Présentation sur soir...

Bonnes pérégrinations !

Bon week end Em'

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Heureusement que les copines ont semé leurs intuitions sur mon passage.
Heureusement qu'on est l'année du dragon d'eau.
Heureusement que les cycles sont de 12 ans.
Heureusement.
Sous la pluie battante, je suis rentrée de chez ma mère.
Sous les larmes battantes, j'ai tenté la tête hors de l'eau.
Sous les coups de butoirs de mon fils, j'ai dit : c'est mon samedi, aussi.
Sous le coup de fil de ma tante, à 22H12, j'ai annulé mes billets : ma grand-mère est inondée.
Dans le tambour, je tourne et ne bouge plus.
Dans le tourbillon, je n'en finis pas d'être jamais essorée.
Dans l'oeil du cyclone, je suis contrainte à l'inertie.
Dedans.
J'insiste : je n'en finis plus de finir.
J'insiste : tant de finitions me mettent hors-champ.
J'insiste : non, je le jure, je ne suis pas perfectionniste, pas ici.
J'insiste. (Non, ça insiste sur moi.)
Ô, comme je suis obéissante...
Je suis vivante, toute pleine de l'honneur d'avoir vécu ma vie, quelle belle vie, putain, quelle belle vie. J'ai la chance de contempler vivante la fin de cette vie-là, de choisir moi-même mon oraison, putain, quelle chance, quelle belle chance. Je mets tout en ordre, pour le petit hé-rit-age. Je n'entends plus qu'un cri.
En vous souhaitant une bonne année du dragon d'eau noir(e).
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Ouf! Ca fait froid dans le dos ton texte Emilivole! Tu es ok?

Quels imprévus, ouh la la pas facile d'encaisser.
Obéissante, vraiment ? Nonnnnnn essaye pas de nous faire croire ça
Oui elle fait du bien l'année du dragon, ça bouge et c'est vivant un dragon, surtout oui ça bouge, décollage en cours, la check-list est pas finie mais on s'y attelle, décollage immédiat ... !
Et cette flotte, que d'eau, que d'eau

Ces eaux sont noires ; elles portent nos suies, nos crasses et tous nos sentiments faussés.
Les tourbillon d'écumes grises finissent par refluer.
Ils laissent derrière eux les débris de nos futiles constructions, nous rappelant ainsi notre vraie nature.

Il nous reste alors à nettoyer à l'eau claire ce qu'il reste et enfin, dans l'apaisement, à construire en vérité.

Cette tempête est nécessaire, elle est signe de renouveau.
Tiens bon, accroche-toi à nous.

On est tous là.

Après la pluie, la tempête : l' arc en ciel et le beau temps

Em', c'est une période difficile, tout a l'air d'accrocher, rien ne va comme tu voudrais, tes efforts semblent vains. J'ai connu ça il y a deux ans. Je voulais surtout que ça s'arrête, tellement c'était dur, tout le temps ou presque. Mais c'était le conflit interne qui se réveillait, qui me dépassait, qui me délivrait le message "réveille-toi", et quel réveil, quelle douleur...

Il y a des messages dans les événements "extérieurs", et pas forcément ceux qu'on voudrait entendre, parfois même surtout ceux qu'on voudrait ne pas entendre.

Ma solution a été de ne pas résister, m'accrocher, laisser faire, essayer de comprendre ce qui m'était dit.

Nous sommes là, si tu as besoin. A l'écoute, ou juste là.

Bon courage. Je crois comprendre à peu près l'état dans lequel tu te trouves. Essaye de te ménager malgré tout des moments, tant pis pour ta mère. Tant pis pour ta sœur. Tant pis. Prends des moments pour toi, dis-leur "débrouillez-vous toutes seules aujourd'hui, moi, j'en ai ma claque".

Et puis dans deux jours, trois jours, reprends "le collier"... Juste pour faire semblant d'être obéissante. Juste pour montrer que tu te soucies d'elles, que tu n'es pas l'insensible pour qui elles voudraient te faire passer.

Tu as le droit d'en avoir marre. Tu as le droit de vouloir du temps pour toi. Peut-être que je me plante grave dans mon analyse et mes conseils, mais dans tous les cas, ça peut pas faire de mal de le souligner : c'est ta vie.

///
Je suis, là, totalement en accord avec vous : je sais que c'est le grand nettoyage, mais Dieu que c'est dur.
Je m'accroche, vraiment, et désolée pour le flippe : je ne suis pas OK, mais vais pas me jeter dans la Seine... encore cette putain d'eau. Je vois vraiment ma vie défiler, tous les chapitres se clore, un à un, le seule énergie que j'ai dans la mise en oeuvre/forme, est exactement celle-là : faire place nette pour celui qui va reprendre le poste derrière moi. Quelqu'un comprend ça ? J'ai vraiment l'impression que la mort m'impose sa loi : le deuil et encore le deuil. Je sens que je me meurs, les yeux grands ouverts, à intellectualiser tout ce que je peux, mais je le vois. Je comprends ce qui se passe : une souffrance en remplace une autre, me montrant que celle d'aujourd'hui sera du passé demain, et ce n'est pas encore assez. C'est vrai, j'ai fait le voeu, et certainement, le travail est grand pour qu'il se réalise. Mais plus rien ne fonctionne comme avant, dans le moindre petit détail, c'est tellement fort. Hier, c'était tellement pesant, pressant : n'y va pas, n'y va pas. OK, OK, OK. Obéissante... parce que je change, je change vraiment, j'obéis aux nouvelles lois. Arrivée chez ma mère, j'avais mon badge bien accroché (brigade de protection des Z). 15 jours qu'elle n'avait pas vu son petit fils, et on trouve là une de ses 'amies' : désagréable, qui s'impose. Je n'ai pas fait de risettes, je n'ai pas cautionné ses implicites de merde - c'est mon fils qui a pris en charge leur désert, leur agressivité, 8 ans, il s'est mis en scène, leur a fait des blagues - , et je suis partie une heure. De retour, j'ai décliné le dîner, et j'ai rembarqué le petit. Suis restée en accord avec moi, mais quelle tristesse. C'est ça mon chagrin, être moi ? Ma détresse peinte sur le visage, ma mère n'a pas bougé. J'ai su que j'annulerai le voyage du lendemain avant même le coup de fil de ma tante, qui n'a été que la confirmation. Mon mec : tu annules ? J'envoie notre fils à la campagne. Pardon ? Lui : je suis épuisé, je ne peux plus. Intéressant : je continuais de prendre en charge. N'y va pas, n'y va pas. Et mon fils qui cogne. Un mouvement de recul, et un souvenir du dernier voyage tous les deux dans la famille : m'a fait une vie d'enfer, et est rentré frais comme un gardon, pendant que j'étais plus crevée qu'avant de partir. Non, je ne t'emmène pas. Je sens ma foudre bouillir, et je sens, le risque d'électrocution avec toute cette flotte. J'ai froid dans le dos, j'ai vraiment froid dans le dos. L'insécurité prend tellement corps... Le respect que ça me demande mobilise toutes mes ressources. J'essaierai de vous écrire mieux cette nuit.
Merci d'être là, je me dis ici pour ne pas mourir de solitude (de cette solitude toute particulière, faites de détails que vous comprenez).
Et vous êtes là, costauds, bien accrochés.
Alors c'est aussi ça que l'on fait ensemble, ben chapeau bas, zêtes des vrais alpinistes.
Merci, merci, merci.
///

Bonjour cher Emilivole. Je lis ton texte. Quel passage! Je lis d'autres aussi ici sur le site. Je vois dans ma vie avec les gens que je côtoie au jour le jour. J'en ai terminé un à la fin de la semaine et cette nuit c'était déjà reparti pour un autre tour. J'ai l'impression de dormir dans un champs de cigales ces temps tellement j'ai d'acouphènes. Donc, ce que j'en déduis, c'est qu'il y a un passage au niveau collectif et ça donne énormément de puissance au passage individuel. J'ai jamais vu un truc pareil! Et pourtant ça fait des années que j'observe ces phénomènes! Qui sait? On est peut-être des mutants! À ce rythme, je ne serais pas étonnée de me réveiller un matin avec la peau verte, des antennes sur la tête et des poils sous les pieds !
Je te souhaite une toute belle après-midi et à+!

Merci pour l'écho, tu as plus de recul dans le temps que moi : je 'pense' aussi que c'est collectif, et je 'pense' aussi que c'est très fort.

Ouf! C'est juste une horreur! Habituellement je peux faire preuve d'un certain stoïcisme mais là y'a des moments où je pourrais juste hurler! Et l'hypersensibilité. J'avais déjà la peau mince! Là j'en ai plus du tout! J'fume une cigarette et j'ai l'impression de m'être roulé la moquette! Même le comportement de mes chats varient! J'l'ai ai comme deux gardiens tout près dès que je me pose. C'est très curieux! Jamais vu un truc pareil!

On est dans les cinquante jours après Pâques, la pleine lune en ce moment, ça va peut-être se calmer bientot ?
Je t'envoie beaucoup de courage pour garder le cap dans la tempête, voiles au minimum.

Toutes les deux, vous avez 2 mois de ZC.
Vous ètes en plein cyclone.
Vous revisitez chaque moment, chaque compartiment de votre vie, chaque interlocuteur, chaque membre de la famille présente ou passée.

Un peu de patience, des petits pas, de la tendresse pour vous-même.
Petits, petits, tout petits gestes lents. Toute votre énergie passe dans votre tête, votre crâne est un micro onde à lui tout seul.

Patience, Prudence, Lenteur. Dans quelques heures cela va passer et vous allez remonter, peu à peu.
Surtout, surtout, écrivez nous en MP ou sur votre fil, ne laissez pas les idées vous ronger même si elles vous paraissent stupides.
De toutes les façons elles serviront à quelqu'un.
On est là, on est à votre service et ce n'est pas qu'on est gentils, c'est que d'autres l'ont fait pour nous.

Voiles au minimum...

Et Ours : vous êtes gentils, aussi...

Je reviens juste de mon camping, je viens de lire tout ça.

C'est un volcan, un accouchement, un tremblement de terre qui fabriquera une montagne...

Je voudrais mettre ma tenue de combat et vous rejoindre (badge protection des z), mais en même temps, combattre quoi? qui? Laissons le temps nous façonner, laissons les idées venir à nous, acceptons la douleur, et gâtons-nous au maximum.

La compréhension, la réconciliation, les fleurs recommencerons à pousser, peut-être mieux et plus forte qu'avant. Ces crises se font chez moi de plus en plus rares, mais seigneur que j'ai eu mal moi aussi, et vous m'avez tant manqués... J'espère que le fait de nous avoir avec vous, cela vous soulage déjà un peu plus. Vous êtes si fortes! Fortes comme des roses d'acier!

Ô merci Cathoo, tu me manquais, je me demandais où tu étais passée !!!

Rêves hallucinants cette nuit, première partie floue, deuxième tellement concrète, je peux pas le raconter, mais la fin, la fin :
derrière la maison, la grande maison magnifique, je décide de m'aventurer au lieu de retourner auprès des autres qui me mettent sur le mauvais chemin, et là, je découvre un domaine avec une enceinte, ma-gni-fi-que. Je m'approche, cherche à discerner les formes... c'est un CIMETIERE. Et je dis : Ah oui, ici les gens savent mourir.
Je me réveille ce matin, je descends, mon mec est en pleurs : Tout gris, un de nos chatons a disparu, et, et, une lettre des huissiers est arrivée....................... ya des matins comme ça. (qui a écrit hier que le chat/tigre était son totem, pas moi ! Pas moi !)
Je n'ai pas peur, j'ai eu peur cette semaine, comme ça, c'est fait. La vie est vraiment bien faite........................
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Bon, je vais sortir du forum pour un moment, c'est la meilleure chose à faire, parce que là, on atteint les limites du partageable. Je vous suivrais sur vos fils, sans alimenter le mien.
(Et vais préparer deux visites importantes à l'atelier la semaine prochaine, et une autre la semaine suivante... )

Et avant de sortir partager ça, qui m'a beaucoup parlé, sur l'année chinoise du Dragon d'Eau Noir, 2012 donc, et pas seulement parce que je suis dragon, là, sur mon fil et pas dans le salon :

"Selon le calendrier lunaire Chinois, le Dragon d'Eau arrive le 23 Janvier en exposant pleinement le principe Feng Shui 'Tout est en changement permanent'. Bien que l'élément naturel du Dragon soit le Bois, 2012 est associé à l'élément Eau, faisant de cette Année celle du Dragon d'Eau. Dans la théorie Chinoise des Cinq Éléments, l'Eau nourrit le Bois en alimentant la puissance et la force déjà effective du Dragon. L'élément Eau est associé à la spiritualité et le Bois à l'intuition, en promettant de lever les voiles spirituels et intuitifs et d'améliorer vos perceptions extra-sensorielles. La méditation ou autres pratiques qui approfondissent votre relation au monde Invisible contribueront considérablement à vous aider à rester calme, clair et connecté tout au long de cette année foisonnante de transformations intérieures et extérieures."
>> Changement permanent, spiritualité et intuition : rester calme et clair pendant la transformation (c'est mon essorage, avec votre aide si précieuse)
 
"Si vous n'avez pas déjà désencombré votre monde matériel et si vous ne vous êtes pas libéré de possessions excessives, et bien il est temps de le faire ! Ce même nettoyage est également essentiel dans votre corps, votre esprit et votre cœur. Créez de l'espace afin que le Dragon puisse atterrir en vous occupant de tous les domaines stagnants de votre vie. Les dons de cette année ne pourront être pleinement reçus que par ceux qui n'ont plus d'entraves. Plus vous vous serez allégé à tous les niveaux, mieux ce sera."
>> Nettoyer, trier, élaguer : créer de l'espace (concret, dans le coeur, le corps, l'esprit, les relations), s'occuper de tous les domaines stagnants de notre vie, c'est libérer les entraves au 'recevoir' (c'est mon travail de chaque instant à l'oeuvre, mon engagement)
 
"Le seul animal mythique des 12 signes de l'astrologie Chinoise, le Dragon est connu pour apporter le Paradis sur Terre et la réalisation des rêves. « Faites attention à ce que vous souhaitez, parce que vous allez le recevoir », est la phrase à se souvenir alors que les synchronicités se multiplient, donnant vie à tout ce pour quoi vous priez et à tout ce que vous souhaitez. Les visions que vous gardiez au plus profond de votre cœur, comme de faire l'expérience de la vie communautaire, une paix durable, l'illumination spirituelle ou la restauration de la Terre Mère, peuvent s'activer puissamment et comme par magie et se manifester 'juste devant vos yeux'. Et les changements qui correspondent à de telles manifestations peuvent se produire sous n'importe quelle forme ou taille, en soulignant l'imL'esprit magnanime du Dragon va avec une attitude pratique et pragmatique qui révèle simplement ce qui est. Ce n'est plus l'année des secrets d'aucune sorte. La vérité prévaudra alors que tout ce qui a été caché personnellement et collectivement sera exposé à la lumière. Cela va pouvoir produire quelques 'scènes' intéressantes dans le Théâtre de la vie."
>> Ici et maintenant, regarder ce qui est, j'ai basculé dans le présent. Et regarder mon rêve bien en face lui aussi.
 
"Avec les attributs amplifiés et mouvants du Bois et de l'Eau qui ouvrent la voie cette année, les rêves pourraient démarrer sans plate-forme stable en place. Le Feng Shui dit que les qualités des trois autres éléments – le Feu, la Terre et le Métal – peuvent équilibrer le Bois et l'Eau et vous aider à faire naître vos rêves à une existence saine. Aidez au bien-être émotionnel des personnes qui vous entourent, prenez le temps 'd'entretenir le feu' et de créer des relations chaleureuses et harmonieuses. Honorez chaque étape de vos processus physiques terrestres, ce qui vous donnera une base solide et qui vous gardera en équilibre. Maintenez votre clarté mentale en examinant vos pensées, en établissant des collaborations créatives et en affinant vos choix tout au long du chemin. Prendre en considération les cinq éléments peut élargir les voies de la synchronicité et vous aider à être au bon endroit avec les bonnes personnes au bon moment."
>> Pas à pas, dans l'entre-aide, j'ai fait ce que j'ai cru pour me sentir utile aussi aux autres, ici, et ailleurs. Et j'ai eu la chance de vous rencontrer.
 
"C'est l'année où vous pouvez mettre de la magie dans votre vie et la laisser resplendir. Considérez que vous pouvez envisager plus de merveilles chaque jour. Ouvrez-vous aux vastes royaumes de la guidance intérieure et à la communication extérieure avec tout ce 'qui' vous entoure. Passez autant de temps que possible à vous connecter aux vastes espaces naturels et à boire l'élixir de la Nature Mère omniprésente et majestueuse. Laissez le Dragon vous guider afin de relier le Paradis et la Terre dans votre vie ; puis passez les portails de la magie alors qu'ils vont s'ouvrir, et soyez prêt à être enchanté !"
>> Je sens les possibles très très présents, la magie là, toute proche et disponible, malgré les difficultés, je vis ce paradoxe. En pleine tempête, j'ai accès à ce qui est facile, même au plus grand des possibles, le fameux impossible.
 
"L'esprit magnanime du Dragon va avec une attitude pratique et pragmatique qui révèle simplement ce qui est. Ce n'est plus l'année des secrets d'aucune sorte. La vérité prévaudra alors que tout ce qui a été caché personnellement et collectivement sera exposé à la lumière. Cela va pouvoir produire quelques 'scènes' intéressantes dans le Théâtre de la vie."
>> J'ai réclamé la vérité, elle me vient toute crue, je la préfère à tous les mensonges, je l'assume.
 
Maintenant, je sors , sans oublier de vous dire que je vous aime, un ultimo abbraccio.

Comme on disait dans les cités d'or: Au revoir, à bientôt.

Spoiler:

tu parcours la terre, le ciel... tu recherches les cités d'or..



(toujours en lecture, et en pensée ! et en padmo !)

Vous avez l'air d'accueillir sa décision avec sérénité,
Cela me choque
Moi : non.
Je trouve qu'il y a danger, échec, effondrement, isolation, ......

Je ne remets pas en cause son libre arbitre, Je rage contre mon impuissance à aider ou soulager !

Est-ce qu'il n'y a pas des fois où il n'y a que dans la solitude que l'on peut surmonter ce qu'on ne peut comprendre ou réparer ou partager,.. juste le prendre à bras le corps, faire un pour dépasser ?

j'imagine simplement que c'est ce qu'Emilie sent... mais peut-etre n'est-ce pas ça en effet....... ..

Il y a la limite du partageable, et puis il y qu'on ne peut pas tout dire sur un espace public, et puis encore que certains passages doivent s'effectuer seul, dans ce qui appartient en propre à chacun.

La différence est dans le degré de solitude : la solitude subie, terrible, celle où il n'y a absolument personne. Et la solitude qui s'appuie sur des présences, des soutiens sur lesquels on peut compter quand le passage est trop difficile et demande un peu d'énergie extérieure pour être fait.

Nous sommes là.

@Carotte rose et @Eclaircie

Vous avez raison, sans doute.
Moi je vis les choses plus extérieurement.
Alors son absence et sa retraite me perturbe (pour rester poli) physiquement et ... bref je gamberge.

Sur que ce n'est ni facile ni marrant, Ours, de ne pouvoir aider directement. Je ne crois pas que les prières soient ton domaine (peut-être que je me trompe), mais pour moi c'est une façon de rester connecté et d'aider .
Tu peux aussi allumer un cierge .

Et puis... Elle n'est peut-être pas si seule que ça de l'autre côté de l'écran... Mais savoir qu'elle a du soutien ici l'aide sans aucun doute. Courage Emilievole ! :3

siamois93 a écrit:Sur que ce n'est ni facile ni marrant, Ours, de ne pouvoir aider directement. Je ne crois pas que les prières soient ton domaine (peut-être que je me trompe), mais pour moi c'est une façon de rester connecté et d'aider .
Tu peux aussi allumer un cierge .

Si tu peux t'y coller et l'y inclure, c'est volontiers. Moi ma ligne est en dérangement... trop d'orgueil.

Un petit bisous en passant, pour vous dire que je suis, et que vous êtes... comment dire...

discret et clandestin.



et puis

silencieux

yéééééé

Bonjour Emilievole. Je ne lis que maintenant la suite des évènements depuis mon dernier texte sur ton site.
Si tu me lis, je t'envois une toute belle pensée d'affection.
À Ours. Tes interventions me touchent beaucoup.

Ragazzi belli,

Me voici de retour, doucement, après ces quelques jours de mouvements divers, et divers.
Comme l'a dit la sagesse d'Eclaircie, ces moments ont été essentiels et possibles parce que je vous savais là, sur ce fil, en MP, en IRL, et en pensées... mais aussi délicats, par l'isolement, comme l'a dit Ours.
Merci, merci, merci, cette aventure avec vous est magnifique.


J'ai envie ce soir, de reprendre le fil, de nos conversations, à la découverte de chaque fil, en tirer le sens.
Ma mise à l'épreuve est loin d'être terminée, mais une énergie 'nouvelle', oui, vraiment entre guillemets tant elle m'est aussi très familière, est venue prendre sa place réclamée, à corps, à cri.
La carte de Kara a continué de me guider, elle et les Sept plumes de l'aigle.
Je peux de nouveau suivre mon instinct dans moins de lutte (dimanche, énorme colère, conflits intérieurs bruts, pour comprendre que j'étais poussée dehors : une journée faite de plusieurs rencontres décisives).


Je reprends cette vie que j'ai si longtemps menée dans la peur, et je ne sens plus la peur. Je sens le trouble, la gêne, la colère et la tristesse par endroits, mais je ne sens plus la peur. Je sens le choix, je sens la plénitude de l'instant, je 'revis' des moments que j'attendais de tout mon coeur, et, et, je découvre combien j'ai déjà eu la chance d'être heureuse, sans savoir à quel point ce bonheur là était le mien. Maintenant, je dois le défendre, le reconstruire, c'est subtile, mais très présent.

Renouer avec moi pose d'autres questions, d'autres problèmes à résoudre.

J'ai la chance de retrouver par moments la fatigue physique, tout comme l'absence de fatigue mentale, et de retrouver des moments de détente : énormes cadeaux.

J'ai décidé de déménager en septembre. J'ouvre plusieurs pistes, que je dois mener en même temps, technique de scanneuse assumée, et la bonne me montrera la voie : la petite campagne, à une heure de Paris, dans un lieu atypique, pour y organiser des choses aussi pour les autres, une bâtisse ou un atelier, une demeure ou un château, une usine ou... l'étranger, Bruxelles ou... New York. En interaction avec mon environnement, continuer ma route dans un lieu qui fait davantage sens. Je sens possible de louer, d'acheter, de recevoir, tout est envisageable si je me rapproche de mon centre et que je trouve comment le communiquer, c'est le plus difficile. Je l'ai déjà fait, je reconnais la chanson, mettre à jour les ressources inhibées, faire lien, faire sens, avec mon parcours autant qu'avec mon bagage, mon oeuvre.

J'ai décidé d'orienter aussi mon travail vers ce que est directement utile aux autres, de la même façon de scanneuse, tout en continuant mon parcours artistique. Pour l'entreprise, consulting, avec mon mari, et pour les particuliers, accompagnement de projets. Dans une forme bien à nous, l'hyper-poétique au service des autres, via la conception et l'éditions de petits objets par exemple, que nous pratiquons pour nous depuis des années.

Aussi, j'ai décidé de m'investir dans un projet collectif, qui reste à définir, sur lequel je ne m'appuierai pas de toutes mes forces, qui sera là avec le reste, dans la vie : une association atypique, ça c'est sûr, rayée, sans doute.

Pour mon petit, une grand-mère va sponsoriser son passage par CogitoZ, c'est de début.

Ma soeur est très présente, ma mère pas trop loin, mes tantes très actives dans le soutien concret, ainsi qu'un ami que nous avons en commun, qui nous a proposé une mise à plat très pragmatique qui sera un cadre précieux.

Mon atelier commence de ressembler à celui que je vois dans ma tête tous les matins, et je découvre : faire les choses à ma sauce est un besoin vital, ainsi, je vis vraiment mieux, en me réveillant chaque matin comme si une fée était passée la veille pour me faire ma vie rêvée des anges. Combien de fois, le regard des autres a déformé, sali ma démarche, combien de fois il a voulu se l'approprier en formules vaines et vaniteuses. Aujourd'hui je sais que je fais les choses pour moi, pas pour bien faire, plus pour me fondre ou me cacher, mais parce que j'en ai besoin. L'alchimie que demande un lieu pour que je m'y sente bien est lente et complexe, et me demande vraiment beaucoup de travail. Je le fais aujourdh'ui, en sachant que je pars dans 4 mois : raison de plus, j'ai besoin plus que jamais de me sentir chez moi, l'énergie et le temps que j'investis là n'est pas pour le lieu, il est pour moi.
J'ai abouti un premier round pour 13H, j'avancerai jusqu'au second, jeudi 19H, jusqu'à la visite professionnelle phare du 22. Ensuite, j'ai décidé d'enclencher le mode atelier ouvert jusqu'à fin juin, objectifs de rencontres et de ventes d'oeuvres conséquentes. Inscrire ça dans la durée, met les choses en place de fait : ça tire du côté de mon homme, ça plie et ça crisse, et pourtant, c'est tellement juste. Ce lieu est mon atelier, pas le sien, je l'ai obtenu au terme de 10 ans de démarche artistique, et administrative. Il sent, il sent que je suis poussée par mon instinct, et il déteste ça. C'est une information importante. Il tente de me détourner par mille ruses, et quand il échoue, et il suit le mouvement, comme si il devait inscrire d'abord en lui : je jure que j'ai tout fait pour faire autrement que de suivre cette sorcellerie. Il a des moments d'ouverture, puis 'rechute' dans l'agressivité, le déni.

La lecture zèbre a remis moults choses en perspectives, c'est une nouvelle lecture qui vient maintenant, comme celle du zèbre, là depuis toujours, qui cherchait à se dire. L'aventure zébresque me donne la force de la regarder, et d'apprendre à me mettre en accord avec elle, cette intuition démente, que dans mon tréfond, j'aime passionnément, farouchement.
J'ai tellement trébuché dans ma vie, me suis pris tellement de murs que de m'écouter est un défi : la nuance, si si si importante, est l'accord profond avec moi-même, la question n'est pas le quoi (ça je le fais depuis toujours), mais le comment. Avec douceur, respect, dignité pour moi-même et pour les autres, ah oui, c'est ça. Je ne sens plus ma conduite 'à risque', et laisse le risque là où il est, c'est à dire disponible partout et à tout moment.

Un abbracio forte cari angeli, au plaisir de vous lire.

Em'

Bravo!

Quel joie de te retrouver comme ça! Tu es admirable! Je ne croyais pas que tu serais aussi rapide.

Laisse toujours du temps à ton homme pour digérer à chaque étape, ça se placera plus facilement; il faut bien qu'il s'adapte un peu lui aussi.

Félicitation et re-bienvenue parmi nous! Sans peur!

Ha si, un peu de peur quand même: trop ça nous paralyse, trop peu ça nous empêche d'avoir les bons réflexes de survivant.

Au plaisir de te suivre dans les prochains cheminements.

Bonjour Emilievole ! Une magnifique journée à toi!

Salut les copines !!!
Hou, comme ça fait du bien vos mots doux du matin !!!
Aujourd'hui, j'vais faire un truc dingue : j'vais aller chez le coiffeur !!!!!
Et déjeuner avec ma petite soeur magnifique.
Mon Petit part pour trois jours à la campagne, yes !
Cathoo, je te rassure, quand je disais ne plus sentir la peur, ce n'était pas au sens de l'anesthésie de la tête brûlée, mais de la peur qui m'envahissait ces derniers mois, face aux difficultés, et la peur de ... moi. Moi qui fonctionnait selon des lois que je réprimais, jugeais, et ce doux mélange me rendait dingue. Cette peur diffuse, de bouger, de dire, d'aller, de ne pas aller, tu vois ?
Pour moi ça fait signe que justement, je me mets moins en danger. Mais tu vois, il suffit que je regarde ma coupe en ce moment et... j'ai peur !!! Bon, j'avoue, ça fait du bien de dire des conneries !!
Abbracci e una bella giornata a voi
Em'

hélicoptère

Exactement ça mais... en blond platine !!!!! Sans dec', j'ai l'impression d'être une des trois drôles de dames ce soir !!! Bon, ben j'ai plus qu'à trouver les deux autres ! comme tu dis !

Coucou Em',

Génial ! Quelles avancées spectaculaires !
Continue de t' écouter -Tu as toutes les ressources en Toi pour rebondir !!
Super la coupe de cheveux en blonde :
Abbracci

Coucou Em',

Génial ! Quelles avancées spectaculaires !
Continue de t' écouter -Tu as toutes les ressources en Toi pour rebondir !!
Super la coupe de cheveux en blonde :
Abbracci

Salut la belle !
Ô merci pour tes encouragements ! Je sens aussi une belle poussée, mais dois dire que je sens les difficultés très présentes aussi, une en particulier : mon mec me lâche, c'est évident, et c'est dur... Je cherche, je cherche, et je continue de renouer avec toutes ces 'petites' choses que j'aime tant, et qui sont... ma vie !
Abbraci !

Coucou La belle !


Garde confiance : il y a toujours des rebondissements positifs possibles de la part de ton mec !!! C' est peut être une question de temps !!
Garde ta boussole dans les turbulences !!!!! goutes et profites de toutes ces belles choses que tu aimes tant et qui sont ta vie : tout finira par décanter en positif en dépit des difficultés !!
Bon courage !

Abbraci !

Bonjour chère Emilievole à la nouvelle coiffure! Ton message ''in english'' sur mon fil m'a fait rire! J'espère que tu vas bien. Ton grand texte du 16 mai fait bon à lire. Tes morceaux se rassemblent. Peut-être pas toujours évident de se retrouver devant les faits dans un premier temps mais par la suite, c'est, à mon sens , toujours un grand soulagement. Je te souhaite une toute belle journée!

Sois simplement convaincue du réciproque.
Je me suis rendu compte ici, qu'au moment de mon premier et énorme passage à vide, j'ai appelé à l'aide. Les zèbres sont arrivés en moins de 15mn et 6 h00 après il avaient du être 30 à passer sur mon fil, dont un qui m'a fermement mais tendrement déplié et redressé et qui m'a donné la force de poursuivre. Je lui dois une partie de ma vie actuelle. J'aurais aimé l'embrasser, il est passé chez toi, normalement, mais le calendrier en a décidé autrement.
Tout cela pour te dire que quand tu t'es mise en retrait pudiquement, c'est peut-être 30 personnes qui se sont penchés sur toi, même silencieusement, en guettant ton retour, et qui ont des pensées particulière pour toi.

Tâches communautaires ce matin et photos d'orchidées (sans majuscule et avec un S, sinon cela va prêter à confusion... ) cet après midi. Je vais étrenner mon appareil photo. Je me suis ré-équipé après 25 ans d'aveuglement, encore un signe, si l'on veut le lire ainsi. La puriste va crier : Canon G12, compact débrayable.

Je t'embrasse

Bonjour Emilievole!
Et Ours, j't'ai vu!
Et à Emilievole de nouveau: je te dis la même chose que Ours pour la présence des zèbres.

@ours
Beau... tellement beau ce que tu (d)écris.
@ tous
Je prends forme, et goût, un peu plus tous les jours.
Je travaille beaucoup à cette journée de mardi, décisive. Qui sera belle, parce désirée, et bien préparée (6 mois, c'est pas mal comme délais pour un jour, non ?!!)
Je reprends chaque parcelle laissée en friche. ça a vraiment du bon la friche : j'ai plus de recul, garde, ou évacue, organise, pour en tirer l'essentiel. C'est une succession de strates à harmoniser.
Les étapes de construction, fonctionnent comme des renforts.
1 Me reconnaître dans ma maison (pratique, belle, propre)
2 Me reconnaître dans mon organisation de travail (ref, books, cartes, emballages, etc)
3 Me reconnaître dans mon oeuvre (dans l'ensemble, dans le détail)
4 Laisser faire
Vous zèbres, êtes venus dans les entre-deux de tout ça, et ces moments avec vous n'ont pas baptisé le lieu, mais sa progression.
Si vous saviez, on revient de tellement loin ! Ne serait-ce que de pouvoir ouvrir sa porte...
Mon amie photographe est passée cette après-midi, on a bien avancé ensemble.
Je me sens dimanche soir, heureusement nous ne sommes que samedi !!!
L'atelier n'est pas une galerie, l'atelier n'est pas une exposition, il ne s'ouvre pas de lui-même, jamais, il attend mes indices.
J'ai mis à recharger l'Ipod ce soir : je sens que la musique et la danse ne vont pas tarder à revenir. Et le reste, et le reste...
Je n'ai plus d'angoisses au réveil, plus au coucher. J'entre dans ma vie le matin, et découvre les surprises que je m'étais fabriquées la veille que j'avais oubliées dans la nuit. Un cadeau.
Et ces trois jours sans enfant nous ont mis ensemble avec mon homme, et 'ça' s'est dit, ça s'est parlé. J'ai été très directe, mes idées étaient nettes, claires, parfois tranchantes. Il devait savoir : le dernier noeud est là, entre nous. J'ai joué la carte de la zébritude, en conduite de nuit, à tâtons, je lui ai parlé de lui. Faire avec le paradoxe, l'admettre, puis le sublimer... tout un programme !! Sa réponse en image, comme d'hab' : il m'a initié à Luther, une série londonienne en VO... un vrai rendez-vous de zèbres ! J'en dis pas plus, pour ceux qui y jetteraient un oeil, mais prendrait bien garde de le récupérer : c'est violent, et c'est pas peu dire !
Et, et, un drôle d'animal m'a proposé un challenge artistique que j'ai adoré. Et que je vais devoir relever en l'événement avec Pyg-pyg le 7 juin, et ce mardi 22... !
Un petit chat est parti aujourd'hui, vers une jolie maison, adopté : grosses grosses larmes de mon fils.
Je vais laisser un peut de temps pour les suivants, pouvoir respirer.
Je ne suis pas encore à jour de mes messages, et contingences, ne m'en tenez pas rigueur, j'avance encore doucement.
J'ai beaucoup pensé à vous lors d'une discussion avec un intégriste de psychanalyse freudienne hier soir : "Mais on est TOUS pareils ! Mais bien sûr ! Tout n'est qu'une histoire de libido, mais oui !" "Emilie tu es mûre pour véritablement entrer en analyse, blablabla..." Merci, merci, mais en fait, ben... ben ça va. Enfin, dans le fond, ça va même mieux que jamais. Et j'ai pas du tout envie d'aller voir un psy, trop contente d'avoir largué le dernier qui a bien failli nous tuer à vouloir nous aider coûte que coûte en nous collant dessus ses préjugés et analyses bornées !!! Bref, j'ai replanté qq graines de zébritude parci parla dans la conversation, on verra bien !
Abbracci belli
Em'

PS :@ours, j'ai oublié de te dire, en photo comme ailleurs, je suis tout sauf une puriste : et vive les compacts débrayables !!!

Je lis. Avec attention.

Je lis avec dans le fond des yeux l'espace intime que tu nous as ouvert et dans lequel tu nous as accueillis.
J'avais ce soir là l'impression d'entrer dans ton coeur et de sentir celui-ci battre.
J'avais pas envie de déranger, j'ai parlé doucement...

Et, presque au milieu du coeur, posé simplement dans ces grandes cartons noirs, comme la chambre noire d'une confiance à développer, sobrement, ton art, tes oeuvres.

Se pencher sur ces images, c'était comme plonger dans un espace dans l'espace.
Comme ressentir les gouttes sur les vitres, avoir froid avec le givre, chaud avec la buée... ressentir le sourire intérieur du résultat obtenu.
Ou voyager immensément sur quelques millimètres de sculptures touristiques ou sur des images d'images. Avec des énigmes partout. Pour mieux en rire encore.

Puis... autre espace, la table, le carré de nous, et le disparate de nos êtres en écho au disparate de cette nourriture. Liberté.
Parfois des panneaux "attention, non, là, on ne peut pas aller, pas parce que je ne fais pas confiance, mais par pudeur".
Touché.

De voir ton énergie m'apparaître peu à peu. Comprendre la place des sourires, des regards que tu poses sur les autres, et sur toi même. Sentir et ressentir.
L'impression d'un cylindre qui fonce droit devant comme un train fou mais sûr qu'il doit avancer, qu'il peut avancer et qui se révèle à lui-même, peu à peu, par son avancée même.
L'impression que ce cylindre est entouré, surmonté, suivi et précédé de milliers d'objets. Limitants par leur inertie propre, ils se rangent pourtant derrière le cylindre en mouvement, comme l'eau est entraînée à l'arrière des bateaux.

La place... l'atelier, ce coeur, est une succession de places choisies pour les choses qui doivent l'habiter.
Comme en écho, l'atelier et ce que tu écris de ta vie. Trouver la place des choses, la quantité d'air juste nécessaire entre elles.
Une place même pas immuable. Mais juste.

Et tu es le battement même de ce coeur.



J'ai souri en lisant ton post de ce soir.
C'est le post d'un coeur chaud, animé et vivant.

@Passeur
Merci d'avoir mis les mots sur ce que j'ai aussi ressenti mardi dernier.

@Emilie
Je me méfie comme de la peste de ces manipulateurs de vie. Après tout, notre histoire nourrit nos émotions qui à leur tour nourrissent notre vie. C'est peut-être bien de savoir ce qui est au départ de cette chaîne écologique, mais cela donne-t-il la force de vivre ? la force d'aimer ? J'ai pour ces gens l'image de ces médecins qui nous font mourir en bonne santé. Bien sur, tout n'est pas à rejeter en bloc, il y a certainement des cas où les blocages sont tels qu'il faut recourrir au "serrurier". Mais....

Bonjour Emilievole. Que je suis contente pour toi!!!