Pfouh, j'me lance, allez...
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Ouais, d'autant que là, honnêtement, vu mon pavé de début, je crois que c'est déjà pas mal comme condensé de "qui je suis". Gnéhéhéhéhé.
Ensuite, lire quelques messages au hasard pour bien voir que j'fais partie du clan des EMP. Et lire les messages sur les fils qui parlent du couple et de la sexualité pour en apprendre un peu plus. Et là, je crois qu'on peut avoir rapidement fait le tour de ma personne.
Ensuite, lire quelques messages au hasard pour bien voir que j'fais partie du clan des EMP. Et lire les messages sur les fils qui parlent du couple et de la sexualité pour en apprendre un peu plus. Et là, je crois qu'on peut avoir rapidement fait le tour de ma personne.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Te lire c'est bien, mais pour te cerner complètement et prendre toute la mesure de ta personne et de ta personnalité, c'est "en vrai" qu'il faut te voir
Guard 'n wall PB- Messages : 1962
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Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Non mais c'était du purSaphodane a écrit:Bah voyons... Moi j'aime bien que tu sois comme tu es, et pas toute figée, glacée, "parfaite"...
Car il évident que je suis tout sauf parfaite, glacée et figée
(vous avez reçu un Mpouète)
Bliss- Messages : 12125
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
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Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:06, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Ok, pas reçu pour le moment, mais merci !
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
en fait les MPs restent en "boite d envoi" tant qu ils n ont pas été ouverts par les destinataires , auquel cas , ils passent alors en tant que "message envoyé"
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
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Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:06, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
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Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Bof, je ne me suis pas posée la question, j'avoue - et comme j'ai toujours reçu les réponses à mes mp, pas d'inquiétude à avoir, sauf que ma boîte était presque pleine et maintenant, ce sont les archives qui sont presque pleines!
fleur_bleue- Messages : 3764
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
C'est méchant, mais vraiment, ça me fait rire... xD
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
C'est bien mignon, et pas si méchant que ça… Ou plutôt, du genre de méchanceté que moi, qui suis si gentil, je me permets parfois . Bisous ! Isaac est remis ? Moi je passe au scanner vendredi pour savoir quand je vais mourir et de quoi, mais en attendant ça va plutôt mieux.
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Garp a écrit:[...] pour savoir quand je vais mourir et de quoi [...]
J'aime !
Isaac est apparemment remis, puisqu'il trolle sur les fils des autres, et moi je continue de cracher mes poumons et je me fais saigner du nez à force de me moucher, mais ça va !
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
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Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:05, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
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Localisation : Sur son terril
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Euh, la soupe à l'oignon c'est pas pour le rhume de derrière ? oups, non, sorry, ça c'est la soupe aux pois ;-)
Rho, saigner du nez à force de se moucher, je connais, on m'avait conseillé une espèce de crème grasse style vaseline (non, les EMP ;-) mais pour le nez, si je retrouve le nom, je te le file ... tiens, ça me fait penser que je n'ai plus ce genre de désagrément depuis que j'ai quitté la ville ... serait-ce, dans mon cas, lié ???
Bon, dis, j'en profite belleke, et en public en plus ;-) pour te dire combien ce fut bonheur de te voir en vrai à nouveau ... que t'es bell'âme toi ;-)
Bises
Rho, saigner du nez à force de se moucher, je connais, on m'avait conseillé une espèce de crème grasse style vaseline (non, les EMP ;-) mais pour le nez, si je retrouve le nom, je te le file ... tiens, ça me fait penser que je n'ai plus ce genre de désagrément depuis que j'ai quitté la ville ... serait-ce, dans mon cas, lié ???
Bon, dis, j'en profite belleke, et en public en plus ;-) pour te dire combien ce fut bonheur de te voir en vrai à nouveau ... que t'es bell'âme toi ;-)
Bises
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
(Bah en fait, je vois de quelle pommade tu parles (H.E.C., il me semble), mais là, c'est pas des gerçures, c'est surtout que... J'y ai été au doigt, un peu trop fort... C'est ça de se crotter le nez quand on est brutasse, y paraît... )
Saphodane- Messages : 3002
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Age : 39
Localisation : Metz
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Toi, tu n'as pas suivi les conseil de Papa Ours (comme tu dis ainsi que Collargole)
(j't'en ficherais de Papa Ours ....!!!!!!!!!!!!!)
(j't'en ficherais de Papa Ours ....!!!!!!!!!!!!!)
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Quels conseils, Papa Ours ?... (Rooh allez, nous fais pas croire que ça t'irrite, comme p'tit nom, hein... )
Saphodane- Messages : 3002
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Localisation : Metz
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Saphodane a écrit:c'est surtout que... J'y ai été au doigt, un peu trop fort... C'est ça de se crotter le nez quand on est brutasse, y paraît... )
- Spoiler:
- yihaaaaaaaa :-) :-) toi aussi
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Saphodane a écrit:Quels conseils, Papa Ours ?... (Rooh allez, nous fais pas croire que ça t'irrite, comme p'tit nom, hein... )
Bon, ça va pour toi parce que t'es toute jeunette ( et c'est un compliment ! )
Mais sinon, cela fait un peu vieux schmol....
C'est pas que mais ...
Bon, en même temps, vous êtes à la fois mes sœurs et mes filles et c'est Kasha qui l'a dit la première, alors j'ai le droit d'y croire !
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Ah, au fait, ton avatar : Extra ! Tant de souvenirs en si peu de temps.
N'oublie pas de faire une bise à l'albinos !
Mais cela, tu ne l'oubliera pas !
N'oublie pas de faire une bise à l'albinos !
Mais cela, tu ne l'oubliera pas !
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
(Je crois que j'ai compris, pour les conseils ! Mais j'suis une grosse radine, donc j'ai préféré booster avec des compléments alimentaires... xD Et ma vitamine C à laquelle je suis accro (ça fait six mois que je traîne une boîte d'Acérola format familial, et que je tape dedans occasionnellement). Ceci dit, je note pour l'hiver qui arrive à grands pas, va falloir que je prenne des mesures radicales !!! è___é THOU SHALL NOT PASS !!! \ô/| Hin hin hin !)
L'albinos ?... oO
L'albinos ?... oO
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
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Localisation : Metz
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
- Spoiler:
- ours a écrit:Bon, en même temps, vous êtes à la fois mes sœurs et mes filles et c'est Kasha qui l'a dit la première, alors j'ai le droit d'y croire !
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Deux petits trucs pas bien chers :
- J'ai souvent le nez qui commence à peler quand je me mouche trop , mais pas ces jours-ci : j'use et abuse de lavages au spray d'eau de mer pour nettoyer en profondeur, et je me rends compte que ça évite à mon nez de se dessécher, ce qui est aussi bien.
- Et sinon, paraît que le manque de magnésium est pas bon pour l'immunité et le système ORL, en plus de causer des crampes (que j'ai en quantité en ce moment), alors je me tape un verre de chlorure de magnésium chaque matin (sous la forme de Nigari : 20 g dilués dans un litre d'eau). C'est très mauvais, donc ça soigne sûrement très bien .
- J'ai souvent le nez qui commence à peler quand je me mouche trop , mais pas ces jours-ci : j'use et abuse de lavages au spray d'eau de mer pour nettoyer en profondeur, et je me rends compte que ça évite à mon nez de se dessécher, ce qui est aussi bien.
- Et sinon, paraît que le manque de magnésium est pas bon pour l'immunité et le système ORL, en plus de causer des crampes (que j'ai en quantité en ce moment), alors je me tape un verre de chlorure de magnésium chaque matin (sous la forme de Nigari : 20 g dilués dans un litre d'eau). C'est très mauvais, donc ça soigne sûrement très bien .
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Mouahahahaha ! xD Pour le magnésium, t'en fais pas, j'ai ma cure quotidienne : un carré (voire plus... ) de chocolat noir ! Oui, tous les jours ! J'ai déjà fait plusieurs cures de magnésium, aucune n'ayant jamais fait aucun effet. Donc... Je préfère le chocolat ! xD
Et puis, globalement, ça va, hein ! Là, y'a pas 36 solutions, je vous l'ai dit, je le SAIS, je guérirai à la fin de mon contrat ! :3 Donc en attendant, j'évite juste que ça soit trop gênant.
Et puis, globalement, ça va, hein ! Là, y'a pas 36 solutions, je vous l'ai dit, je le SAIS, je guérirai à la fin de mon contrat ! :3 Donc en attendant, j'évite juste que ça soit trop gênant.
Saphodane- Messages : 3002
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Localisation : Metz
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
J'adore ta photo-avatar! Ça donne le goût de t'embrasser!
Ha la la! Je te comprends donc!
J'ai déjà travaillé dans une usine de plastique alors que ma grippe durait depuis une semaine! Et elle empirait.
Jusqu'à ce que... la récession. Ouaip. Dernière entrée dans l'entreprise, première à partir en plus. Congé = repos. Repos = guérison.
N'ait pas peur pour l'hiver qui arrive, parce que si je continue mon histoire:
Comme c'était l'hiver (10 cm d'épais de neige), qu'il faisait soleil, et que j'avais un bon bouillon de poulet, j'ai été le boire sur le balcon, respiré l'air frais, tant et aussi longtemps que j'avais chaud. Puis je rentrais dans la maison. Et je répétais l'opération 3 ou 4 fois pas jour.
Et mon état ne cessait de s'améliorer!!!
Non mais sérieux, l'air froid et sec de dehors, avec un bouillon de poule, et bien emmitouflée, c'est toute une cure!
Peut-être qu'un petit traitement de reiki aussi pourrait t'aider à aller mieux plus vite... Ça me fait penser que j'suis contente: je vais aller chercher mon niveau 1 samedi le 13 oct. J'ai bien hâte, mais j'ai bien hâte aussi d'essayer sur les vieux chevaux qui ont de l'arthrite... s'ils veulent bien.
Saphodane a écrit:
Là, y'a pas 36 solutions, je vous l'ai dit, je le SAIS, je guérirai à la fin de mon contrat !
Ha la la! Je te comprends donc!
J'ai déjà travaillé dans une usine de plastique alors que ma grippe durait depuis une semaine! Et elle empirait.
Jusqu'à ce que... la récession. Ouaip. Dernière entrée dans l'entreprise, première à partir en plus. Congé = repos. Repos = guérison.
N'ait pas peur pour l'hiver qui arrive, parce que si je continue mon histoire:
Comme c'était l'hiver (10 cm d'épais de neige), qu'il faisait soleil, et que j'avais un bon bouillon de poulet, j'ai été le boire sur le balcon, respiré l'air frais, tant et aussi longtemps que j'avais chaud. Puis je rentrais dans la maison. Et je répétais l'opération 3 ou 4 fois pas jour.
Et mon état ne cessait de s'améliorer!!!
Non mais sérieux, l'air froid et sec de dehors, avec un bouillon de poule, et bien emmitouflée, c'est toute une cure!
Peut-être qu'un petit traitement de reiki aussi pourrait t'aider à aller mieux plus vite... Ça me fait penser que j'suis contente: je vais aller chercher mon niveau 1 samedi le 13 oct. J'ai bien hâte, mais j'ai bien hâte aussi d'essayer sur les vieux chevaux qui ont de l'arthrite... s'ils veulent bien.
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Doom, fais pas ton troll.
@Catre : *^^* J'aime bien quand on me dit qu'on a envie de m'embrasser. Pour le Reiki, je vais voir, j'ai un pote qui est en train de faire les démarches pour se former et ouvrir son salon. Donc à voir ! :3 Mais ça me semble pas totalement idiot.
Par contre, pour l'instant, question finance... Je préfère m'en tenir au grog façon Jarod... (Faut juste que je trouve des clous de girofle. Et que je teste ça au micro-ondes.)
Aujourd'hui, je suis lasse, j'ai froid, j'ai pas envie, envie de rien. Hier, je voulais aller à une conférence sur le lien entre vétégarisme et non-agressivité, mais finalement, c'était à 20 h, j'étais chez moi, au chaud, j'avais pas envie de sortir. Je m'en suis voulu, pour moi et pour le type qui organisait la conférence et que j'ai appelé à 16 h 30 pour lui dire "c'est bien ce soir, hein ?" et qui avait l'air ravi d'avoir un appel. J'espère qu'il a eu du monde... Et qu'il la réorganisera, un autre jour, le w.e. ou quoi.
J'ai envie de rien foutre en ce moment, et je sens poindre la déprime légère. Il faut juste que je fasse le nécessaire pour que ça ne se transforme pas en début de dépression... Fort heureusement, hier, j'ai reçu un appel d'une amie que je ne vois plus très souvent depuis que je ne suis plus à Paris, et ça m'a fait plaisir de parler de tout et de rien avec elle. Et puis elle a trouvé un caddie sur son chemin, et j'la trouve un peu rayée, c'te belle blonde... Devinez ce qui s'est produit... Bref, je suis fatiguée.
Fatiguée, fatiguée d'être malade, fatiguée d'être fatiguée. Heureusement qu'Isaac est à mes côtés, parce que toute seule, là, je crois que je serais déjà en dépression bien comme il faut. Je fais dix fois plus d'attaques de panique depuis une semaine. J'ai l'impression que c'est reparti "comme en 40".
Mon cerveau en veut plus fonctionner à plein régime, j'suis en permanence en économie d'énergie. J'ai pas envie de bosser. Pourtant, là, c'est l'heure, 12 h 30 passées, je dois y retourner. -__-'
@Catre : *^^* J'aime bien quand on me dit qu'on a envie de m'embrasser. Pour le Reiki, je vais voir, j'ai un pote qui est en train de faire les démarches pour se former et ouvrir son salon. Donc à voir ! :3 Mais ça me semble pas totalement idiot.
Par contre, pour l'instant, question finance... Je préfère m'en tenir au grog façon Jarod... (Faut juste que je trouve des clous de girofle. Et que je teste ça au micro-ondes.)
Aujourd'hui, je suis lasse, j'ai froid, j'ai pas envie, envie de rien. Hier, je voulais aller à une conférence sur le lien entre vétégarisme et non-agressivité, mais finalement, c'était à 20 h, j'étais chez moi, au chaud, j'avais pas envie de sortir. Je m'en suis voulu, pour moi et pour le type qui organisait la conférence et que j'ai appelé à 16 h 30 pour lui dire "c'est bien ce soir, hein ?" et qui avait l'air ravi d'avoir un appel. J'espère qu'il a eu du monde... Et qu'il la réorganisera, un autre jour, le w.e. ou quoi.
J'ai envie de rien foutre en ce moment, et je sens poindre la déprime légère. Il faut juste que je fasse le nécessaire pour que ça ne se transforme pas en début de dépression... Fort heureusement, hier, j'ai reçu un appel d'une amie que je ne vois plus très souvent depuis que je ne suis plus à Paris, et ça m'a fait plaisir de parler de tout et de rien avec elle. Et puis elle a trouvé un caddie sur son chemin, et j'la trouve un peu rayée, c'te belle blonde... Devinez ce qui s'est produit... Bref, je suis fatiguée.
Fatiguée, fatiguée d'être malade, fatiguée d'être fatiguée. Heureusement qu'Isaac est à mes côtés, parce que toute seule, là, je crois que je serais déjà en dépression bien comme il faut. Je fais dix fois plus d'attaques de panique depuis une semaine. J'ai l'impression que c'est reparti "comme en 40".
Mon cerveau en veut plus fonctionner à plein régime, j'suis en permanence en économie d'énergie. J'ai pas envie de bosser. Pourtant, là, c'est l'heure, 12 h 30 passées, je dois y retourner. -__-'
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Courage ma belle ... y'a déjà les jours qui raccourcissent ... brrrrrrrr, j'aime pas les intersaisons, déjà que j'aime pas être en chemin !!!! Pour la conférence, mon dieu, comme je te comprends, c'est clair que je n'aurais pas eu envie de bouger non plus ! c'est d'ailleurs toujours ce qui a fait foirer les rares tentatives d'aller faire du sport et ce genre de choses :
de 1 ... être à l'heure pfffff
de 2 ... bouger alors que je viens à peine de me poser, déjà en été c'est dur, mais alors, aux portes de l'automne .... pfffff
de 3 ... régularité mon ennemie préférée !!!
Ah, oui, la vaseline pour nez c'est un truc style : homéoplasmine (ça fait HP, c'est bon, non ?) ... ça soigne rien du tout, ça permet juste d'avoir l'intérieur du nez moins rapeux et sensible ;-)
bises bises bises bises bises bises bises bises bises bises bises ad lib ..............................................................
de 1 ... être à l'heure pfffff
de 2 ... bouger alors que je viens à peine de me poser, déjà en été c'est dur, mais alors, aux portes de l'automne .... pfffff
de 3 ... régularité mon ennemie préférée !!!
Ah, oui, la vaseline pour nez c'est un truc style : homéoplasmine (ça fait HP, c'est bon, non ?) ... ça soigne rien du tout, ça permet juste d'avoir l'intérieur du nez moins rapeux et sensible ;-)
bises bises bises bises bises bises bises bises bises bises bises ad lib ..............................................................
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Sapho! Courage!
Doom: ha ben on peut pu rien dire alors, sinon on va irriter le troll en toi! Va donc te prendre un bonne bière!
Doom: ha ben on peut pu rien dire alors, sinon on va irriter le troll en toi! Va donc te prendre un bonne bière!
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Je ne sais pas si ça te console, mais il y a pleins de gens au boulot là qui ont la crève - voire justement des gens du boulot qui n'y sont pas à cause de ça. Mais ça passera!
Tu as déjà essayé le citron chaud? Ou encore un bon bain avec un truc "anti-toux", si jamais ils font ça en France. (On en trouve très facilement en Allemagne.) Sinon, il y a dormir, dormir, dormir, c'est ce qui fait guérir le mieux...
Tu as déjà essayé le citron chaud? Ou encore un bon bain avec un truc "anti-toux", si jamais ils font ça en France. (On en trouve très facilement en Allemagne.) Sinon, il y a dormir, dormir, dormir, c'est ce qui fait guérir le mieux...
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
⚡
Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:04, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
Date d'inscription : 18/09/2012
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Foxy Charlie:
Con tu dis?!
Con tu dis?!
Catre- Messages : 1984
Date d'inscription : 14/09/2011
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Rhooooooo !!! Foxy invente le flood-morveux, et fallait qu'ça tombe sur Sapho !!
♡Maïa- Messages : 1734
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
⚡
Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:04, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
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Localisation : Sur son terril
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Oh la vache, c'est dégueu, mais j'adore ! xD Merci du cadeau ! MOUAHAHAHAHAHAHA !!!
ça va "mieux". Je suis bourrée, je décuve ma bière (oui oui, une seule) dans mon lit en déprimant un peu, j'ai vu Alfa Blondie et PrinceofChina et Djaïbi. J'ai pas envie DU TOUT de retourner bosser demain. Il faudrait que je range l'appart' un peu. Isaac est bougon et j'aime pas ça. J'ai besoin de câlins, de plein de câlins de plein de gens.
Je veux vous revoir, et puis j'veux faire la fête et être tranquille, et profiter de la verdure et contempler les levers de soleil.
ça va "mieux". Je suis bourrée, je décuve ma bière (oui oui, une seule) dans mon lit en déprimant un peu, j'ai vu Alfa Blondie et PrinceofChina et Djaïbi. J'ai pas envie DU TOUT de retourner bosser demain. Il faudrait que je range l'appart' un peu. Isaac est bougon et j'aime pas ça. J'ai besoin de câlins, de plein de câlins de plein de gens.
Je veux vous revoir, et puis j'veux faire la fête et être tranquille, et profiter de la verdure et contempler les levers de soleil.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
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Localisation : Metz
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Pareil !Saphodane a écrit:
Je veux vous revoir, et puis j'veux faire la fête et être tranquille, et profiter de la verdure et contempler les levers de soleil.
En attendant de pouvoir te les faire en vrai, je te fais plein de câlins et bisous virtuels, ma jolie !
Bliss- Messages : 12125
Date d'inscription : 11/11/2010
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
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Dernière édition par ⚡ Foxy Charlie ⚡ le Lun 20 Mai 2013 - 16:04, édité 1 fois
⚡ Foxy Charlie ⚡- Messages : 1143
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Localisation : Sur son terril
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
@Sapho: Câlins alors! Je te comprends...
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
@Foxy : moi j'veux bien, mais j'ose pas aller le voir, il va encore me dire que je suis chiante et que je le dérange. -__-' J'attends qu'il vienne de lui même. Sauf qu'à tous les coups, c't'andouille doit croire que MOI je lui fais la gueule. Alors que non, je me suis isolée pour le laisser tranquille, et parce que j'aime pas quand il est de mauvaise humeur. On finit toujours par se prendre le chou.
Saphodane- Messages : 3002
Date d'inscription : 24/01/2012
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Faut revenir aux fondamentaux des fois !
♡Maïa- Messages : 1734
Date d'inscription : 06/03/2012
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Saphodane a écrit:@Foxy : moi j'veux bien, mais j'ose pas aller le voir, il va encore me dire que je suis chiante et que je le dérange. -__-' J'attends qu'il vienne de lui même. Sauf qu'à tous les coups, c't'andouille doit croire que MOI je lui fais la gueule. Alors que non, je me suis isolée pour le laisser tranquille, et parce que j'aime pas quand il est de mauvaise humeur. On finit toujours par se prendre le chou.
Moi j'en connais, ils se causent par SMS même quand ils sont dans la même pièce (poum-poum-poum ), tu peux p't'etre essayer de le faire sourire comme ça ? Mais bon, j'arrive un peu après la bataille...
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
C'est bon, on s'est parlé, réconciliés, tout va bien. ^^ Hé dites, heureusement que j'ai une nouvelle collègue intérimaire aussi chtarbée que moi, j'me sens moins seule et le temps passe mieux. Pas forcément plus vite, toujours aussi chiant c'boulot, mais mieux.
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Ce ne sont plus les œuvres sociales, ton entreprise, c'est carrément un centre thérapeutique !
pas
pas
Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
J'ai envie de partager deux longs passages avec vous, mais je ne sais pas si je vais avoir le courage de les copier en entier d'un coup. Considérez que ça sera fait un jour.
Je crois que c'est le bouquin que j'ai le plus relu dans ma vie, je dois en être à la cinquième fois. C'est peu, pour quelqu'un qui dit aimer lire, au final. Je crois que c'est mon livre favori. Peut-être. Farenheit 451, écrit par Ray Bradbury, un hyperphrène mort en juin dernier. Un synesthète, aussi, sans doute. Un prolifique auteur de SF.
Dans cette histoire, les pompiers brûlent les livres, objets de délit voire de crime. Guy Montag est l'un de ces pompiers, marié à Mildred, "heureux". Oui mais, heureux, vraiment ?... Si vous ne l'avez pas lu, ou ne connaissez pas l'histoire, ne lisez pas les extraits. Ils contiennent des spoilers. Lisez le livre directement. Sinon, rappelez-vous, parce que ça fait du bien de se rafraîchir la mémoire de temps en temps. De faire une petite piqûre de rappel.
Je crois que c'est le bouquin que j'ai le plus relu dans ma vie, je dois en être à la cinquième fois. C'est peu, pour quelqu'un qui dit aimer lire, au final. Je crois que c'est mon livre favori. Peut-être. Farenheit 451, écrit par Ray Bradbury, un hyperphrène mort en juin dernier. Un synesthète, aussi, sans doute. Un prolifique auteur de SF.
Dans cette histoire, les pompiers brûlent les livres, objets de délit voire de crime. Guy Montag est l'un de ces pompiers, marié à Mildred, "heureux". Oui mais, heureux, vraiment ?... Si vous ne l'avez pas lu, ou ne connaissez pas l'histoire, ne lisez pas les extraits. Ils contiennent des spoilers. Lisez le livre directement. Sinon, rappelez-vous, parce que ça fait du bien de se rafraîchir la mémoire de temps en temps. De faire une petite piqûre de rappel.
- Beatty et Montag:
Le capitaine Beatty s'installa dans le fauteuil le plus confortable, un expression parfaitement sereine sur son visage rubicond. Il prit tout son temps pour bourrer et allumer sa pipe de bronze et souffla un grand nuage de fumée. "Une idée que j'ai eue comme ça de passer voir comment allait le malade.
— Comment avez-vous deviné ?"
Beatty y alla de son sourire qui exhibait le rose bonbon de ses gencives et la blancheur de sucre de ses dents.
"Je connais la musique. Vous alliez m'appeler pour me demander la nuit."
Montag se mit en position assise.
"Eh bien, dit Beatty, prenez votre nuit !" Il examina sa boîte d'allumettes inusables dont le couvercle annonçait UN MILLION D'ALLUMAGES GARANTIS DANS CET IGNITEUR et, d'un air absent, se mit à gratter l'allumette chimique, à la souffler, la rallumer, la souffler, dire quelques mots, souffler. Il regarda la flamme, souffla, regarda la fumée. "Quand pensez-vous aller mieux ?
— Demain. Après-demain, peut-être. Début de la semaine prochaine."
Beatty tira une bouffée de sa pipe. "Tôt ou tard, tout pompier en passe par là. Tout ce qu'il faut alors, c'est comprendre le fonctionnement de la mécanique. Connaître l'historique de notre profession. On n'explique plus ça à la bleusaille comme dans le temps. Dommage." Une bouffée. "Il n'y a plus que les capitaines de pompiers pour s'en souvenir." Une bouffée. "Je vais vous mettre au courant."
Mildred s'agita.
Beatty s'accorda une bonne minute pour s'installer et réfléchir à ce qu'il voulait dire.
"Quand est-ce que tout ça a commencé, vous m'avez demandé, ce boulot qu'on fait, comment c'est venu, où, quand ? Eh bien, je dirais que le point départ remonte à un truc appelé la Guerre Civile. Même si le manuel prétend que notre corporation a été fondée plus tôt. Le fait est que nous n'avons pris de l'importance qu'avec l'apparition de la photographie. Puis du cinéma, au début du vingtième siècle. Radio. Télévision. On a commencé à avoir là des phénomènes de masse."
Assis dans son lit, Montag demeurait immobile.
"Et parce que c'étaient des phénomènes de masse, ils se sont simplifiés, poursuivit Beatty. Autrefois les livres n'intéressaient que quelques personnes ici et là, un peu partout. Ils pouvaient se permettre d'être différents. Le monde était vaste. Mais le voilà qui se remplit d'yeux, de coudes, de bouches. Et la population de doubler, tripler, quadrupler. Le cinéma et la radio, les magazines, les livres se sont nivelés par le bas, normalisés en une vaste soupe. Vous me suivez ?
— Je crois."
Beatty contempla le motif formé par la fume qu'il avait rejetée.
"Imaginez le tableau. L'homme du dix-neuvième siècle avec ses chevaux, ses chiens, ses charrettes : un film au ralenti. Puis, au vingtième siècle, on passe en accéléré. Livres raccourcis. Condensés, Digests. Abrégés. Tout est réduit au gag, à la chute.
— La chute, approuva Mildred.
— Les classiques ramenés à des émissions de radio d'un quart d'heure, puis coupés de nouveau pour tenir en un compte-rendu de deux minutes, avant de finir en un résumé de dictionnaire de dix à douze lignes. J'exagère, bien sûr. Les dictionnaires servaient de référence. Mais pour bien des gens, Hamlet (vous connaissez certainement le titre, Montag ; ce n'est probablement qu'un vague semblant de titre pour vous, madame Montag...), Hamlet, donc, n'était qu'un digest d'une page dans un livre proclamant : Enfin tous les classiques à votre portée ; ne soyez plus en reste avec vos voisins. Vous voyez ? De la maternelle à l'université et retour à la maternelle. Vous avez là le parcours intellectuel des cinq derniers siècles ou à peu près."
Mildred se leva et se mit à s'affairer dans la chambre, ramassant des objets qu'elle reposait aussitôt. Beatty fit comme si de rien n'était et poursuivit : "Accélérez encore le film, Montag. Clic ? Ça y est ? Allez, on ouvre l’œil, vite, ça défile, ici, là, au trot, au galop, en haut, en bas, dedans, dehors, pourquoi, comment, qui, quoi, où, hein ? Hé ! Bang ! Paf ! Vlan, bing, bong, boum ! Condensés de condensés. Condensés de condensés de condensés. La politique ? Une colonne, deux phrases, un gros titre ! Et tout se volatilise ! La tête finit par vous tourner à un tel rythme sous le matraquage des éditeurs, diffuseurs, présentateurs, que la force centrifuge fait s'envoler toute pensée inutile, donc toute perte de temps !"
Mildred retapait le dessus de lit. Montag sentit son cœur battre à grands coups lorsqu'elle tapota son oreiller. Et voilà qu'elle le tirait par l'épaule pour pouvoir dégager l'oreiller, l'arranger et le remettre en place sous ses reins. Et peut-être pousser un cri et ouvrir de grands yeux, ou simplement tendre la main, dire : "Qu'est-ce que c'est que ça ?" et brandir le livre caché avec une touchante innocence.
"La scolarité est écourtée, la discipline se relâche, la philosophie, l'histoire, les langues sont abandonnées, l'anglais et l'orthographe de plus en plus négligés, et finalement presque ignorés. On vit dans l'immédiat, seul le travail compte, le plaisir c'est pour après. Pourquoi apprendre quoi que ce soit quand il suffit d'appuyer sur des boutons, de faire fonctionner des commutateurs, de serrer des vis et des écrous ?
— Laisse-moi arranger ton oreiller, dit Mildred.
— Non ! murmura Montag.
— La fermeture à glissière remplace le bouton et l'homme n'a même plus le temps de réfléchir en s'habillant à l'aube, l'heure de la philosophie, et par conséquent l'heure de la mélancolie.
— Là, fit Mildred.
— Laisse-moi tranquille, dit Montag.
— La vie devient un immense tape-cul, Montag ; un concert de bing, bang, ouaaah !
— Ouaaah ! fit Mildred en tirant sur l'oreiller.
— Mais fiche-moi la paix, bon Dieu !" s'écria Montag.
Beatty ouvrit de grands yeux.
La main de Mildred s'était figée derrière l'oreiller. Ses doigts suivaient les contours du livre et, comme elle l'identifiait à sa forme, elle pris un air surpris puis stupéfait. Sa bouche s'ouvrit pour poser une question...
"Videz les salles de spectacles pour n'y laisser que les clowns et garnissez les pièces de murs en verre ruisselants de jolies couleurs genre confetti, sang, xérès ou sauternes. Vous aimez le base-ball, n'est-ce pas, Montag ?
— C'est un beau sport."
Beatty, presque invisible, n'était plus qu'une voix derrière un écran de fumée.
"Qu'est-ce que c'est que ça ?" demanda Mildred d'un ton presque ravi. Montag pressa son dos contre les bras de sa femme. "Qu'est-ce qu'il y a là ?
— Va t'asseoir !" tonna Montag. Elle fit un bond en arrière, les mains vides. "On est en train de causer !"
Beatty continua comme si de rien n'était. "Vous aimez le bowling, n'est-ce pas, Montag ?
— Oui.
— Et le golf ?
— C'est un beau sport.
— Le basket-ball ?
— Aussi.
— Le billard ? Le football ?
— De beaux sports, tous.
— Davantage de sports pour chacun, esprit d'équipe, tout ça dans la bonne humeur, et on n'a plus besoin de penser, non ? Organisez et organisez et super-organisez de super-super-sports. Encore plus de dessins humoristiques. Plus d'images. L'esprit absorbe de moins en moins. Impatience. Autoroutes débordantes de foules qui vont quelque part, on ne sait où, nulle part. L'exode au volant. Les villes se transforment en motels, les gens en marées de nomades commandées par la lune, couchant ce soir dans la chambre où vous dormiez à midi et moi la veille."
Mildred quitta la pièce en claquant la porte. Les "tantes" du salon se mirent à rire au nez des "oncles".
"À présent, prenons les minorités dans notre civilisation, d'accord ? Plus la population est grande, plus les minorités sont nombreuses. N'allons surtout pas marcher sur les pieds des amis des chiens, amis des chats, docteurs, avocats, commerçants, patrons, mormons, baptistes, unitariens, Chinois de la seconde génération, Suédois, Italiens, Allemands, Texans, habitants de Brooklyn, Irlandais, natifs de l'Oregon ou de Mexico. Les personnages de tel livre, telle dramatique, telle série télévisée n'entretiennent aucune ressemblance intentionnelle avec des peintres, cartographes, mécaniciens existants. Plus vaste est le marché, Montag, moins vous tenez aux controverses, souvenez-vous de ça ! Souvenez-vous de toutes les minorités, aussi minimes soient-elles, qui doivent garder le nombril propre. Auteurs pleins de pensées mauvaises, bloquez vos machines à écrire. Ils l'ont fait. Les magazines sont devenus un aimable salmigondis de tapioca à la vanille. Les livres, à en croire ces fichus snobs de critiques, n'étaient que de l'eau de vaisselle. Pas étonnant que les livres aient cessé de se vendre, disaient-ils. Mais le public, sachant ce qu'il voulait, tout à la joie de virevolter, a laissé survivre les bandes dessinées. Et les revues érotiques en trois dimensions, naturellement. Et voilà, Montag. Tout ça n'est pas venu d'en haut. Il n'y a pas eu de décret, de déclaration, de censure au départ, non ! La technologie, l'exploitation de la masse, la pression des minorités, et le tour était joué, Dieu merci. Aujourd'hui, grâce à eux, vous pouvez vivre constamment dans le bonheur, vous avez le droit de lire des bandes dessinées, les bonnes vieilles confessions ou les revues économiques.
— Oui, mais les pompiers dans tout ça ? demanda Montag.
— Ah." Beatty se pencha en avant dans le léger brouillard engendré par la fumée de sa pipe. "Rien de plus naturel ni de plus simple à expliquer. Le système scolaire produisant de plus en plus de coureurs, sauteurs, pilotes de course, bricoleurs, escamoteurs, aviateurs, nageurs, au lieu de chercheurs, de critiques, de savants, de créateurs, le mot "intellectuel" est, bien entendu, devenu l'injure qu'il méritait d'être; On a toujours peur de l'inconnu. Vous vous rappelez sûrement le gosse qui, dans votre classe, était exceptionnellement "brillant", savait toujours bien ses leçons et répondait toujours le premier tandis que les autres, assis là comme autant de potiches, le haïssaient. Et n'était-ce pas ce brillant sujet que vous choisissiez à la sortie pour vos brimades et vos tortures ? Bien sûr que si. On doit tous être pareils. Nous ne naissons pas libres et égaux, comme le proclame la Constitution, on nous rend égaux. Chaque homme doit être l'image de l'autre, comme ça tout le monde est content ; plus de montagnes pour les intimider, leur donner un point de comparaison. Conclusion ! Un livre est un fusil chargé dans la maison d'à côté. Brûlons-le. Déchargeons l'arme. Battons en brèche l'esprit humain. Qui sait qui pourrait être la cible de l'homme cultivé ? Moi ? Je ne le supporterai pas une minute. Ainsi, quand les maisons ont été enfin totalement ignifugées dans le monde entier (votre supposition était juste l'autre soir), les pompiers à l'ancienne sont devenus obsolètes. Ils se sont vu assigner une tâche nouvelle, la protection de la paix de l'esprit ; ils sont devenus le centre de notre crainte aussi compréhensible que légitime d'être inférieur : censeurs, juges et bourreaux officiels. Voilà ce que vous êtes, Montag, et voilà ce que je suis."
La porte du salon s'ouvrit et Mildred se tint sur le seuil, regardant à tour de rôle Beatty et Montag. Derrière elle les murs de la pièce étaient inondés de feux d'artifice vert, aune et orange qui grésillaient et explosaient au son d'une musique presque entièrement à base de tambours, de tam-tams et de cymbales. Ses lèvres remuèrent ; elle disait quelque chose mais le tintamarre couvrait sa voix.
À petits coups, Beatty vida sa pipe dans le creux de sa main rose, examina les cendres comme si c'était là un symbole à diagnostiquer et à déchiffrer.
"Il faut que vous compreniez que notre civilisation est si vaste que nous ne pouvons nous permettre d'inquiéter et de déranger nos minorités. Posez-vous la question : Qu'est-ce que nous désirons par-dessus tout dans ce pays ? Les gens veulent être heureux, d'accord ? N'avez-vous pas entendu cette chanson toute votre vie ? Je veux être heureux, disent les gens. Eh bien, ne le sont-ils pas ? Ne veillons-nous pas à ce qu'ils soient toujours en mouvement, à ce qu'ils aient des distractions ? Nous ne vivons que pour ça, non ? Pour le plaisir, l'excitation ? Et vous devez admettre que notre culture nous fournit tout ça à foison.
— Oui."
Montag lisait sur les lèvres de Mildred ce qu'elle était en train de dire depuis le seuil. Il s'efforça de ne pas regarder sa bouche, car Beatty risquait de se tourner et de lire lui aussi les mots qu'elle prononçait.
"Les Noirs n'aiment pas Little Black Sambo. Brûlons-le. La Case de l'Oncle Tom met les Blancs mal à l'aise. Brûlons-le. Quelqu'un a écrit un livre sur le tabac et le cancer des poumons ? Les fumeurs pleurnichent ? Brûlons le livre. La sérénité, Montag. La paix, Montag. À la porte, les querelles. Ou mieux encore, dans l'incinérateur. Les enterrements sont tristes et païens ? Éliminons-les également. Cinq minutes après sa mort une personne est en route vers la Grande Cheminée, les Incinérateurs desservis par hélicoptère dans tout le pays. Dix minutes après sa mort, l'homme n'est plus qu'un grain de poussière noire. N'épiloguons pas sur les individus à coups de memoriam. Oublions-les. Brûlons-les, brûlons tout. Le feu est clair, le feu est propre."
Les feux d'artifice se turent dans le salon derrière Mildred. Elle s'était arrêtée de parler en même temps ; une coïncidence miraculeuse. Montag retint sa respiration.
"Il y avait une jeune fille à côté, dit-il lentement. Elle est partie, je crois, morte. Je ne me souviens même pas de son visage. Mais elle était différente. Comment... comment ça se fait ?"
Beatty sourit. "Ici ou là, ce sont des choses qui arrivent fatalement. Clarisse McClellan ? On a un dossier sur sa famille. On les surveillait de près. L'hérédité et le milieu sont de drôles de trucs. On ne peut pas se débarrasser de tous les canards boiteux en quelques années. Le milieu familial peut défaire beaucoup de ce qu'on essaie de faire à l'école. C'est pourquoi on a abaissé progressivement l'âge du jardin d'enfants et qu'on prend maintenant les gosses pratiquement au berceau. On a eu quelques fausses alarmes sur les McClellan quand ils habitaient Chicago. On n'a pas trouvé le moindre livre. L'oncle avait un dossier couci-couça : insociable. La fille ? Une bombe à retardement. La famille l'influençait au niveau du subconscient, j'en suis sûr, d'après ce que j'ai vu de son dossier scolaire. Elle ne voulait pas savoir le comment des choses, mais le pourquoi. Ce qui peut être gênant. On se demande le pourquoi d'un tas de choses et on finit par se rendre très malheureux, à force. Il vaut bien mieux pour cette pauvre fille qu'elle soit morte.
— Oui, morte.
— Heureusement, les toqués dans son genre sont rares. À présent, on sait comment les étouffer dans l’œuf. On ne peut pas construire une maison sans clous ni bois. Si vous ne voulez pas que la maison soit construite, cachez les clous et le bois. Si vous ne voulez pas qu'un homme se rende malheureux avec la politique, n'allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue sur une question ; proposez-lui-en un seul. Mieux encore, ne lui en proposez aucun. Qu'il oublie jusqu'à l'existence de la guerre. Si le gouvernement est inefficace, pesant, gourmand en matière d'impôt, cela vaut mieux que d'embêter les gens avec ça. La paix, Montag. Proposez des concours où l'on gagne en se souvenant des paroles de quelque chanson populaire, du nom de la capitale de tel ou tel État ou de la quantité de maïs récoltée dans l'Iowa l'année précédente. Bourrez les gens de données incombustibles, gorgez-les de "faits", qu'ils se sentent gavés, mais absolument "brillants" côté information. Ils auront alors l'impression de penser, ils auront le sentiment du mouvement tout en faisant du sur-place. Et ils seront heureux parce que de tels faits ne changent pas. Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie pour relier les choses entre elles. C'est la porte ouverte à la mélancolie. Tout homme capable de démonter un télécran mural et de le remonter, et la plupart des hommes en sont aujourd'hui capables, est plus heureux que celui qui essaie de jouer de la règle à calcul, de mesurer, de mettre l'univers en équations, ce qui ne peut se faire sans que l'homme se sente solitaire et ravalé au rang de la bête. Je le sais, j'ai essayé. Au diable, tout ça. Alors place aux clubs et aux soirées entre amis, aux acrobates et aux prestidigitateurs, aux casse-cou, jet cars, motogyres, au sexe et à l'héroïne, à tout ce qui ne suppose que des réflexes automatiques. Si la pièce est mauvaise, si le film ne raconte rien, si la représentation est dépourvue d'intérêt, collez-moi une dose massive de thérémine. je me croirai sensible au spectacle alors qu'il ne s'agira que d'une réaction tactile aux vibrations. Mais je m'en fiche. Tout ce que je réclame, c'est de la distraction."
Beatty se leva. "Bon, il faut que j'y aille. La conférence est terminée. J'espère avoir clarifié les choses. L'important pour vous, Montag, c'est de vous souvenir que nous sommes les Garants du Bonheur, les Divins Duettistes, vous, moi et les autres. Nous faisons front contre la petite frange de ceux qui veulent affliger les gens avec leurs théories et leurs idées contradictoires. Nous avons les doigts collés à la digue. Tenons bon. Ne laissons pas le torrent de la mélancolie et de la philosophie débilitante noyer notre monde. Nous dépendons de vous. Je ne crois pas que vous vous rendiez compte de votre importance pour la préservation du bonheur qui règne en notre monde."
Beatty serra la main molle de Montag. Celui-ci était toujours assis dans son lit, comme si la maison était en train de s'effondrer autour de lui sans qu'il puisse bouger. Mildred avait disparu du seuil de la porte.
"Un dernier mot, dit Beatty. une fois au moins dans sa carrière, tout pompier ressent une démangeaison. Qu'est-ce que racontent les livres, se demande-t-il. Ah, cette envie de se gratter, hein ? Eh bien, Montag, croyez-moi sur parole, il m'a fallu en lire quelques-uns dans le temps, pour savoir de quoi il retournait : ils ne racontent rien ! Rien que l'on puisse enseigner ou croire. Ils parlent d'êtres qui n'existent pas, de produits de l'imagination, si ce sont des romans. Et dans le cas contraire, c'est pire, chaque professeur traite l'autre d'imbécile, chaque philosophe esaie de faire ravaler ses paroles à l'autre en braillant plus fort que lui. Ils courent dans tous les sens, mouchant les étoiles et éteignant le soleil. On en sort complètement déboussolé.
"Et maintenant, que se passe-t-il si un pompier, par accident, sans intention vraiment précise, ramène un bouquin chez lui ?"
Montag tiqua. La porte ouverte fixait sur lui son grand œil vide.
"Erreur bien naturelle. Simple curiosité, poursuivit Beatty. On ne va pas s'inquiéter outre mesure ni en faire tout un plat. On laisse le pompier garder le livre vingt-quatre heures. Si, passé ce délai, il ne l'a pas brûlé, on vient simplement le brûler pour lui.
— Bien entendu." Montag avait la bouche sèche.
"Eh bien, Montag, vous prendrez votre service un peu plus tard aujourd'hui ? On a des chances de vous voir cette nuit ?
— Je ne sais pas.
— Quoi ?" Beatty avait l'air quelque peu surpris.
Montag ferma les yeux. "Je viendrai plus tard. Peut-être.
— Sûr que vous nous manquerez si vous ne vous pointez pas", déclara Beatty en rempochant pensivement sa pipe.
Jamais je ne retournerai là-bas, se dit Montag.
"Requinquez-vous", lança Beatty.
Il tourna les talons et s'éclipsa par la porte ouverte.
- Faber et Montag:
- "Bon... et si vous me disiez ce qui vous amène ?
— Personne n'écoute plus. Je ne peux pas parler aux murs parce qu'ils me hurlent après. je ne peux pas parler à ma femme ; elle écoute les murs. Je veux simplement quelqu'un qui écoute ce que j'ai à dire. Et peut-être que si je parle assez longtemps, a finira par tenir debout. Et je veux que vous m'appreniez à comprendre ce que je lis."
Faber examina le visage mince, les joues bleuâtres de Montag. "Qu'est-ce qui vous a tourneboulé ? Qu'est-ce qui a fait tomber la torche de vos mains ?
— Je ne sais pas. On a tout ce qu'il faut pour être heureux, mais on ne l'est pas. Il manque quelque chose. j'ai regardé autour de moi. La seule chose dont je tenais la disparition pour certaine, c'étaient les livres que j'avais brûlés en dix ou douze ans. J'ai donc pensé que les livres pouvaient être de quelque secours.
— Quel incorrigible romantique vous faites ! Ce serait drôle si ce n'était pas si grave. Ce n'est pas de livres que vous avez besoin, mais de ce qu'il y avait autrefois dans les livres. De ce qu'il pourrait y avoir aujourd'hui dans les "familles" qui hantent nos salons. Télévisions et radios pourraient transmettre la même profusion de détails et de savoir, mais ce n'est pas le cas. Non, non, ce ne sont nullement les livres que vous recherchez ! Cela, prenez-le où vous pouvez le trouver, dans les vieux disques, les vieux films, les vieux amis ; cherchez-le dans la nature et en vous-même. Les livres n'étaient qu'un des nombreux types de réceptacles destinés à conserver ce que nous avions peur d'oublier. Ils n'ont absolument rien de magique. Il n'y a de magie que dans ce qu'ils disent, dans la façon dont ils cousent les pièces et les morceaux de l'univers pour nous en faire un vêtement. Bien entendu, vous ne pouviez pas le savoir, et vous ne pouvez pas encore comprendre ce que je veux dire par là. Mais votre intuition est correcte, c'est ce qui compte. En fait, il nous manque trois choses.
"Un : Savez-vous pourquoi des livres comme celui-ci ont une telle importance ? Parce qu'ils ont de la qualité. Et que signifie le mot qualité ? Pour moi, ça veut dire texture. Ce livre a des pores. Il a des traits. Vous pouvez le regarder au microscope. Sous le verre vous trouverez la vie en son infini foisonnement. Plus il y a de pores, plus il y a de détails directement empruntés à la vie par centimètre carré de papier, plus vous êtes dans la "littérature". C'est du moins ma définition. Donner des détails. Des détails pris sur le vif. Les bons écrivains touchent souvent la vie du doigt. Les médiocres ne font que l'effleurer. Les mauvais la violent et l'abandonnent aux mouches.
"Est-ce que vous voyez maintenant d'où viennent la haine et la peur des livres ? Ils montrent les pores sur le visage de la vie. Les gens installés dans leur tranquillité ne veulent que des faces de lune bien lisses, sans pores, sans poils, sans expression. Nous vivons à une époque où les fleurs essaient de vivre sur les fleurs, au lieu de se nourrir de bonne pluie et de terreau bien noir. Même les feux d'artifice, si jolis soient-ils, résultent d'une chimie qui prend sa source dans la terre. Et pourtant, d'une manière ou d'une autre, nous nous croyons capables de croître à grands renforts de fleurs et de feux d'artifice, sans accomplir le cycle qui nous ramène à la réalité. Connaissez-vous la légende d'Hercule et d'Antée, le lutteur géant dont la force était incroyable tant qu'il gardait les pieds fixés au sol , Une fois soulevé de terre par Hercule, privé de ses racines, il succomba facilement. Si cette légende n'a rien à nous dire aujourd'hui, dans cette ville, à notre époque, c'est que j'ai perdu la raison. Volà la premiè_re chose dont je disais que nous avions besoin. La qualité, la texture de l'information.
— Et la seconde ?
— Le loisir.
— Oh, mais nous avons plein de temps libre !
— Du temps libre, oui. Mais du temps pour réfléchir ? Si vous ne conduisez pas à cent cinquante à l'heure, une vitesse à laquelle vous ne pouvez penser à rien d'autre qu'au danger, vous jouez à je ne sais quoi ou restez assis dans une pièce où il vous est impossible de discuter avec les quatre murs du téléviseur. Pourquoi ? Le téléviseur est "réel". Il est là, il a de la dimension. Il vous dit quoi penser, vous le hurle à la figure. Il doit avoir raison, tant il paraît avoir raison. Il vous précipite si vite vers ses propres conclusions que votre esprit n'a pas le temps de se récrier : "Quelle idiotie !"
— Sauf que la "famille", ce sont des "gens".
— Je vous demande pardon ?
— Ma femme dit que les livres ne sont pas "réels".
— Dieu merci ! Vous pouvez les refermer et dire : "Pouce !" Vous jouez au dieu en la circonstance. Mais qui s'est jamais arraché au griffes qui vous enserrent quand on sème une graine dans un salon-télé ? Celui-ci vous façonne à son gré. Il constitue un environnement aussi réel que le monde. Il devient, il est la vérité. On peut rabattre son caquet à un livre par la raison. Mais en dépit de tout mon savoir et de tout mon scepticisme, je n'ai jamais été capable de discuter avec un orchestre symphonique de cent instruments, en technicolor et trois dimensions, dans un de ces incroyables salons dont on fait partie intégrante. Comme vous pouvez le constater, mon salon n'est fait que de quatre murs de plâtre. Et tenez." Il brandit deux petits bouchons en caoutchouc. "Pour mes oreilles quand je prends le métro-express.
— Dentifrice Denham ; ils ne travaillent pas, ni ne s'agitent, récita Montag, les yeux fermés. Où cela nous mène ? Est-ce que les livres peuvent nous aider ?
— Seulement si le troisième élément nécessaire nous est donné. Un, comme j'ai dit, la qualité de l'information. Deux : le loisir de l'assimiler. Et trois : le droit d'accomplir des actions fondées sur ce que nous apprend l'interaction des deux autres éléments. Et je doute fort qu'un vieillard et un pompier aigri puissent faire grand-chose au point où en est la partie...
— Je peux trouver des livres.
— C'est risqué.
— C'est le bon côté de la mort ; quand on n'a rien à perdre, on est prêt à courir tous les risques.
— Là, vous venez de dire une chose intéressante, dit Faber en riant. Sans l'avoir lue nulle part !
— On trouve ça dans les livres ? Ça m'est pourtant venu comme ça !
— À la bonne heure. Ce n'était calculé ni pour moi ni pour personne, pas même pour vous."
Dernière édition par Saphodane le Lun 8 Oct 2012 - 23:25, édité 7 fois
Saphodane- Messages : 3002
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Invité- Invité
Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Je ne l'ai pas vu, mais j'ai vu des extraits, encore ce soir, et... Trop vieux, trop maniéré, trop... Trop. Ou pas assez.
Je voudrais bien en voir une adaptation filmée digne de ce nom. Avec effets spéciaux, costumes nickel, ville futuriste, adaptation là où il faut, conservation là où il faut aussi. Mais plus que tout, j'aimerais le dessiner... En faire un film d'animation. Même un truc court. Mais seule... Impossible !
Je voudrais bien en voir une adaptation filmée digne de ce nom. Avec effets spéciaux, costumes nickel, ville futuriste, adaptation là où il faut, conservation là où il faut aussi. Mais plus que tout, j'aimerais le dessiner... En faire un film d'animation. Même un truc court. Mais seule... Impossible !
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Voilà, fini. Mes deux extraits. J'ai pleuré en lisant le second. Tout du moins, j'ai eu les larmes aux yeux, dans le bus.
Edit : Ah ouais, ça m'a quand même pris deux heures, c't'histoire ! O_O
Edit : Ah ouais, ça m'a quand même pris deux heures, c't'histoire ! O_O
Dernière édition par Saphodane le Lun 8 Oct 2012 - 23:31, édité 1 fois
Saphodane- Messages : 3002
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Re: Pfouh, j'me lance, allez...
Je l'aime bien le Truffaut moi. Un peu vieillot, et un peu maniéré c'est vrai, mais je l'aime bien quand même.
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