[Parental advisor - Interdit aux -18 ans] Présentation musicale

Voila, six heures moins un quart, je me réveille.
Je sais ou je suis.
Je sais comment s'est passée la soirée.
Je souris.
Je me gratte le sexe, mes testicules sont là, tout est bien.
Puis le bipède humain que je suis, je se dresse.
Machinalement j'ouvre un frigo qui n'est pas le miens. Dedans il y a des fraises sauvages. Elles sont sucrées et juteuses à souhait, j'aime.
Le soleil brille sur l'extérieur. Là chez lui, il fait sombre, les volets ne sont pas levés et je sais qu'il dort encore. Petit prince.
On s'est moqué de lui un jour en Aquitaine. Sur un camion un gogo avait peint 'le petit prince' et il nous avait dit 'je connais ce dessin-animé' en voyant cette image.
On avait rigolé avec lui, et aussi soyons honnêtes, on avait rigolé de lui...
Mais là, chez lui, à cinq heures cinquante minutes du matin, je me sens bien.

Et voyant des lapins gambader dans son jardin, je pense à elle.
A notre discussion sans sens d'hier.
Je me rends compte de mes bêtises.
De mes peurs que je me permet injustement de poser sur elle.
Et qu'Elle est belle, qu'elle l'Est.
Nos nuits, nos draps relevés, j'y pense en appuyant sur la machine pour me préparer un expresso.
Et les lapins ne sont plus des lapins mais des lièvres... et le petit Prince qui dort en haut n'est plus un petit Prince mais il est David... et Elle, elle Est elle et je souris en me disant que oui, on peut s’engueuler et s'aimer.

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Voyez comment je m'amuse des trames narratives, je reviens chez David. Il dort. Sa fille dort aussi.
Oh sa fille, comme l'on dit dans ma région, ou en province, 'un bout de choux...'
Un bout de choux... pitoyable comme expression...
Ça pue du choux quand on le cuit pour le mettre en bouche !!!
Et sa fille sent tout sauf de la merde. Elle est à son image, chiante et douce. Un petit être qui se bat avec papa et qui tente de s’amarrer à maman.
Marianne n'est pas là et David dort seul ce soir.
Il m'a prêté un des divans du salon pour que je puisse dormir chez lui. Il y a cinq heures, il m'a déposé à la gare de Caudry et en cet instant ou je tape ces mots, je suis à la fois dans le bus qui m'emmènera à Cambrai tout comme je suis à la bibliothèque universitaire de Dunkerque.

Marianne et David se sont rencontrés dans un camps de vacances. Ils étaient animateurs, ils sont devenus amants et maintenant, parents. Et je les aime ces gens. Ils sont beaux dans leurs imperfections. Mais ils sont. Ils vivent. Et je n'échangerai pas un David pour vous que je ne connais pas. Marianne dort à Valenciennes chez une amie. Elle est éducatrice. Vie quotidienne. Hier soir, devant un soporifique match de foot, chez eux la télé est toujours allumée mais cela ne me dérange pas, il me disait que Marianne était chiante. Et je lui ai dis, 'oui', mais c'est cela qui est cool. Elle est chiante et tu aimes cela. Ton patron, ton collègue qui te fait chier, tu le démontes. Il me parle d'E*****, une collègue qui lui pompe le mou au taff, me dit comment il l'a méprise, j'opine du chef.

Quais de gare. Des gens, des vélos et pas de trains. Il viendra. Paraît qu'il y a gréve.
J'ai plutôt envie de crier sur le pantin, les pantins uniformisés, pourquoi vous ne faites pas grève V O U S !!!
On regarde les autres, et les autres n'ont pas comme moi le cœur dans le coma. Putain, qu'est ce qui ne va pas chez moi...
Alors je respire, m'allume un clope et sais qu'un train passera. Que ce train me minera là ou je dois aller.
En fait, quand les gens râlent pour la grève, qu'ils ne peuvent pas aller bosser, ils râlent contre eux, contre eux.
Si leur travail est si important que cela, qu'ils y dorment. Qu'ils y vivent et y mangent au travail !!!
Mais non, ils râlent car cette sur cette rame de train où ils galèrent, ils sentent leur aliénation... Pourquoi je vais bosser ? Pour pouvoir vivre... Et là, pourquoi ils me bloquent, pour pouvoir vivre. Faire grève, dire non est très excitant. Et le sentiment de vie est puissant quand on dit non.
Que l'on me comprenne, j’exècre les contrôleurs de trains.
Ces casquéttés composteurs ticketaires chroniques...
Alors l'arrêt de leur travail, le non passage de trains... cure, j'en ai cure.
Je n'ai pas à gagner ma vie moi, je l'ai déjà... Qu'on y médite...

EmiM a écrit:The moment de Kenny G, c'est pour trouver le point G au bon moment ?

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Désolé de vous déranger dans vos trucs dégueux,
mais vous z'auriez pas vu ma femme ?

@c'est nous
Suis bien désolée que tu n'es pas de trucs dégueux avec ta femme... Parce qu'au moins tu saurais où qu'elle est...   
Donc non,, je sais pas où qu'elle est... 
Vérifie chez tes amis et chez tes ennemis, elle ne peut être que chez l'un ou chez l'autre...

@ uchienne : ta meuf elle est dans son slip !

La mienne de femme, elle s'emmerde... constamment... je suis un mauvais coup.
Bon elle est sentimentale, mais ce n'est pas une excuse.

Bonnes vacances...

Introspection.
Personne n'est dans ma tête et personne ne peut l'être.
Personne ne peut me permettre d'aller dans la sienne.
J'ai réalisé que je désirai vivre sans contraintes, physiques ou morales et que les seules contraintes auxquelles j'étais confronté étaient celles que je me fixais.
Celles ou consciemment ou inconsciemment je m'enlisais.
Celles que je voyais et définissais comme contraintes.
Les mots sont des vecteurs qui permettent d'échanger avec l'autre mais ils n'ont pas la même signification pour l'un et l'autre. On appelle cela l’inter-subjectivité...

Parler d'intersubjectivité revient à signifier que l'expérience humaine n'est pas celle d'un être isolé, coupé du monde et des autres, mais celle d'un être en rapport avec d'autres.
La méconnaissance de ce fait est, selon l'analyse phénoménologique, la grande erreur de Descartes. En faisant du sujet pensant, de la subjectivité, le point de départ de toute expérience, Descartes ne peut être certain que de sa propre existence. Les autres et les choses n'ont pas plus de réalité que les images des rêves. L'idéalisme cartésien a  pour conséquence le solipsisme.
Or, affirment les phénoménologues, ce qui est au principe de toute expérience possible, ce n'est pas un sujet solitaire, c'est la communication des consciences.
Chaque conscience reconnaît l'existence d'autres consciences de manière immédiate dans « un sentiment originaire de coexistence » selon la définition que Husserl donne de l'intersubjectivité.

Il s'ensuit que notre expérience est :
D'une part, celle d'un être pour qui l'existence d'autrui est l'objet d'une certitude immédiate, préréflexive. Il est faux de prétendre qu'il faille passer par un raisonnement par analogie pour s'assurer de l'existence d'autres consciences.

D'autre part, celle d'un être dont le rapport à soi, au monde, à la vérité est toujours déjà médiatisé par les autres. Il n'est pas vrai que le sujet pensant soit un sujet originaire. Descartes méconnaît qu'il a eu besoin des autres pour apprendre à parler et à penser et on ne souligne pas assez qu'il ne s'atteint pas lui-même dans une absolue solitude. Il a besoin de Dieu, fût-il un dieu trompeur, pour s'assurer de sa propre existence. Or n'est-il pas permis de voir en Dieu, l'autre absolutisé ?

On est malheureusement pas des robots... La vérité est toujours médiatisé par les autres...

Si je dis un mot, pris au hasard à un autre, il aura le concept en tête, en comprendra l'essence, mais il ne verra pas les variation que j'y apporte.
Quand on s'enferme dans ce schéma de pensée, on ne parle plus, on est paralysé. On a peur.
Et j'ai peur.
Peur de ma communication imparfaite.
Peur de voir que pour l'autre sa communication est toujours parfaite.
Peur de cette non remise en question permanente qui permet à des êtres faits comme moi de chair et de sang de ne pas douter...
Peur.

Introspection.
En ce mois de juillet j'ai rencontré beaucoup de Z, un peu partout sur le territoire de France.
Et si il y en a un seul dont je me permettrai de parler, c'est Fata.
J'envie Fata.
Pas par jalousie ou concupiscence.
Non, pour son insouciance affichée en société. Par sa personne marquée par la vie, et je ne parle pas de son strabisme Sartrien, par son être fait de chair et de sang qui dans le moment

Voila ce que je veux être.
Une personne qui ne soit plus en lutte avec elle même.
Une personne pour qui l’intersubjectivité du monde ne serait plus un problème.
La solution, que je vois chez beaucoup de Z, vivre seul.
Cette solution ne me plaît pas car je me considère comme étant un animal par nature social.
Alors je compose avec mon existence et les vôtres pour arriver à un équilibre.
J'ai 36 ans, j'ai vu et fais des choses merveilleuses, je n'ai pas terminé.
Il m'en reste au moins 30 à vivre.
Comme je n'ai pas envie de mourir, j’espère bien faire de ce temps des choses F O R M I D A B L E S .
Et cela, en lien et relation avec ma propre intersubjectivté.

Nota bena, ce passage de Blade Runner m'a toujours fait pleurer...
"I've seen things you people wouldn't believe. Attack ships on fire off the shoulder of Orion. I watched c-beams glitter in the dark near the Tannhäuser Gate. All those moments will be lost in time, like tears in rain. Time to die."

et moi je pue du cul ??

Mis En Pate Ugly Brat a écrit:
Introspection.
Personne n'est dans ma tête et personne ne peut l'être.
Personne ne peut me permettre d'aller dans la sienne.
J'ai réalisé que je désirai vivre sans contraintes, physiques ou morales et que les seules contraintes auxquelles j'étais confronté étaient celles que je me fixais.
Celles ou consciemment ou inconsciemment je m'enlisais.
Celles que je voyais et définissais comme contraintes.
Les mots sont des vecteurs qui permettent d'échanger avec l'autre mais ils n'ont pas la même signification pour l'un et l'autre. On appelle cela l’inter-subjectivité...

ah. heu. Courage !

@Mepu
En ce moment j'ai peur, en ce moment je lutte, je découvre ce post de mardi et je suis heureuse... Si heureuse de te lire, de te voir clair, de te sentir volontaire de t'élever...
J'aimerai tant que tu transpires ces mots, si bien dits, si bien écrits... Pourquoi n'entends-tu pas, pourquoi ne reconnais-tu pas ton expression ? Elle est si vraie, si juste, toujours à ton image, elle n'a aucun besoin d'être transformée, elle est déjà parfaite... N-y a-t-il que toi, qui en doute ?
Fais-toi confiance...
Les gens qui vont au bout d'eux même, ne sont pas des personnes qui ne doutent pas, mais des personnes qui ne sont pas paralysés par le doute et qui vivent juste l'expérience d'aller au bout d'eux mêmes...
On m'a souvent dit que je ne doutais pas, mais cela est la perception de l'autre et non la réalité... Ce n'est pas parce que je m'affirme haut et fort que je ne doute pas, ce n'est pas parce que je fonce, que je ne doute pas, ce n'est pas parce que j'assume mes travers que je ne doute pas... Je doute, et peut être même tout le temps... Mais j'ai le choix de douter et d'hésiter indéfiniment, ou j'ai le choix de décider, de faire un choix, de m'y tenir et d'agir... Le doute est nécessaire pour mesurer le risque, l'envie, la peur, le courage, la motivation, il est souvent à la hauteur de notre volonté de réussir, ou de notre peur d’échouer, mais il ne doit jamais être un frein, un obstacle. Si on lui donne ce pouvoir, alors il peut devenir paralysant... Et si l'immobilisme nous gagne, alors il sera de plus en plus difficile de se mettre en mouvement, une fois que l'on est confortablement installé dans l'attente.
Le doute sert à prendre conscience de nos envies/peurs, une fois la prise de conscience faite, nous sommes sensés y voir plus clair et non hésiter davantage... Si la confusion grandit au lieu de s’éclaircir, c'est que notre esprit/mental nous joue des tours... Ce que le doute nous apprend, c'est de sentir le choix/La direction JUSTE (celle qui nous permet d'être NOUS)... Si le doute nous éloigne de nous, il ne s'agit plus de doutes mais de PEURS....
La perception de l'autre n'est pas faite pour déformer la tienne, mais pour exprimer la sienne...Quand l'autre s'exprime, il ne faut pas se sentir être remis en question, il faut juste admettre ce qu'il entend et comprend et se demander si l'on souhaite entrer ou non en communication avec l'autre... Si oui, la communication consiste à créer des passerelles d'ententes avec un respect mutuel... Si non, il faut exprimer la non volonté d'échanges avec autrui...
Mais vouloir communiquer sans avoir de respect pour la perception d'autrui, est le meilleur moyen d'être dans l'incommunication...
Sommes-nous capable de tout entendre ? de tout dire ?
Pour l'être, la confiance et l'amour sont indispensables...
La confiance pour ne pas avoir peur d'être rejeté, lorsque l'on parle, L'amour pour pouvoir s'accueillir et accueillir lorsqu'on entend des choses qui peuvent nous déplaire...

 


Certains trouveront ça inapproprié, mais bon. Il y a le corps de texte (et pas les détails hein !   ) qui m'est venu à l'esprit en lisant ce qui précède...Et cette voix qui monte, monte, jusqu'à, j'ose le mot, une communion...

Je t'aime Ugly. J'aime ta vérité ici donnée. C'est ça que j'attends de mes interlocuteurs, non pas qu'ils disent amen à tout, mais qu'ils se disent.  C'est essentiel.

qui dans le moment

... Oui ?  

Et si la vidéo surprend ou choque, alors il faut passer à la deuxième...Le propos est cette fois adapté.

Ne le répétez   pas, je vous adore !

Je pense pouvoir dire aisément que c'est réciproque ! Mais chuuuuttt !!!! c'est un secret...   

Mazette le beau navatar !

"Mon truc en plumes, plumes de zoiseaux de paon...

Bon, gamin, je sens que je vais te faire chier, tant pis pour toi.
D'abord parce que je vous aime bien tous les deux.
Ensuite parce que, sans connaitre le détail, je comprend très bien ce que tu écris. Je comprend aussi très bien que tu n'avais pas d'autre solution. Je comprend ta réaction et elle ne me surprend pas. Je comprend qu'on puisse s'infliger un suicide amoureux pour se protéger d'un suicide tout court.

Je t'avais dit que j'allais te faire chier, alors c'est parti : tu es quelqu'un de bien, mon gamin.

Dans un couple, c'est 50-50.

Suicide amoureux.
Marrant comme concept mais tu m'es dans le mille Émile.
Et comme Emile lit, je vais développer ma pensée.
C'est comme une guitare a 5 mains...


Je ne suis que l'ombre de mon ombre.
Et qui est mon ombre ombre (à lire en espagnol)...
Mon ombre est ma vie passée, mon passé.
J'ai 36 ans à noël, j'ai été marié, j'ai divorcé, j'ai un enfant, une maison, des voyages plein la tête, j'ai connu plein de femmes, un(e) chat(e) grise, des gens qui dans mon entourage m'admire... etc, etc, etc, cacahouètes...

On me dit troubadour, il paraît que mon comportement est normal... que je suis ce que je suis.
Hors j'ai mal à être ce que je suis.
J'aimerai être plus.
Un peux comme ci la lune se mettait à rêver du soleil.
Fatigué je suis, j'ai besoin de repos...



Un jour l'âme n'existait pas, l'esprit non plus, quant à la conscience, nul n'y avait jamais pensé, mais où était, d'ailleurs, la pensée dans un monde uniquement fait d'éléments en pleine guerre sitôt détruits que recomposés, car la pensée est un luxe de paix. - Antonin Artaud.$

Je t'avais dit que j'allais te faire chier, alors c'est parti : tu es quelqu'un de bien, mon gamin.
Dans un couple, c'est 50-50.

En temps de paix oui... Moi je veux du 100 - 100 dans un couple, qu'il neige, vente ou grêle.

cela va essentiellement tomber comme un cheveux sur la soupe,
mais cette notion de "je veux être plus que ce que je suis",
l'attachement 'forcené' au "je", au "soi", comme au "nous", semble de la sorte
postuler les autres comme un enfer distant, alors que "nous" sommes aussi des/parmis/avec/... "autres"

pour faire simpliste: (au sens: nous sommes aussi les autres)
et cette idée-simplification n'engage que les nébuleuses interactions qui en participent,
une histoire d'amour est une histoire de désintégrations positives à la Dabrovsky ("je" vais bien ne "t"'en fais pas),
où les égos se subliment en s'oubliant - en se dépassant - dans leur rapport créatif au monde
(plutôt que de barboter dans les blessures narcissiques qu'engendre un rapport passif/distant à celui-ci (de monde))

autrement dit, la lune est du soleil. Comme elle en est au duel, à la stupeur et tremblements des suicides amoureux...
la lune participe du rêve, des larmes, comme de l'âme,
elle reflète les reflets pour la dame du lac, elle projette les ombres des spectres à venir
au crépuscule de la raison, la lune est l'aube de la terre.  

et tous les dénis de l'intoxiqué Antonin Artaud n'y feront rien à l'affaire:
quand on naît Guerre, on n'égare pas la Paix par autant (oh ! Nain ! <- contrepétrie du point Gimli).

--

et le journaliste que l'art adios vérité emb(ar)rasse est autant dans l'intox du déni d'Antonin
et le couple qui livre ses enfants au Gullivers est aussi vivant que le bonze qui coule en pet (cacaouhète - oh, Free T'y bête)

Mis En Pate Ugly Brat a écrit:
Hors j'ai mal à être ce que je suis.
J'aimerai être plus.
Fatigué je suis, j'ai besoin de repos...

Bonjour. Heureux de retrouver ta présence sur le forum.
Je te souhaites de te remettre rapidement. Et même, de trouver.

Et la messe est dite. Wake up bab' !

Op op op, gueule un coup pour tout faire sortir ce que tu as toi! Garder dedans c'est exploser!

Magnifique exemple de communication asymétrique.

Respecte mes émotions, par contre, les tiennes tu peux te les foutre au cul !
Tout est de ta faute puisque c'est toi qui fait le silence radio.
Je ne peux entendre tes doutes, tu dois combattre ta peur, pour moi, pour nous.

Tu es un vilain garçon MEPUB, ce sera panpan cucul tout nu devant tout le monde. Patate a déjà réservé sa place pour l'application du châtiment.

Don't worry baby, she will find elsewhere her narcissic supply.

https://www.youtube.com/watch?v=Alwkp7UaY4o

Numero6 a écrit:
Je ne supporte pas les menaces.

Je crois tu l'as déjà dit. Ta vidéo me pose un problème quand même. Ca fait un peu prosélytisme. Et je serais à la place de la personne visée. Je l'aurais mal pris. Surtout que c'est nécessairement à 95% faux. Et à 4% ridicule. Mais là en plus, tu vises directement quelqu'un. Si t'as des choses à dire, dit les. Te caches pas derrière des propos ineptes de psychologues imbéciles.

@Stauk ne t'inquiète pas le message est parfaitement passé auprès de l'intéressée. Maintenant j'aimerai qu'il passe auprès de l'intéressé.

Et puis dis-toi que les gens disposent de leur libre arbitre et a priori sur ce forum d'une certaine intelligence, et que tu n'as à protéger personne.

Il peut s'agir d'une mauvaise interprétation de ma part, alors présente-moi des arguments qui contredisent ce que je considère comme une communication asymétrique.

Et tout cela me mettant de mauvaise humeur, je te prie d'excuser le ton péremptoire de ce message.

Carla de Miltraize Morwan a écrit:

Spoiler:

Ils sont comme nous. Ils prennent notre apparence. C'est peut être votre voisins, votre sœur, votre facteur, ou même votre psychologue

C'est un peu dramatique comme approche. On nous montre un mec qui se dit psychopathe, et qui doit parler de lui. On nous promet un témoignage direct. Sincère. De première ordre. Et on entend des poncifs, par des gens qui se prennent visiblement pour des sachants. Y a arnaque. Pour un peu, je dirais que la promesse est réalisée. Mais pas complètement à la lettre.

Numero6 a écrit:
Il peut s'agir d'une mauvaise interprétation de ma part, alors présente-moi des arguments qui contredisent ce que je considère comme une communication asymétrique.

J'ai uniquement critiqué la vidéo. Et son utilisation. Tu as d'avantages d'éléments que moi sur la situation qui t'intéresse. Et sur les personnes impliquées. D'ailleurs étant donné ta réaction, tu ES impliqués. Si tu te mets en colère, tu as perdu. Bonne chance !

Le sujet de la vidéo que je poste est la personne que l'on voit sur la vidéo postée par N6. Je ne sais pas s'il est psychologue le type.

Un coucou bienveillant au propriétaire du fil, et ceux qui lisent.

Pense à toi, repose-toi, voyage, vis tes rêves, ressource-toi, sois toi-même.   

@Stauk, tu as raison, je me sens impliqué, il n'était pas normal que je réagisse aussi fortement. En me disant ça, j'ai choisi d'arrêter d'intervenir hier.
Parfois, j'ai beau savoir que j'ai tort, un vent mauvais se lève en moi comme si j'étais chargé d'une mission, comme si j'étais le seul à savoir que MEPUB est l'objet d'une attaque en règle avec appel au peuple.
Je vais donc partir de l'idée que MEPUB est un grand garçon avec tout plein de ressources et qu'il n'a pas besoin de moi.
Je vais rajouter que ce que je vois de ce pilonnage est visible par beaucoup et ne nécessite pas de sous-titre.
C'est le problème de vivre habituellement dans un monde où beaucoup ne voient pas l'évidence, j'oublie qu'ici beaucoup voit l'évidence.

Numero6 a écrit:
Je vais donc partir de l'idée que MEPUB est un grand garçon avec tout plein de ressources et qu'il n'a pas besoin de moi.

Je sais pas. A sa place je serais content qu'on m'apprécie et qu'on m'aime. En dépit d'une situation un peu difficile et conflictuelle qui remet chez moi beaucoup de choses en question. Mais il n'y a pas deux camps ici. Il n'y a qu'un seul camp. Tu as envie qu'il aille bien, de lui apporter ton soutient. C'est suffisant je pense.  C'est d'ailleurs dans l'ensemble la façon dont les autres apportent leur soutient. Si tu lis ici, les interventions.

Rien à dire sauf que je ne peux plus aimer qui qu'elle soit.
Juste être seul et marcher.
J'ai pris le chien de mes parents avec moi, c'est dire. Moi qui déteste les chiens...
J'ai mal, mal et mal.
Le mot n'est qu'un maux face au mot.
Car le mâle n'est rien face au mal.
Il n'y peux rien.
Rien.
Je pense que peu de gens içi comprennent le mal qui m'affectionne.
Vivre seul alors qu'on désire être dans la norme, ressembler et faire croire que l'autre est nous.
Sans plus mais pas moins.
On y est...

Malgré toutes ces bouteilles de rhum, tous les chemins mènent à la dignité... [Stromae]

Un ami m'a dit que selon la voyante qu'il avait consulté, j'étais troubadour dans l'ancien temps.
Que je courrai déjà après Laurie qui était plus jeune que moi.
Si il a raison, cela sera pour la prochaine vie.
Si il a tord, ce n'est pas grave, l'histoire est belle.
Mais quoiqu'il en soit, elle joue au Nerval en cette heure.
Et par un malheur des pieds qui foulent le sable, j'ai rencontré un de mes rares amis Dunkerquois qui l'a connaissait.
On a parlé de Marc-Auréle et Cléopatre...
Un soir ou jour ou à Dunkerque, il m'avait croisé à poil dans la rue, un glaive a la main en train d'hurler, Marc-Auréle, rends moi Cléopatre...
Et elle était vivante ce soir ou ce jour là, à la fenêtre de ma chambre entrain de rire à porte voix déployé...
Et il neigeait.
Et jamais neige ne fut plus belle.
Belle.

Maintenant, she live in América... in america... america...

PS ; je suis un salaud, un salaud, un salaud.
Et je ne resterai que cela.
Qu'on ne me dise pas tu peux changer, je n'y crois pas.
Nullement.

Darth, Gasta, Numéro, Emin, Prisca, NelM, Fleur, Carla, merci.

MEPUB, pourquoi veux-tu changer tête de nœud, vends ton âme à ceux qui en connaissent la valeur, à ceux qui savent la louer.

Salaud est le dernier terme que je choisirais pour te qualifier. Fragile surement, rêveur assurément, n'écoute pas ta voix, écoute celles de tous ceux à qui tu fais du bien.

Ta douleur te saoule plus surement que de la Tequila en intra-veineuse, ton cerveau ne vaut plus rien, ta boussole interne est soumise aux lois du chaos. Tout ce qu'elle est capable de faire c'est de pointer comme la roue de l'infortune sur la case "Salaud". Ton cerveau te dit des conneries, ne l'écoute plus.

La douleur te fige, la culpabilité te terrasse, tu ne peux rien faire, tu vas en bouffer chaque jour un peu moins, juste un peu moins. Tu n'es pas de taille à lutter avec ceux qui n'ont pas ta sensibilité, tu vas en chier gamin, c'est écrit dans les astres. Et puis un jour tu finiras par admettre la réalité, il y a des gens qui t'aiment. Et pas pour rien, égoïstement, parce que tu leur fais du bien et que ça te fait trop chier de l'accepter, immonde connard.

Ne fais aucune confiance à ton putain de cerveau, il déconne complètement. Pour l'instant, il fonctionne comme un ennemi qui a juré ta perte, envoie-le chier. Écoute-nous tête de mule, nos cerveaux fonctionnent comme il faut, vaillant comme des princes, hardis comme Françoise, tu viens de te prendre le TGV dans la gueule, MEPUB est devenu ravagé du bulbe, il titube sous la douleur, il délire, il n'a pas le choix, il doit faire confiance aux cerveaux de ceux qui l'aiment et fermer sa grande gueule.

Contrairement aux apparences, je suis beaucoup plus intelligent que toi et je dis : MEPUB n'est pas un salaud.

Un connard je veux bien, mais pas un salaud. C'est une question de compétence, tu es dépourvu du début d'un commencement des qualités nécessaires pour faire un salaud, tu voudrais que tu ne pourrais pas, désolé de te décevoir mou-du-genou, salaud ça se mérite.

Bouffe chaque jour un peu de la tarte à la merde de la dépression anxieuse, le truc le plus douloureux qui existe. Va prendre des cachetons, fais des câlins à ton clébard, ronronne contre celles qui t'aiment et que tu négliges par extravagance, tout est bon pour atténuer la douleur. Tu m'emmerdes gamin, tu n'as tué personne, tu n'as violé personne, tu n'as mis personne en danger, tu t'es effondré comme une merde, ce n'est pas condamnable.

Je suis un con damnable.

AAAHHHH, je préfère, si tu recommences à nous faire des jeux de mots à deux balles, genre "la nana, quel beau fruit", je retrouve le vrai MEPUB.

Tu n'es qu'un gros connard prétentieux, boursouflé d'amour et de tendresse, tu es un agneau, pas un loup. Vermisseau lubrique, tu crois être en mesure de déterminer le destin de plus forte que toi ? Tu te crois autorisé à sous-estimer la gent féminine ? Tu penses avoir infléchi le destin d'une femelle dix fois plus solide que toi ? Vanité des vanités.

Tu n'as fait que te protéger parce que tu n'es pas de taille. Ta chérie est quelqu'un d'exception, une amazone, elle est capable de changer le réel, son destin l'amène à se dépasser et à te dépasser. Je t'envie d'avoir gouter à cette ivresse de l'impossible.

Le mec le plus intelligent sur ZC t'accorde l'absolution, tu avais toutes les raisons de succomber aux charmes de cette exception. Qui pourra t'en vouloir d'avoir succomber à sa séduction ? Tu as juste oublié en route tes besoins au-delà de tes rêves.

Ah ... MEPUB est de retour ...
À 36 ans , gamin ça ne fait pas un peu trop Numero6  ?

En effet, l'histoire est belle... Et tu mérites une belle histoire, comme nous tous. Une belle histoire qui dure.

Mis En Pate Ugly Brat a écrit:Je pense que peu de gens içi comprennent le mal qui m'affectionne.
Vivre seul alors qu'on désire être dans la norme, ressembler et faire croire que l'autre est nous.
Sans plus mais pas moins.

Je ne sais pas si je comprends vraiment, mais je pense que je comprends la phrase qui suit... Et ça résonne chez moi, mais ça, je pense que tu le sais déjà. Mais est-ce qu'on va vraiment se laisser faire comme ça?