A la recherche d'Atoum

Particulier (à Qilin),

Je partage mon vice et ma folie,
Mes rires et mes cris,
Mes peurs et mes envies,
Avec toi mon ami.
J'aime ton harmonie,
Ta quête de l'esprit,
Après toi je languis,
Je bois tous tes écrits.
Aussi, je dis Merci
Merci pour ce que tu exaltes in me
J'espère te garder dans ma vie!

Je crois que l'amitié ne disparait jamais si les échanges non contraints perdurent.
L'amitié, c'est l'acceptation de l'autre dans les différences qui enrichissent les deux. Une croissance partagée.

A ces instants, c'est un des plus beaux rayons de soleil de la vie !

EDIT : MARRE DE CE CLAVIER TACTILE !

si un jour tu me trouves envahissante n'hésite quand même pas à me le dire!

Un partage n'envahit pas

je suis vraiment contente qu'on se soit trouvé!

Il y a des gens bien ici

Tu en croisera plein d'autres.

certainly sir mais pour le moment c'est ta compagnie qui me fait du bien!

La tienne aussi.
Comme celle de ceux et celles qui passent plus ou moins régulièrement pour apporter un recul, une vision, une expérience.

Encore une fois ... un partage

tu sais, hier, quand je parlais de possessivité...(tu sais de quoi je parle) je ne sous-entendais pas que j'étais du genre à vouloir m'accaparer les gens de cette façon là, ce que je voulais dire c'est que je réclame leur attention et leur attachement, mais le fait qu'ils échangent avec d'autres ne se négocie évidemment pas! d'ailleurs, c'est à mon sens le truc qui nous différencie des pervers narcissiques... c'est un attachement mais pas absolu et exclusif

Oui je sais bien Aurore

Je pense avoir une idée assez claire sur ce sujet.
Je sais aussi que le ressentiment continue à guider des êtres bien après les faits.
Donc discuter à droite et à gauche peut se faire pour au moins deux raisons :
Ou pour partager, ou pour vouloir briller.
Elles sont antinomiques ... et il n'est pas facile d'en faire la différence au premier coup d'oeil ...

oui, ben, vu sous cet angle, c'est sûr que ce n'est pas pour briller! y'a pas de quoi se vanter d'être aussi tordue que moi!

Alors c'est pour partager
Donc ... pourquoi dis-tu que tu es tordue ?

Salut... Quilin...adoré, comment vas tu aujourd'hui...? mieux qu'hier...?

Salut Lemniscate

Ca va mieux après une super nuit de sommeil oui

Et toi ?

lol, je me prends à la dérision, j'ai vraiment un mode de pensées et de fonctionnement tordu car en grande parti conditionné par le vécu mais j'en ris...t'inquiète! si tu savais jusqu'où j'ai creusé dans mon auto-analyse! c'était vraiment vicieux! c'est un peu à ça que je fais allusion; j'ai décortiqué mon mécanisme de fonctionnement...

T'es pas la seule Aurore
C'est ça aussi qui est chouette en fin de compte !
Parler de notre traversée intérieure plutôt de ce qu'elle reflète de nous en surface.
Tomber le masque en quelque sorte ...

oui, mais ça fait peur d'être en perpétuelle contrariété entre ce qu'on a dans la tête et ce qu'on a dans le coeur! c'est monstrueux même d'en venir à se souhaiter des choses mauvaises parce que notre coeur voudrait que ce soit la solution alors que la tête sait pertinemment le contraire! et en plus, il y a le problème du point de vue des gens face à la légalité et à la légitimité! c'est lourd à porter...

Cela s'appelle l'empathie je crois.
Cependant elle a une limite. Notre propre protection.

mais l'empathie envers soi-même ne doit pas nous servir d'excuse pour faire naufrage...c'est ça mon problème à moi! c'est que j'ai tendance à penser que ma souffrance peut justifier que je "faute" ou ai des réactions auto-destructrices

Qilin a écrit:L'enfant égoïste




On a remarqué que les enfants uniques sont plus facilement égoïstes que ceux qui ont des frères et soeurs. Il faut donc souhaiter que les enfants ne soient pas obligés de vivre seuls aux foyers. Si toutefois cette circonstance se produisait, il faudrait toujours accueillir avec empressement, quoique avec toute la prudence nécessaire, les camarades de l'enfant unique. Celui-ci doit se sentir libre de demander la permission d'inviter quelques petits voisins à venir jouer avec lui. On pourra également lui permettre de répondre à certaines invitations semblables, pourvu que le contrôle nécessaire soit toujours possible et efficace. Il vaudrait mieux, de toute façon, que l'enfant unique jouisse seulement de la compagnie de ses parents plutôt que de l'exposer à contracter des amitiés douteuses. Les parents des enfants uniques s'efforceront, plus que les autres, d'être de bons camarades pour leurs enfants et de s'associer étroitement à leurs travaux et à leurs jeux.

Qilin, bien sûr, je comprends l'intention louable d'essayer d'aider et je suppose que cet extrait n'est pas de toi.

Mais que d'idées reçues et que d'erreurs dans ces lignes

Ouais ...
Ma souffrance ne justifie pas que je faute. Elle explique cette dernière et puis me donne des pistes pour à la fois reconnaitre d'oû cela vient et le régler.
C'est aussi de la souffrance. Mais qui ne se produit qu'une seule fois

ah...?! perso, je trouve que ces conseils ne sont pas mauvais même s'ils ne sont pas adaptés à ma situation...

oui, j'en suis consciente mais du coup je me noies dans ma souffrance avec un sentiment d'impuissance insupportable qui me plonge dans la fuite et le déni

mais moi c'est récurrent à chaque phase dépressive

@ paoline

Salut

Non, ces lignes ne sont pas de moi.
Cet article est basé sur une étude auprès de différents psychologues européens et américains.

Paoline ... les exceptions existent ..

je file un moment, je vais faire un brin de ménage et m'occuper un peu de mes gosses (ben oui, on est mercredi!)...je reviens vers 17h. Plein de bisous à tous!

PS: en fait, pour ce que je disais plus haut, je l'ai la solution mais j'ai du mal à l'appliquer toute seule! pas motivant! il faut que je fasse du sport! comme ça ça extérioriserait mon trop-plein d'adrénaline et permettrait à mon corps de revenir à un niveau plus sain d'hormones...avec apaisement comme résultat

Faire du sport, de la méditation, des échanges. Laisser le temps couler pour "digérer" ce que l'on découvre, apprend, ressent ...
Aller où le vent nous mène en ne lui résistant pas s'il nous conduit au grand large.

Le temps. Facteur d'apaisement et de connaissance ...

oui et si mon grand large ce sont les hommes ça reste une sacrée problématique quand même!

tiens, petite question de fonctionnement technique, pour éclairer mes lanternes: à partir de quel moment est-ce qu'on peut considérer qu'on est dans l'acceptation (dans mon cas, d'être seule, parce que c'est bizarre, je suis bien avec l'idée de célibat mais pas avec la notion de solitude, ni de manque affectif et physique) est-ce que ça veut dire que je n'accepte pas assez ? et où placer la limite entre l'acceptation et la résignation ?

L'autre n'est pas un grand large. Dans mon esprit il est une nouvelle terre à découvrir et à apprendre.
Je me vois dans la mème situation à son égard.

Là encore, je place le partage au coeur de la relation quelle qu'elle soit. Ceci étant, le partage ne se mesure pas, vu de ma porte, à la quantité de ce qui est échangé de part et d'autre, mais bien plus par l'adéquation de ce dernier à des désirs communs et non pas univoques.

oui, je vois ce que tu veux dire mais ce qui est compliqué c'est que j'idéalise cette recherche de l'autre bien que j'en attende quelque chose d'équilibré à la façon exacte dont tu le définis

Pour moi l'acceptation est le constat que je n'ai pas encore trouvé.
La résignation serait de me dire que je ne trouverai pas. Je ne suis donc pas résigné

Ce qui m'amène à dire deux choses :

1/ qu'il est bien de quitter ce qui ne me correspond pas à un moment de ma vie
2/ que je devrais travailler sur moi pour m'adapter au changement d'environnement. Je sais que la stase, la non remise en cause est aussi un facteur d'enfermement.

en fait ce n'est pas, je pense et j'espère être objective, un manque de remise en question de moi-même, c'est plus la difficulté à gérer des situations récurrentes qui mettent ma raison à mal, du fait à la fois du besoin et aussi de la récurrence elle-même. Je t'exposerais bien l'exemple auquel je faisais allusion tout-à-l'heure mais c'est space quand même (tu sais, là où je disais être tordue) mais ça serait intéressant de voir si, dans les faits, tu arrives à en dégager quelque chose qui pourrait être constructif...

si tu en as envie seulement, parce que tu n'as peut-être pas envie d'aller si loin dans l' "intrusion" du moi

Je crois qi'il y a chez chaque être une forte opposition entre ses besoins instinctifs et ses constructions mentales. Cette opposition est "cadrée" par à la fois les règles de vie sociales et le regard de ses proches.

Là s'installe le tiraillement et les conflits.
Je crois qu'il est bon d'accepter que tout avoir est impossible. Par ailleurs accepter de faire des "entorses" à sa propre rigidité pour se faire du bien ... relacher un peu la pression interne en quelque sorte.

Mais tout cela en respectant au mieux l'éthique.

et si les entorses que je souhaite me soulagent sur le coup mais me nuisent à long terme ? je reste coincée!

C'est peut-être parce que tu as des coups de coeur pour des personnes que tu veux "sauver" ...

ça m'arrive mais en fait, j'ai besoin d'avoir toujours quelqu'un en tête! du coup ce n'est pas parce que je trouve que ça se fait mais parce que je cherche que je trouve...

Une forme de dépendance affective ?

affectivo-sexuelle liée à mon vécu, à des traumatismes aussi et notamment le 1er viol que j'ai subi (qui a fait basculer sournoisement et lentement la dépendance affective dans la dépendance sexuelle

J'ai vécu ce type de trauma aussi plus jeune.
Et j'ai compris que mon intégrité physique et morale passait par la modification de ce comprtement. Je savais, inconsciement,que je resterais un jouet sinon.

oui mais le pire c'est que je crois qu'en mon fort intérieur ce changement (comme beaucoup d'autres) me fait peur. Et moi, à cette époque-là, je n'ai pas du tout eu le cheminement que tu as eu car j'avais déjà un très gros problème d'estime de soi, et je me suis donc enfoncée dans ce vice en cultivant ma fragilité, qui me garantissait d'être désirée même si c'était fait de travers, sans compter que je ne me suis jamais réapproprié mon corps, chose que j'ai commencé à faire récemment par le biais de l'art-thérapie.
Et c'est là que le bas blesse: celui que je cherche à revoir fait parti de ceux avec qui il y a eu...un acte qui n'aurait pas dû avoir lieu, parce que même si ma tête ne voulait pas,(et que je lui ai dit non) mon corps à ce moment là était en manque, mon coeur aussi (en plus il sait comment je fonctionne vu qu'on se ressent, c'est pour ça que je culpabilise et que j'ai tendance à ne pas lui jeter la pierre) parce que j'ai plus ou moins consciemment permis que ça arrive, d'une: en ne me défendant pas, de 2: en me mettant dans une situation de danger, enfin, tu vois à peu près le truc! je crois qu'il sent que j'aime les hommes qui savent ce qu'ils veulent et que lui, étant du genre décidé, je suis décontenancée face à son regard et à sa manière d'être!
est-ce qu'on peut considérer ça comme une incitation au viol ?

parce que du coup,si ma tête n' pas aimé, j'ai quand même un affreux doute sur les réactions de mon corps...
est-ce que ça fait de moi une tordue ou une humaine ?

et comment faire pour casser ce cercle vicieux une bonne fois pour toutes ? m'ôter ce raisonnement involontaire qui permet que ce genre de situations se réitère et qui me fait vivre dans cette dépendance qui revient régulièrement à la charge ?

Je n'ai pas de réponse toute faite Aurore.
Pour ma part, je regarderais si la personne avec laquelle je suis a la patience d'attendre et de construire avec moi sans coucher.
Si elle reste en comprenant c'est sans doute que les sentiments sont bien plus élevés.
Deux, j'écouterais ma tête et mon expérience ...

tu as (encore!) raison (faut-il encore le préciser ?! lol)
mais si...dans le cas présent, si sa duplicité ne lui permettait pas de tenir ses promesses malgré toute la bonne volonté du monde ?!
et pis, on s'en fout! c'est du passé, ça s'est fini en cata! c'est tout! je sais pertinemment que c'est plus raisonnable comme ça et je finirai par m'y faire. Mais je ne voudrais pas revivre ça avec un autre (du moins ma tête ne voudrait pas! mon coeur si! 'faut qu'je l'crève celui-là! saleté!!!! )

Non ! Ne le crève pas !!!!

METS-LE A TON SERVICE !!!

comment ? il faut bien que je le mette en sourdine s'il me souffle des âneries ?!

En te donnant le temps de voir si on aime ton être et pas seulement ton corps ...

oui, mais le problème à ce niveau là ce n'est plus de savoir ce que l'autre ressent pour moi mais la façon que j'ai de me berner pour ne pas souffrir (je suis ch..., la discussion s'éternise, j'espère que tu ne trouves pas qu'elle devient stérile!)