMaths le Dim 15 Aoû 2021 - 14:18, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Nom de dieu le rire d'une fille
Qui éclate sous le soleil
Dessus le brouhaha
Dessus les voix des mâles
Nom de dieu le rire d'une fille
Qui me tord les boyaux
Est un rire de reine
Qui impose sa loi
Qui distribue les cartes
Qui distribue les points
Qui fait le dominant
La pluie et le beau temps
Nom de dieu nom de dieu
Dommage que ce rire
Ce rire si puissant
Ne dure qu'un instant.
Qui éclate sous le soleil
Dessus le brouhaha
Dessus les voix des mâles
Nom de dieu le rire d'une fille
Qui me tord les boyaux
Est un rire de reine
Qui impose sa loi
Qui distribue les cartes
Qui distribue les points
Qui fait le dominant
La pluie et le beau temps
Nom de dieu nom de dieu
Dommage que ce rire
Ce rire si puissant
Ne dure qu'un instant.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Quand les gens me disent que je suis intelligent
Je suis intelligent
Quand les gens me disent que je suis bête
Je suis bête
Quand les gens me disent que je suis beau
Je suis beau
Quand les gens me disent que je suis laid
Je suis laid
Finalement je suis ce que les gens veulent
J'ai mis du temps à le comprendre
Ce qui veut dire que je ne suis pas très intelligent
Mais pas très bête non plus
Quant à la beauté physique
Puisque je ne vois personne
Que je suis mon seul ami
J'ai décidé d'être beau.
Je suis intelligent
Quand les gens me disent que je suis bête
Je suis bête
Quand les gens me disent que je suis beau
Je suis beau
Quand les gens me disent que je suis laid
Je suis laid
Finalement je suis ce que les gens veulent
J'ai mis du temps à le comprendre
Ce qui veut dire que je ne suis pas très intelligent
Mais pas très bête non plus
Quant à la beauté physique
Puisque je ne vois personne
Que je suis mon seul ami
J'ai décidé d'être beau.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Moi je suis thérapeute
Car j'aime soigner les gens
Je soigne les malades
Et même les bien portants
Je suis un médecin
Je veux aider le monde
Que les gens aillent bien
Et chantent dans une ronde
Je sais beaucoup de choses
De choses pour soigner
Pour soigner les scléroses
Scléroses et bras cassés
Mais bien plus que d'aider
C'est d'être indispensable
Ressentir le pouvoir
Sur tous ces pauvres gens.
Car j'aime soigner les gens
Je soigne les malades
Et même les bien portants
Je suis un médecin
Je veux aider le monde
Que les gens aillent bien
Et chantent dans une ronde
Je sais beaucoup de choses
De choses pour soigner
Pour soigner les scléroses
Scléroses et bras cassés
Mais bien plus que d'aider
C'est d'être indispensable
Ressentir le pouvoir
Sur tous ces pauvres gens.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
I am money monkey
I am your game, honey
I am your loss, loser
I am your pride, winner
I am money monster
I am your harsh winter
I am your sweet nightmare
If you are not aware
I am money far west
The beast and not the best
The fury of your sens
And the evanescence
I am nothing indeed
The matter of the death
Pride of stupidity
Of very emptiness.
I am your game, honey
I am your loss, loser
I am your pride, winner
I am money monster
I am your harsh winter
I am your sweet nightmare
If you are not aware
I am money far west
The beast and not the best
The fury of your sens
And the evanescence
I am nothing indeed
The matter of the death
Pride of stupidity
Of very emptiness.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Le pape se la pète
Il est fier comme un pape
Coiffé de son chapeau
Dans sa papamobile
Je préfère batman
Tout noir et tout vilain
Tout beau en caoutchouc
Dans sa batemobile
Le pape est tout en blanc
À qui n'existe pas
Voue un culte imbécile
Dans sa papamobile
Sa croyance immobile
En un dieu immobile
Je préfère batman
Et sa batemobile.
Il est fier comme un pape
Coiffé de son chapeau
Dans sa papamobile
Je préfère batman
Tout noir et tout vilain
Tout beau en caoutchouc
Dans sa batemobile
Le pape est tout en blanc
À qui n'existe pas
Voue un culte imbécile
Dans sa papamobile
Sa croyance immobile
En un dieu immobile
Je préfère batman
Et sa batemobile.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
J'ai connu deux amantes
En une seule saison
Deux belles amarantes
Qui de moi eurent raison
Deux belles amazones
Brunes de peau et de poils
Qui furent à mon aune
Dont je fus la vestale
Ces deux êtres suprêmes
Opposées dans leurs têtes
Avaient le grave défaut
De n'être qu'un seul être.
En une seule saison
Deux belles amarantes
Qui de moi eurent raison
Deux belles amazones
Brunes de peau et de poils
Qui furent à mon aune
Dont je fus la vestale
Ces deux êtres suprêmes
Opposées dans leurs têtes
Avaient le grave défaut
De n'être qu'un seul être.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Salut les zèbrounets
Depuis ma planète jaune
Je vous vois très inquiets
Quelle est votre inquiétude ?
Craignez-vous le virus ?
Avez-vous peur des russes ?
Craignez-vous les ricains
Qui se prennent pour quelqu'un ?
Avez-vous peur des autres
Des vilains des moqueurs
Avez-vous peur des guerres
De détruire la terre
Vous avez peur du noir
Peur de cet inconnu
Vous voir dans un miroir
Et vous retrouver nu.
Depuis ma planète jaune
Je vous vois très inquiets
Quelle est votre inquiétude ?
Craignez-vous le virus ?
Avez-vous peur des russes ?
Craignez-vous les ricains
Qui se prennent pour quelqu'un ?
Avez-vous peur des autres
Des vilains des moqueurs
Avez-vous peur des guerres
De détruire la terre
Vous avez peur du noir
Peur de cet inconnu
Vous voir dans un miroir
Et vous retrouver nu.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ma première année d'INSA
Maudite entre toutes
Par un crash commença
Et finit par une déroute
Le crash fut ma mère
Qui grilla un feu
Elle était bien en colère
Et moi à côté
La déroute ce fut mon père
Qui le dernier soir des DS
Alla au fond du garage
Pour se pendre au bout d'une corde
Cette année fut un désastre
Mais il y eu bien pire après
Ces cons de fil.le.s de bourges de merde
En furent ensuite l'acmé.
Maudite entre toutes
Par un crash commença
Et finit par une déroute
Le crash fut ma mère
Qui grilla un feu
Elle était bien en colère
Et moi à côté
La déroute ce fut mon père
Qui le dernier soir des DS
Alla au fond du garage
Pour se pendre au bout d'une corde
Cette année fut un désastre
Mais il y eu bien pire après
Ces cons de fil.le.s de bourges de merde
En furent ensuite l'acmé.
Dernière édition par ProfDeMaths le Lun 16 Aoû 2021 - 0:27, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Ces cons d'ingénieurs en herbe
Pédants entre tous
Ces fils à papa de leurs mères
Étaient un résumé
De notre élite fière d'elle
Des inventeurs de désastres
Des conceveurs destructeurs
Des constructeurs d'horribions
Qui aiment les maths pour le fric
Que rapportent les equations
Que fait bander l'argent
Ils en mettent plein leur fion
Sont très fiers de leur diplôme
Moi j'suis fier d'être un raté
Un raté 100% diplômé
Qui fait tache avec passion.
Pédants entre tous
Ces fils à papa de leurs mères
Étaient un résumé
De notre élite fière d'elle
Des inventeurs de désastres
Des conceveurs destructeurs
Des constructeurs d'horribions
Qui aiment les maths pour le fric
Que rapportent les equations
Que fait bander l'argent
Ils en mettent plein leur fion
Sont très fiers de leur diplôme
Moi j'suis fier d'être un raté
Un raté 100% diplômé
Qui fait tache avec passion.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
En 5e année devant le directeur
J'ai dit monsieur j'veux arrêter
Je suis trop nul ça m'fait trop peur
Je suis pas fait pour ce métier
Il m'a dit prenez trois semaines
Un ingénieur coûte 100000 francs
Vous verrez l'année prochaine
Pour faire le manquement
Alors j'ai pris trois semaines
Un médecin m'a fait un mot
J'étais tout seul j'étais mal
Plein d'angoisses et plein de peines
Après trois semaines j'ai repris
Un cursusse allégé
C'est vrai j'étais soulagé
J'allais faire queq'chose d'ma vie
Queq'chose c'est un bien grand mot
L'année suivante je finis
J'entrepris de commencer par rien
Ce me fut un très grand bien.
J'ai dit monsieur j'veux arrêter
Je suis trop nul ça m'fait trop peur
Je suis pas fait pour ce métier
Il m'a dit prenez trois semaines
Un ingénieur coûte 100000 francs
Vous verrez l'année prochaine
Pour faire le manquement
Alors j'ai pris trois semaines
Un médecin m'a fait un mot
J'étais tout seul j'étais mal
Plein d'angoisses et plein de peines
Après trois semaines j'ai repris
Un cursusse allégé
C'est vrai j'étais soulagé
J'allais faire queq'chose d'ma vie
Queq'chose c'est un bien grand mot
L'année suivante je finis
J'entrepris de commencer par rien
Ce me fut un très grand bien.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'infirmière comprehensive
Me dit que les étudiants
Sont gens très sensibles
Et souvent très stressés
Elle me dit "cela empire
D'années en année"
Je vous parle d'il y a 20 ans
Alors vous pensez aujourd'hui
Mon vieux copain Kévin
Qui lui a bien réussi
A quand même failli finir
Par devenir alcoolique
La cafet du campus
Avait une licence pour de la bière
Le jeudi soir c'était l'orgie
De ces élèves abrutis.
Me dit que les étudiants
Sont gens très sensibles
Et souvent très stressés
Elle me dit "cela empire
D'années en année"
Je vous parle d'il y a 20 ans
Alors vous pensez aujourd'hui
Mon vieux copain Kévin
Qui lui a bien réussi
A quand même failli finir
Par devenir alcoolique
La cafet du campus
Avait une licence pour de la bière
Le jeudi soir c'était l'orgie
De ces élèves abrutis.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Quand il m'est arrivé de croiser
Un gars qu'avait fait c't'école
Il me dit qu'il aimait bien
Bonne ambiance bon amusement
Question intellect
C'est pas non plus l'X
Les élèves se prennent au sérieux
Ont beaucoup d'ambitions
D'ambition professionnelle
Pour moi c'est du chinois
Pour nourrir l'effort de guerre
La machine sociétale
Qui est une arme létale
Ces ingénieurs marsiens
Très fiers d'un idiot savoir
Que justifie seul l'argent.
Un gars qu'avait fait c't'école
Il me dit qu'il aimait bien
Bonne ambiance bon amusement
Question intellect
C'est pas non plus l'X
Les élèves se prennent au sérieux
Ont beaucoup d'ambitions
D'ambition professionnelle
Pour moi c'est du chinois
Pour nourrir l'effort de guerre
La machine sociétale
Qui est une arme létale
Ces ingénieurs marsiens
Très fiers d'un idiot savoir
Que justifie seul l'argent.
Dernière édition par ProfDeMaths le Lun 16 Aoû 2021 - 2:42, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Bon dieu que j'ai détesté c't'école
J'l'ai même haïe je l'ai fuie
Je fonçais au CNP
Voir des films chinois
Ou d'Amérique du sud
J'allais au théâtre des fois
Voir de très bonnes pièces
Que j'comprenais même pas
L'ivresse du samedi soir
Avec un copain futé
On allait à l'abreuvoir
Ou au perroquet bourré
On a fini par m'convaincre
Que l'meilleur moyen d'la quitter
C'était d'être putain diplômé.
J'l'ai même haïe je l'ai fuie
Je fonçais au CNP
Voir des films chinois
Ou d'Amérique du sud
J'allais au théâtre des fois
Voir de très bonnes pièces
Que j'comprenais même pas
L'ivresse du samedi soir
Avec un copain futé
On allait à l'abreuvoir
Ou au perroquet bourré
On a fini par m'convaincre
Que l'meilleur moyen d'la quitter
C'était d'être putain diplômé.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
La première année ma fois
J'étais dans les 15%
En cinquième année ma fois
J'étais avant avant dernier
C'est un voyage comme un autre
De la tête jusqu'à la queue
C'est un naufrage comme un autre
Où vous êtes survivant
Bon dieu de shit de sexe troué
C'est bizarre d'y avoir été
Bon dieu de sexe de shit de shit
Il était temps que je la quitte.
J'étais dans les 15%
En cinquième année ma fois
J'étais avant avant dernier
C'est un voyage comme un autre
De la tête jusqu'à la queue
C'est un naufrage comme un autre
Où vous êtes survivant
Bon dieu de shit de sexe troué
C'est bizarre d'y avoir été
Bon dieu de sexe de shit de shit
Il était temps que je la quitte.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Aujourd'hui ces ingénieurs débiles
Sont terrifiés par le virus
Ils crient leurs grands dieux
Appellent leurs mères
Ils crient au feu les médecins
S'il vous plaît faîtes-nous un vaccin
Ou même dix ou douze
Faisez-nous plein de belles piquouzes
On veut des piquouzes de partouzes
Dans le nez les fesses l'épaule
Vu qu'au final on l'a dans l'cul
Dans notre anal quié bien tendu
Ces ingénieurs si fiers d'eux-mêmes
Pleurent comme des condamnés
Ô société sauvez nos âmes
Nos vies qu'on vous a sacrifiées.
Sont terrifiés par le virus
Ils crient leurs grands dieux
Appellent leurs mères
Ils crient au feu les médecins
S'il vous plaît faîtes-nous un vaccin
Ou même dix ou douze
Faisez-nous plein de belles piquouzes
On veut des piquouzes de partouzes
Dans le nez les fesses l'épaule
Vu qu'au final on l'a dans l'cul
Dans notre anal quié bien tendu
Ces ingénieurs si fiers d'eux-mêmes
Pleurent comme des condamnés
Ô société sauvez nos âmes
Nos vies qu'on vous a sacrifiées.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Une petite fleurs
Poussa dans mon jardin
Au milieu des glaïeuls
Au milieu du matin
Telle un roseau sans près
Telle une chicorée
Une belle églantine
De la rue Faventines
Une petite fleurs
Poussa sur mon chemin
Décora mon matin
D'un pétale de cellulose.
Poussa dans mon jardin
Au milieu des glaïeuls
Au milieu du matin
Telle un roseau sans près
Telle une chicorée
Une belle églantine
De la rue Faventines
Une petite fleurs
Poussa sur mon chemin
Décora mon matin
D'un pétale de cellulose.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Mon frère s'est foutu de moi
"Ah ah t'as redoublé !"
Ben oui tête de nœud et alors ?
Ceci dit il a pas tort
Si c'était au collège
Je l'aurais très mal vécu
Nom de dieu quelle pression
Tout ça pour apprendre rien
Enfin j'suis un ingrat
Toute expérience apprend
L'école est une expérience
L'école apprend
Au milieu de ce gâchis
Y'avait quand même deux trois trucs intéressants
2 profs pendant ces 12 ans
L'histoire géo m'ont appris
Que j'y comprenais rien
Mais que ça avait l'air bien
J'ai mis le temps mais petit à petit
Ça a fait son chemin, comme qui dirait
L'histoire c'est passionnant
C'est l'histoire de la connerie
Des peurs et des jalousies
De la fièvre du pouvoir
La géo c'est comment qu'on
Aime bien détruire la terre
Pour gagner tout plein d'oseille
Pour faire croire qu'on est pas cons [alors que si, mais bon].
"Ah ah t'as redoublé !"
Ben oui tête de nœud et alors ?
Ceci dit il a pas tort
Si c'était au collège
Je l'aurais très mal vécu
Nom de dieu quelle pression
Tout ça pour apprendre rien
Enfin j'suis un ingrat
Toute expérience apprend
L'école est une expérience
L'école apprend
Au milieu de ce gâchis
Y'avait quand même deux trois trucs intéressants
2 profs pendant ces 12 ans
L'histoire géo m'ont appris
Que j'y comprenais rien
Mais que ça avait l'air bien
J'ai mis le temps mais petit à petit
Ça a fait son chemin, comme qui dirait
L'histoire c'est passionnant
C'est l'histoire de la connerie
Des peurs et des jalousies
De la fièvre du pouvoir
La géo c'est comment qu'on
Aime bien détruire la terre
Pour gagner tout plein d'oseille
Pour faire croire qu'on est pas cons [alors que si, mais bon].
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Münch münch münch münch
Münch münch münch münch
Münch münch münch münch
Münch münch münch münch
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
666 666 666 666
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Münch münch münch münchh
Münch münch münch münchha
Mùnch münch münch münchhau
Münch münch münch münchhausen.
Münch münch münch münch
Münch münch münch münch
Münch münch münch münch
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
Humiliation humiliation humiliation humiliation
666 666 666 666
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Münch münch münch münchh
Münch münch münch münchha
Mùnch münch münch münchhau
Münch münch münch münchhausen.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
666
Syndrome de Münchhausen.
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
Humanité
Humiliation
666
Syndrome de Münchhausen.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'humanité est malade
L'humanité n'a pas le covid
L'humanité a le vide
Le syndrome de Münchhausen
L'humanité sait pas
Qu'elle s'est humiliée
Humiliée elle-même
Baron de Münchhausen
Ô maus ô haus
Ô Bauhaus
Humanité humilié
Syndrome du caprice
Syndrome de l'enfant
C'est pas moi ! C'est pas moi !
Syndrome du code barre
Du code barre en couille.
L'humanité n'a pas le covid
L'humanité a le vide
Le syndrome de Münchhausen
L'humanité sait pas
Qu'elle s'est humiliée
Humiliée elle-même
Baron de Münchhausen
Ô maus ô haus
Ô Bauhaus
Humanité humilié
Syndrome du caprice
Syndrome de l'enfant
C'est pas moi ! C'est pas moi !
Syndrome du code barre
Du code barre en couille.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
Débilité morfondée
Humanité humiliée
Endémie de bêtise
Bien trop de gourmandise
L'humanité est pliée
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
La bête se réveille
Mettra l'humanité à mort.
Humanité humiliée
Endémie de bêtise
Bien trop de gourmandise
L'humanité est pliée
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
Pas de rédemption
La bête se réveille
Mettra l'humanité à mort.
Invité- Invité
Re: Nos poèmes
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
Ô God !
Appelez-le Smith
L'humanité n'est pas en danger
L'humanité est le danger
L'humanité va mourir
Dans un râle imbécile.
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
L'humanité est le virus
Smith a raison
Ô God !
Appelez-le Smith
L'humanité n'est pas en danger
L'humanité est le danger
L'humanité va mourir
Dans un râle imbécile.
Invité- Invité
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