Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
="Numero6"]- Parce que sans les ascenseurs, j'aurais peut-être choisi une autre cible, comme Bateman.
Invité- Invité
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Il y a beaucoup d’humour ici
Merci pour ces moments de détentes
Merci pour ces moments de détentes
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
sexe : le rejet de la performance
https://www.zebrascrossing.net/t23223-sexe-le-rejet-de-la-performance
Alors ça, si ça c'est pas un sujet de zèbres...
Les plus performants dans le domaine des relations sexuées ne me parlent jamais de sexe. Jamais. Ils parlent de ce qui leur met la joie dans le kangourou, du baume au cœur, du sang dans les corps caverneux ou qui fait monter la marée dans leurs petites culottes, mes précieuses.
Les Don Juan ont cette capacité appréciable de savoir chanter les louanges de l'objet de leur désir du moment.
Les Messaline savent s'émouvoir de la plus petite émanation physique ou autre en provenance du type qui leur met les ovaires à l'envers. Ce qui me donne systématiquement l'envie d'aller casser la gueule à ce bellâtre supposé, un peu de justice en ce bas-monde ne peut pas faire de mal.
Mais les plus enthousiastes, les plus ambitieux, les plus performants se heurtent comme les autres au plafond de bronze de The Bell Curve.
Parce que la courbe de Gauss s'applique à bien des caractéristiques humaines, la capacité de jouissance comme tant d'autres.
A droite de la courbe de Gauss, prévoir la seringue de dodo, le seau d'eau, la couverture en alu, la batte de base-ball, trois litres de fréon et un discours de Melanchon.
Si performance il y a, elle ne consiste qu'à préparer la navette pour son retour dans l'atmosphère, l'objectif primordial est de viser la phase de résolution, l'atterrissage en douceur, limiter la perte des tuiles réfractaires du bouclier thermique.
Pour ces surdouées de la jouissance, une bite peut suffire amplement. Deux doigts déclenchent des feux d'artifice.
A gauche de la courbe, il ne peut s'agir que de simulation. Rabbit, batteur à œufs, batte de base-ball, équipes de Rugby, Ukrainiens revenant d'un stage dans le Dombass, l'investissement finit par dépasser le budget en pure perte.
Le resto, les préliminaires, une écoute quasiment féminine, une communication fine, beaucoup d'amour, tout ça ne sert à rien. La bite se retrouve seule face à l'ennemi. Il ne s'agit plus de performances, il s'agit de sacrifier une pièce, comme aux échecs.
Lorsque le coude tente de compléter le fist, une paupière peut se soulever pour encourager la bonne intention et noter l'initiative. Prétendre faire jouir les gauchères de la courbe de Gauss de la jouissance, ce n'est plus de la prétention, c'est de l'inconscience.
La simulation vient naturellement, par simple application d'une logique basique. J'ai le vibro réglé sur surchauffe dans la moniche, la batte enfoncée jusqu'à "c'est malin, et comment on va la récupérer maintenant ?" dans le rond, deux langues qui s’essoufflent sur le clito à s'en péter le frein, donc, logiquement, si je ne fais partie de la partie gauche de la courbe, je devrais ressentir quelque chose. Alors la possédée par tous les trous fait "haha", enchaine avec un "uuuuuu" pour persévérer dans l'illusion d'une quelconque capacité à jouir.
Ces dames goutent autant la "performance" que les normopensants le second degré dans l'humour.
Alors que, hein, se prendre un bon second degré dans l'humour, ça fait du bien par où ça passe.
Notes de l'auteur : J'ai préféré ne pas poster mon analyse sur le fil lui-même, j'avais peur de clôturer le débat par la rigueur de ma démonstration scientifique, les écraser de ma culture encyclopédique de l’Éros.
Et puis je finis pas me dégonfler. Je ne veux plus prendre le risque qu'une monumentale, magnifique, sublime connerie soit souillée par un malentendu, et qu'elle puisse être prise au sérieux.
Si Madame se finit l'intime après ma performance, je ne le prends pas comme une remise en cause de ma virilité, il ne s'agit que d'applaudissements, d'un rappel, une autre, une autre...
De toute façon, je m'en fous, à ce moment précis, cela fait déjà une éternité que je suis plongé dans un profond coma.
https://www.zebrascrossing.net/t23223-sexe-le-rejet-de-la-performance
Alors ça, si ça c'est pas un sujet de zèbres...
Les plus performants dans le domaine des relations sexuées ne me parlent jamais de sexe. Jamais. Ils parlent de ce qui leur met la joie dans le kangourou, du baume au cœur, du sang dans les corps caverneux ou qui fait monter la marée dans leurs petites culottes, mes précieuses.
Les Don Juan ont cette capacité appréciable de savoir chanter les louanges de l'objet de leur désir du moment.
Les Messaline savent s'émouvoir de la plus petite émanation physique ou autre en provenance du type qui leur met les ovaires à l'envers. Ce qui me donne systématiquement l'envie d'aller casser la gueule à ce bellâtre supposé, un peu de justice en ce bas-monde ne peut pas faire de mal.
Mais les plus enthousiastes, les plus ambitieux, les plus performants se heurtent comme les autres au plafond de bronze de The Bell Curve.
Parce que la courbe de Gauss s'applique à bien des caractéristiques humaines, la capacité de jouissance comme tant d'autres.
A droite de la courbe de Gauss, prévoir la seringue de dodo, le seau d'eau, la couverture en alu, la batte de base-ball, trois litres de fréon et un discours de Melanchon.
Si performance il y a, elle ne consiste qu'à préparer la navette pour son retour dans l'atmosphère, l'objectif primordial est de viser la phase de résolution, l'atterrissage en douceur, limiter la perte des tuiles réfractaires du bouclier thermique.
Pour ces surdouées de la jouissance, une bite peut suffire amplement. Deux doigts déclenchent des feux d'artifice.
A gauche de la courbe, il ne peut s'agir que de simulation. Rabbit, batteur à œufs, batte de base-ball, équipes de Rugby, Ukrainiens revenant d'un stage dans le Dombass, l'investissement finit par dépasser le budget en pure perte.
Le resto, les préliminaires, une écoute quasiment féminine, une communication fine, beaucoup d'amour, tout ça ne sert à rien. La bite se retrouve seule face à l'ennemi. Il ne s'agit plus de performances, il s'agit de sacrifier une pièce, comme aux échecs.
Lorsque le coude tente de compléter le fist, une paupière peut se soulever pour encourager la bonne intention et noter l'initiative. Prétendre faire jouir les gauchères de la courbe de Gauss de la jouissance, ce n'est plus de la prétention, c'est de l'inconscience.
La simulation vient naturellement, par simple application d'une logique basique. J'ai le vibro réglé sur surchauffe dans la moniche, la batte enfoncée jusqu'à "c'est malin, et comment on va la récupérer maintenant ?" dans le rond, deux langues qui s’essoufflent sur le clito à s'en péter le frein, donc, logiquement, si je ne fais partie de la partie gauche de la courbe, je devrais ressentir quelque chose. Alors la possédée par tous les trous fait "haha", enchaine avec un "uuuuuu" pour persévérer dans l'illusion d'une quelconque capacité à jouir.
Ces dames goutent autant la "performance" que les normopensants le second degré dans l'humour.
Alors que, hein, se prendre un bon second degré dans l'humour, ça fait du bien par où ça passe.
Notes de l'auteur : J'ai préféré ne pas poster mon analyse sur le fil lui-même, j'avais peur de clôturer le débat par la rigueur de ma démonstration scientifique, les écraser de ma culture encyclopédique de l’Éros.
Et puis je finis pas me dégonfler. Je ne veux plus prendre le risque qu'une monumentale, magnifique, sublime connerie soit souillée par un malentendu, et qu'elle puisse être prise au sérieux.
Si Madame se finit l'intime après ma performance, je ne le prends pas comme une remise en cause de ma virilité, il ne s'agit que d'applaudissements, d'un rappel, une autre, une autre...
De toute façon, je m'en fous, à ce moment précis, cela fait déjà une éternité que je suis plongé dans un profond coma.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
T'as raison, perds pas
Baballe
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Pour moi la réelle performance à l'Amour est de ne pas dégoutter l'autre de ce que je suis." [Moi]
Pour les ascenseurs...
Pour les ascenseurs...
Invité- Invité
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nath, il t'est déjà arrivé d'avoir envie de faire ça ?
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Nath, il t'est déjà arrivé d'avoir envie de faire ça ?
De m'attacher les cheveux ?
le souci c'est qu'en tant qu'un peu punk sans crête (et sans lapin crétin ou pas et sans lin, bref) j'ai toujours une épingle à nourrice plutôt sur moi et du coup ça veut pas tenir.....
pourquoi ? un hic il y a ? tu en es au stade où tu veux monter un meuble ? ou c'est façon de dire que tu vas te lancer dans l'immo pilier ?
d'ailleurs ils ont sorti une version régionale depuis toi en fait où elle est lui dit : t'es vraiment un numéro 6 toi
Dernière édition par Nath le Jeu 27 Aoû 2015 - 15:01, édité 2 fois (Raison : même sur you tube il sait positionner le curseur, retenez moi où je fais un mâle heure)
Invité- Invité
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le jeudi le BN c'est à 15h30
et sinon
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non, peux pas, je suis interdit d'haras. Ils devaient mettre les canassons sous Prozac après mon passage. Pauvres bêtes.
Alleluia, mes frères, sa majesté Fata Morgana est de retour sur ZC !
Alleluia, mes frères, sa majesté Fata Morgana est de retour sur ZC !
Numero6- Messages : 6843
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Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Parisette a écrit:Numero6 a écrit:J'ai préféré ne pas poster mon analyse sur le fil lui-même
Numero6, tu ne postes quasiment que sur ton fil...rien de bien nouveau à ça. C'est plus facile de dire "casse toi" chez soi.
C'est connu, ceux qui en parlent le plus, sont ceux qui en parlent le plus
(On est que des mal-baisées et des mauvais coups )
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Le Dalaï-Lama a écrit:Prend garde à la femme délaissée, son haleine est fétide et ses crocs empoisonnés.οἶος a écrit:Parisette a écrit:Numero6 a écrit:J'ai préféré ne pas poster mon analyse sur le fil lui-même
Numero6, tu ne postes quasiment que sur ton fil...rien de bien nouveau à ça. C'est plus facile de dire "casse toi" chez soi.
C'est connu, ceux qui en parlent le plus, sont ceux qui en parlent le plus
(On est que des mal-baisées et des mauvais coups )
Le Dalaï Lama se tape l'incruste sur ZC pour faire chier Fata. Moi, j'aime pas les bouddhistes.
Merci Chacal, j'avais vu, je sais, je sais, elle est folle de mon corps.
D'un autre coté, le faible effet de ton copier/coller recoupe une des règles de ZC : on y vient pour écrire, pas pour lire. Ce qui fait qu'on peut y écrire à peu près n'importe quoi. Tout le monde s'en fout.
Sauf quand tu as craché, détruit, insulté ad nominem. Dans ces cas-là l'intéressé se sent pousser des ailes, pour une fois qu'on s'intéresse à lui il tient à le faire savoir, en appelle à la modération, préviens la presse, fait beaucoup de bruit avec la bouche pour que tout le monde soit informé que quelqu'un vient de parler de lui.
Sinon je viens d'écrire que les "peine-à-jouir" se prenaient des battes dans le cul jusqu'à la garde.
Et tout le monde s'en fout.
Et c'est très bien comme ça.
ZC : le dernier refuge de la liberté d'expression. Zebra Powa.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Moi qui suis internationalement connu entre la boulangerie et le bureau de tabac de mon quartier, je fais fi de ces rogatons de célébrité.
A "mais t'es quand même vraiment trop con", je réponds "merci".
A "mais t'es quand même vraiment trop con", je réponds "merci".
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
animalsinstinct a écrit:Bonjour,
la présentation ce n'est jamais un exercice simple je vais essayer de faire bref
J'ai toujours été une enfant un peu decallée par rapport aux autres, à l'école j'avais peu d'amis, fille unique à la maison, je me sentais seule je me parlais à moi même j'inventais des histoires pour m'occuper.
J'ai toujours été nul pour tout ce qui est du domaine de la logique (en math j'étais dans les derniers) en revanche en francais j'étais souvent la première car l'expression écrite était véritablement mon point fort suivit de l'art plastique au lycée.
Les années ont passées et trouver un job s'est avéré compliqué. Hypersensible à la cause animal je voulais dans un premier temps bosser pour des associations (sauf que cela ne paye pas on peut pas en vivre) j'ai ensuite été dans des grosses ONG hanticap international, medecin du monde, mais pareil difficile de vivre de ces métiers.
Finalement j'ai decidé d'arreter de vouloir sauver le monde et afin de regler mes 1300euros pour 36m carré à Paris, j'ai multiplié les boulots en tant que vendeuse. Au bouts de seulement quelques heures à rester debout à attendre le client je devenais dingue.
J'ai commencé à dessiner pour m'occuper l'esprit, on m'a vite dit que c'était interdit. J'ai alors compter le nombre de vendeurs dans le centre commercial, le nombre de clients, le nombre de stands, le nombres de lampes enfin j'inventais plein de choses sans importances juste pour m'occuper l'esprit. Je ne tenais jamais longtemps bien évidement et après un ou deux mois je partais (je disais que je ne prolongeais pas ma période d'essaie) et j'allais ailleurs, toujours dans la vente (je trouve que cela en une semaine de recherche et le loyer n'attend pas!) pareil même manège je pars. J'ai du faire cela avec au moins 6 boutiques dans Paris. Depuis j'ai tout arrêté. Je ne gagne pratiquement pas d'argent aujourd'hui, je ne m’achète pratiquement rien en revanche je suis souvent en voyage. Je pars tout les 2 mois environs et la par exemple je pars 1mois au Japon, ensuite italie, djerba et amerique du sud. C'est une vie qui n'est pas "stable" mais je suis vraiment heureuse et épanouie, j'aime vraiment découvrir le monde.
A très bientot sur le forum
Bonjour,
Je me présente, je pompe des nœuds, des roses, des blancs, des flétris. Mon cul est tellement fréquenté que quand je pète ça fait pffffffff.
Mes jupes ne sont jamais assez courtes, mes talons jamais assez hauts, si tu m'encules pas, je te calcule pas, le blabla c'est pour les puceaux, les calimeros, les petits-bras.
Mes sœurs de la Sainte-Trinité de l'enfant Jésus, je me suis reconnue quand je vous ai vues.
Partageons mes sœurs, partageons le butin du jour, mettons en commun les produits du "pain-de-fesse".
Quand je vous dis qu'on peut écrire n'importe quoi sur ce forum.
Plus c'est gros plus ça passe.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Fata Morgana a écrit:
Ça serait bien que la masse laborieuse réalise que la musique contemporaine consiste dans le fait de massacrer deux pauvres accords, qui plus est avec un son pourri (tout le monde a sa même fausse vieille guitare) - et rendu frigide par un traitement numérique aussi chaleureux qu'une salle d'autopsie sur lesquels des gamins boutonneux ronchonnent des fadaises absurdes dont personne n'a rien à foutre.
le nouveau folk est de la pire imposture: un do, un fa, une gonzesse qui chiale un tube ! Bande de branleurs !
Si tu compares une partition de Claude François avec les éructations débilitantes qu'on nous assène sous le terme gâteux de "pop" tu t'aperçois que c'était un vrai génie, en rapport...
D'autre part on a droit à des "chansons". ( Qui sait encore faire de la musique ? ) Il faut comprendre par là un flot de paroles insensées, sans mélodie et monocordes porté par une pompe rythmique anémique de la part de mioches encore à la mamelle qui se découvrent on ne sait comment autant de choses à nous raconter. Depuis dix ans l'industrie du disque a crée une chanson, qu'elle recycle à l'infini et essaye de sauver ses royalties avec des vidéos ridicules. Aveu inconscient mais éclatant que si on s'en tenait à la seule musique, on changerait aussitôt de chaine. Soporifique, misérable harmoniquement, carrément malhonnête mélodiquement, la litanie incessante de cette troupe de robots calibrés pour pondre de la soupe à la merde, clonée sans cesse, pue l'arnaque pour gogos abêtis à plein nez. Qui fera fermer leurs gueules à ces crétins ? Ils font juste de la pub pour des salons de coiffure...
Bande de nazes, Fata.
Bande de nazes.
Dernière édition par Numero6 le Jeu 27 Aoû 2015 - 18:23, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
En voyageant avec en musique de fond Michel Sardou Greatest Hits, j'ai constaté que certains thèmes n'avaient plus droit de cité dans les chansons récentes, la majorité d'entre elles se limitant à explorer labobomonpetitcoeur.
Non seulement les paroles de Sardou ferait descendre dans la rue une vingtaines d'associations droitdelhommistes si elles étaient produites maintenant, elles passeraient surtout inaperçues tant leurs thèmes ne parleraient plus à personne.
Famille, parents, enfants, fierté, temps qui passe.
Et encore plus les vieux.
Toute une époque, quoi.
Une toute petite pour la route.
Non seulement les paroles de Sardou ferait descendre dans la rue une vingtaines d'associations droitdelhommistes si elles étaient produites maintenant, elles passeraient surtout inaperçues tant leurs thèmes ne parleraient plus à personne.
Famille, parents, enfants, fierté, temps qui passe.
Et encore plus les vieux.
Toute une époque, quoi.
Une toute petite pour la route.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
je viens d'avoir 20 au test MENSA, je me jette par la fenetre ?
Et il y en a qui répondent !
Non mais allo quoi !
C'est un forum de surdoués ou bien ?
Et comme personne ne flaire l'arnaque, c'est-à-dire que sa provoc d'enfer ne passe pas pour une arnaque, et que donc sa provoc le laisse anonyme, il rajoute :
Mily : très très vrai plus tu lis des choses plus tu vas t'identifier à ce que tu vas lire, c'est peu être ce qui vient de m'arriver depuis quelques temps à force de lire des témoignagnes sur la douance je me dis "oh c'est exactement moi"...
floubarou : mon dieu 36 sur 40 ! wahou
Et comme ça ne suffit à bien faire passer son message sur les zèbres, il crée un autre pseudo pour bien dire aux gens "mais putain, mais puisque je vous dis que je vous traite de con, mais c'est moi, MOI, le Lapin Crétin".
Ah non, il s'est méfié, il a effacé le message qui signalait qu'il ne se foulait pas trop pour choisir un autre pseudo bidon.
C'est énooooorrrmmmeeee.
Mais c'est pas possible, on peut vous faire bouffer n'importe quoi pour peu qu'on utilise les termes douances, mensa, QI.
Enoooorrrmmmeeeee.
Numero6, le dernier paranoïaque encore vivant.
Chacal, t'es pas obligé de cafter, petite bite.
animalsinstinct a écrit:Les boules, 20 bonnes réponses sur 40 questions, quelle claque !
est-il possible d'avoir un bon score ailleurs? a chaque questions avec dominos , cartes, figures geometriques je me sens comme une poule regardant un couteau , à la masse.
Par contre j'ai toujours des bonnes réponses des qu'il y a des mots.
Je crois qu'en fait je ne suis pas surdouée du tout au vu de ce résultat, ainsi va la vie. Mais je me reconnais en tout points dans les livres sur les adultes surdoués.
Et il y en a qui répondent !
Non mais allo quoi !
C'est un forum de surdoués ou bien ?
Et comme personne ne flaire l'arnaque, c'est-à-dire que sa provoc d'enfer ne passe pas pour une arnaque, et que donc sa provoc le laisse anonyme, il rajoute :
Mily : très très vrai plus tu lis des choses plus tu vas t'identifier à ce que tu vas lire, c'est peu être ce qui vient de m'arriver depuis quelques temps à force de lire des témoignagnes sur la douance je me dis "oh c'est exactement moi"...
floubarou : mon dieu 36 sur 40 ! wahou
Et comme ça ne suffit à bien faire passer son message sur les zèbres, il crée un autre pseudo pour bien dire aux gens "mais putain, mais puisque je vous dis que je vous traite de con, mais c'est moi, MOI, le Lapin Crétin".
Ah non, il s'est méfié, il a effacé le message qui signalait qu'il ne se foulait pas trop pour choisir un autre pseudo bidon.
C'est énooooorrrmmmeeee.
Mais c'est pas possible, on peut vous faire bouffer n'importe quoi pour peu qu'on utilise les termes douances, mensa, QI.
Enoooorrrmmmeeeee.
Numero6, le dernier paranoïaque encore vivant.
Chacal, t'es pas obligé de cafter, petite bite.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
erreureeee
Le père Dupanloup a écrit:
Je m'introduy ché vous parsse que je me rettrouve vahcment dans tou ce ke je li.
Je suis kaissuère à Prisunique, j'ai pacé un test d'urine à 14 ans et je crois que je suis surdouée, j'ai rempli entièrement le flacon.
Je vis seule, les mecs me fuient dés que j'enlève mon niqab, les rares qui me baisent me mettent l'oreiller sur la tête.
Tous mes problèmes de communication viennent d'une sensibilité zextrèm.
Je voudrais passer un Waisse mais j'ai pas un rond, parce que je suis en fin de droits.
Qu'en pensez-vous ?
Et là, ce coup-ci, ça se voit que je me fous de votre gueule ou bien ?
Vous commencez à me faire douter les enfants !
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je cherche à retrouver une vidéo ou le chanteur déguisé en toubib découvre sur une radio de la tête ce que veulent les femmes, des sucettes.
Ça vous dit quelque chose ?
Ça vous dit quelque chose ?
Dernière édition par Numero6 le Jeu 27 Aoû 2015 - 19:09, édité 2 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est bien celle-là.
Merci Nath
Merci Nath
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Comment ça j'ai triché ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Algorithme du Lapin Crétin
10 Je suis une merde surdouée
20 Je sens une vergence de la force en ta présence
30 As-tu jamais considéré que toi aussi tu puisses être une merde ?
40 Pour le coté surdoué on verra plus tard
50 Tu ne peux pas me comprendre, je suis surdoué
Non, c'est au cas où des fois y en aurait qui serait un peu long à la détente chez les zèbres.
10 Je suis une merde surdouée
20 Je sens une vergence de la force en ta présence
30 As-tu jamais considéré que toi aussi tu puisses être une merde ?
40 Pour le coté surdoué on verra plus tard
50 Tu ne peux pas me comprendre, je suis surdoué
Non, c'est au cas où des fois y en aurait qui serait un peu long à la détente chez les zèbres.
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'en connais.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La faiblesse du Lapin Crétin c'est qu'il ne connait qu'un seul algorithme.
Comme quoi les surdoués...
Comme quoi les surdoués...
Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
- :
- Numero6 a écrit:- Pardonnez-moi mon père parce que j'ai péché.
- Je vous écoute mon fils
- Mon père, je vais bientôt mourir, j'ai besoin de dénoncer mes fautes. J'ai frappé, insulté, méprisé des êtes innocents. Par un odieux cynisme, une fois mes crimes perpétués, je reprenais mon comportement de Tartuffe parfaitement respectueux de mes contemporains.
- Mais de qui parlez-vous mon fils ?
- Je m'attaquais à des êtres sans défense, et si je m'en prenais à eux c'est précisément parce qu'ils ne pouvaient pas se défendre. Jamais de témoin. Je voudrais leur demander pardon mais je sais que c'est trop tard, le mal est fait.
- Mais ces enfants, ils n'avaient pas de parents, pas d'entourage pour entendre leur souffrance ?
- Quels enfants mon père ? Moi je vous parle des ascenseurs. Le démon suivait mes pas et quand il me voyait entrer seul dans un ascenseur il enivrait mon âme de l'instinct de la bête.
Je retombais au niveau de l'animal le plus sauvage.
J'en percutais les parois avec une cruauté inouïe et mon marteau caoutchouté, pas de trace, pas d'ADN.
Mon visage de gargouille se déformait sous l'emprise de Belzébuth.
- Et personne n'a réussi à faire fuir le démon, personne n'a jamais eu le moindre doute sur la présence de Satan ?
- Jamais mon père, dés que je sortais de l'ascenseur je reprenais mon apparence d'honnête homme, personne ne pouvait détecter l'influence du Malin.
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si tu prends juste cette phrase musicale, je trouve que ça sonne énormément comme ce hit absolu.
Je dis ça, je dis rien.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Claude François...
Mireille Mathieu...
Fata: 1
N6: 1
Mireille Mathieu...
Fata: 1
N6: 1
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Écarte les cuisses, cuisses, cuisses, voilà que ça glisse, glisse, glisse...
Il existe un point commun aux stratégies de subversion, aux techniques de domination, la cible est priée de s'ouvrir.
C'est le point de départ de toute domination, l'ouverture.
Les Européens se sont étonnés lorsque les USA, en échange du plan Marshall, n'ont demandé que l'ouverture de leur marché aux productions culturelles US, Comics, films...
Sans ouverture, aucune domination n'est possible. Pour une raison simple, celui qui n'est pas ouvert est sur son terrain, le territoire où prévalent ses règles.
C'est facile de repérer quelqu'un qui souhaite vous imposer ses idées, il vous demande d'être plus ouvert. Traduisez : remplacer vos idées par les siennes.
Dans la vie de tous les jours, je trouve qu'il y a une technique assez efficace pour renvoyer l'intrus dans les cordes : revendiquer un truc sans importance.
J'ai vu plusieurs fois chaque film de "La 7° compagnie". J'adore.
C'est un très bon test pour détecter les preneurs de tête. En cette terre de désolation et de souffrances, que j'aime ou pas ces films grands publics n'a absolument aucune espèce d'importance. Mais alors vraiment aucune. Si je ne les aimais pas je suis prêt à parier que la terre continuerait à tourner dans le même sens.
Donc si un importun cherche à me démontrer que ces films sont de la daube et que pour mon équilibre mental je dois m'en désintoxiquer, ce type est un pervers psychopathe de la pire espèce. Mon viseur est en place. Toi, je te lâche plus. Tu es mort et tu ne le sais pas encore.
Ne jamais baisser les bras, toujours revendiquer le plaisir, la joie de regarder ces films.
Cette stratégie permet de mettre en relief l'acharnement en face.
Il utilise la dérision, il fait appel au bon sens, il emploie les artifices du désir mimétique, comment peux-tu apprécier des films considérés par la majorité comme des œuvres de débile pour les débiles ?
Peux pas te dire, j'aime bien.
Ce n'est pas du tout évident, par simple souci d'apaisement il est très tentant de dévaloriser ces chefs-d’œuvre absolus de la pantalonnade à la française, de tenter de mettre fin au pilonnage de l'agresseur. De se désolidariser de ces films.
Il a gagné. Il vous a interdit la liberté d'aimer les films que vous aimez, il vous a interdit la naïveté de le dire.
Il vient de vous baiser, le petit salopard. Et il n'a pas fini de le faire.
Ne jamais baisser les bras, revendiquer ce tout petit bout de réalité, la protéger comme un trésor. Celui qui me refuse cela est obligatoirement un envahisseur. Les gens normaux au pire se foutent éperdument que j'apprécie ça, au mieux s'en servent pour se foutre de ma gueule, Numero6, celui qui adore la 7° compagnie, le fil blanc sur le bouton vert.
Ne jamais, jamais, avoir peur de passer pour un con. Ne jamais baisser pavillon. Personne n'est jamais mort d'apprécier la 7° compagnie.
C'est comme la toupie dans Inception. Trouvez vous votre toupie, le truc idiot que vous défendrez jusqu'à la mort. Ceux qui sont assez pervers pour vous attaquer sur ce point dévoileront leurs intentions très vite. Celui qui déploie autant d'efforts pour me dissuader d'apprécier les aventures du Sergent Chaudard, quelle énergie va-t-il mettre en œuvre pour le reste, tout le reste ?
Ma toupie à moi ce sont les talons hauts et les porte-jarretelles. C'est fou ce que j'ai pu faire le tri grâce à ça !
Je m'accorde le droit imprescriptible et inaliénable d'adorer les talons hauts. Quiconque cherche à m'en dissuader est hautement suspect.
Trouvez vous si possible un truc super con que vous adorez. Et ne lâchez jamais, gardez sur votre visage le sourire radieux du gamin à Noël quand vous en parlez. Les gens normaux trouveront ça attendrissant ou sympathique. Les autres...
Il existe un point commun aux stratégies de subversion, aux techniques de domination, la cible est priée de s'ouvrir.
C'est le point de départ de toute domination, l'ouverture.
Les Européens se sont étonnés lorsque les USA, en échange du plan Marshall, n'ont demandé que l'ouverture de leur marché aux productions culturelles US, Comics, films...
Sans ouverture, aucune domination n'est possible. Pour une raison simple, celui qui n'est pas ouvert est sur son terrain, le territoire où prévalent ses règles.
C'est facile de repérer quelqu'un qui souhaite vous imposer ses idées, il vous demande d'être plus ouvert. Traduisez : remplacer vos idées par les siennes.
Dans la vie de tous les jours, je trouve qu'il y a une technique assez efficace pour renvoyer l'intrus dans les cordes : revendiquer un truc sans importance.
J'ai vu plusieurs fois chaque film de "La 7° compagnie". J'adore.
C'est un très bon test pour détecter les preneurs de tête. En cette terre de désolation et de souffrances, que j'aime ou pas ces films grands publics n'a absolument aucune espèce d'importance. Mais alors vraiment aucune. Si je ne les aimais pas je suis prêt à parier que la terre continuerait à tourner dans le même sens.
Donc si un importun cherche à me démontrer que ces films sont de la daube et que pour mon équilibre mental je dois m'en désintoxiquer, ce type est un pervers psychopathe de la pire espèce. Mon viseur est en place. Toi, je te lâche plus. Tu es mort et tu ne le sais pas encore.
Ne jamais baisser les bras, toujours revendiquer le plaisir, la joie de regarder ces films.
Cette stratégie permet de mettre en relief l'acharnement en face.
Il utilise la dérision, il fait appel au bon sens, il emploie les artifices du désir mimétique, comment peux-tu apprécier des films considérés par la majorité comme des œuvres de débile pour les débiles ?
Peux pas te dire, j'aime bien.
Ce n'est pas du tout évident, par simple souci d'apaisement il est très tentant de dévaloriser ces chefs-d’œuvre absolus de la pantalonnade à la française, de tenter de mettre fin au pilonnage de l'agresseur. De se désolidariser de ces films.
Il a gagné. Il vous a interdit la liberté d'aimer les films que vous aimez, il vous a interdit la naïveté de le dire.
Il vient de vous baiser, le petit salopard. Et il n'a pas fini de le faire.
Ne jamais baisser les bras, revendiquer ce tout petit bout de réalité, la protéger comme un trésor. Celui qui me refuse cela est obligatoirement un envahisseur. Les gens normaux au pire se foutent éperdument que j'apprécie ça, au mieux s'en servent pour se foutre de ma gueule, Numero6, celui qui adore la 7° compagnie, le fil blanc sur le bouton vert.
Ne jamais, jamais, avoir peur de passer pour un con. Ne jamais baisser pavillon. Personne n'est jamais mort d'apprécier la 7° compagnie.
C'est comme la toupie dans Inception. Trouvez vous votre toupie, le truc idiot que vous défendrez jusqu'à la mort. Ceux qui sont assez pervers pour vous attaquer sur ce point dévoileront leurs intentions très vite. Celui qui déploie autant d'efforts pour me dissuader d'apprécier les aventures du Sergent Chaudard, quelle énergie va-t-il mettre en œuvre pour le reste, tout le reste ?
Ma toupie à moi ce sont les talons hauts et les porte-jarretelles. C'est fou ce que j'ai pu faire le tri grâce à ça !
Je m'accorde le droit imprescriptible et inaliénable d'adorer les talons hauts. Quiconque cherche à m'en dissuader est hautement suspect.
Trouvez vous si possible un truc super con que vous adorez. Et ne lâchez jamais, gardez sur votre visage le sourire radieux du gamin à Noël quand vous en parlez. Les gens normaux trouveront ça attendrissant ou sympathique. Les autres...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
I get people to truly accept themselves unconditionally, whether or not their therapist or anyone loves them.
Albert Ellis
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Numero6- Messages : 6843
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
The best years of your life are the ones in which you decide your problems are your own. You do not blame them on your mother, the ecology, or the president. You realize that you control your own destiny.
Albert Ellis
La guerre c'est rien à coté de la mère Crousy.
Albert Ellis
La guerre c'est rien à coté de la mère Crousy.
Numero6- Messages : 6843
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Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Qu'est ce qu'il faut pas faire pour faire manger de la soupe aux enfants..
Et sinon, mon petit George, t'as pas un couteau qui coupe?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
De la tyrannie au quotidien
Une brillante personne, vraiment brillante, se gaussait d'une de ses amies amatrice de la 7° compagnie.
Pour bien valoriser la différence de niveau entre elles, j'ai eu le droit à la cinémathèque, la nouvelle vague, les cahiers du cinéma et tous les poncifs des crétins cultivés.
Bon, moi, préférer La chasse du comte Zaroff ou Mon curé chez les nudistes, tu penses bien si je m'en fous totalement. Chacun prend son plaisir là où il le trouve.
Les gens qui se font plaisir dans la vie, surtout quand ils auraient un peu tendance à faire les cons, sont certainement ceux dont la compagnie est la plus agréable.
Mais que voilà un sujet qui m'indiffère total, qui aime quoi.
La question de la mort qui tue n'a pas tardé.
- Et toi, tu citerais quel film si tu devais n'en citer qu'un.
- Alien.
- Ah non ! Moi, je n'ai pas aimé du tout.
La malheureuse. Deux mots de trop. Je lui ai fait bouffé du Giger, du Sigourney Weaver, du thème si actuel des humains sacrifiés par la Compagnie pour préserver une arme potentielle, le travelling fabuleux du Nostromo, la cohérence des décors qui s'est étiolé dans les séquelles, Alien sans Giger. Ah tu n'aimes pas Alien, tu vas en bouffer de la grosse bestiole extra-terrestre. Cinématographie complète de Ridley Scott. T'aime pas la soupe ? Je vais t'en faire bouffer moi.
J'accorde à quiconque le droit le plus absolu de ne pas aimer Alien.
J'interdis à quiconque le droit de m'interdire d'aimer Alien.
- "Moi, je n'ai pas aimé du tout". OK. Je prends, je mange, j'avale sans broncher. Déjà je trouve que ce n'est pas très sympa, on me demande ce que j'aime, je le dis. Je n'ai pas demandé à savoir que l'autre ne l'aimait pas. Mais ça reste indéniable : l'autre n'aime pas Alien. Non négociable.
C'est le "Ah non" qui m'a foutu les boules.
Quoi "Ah non" ? Si ! J'ai adoré ce film.
Et quelque part, je t'emmerde.
Une brillante personne, vraiment brillante, se gaussait d'une de ses amies amatrice de la 7° compagnie.
Pour bien valoriser la différence de niveau entre elles, j'ai eu le droit à la cinémathèque, la nouvelle vague, les cahiers du cinéma et tous les poncifs des crétins cultivés.
Bon, moi, préférer La chasse du comte Zaroff ou Mon curé chez les nudistes, tu penses bien si je m'en fous totalement. Chacun prend son plaisir là où il le trouve.
Les gens qui se font plaisir dans la vie, surtout quand ils auraient un peu tendance à faire les cons, sont certainement ceux dont la compagnie est la plus agréable.
Mais que voilà un sujet qui m'indiffère total, qui aime quoi.
La question de la mort qui tue n'a pas tardé.
- Et toi, tu citerais quel film si tu devais n'en citer qu'un.
- Alien.
- Ah non ! Moi, je n'ai pas aimé du tout.
La malheureuse. Deux mots de trop. Je lui ai fait bouffé du Giger, du Sigourney Weaver, du thème si actuel des humains sacrifiés par la Compagnie pour préserver une arme potentielle, le travelling fabuleux du Nostromo, la cohérence des décors qui s'est étiolé dans les séquelles, Alien sans Giger. Ah tu n'aimes pas Alien, tu vas en bouffer de la grosse bestiole extra-terrestre. Cinématographie complète de Ridley Scott. T'aime pas la soupe ? Je vais t'en faire bouffer moi.
J'accorde à quiconque le droit le plus absolu de ne pas aimer Alien.
J'interdis à quiconque le droit de m'interdire d'aimer Alien.
- "Moi, je n'ai pas aimé du tout". OK. Je prends, je mange, j'avale sans broncher. Déjà je trouve que ce n'est pas très sympa, on me demande ce que j'aime, je le dis. Je n'ai pas demandé à savoir que l'autre ne l'aimait pas. Mais ça reste indéniable : l'autre n'aime pas Alien. Non négociable.
C'est le "Ah non" qui m'a foutu les boules.
Quoi "Ah non" ? Si ! J'ai adoré ce film.
Et quelque part, je t'emmerde.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Heu... Sahana, tu comptes en faire quoi exactement du couteau ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'pense qu'il te plairait ce film...
et celui là...
et celui là...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je suis en train de lire une série d'ouvrages de sociologie absolument remarquables de finesse dans l'analyse, la série des Petit Nicholas de René Goscinny.
Mais ce qui me séduit le plus, c'est l'évidence des comportements humains, si finement analysé et traduit dans un langage enfantin.
Il existe un leitmotiv qui revient dés que les garçons sont ensemble. Ils se foutent sur la gueule et ils trouvent qu'ils rigolent bien.
Ce que les femmes pourraient qualifier de Clash of Clans.
Mais il y a vraiment tout dans ces petits bouquins.
Aucun argumentaire scientifique ne saura expliciter si merveilleusement les Hautes Capacités de Fouteuses de Merde des filles.
C'est frais et ça se mange sans pain.
Ce qui extraordinaire c'est qu'à aucun moment il n'existe de jugement de valeur.
C'est juste que ça se passe comme ça.
Tout y est !
Plus besoin de parler des ravages de la féminisation de notre société.
La seule chose que Goscinny n'avait pas prévu c'était que les garçons finiraient par se transformer en fouteuses de merde au lieu de rigoler à se mettre des baffes sur le nez.
Même les génies ont des limites.
- Coté humour de zèbre, je suis servi.:
- Hier, on a eu un nouveau professeur de gymnastique.
—
Je m’appelle Hector Duval, il nous a dit, et vous?
—
Nous pas, a répondu Fabrice, et ça, ça nous a fait drôlement rigoler.
Mais ce qui me séduit le plus, c'est l'évidence des comportements humains, si finement analysé et traduit dans un langage enfantin.
Il existe un leitmotiv qui revient dés que les garçons sont ensemble. Ils se foutent sur la gueule et ils trouvent qu'ils rigolent bien.
- Eude:
- C’est pas vrai, sale menteur! a répondu Côme et Fabrice lui a donné une gifle. Côme, il est resté un peu étonné et puis il a commencé à donner des coups de pied à Fabrice, et puis Fructueux a voulu prendre mon crayon juste quand j’allais écrire "Autriche" et je lui ai donné un coup de poing sur le nez, alors Fructueux a fermé les yeux et il a donné des claques partout et Irénée en a reçu une et puis Mamert demandait en criant : « Eh, les gars ! Asnières, c’est un pays ? »
On faisait tous un drôle de bruit et c’était chouette comme une récré, quand, bing! il y a un cendrier qui est tombé par terre.
Ce que les femmes pourraient qualifier de Clash of Clans.
Mais il y a vraiment tout dans ces petits bouquins.
Aucun argumentaire scientifique ne saura expliciter si merveilleusement les Hautes Capacités de Fouteuses de Merde des filles.
C'est frais et ça se mange sans pain.
Ce qui extraordinaire c'est qu'à aucun moment il n'existe de jugement de valeur.
C'est juste que ça se passe comme ça.
- On a joué à la marchande:
- Ce qu’il y a avec les filles, c’est que ça ne sait pas jouer, ça pleure tout le temps et ça fait des histoires. A l’hôtel, il y en a trois.
Les trois filles qu’il y a à l’hôtel s’appellent Isabelle, Micheline et Gisèle. Gisèle, c’est la soeur de mon copain Fabrice et ils se battent tout le temps et Fabrice m’a expliqué que c’était très embêtant d’avoir une fille comme soeur et que si ça continuait, il allait quitter la maison.
Quand il fait beau et que nous sommes à la plage, les filles ne nous gênent pas. Elles jouent à des jeux bêtes, elles font des tas de pâtés, elles se racontent des histoires et puis avec des crayons, elles se mettent du rouge sur les ongles. Nous, avec les copains, on fait des choses terribles. On fait des courses, des galipettes, du foot, on nage, on se bat. Des choses chouettes, quoi.
Mais quand il ne fait pas beau, alors, c’est autre chose, parce qu’on doit tous rester à l’hôtel ensemble. Et hier, il ne faisait pas beau, il pleuvait tout le temps. Après le déjeuner, on a eu des raviolis et c’était drôlement meilleur que le ragoût, nos papas et nos mamans sont partis faire la sieste. Avec Blaise, Fructueux, Mamert, Irénée, Fabrice et Côme, tous des copains de l’hôtel, on
était dans le salon et on jouait aux cartes, sans faire de bruit. On ne faisait pas les guignols, parce que quand il pleut, les papas et les mamans, ça ne rigole pas. Et pendant ces vacances, c’est souvent que les papas et les mamans n’ont pas rigolé.
Et puis, les trois filles sont entrées dans le salon.
—
On veut jouer avec vous, a dit Gisèle.
—
Laisse-nous tranquilles, ou je te flanque une claque, Zésèle ! a dit Fabrice. Ça, ça ne lui a pas plu à Gisèle.
—
Si on ne peut pas jouer avec vous, tu sais ce que je vais faire, Fafa? a dit Gisèle. Eh bien, j’irai tout raconter à papa et à maman et tu seras puni, et tes copains seront punis et vous n’aurez pas de dessert.
—
Bon, a dit Mamert, mais qu’il est bête celui-là! Vous pouvez jouer avec nous.
—
Toi,on t’a pas sonné, a dit Fabrice. Alors, Mamert s’est mis à pleurer, il a dit qu’il n’avait pas envie d’être puni, que c’était pas juste et que s’il était privé de dessert, il se tuerait. Nous, on était embêtés, parce qu’avec tout le bruit que faisait Mamert, il allait finir par réveiller nos papas et nos mamans.
—
Alors, qu’est-ce qu’on fait ? j’ai demandé à Irénée.
—
Bof, m’a répondu Irénée, et on a décidé de laisser jouer les filles avec nous.
—
A quoi on joue? a demandé Micheline, une grosse qui me fait penser à Alceste, un copain de l’école qui mange tout le temps.
—
On joue à la marchande, a dit Isabelle.
—
T’es pas un peu folle? a demandé Fabrice.
—
C’est bon, Fafa, a dit Gisèle, je vais réveiller papa. Et tu sais comment est papa quand on le réveille! Alors Mamert s’est mis à pleurer et il a dit qu’il voulait jouer à la marchande. Blaise a dit que plutôt que de jouer à la marchande, il préférait aller réveiller lui-même le papa de Fabrice. Mais Fructueux a dit qu’il croyait que ce soir il y avait de la glace au chocolat comme dessert, alors, on a dit, bon d’accord.
Gisèle s’est mise derrière une table du salon, et sur la table elle a mis les cartes et puis des cendriers et elle a dit qu’elle serait la marchande et que la table ce serait le comptoir, et que ce qu’il y avait sur la table ce serait les choses qu’elle vendait et que nous, on devait venir et lui acheter les choses.
—
C’est ça, a dit Micheline, et moi, je serais une dame très belle et très riche et j’aurais une auto et des tas de fourrures.
—
C’est ça, a dit Isabelle, et moi, je serais une autre dame, encore plus riche et encore plus belle, et j’aurais une auto avec des fauteuils rouges comme celle de tonton Jean-Jacques, et des chaussures avec des talons hauts.
—
C’est ça, a dit Gisèle, et Côme, ce serait le mari de Micheline.
—
Je veux pas, a dit Côme.
—
Et pourquoi tu veux pas? a demandé Micheline.
—
Parce qu’il te trouve trop grosse, voilà pourquoi, a dit Isabelle. Il préfère être mon mari à moi.
—
C’est pas vrai ! a dit Micheline et elle a donné une claque à Côme et Mamert s’est mis à pleurer. Pour faire taire Mamert, Côme a dit qu’il serait le mari de n’importe qui.
—
Bon, a dit Gisèle, alors, on va commencer à jouer. Toi, Nicolas, tu serais le premier client, mais comme tu serais très pauvre, tu n’aurais pas de quoi acheter à manger. Alors moi, je serais très généreuse, et je te donnerais des choses pour rien.
—
Moi, je joue pas, a dit Micheline, après ce que m’a dit Isabelle, je ne parlerai plus jamais à personne.
—
Ah! la la! mademoiselle fait des manières, a dit Isabelle, tu crois que je ne sais pas ce que tu as dit de moi à Gisèle quand je n’étais pas là?
—
Oh! La menteuse! a crié Micheline, après tout ce que tu m’as dit de Gisèle!
—
Qu’est-ce que tu as dit de moi à Micheline, Isabelle ? a demandé Gisèle.
—
Rien, j’ai rien dit de toi à Micheline, voilà ce que j’ai dit, a dit Isabelle.
—
Tu as du toupet, a crié Micheline, tu me l’as dit devant la vitrine du magasin, là où il y avait le maillot noir avec des petites fleurs roses, celui qui m’irait si bien, tu sais ?
—
C’est pas vrai, a crié Isabelle, mais Gisèle m’a raconté ce que tu lui avais dit de moi sur la plage.
—
Dites, les filles, a demandé Fabrice, on joue, oui ou non? Alors, Micheline a dit à Fabrice de se mêler de ce qui le regardait et elle l’a griffé.
—
Laisse mon frère tranquille ! a dit Gisèle et elle a tiré les nattes de Micheline et Micheline s’est mise à crier et elle a donné une claque à Gisèle et ça, ça a fait rigoler Fabrice, mais Mamert s’est mis à pleurer et les filles faisaient un drôle de bruit et des tas de papas et de mamans sont descendus dans le salon et ils ont demandé ce qui se passait.
—
Ce sont les garçons qui ne nous laissent pas jouer tranquilles à la marchande, a dit Isabelle.
Alors, on a été tous privés de dessert.
Et Fructueux avait raison, ce soir-là, c’était la glace au chocolat!
Tout y est !
Plus besoin de parler des ravages de la féminisation de notre société.
La seule chose que Goscinny n'avait pas prévu c'était que les garçons finiraient par se transformer en fouteuses de merde au lieu de rigoler à se mettre des baffes sur le nez.
Même les génies ont des limites.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Spéciale dédicace
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu comprends ma devise "jamais avant la ménopause !"
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
N6 a écrit:
La seule chose que Goscinny n'avait pas prévu c'était que les garçons finiraient par se transformer en fouteuses de merde au lieu de rigoler à se mettre des baffes sur le nez.
Wala c'est ça. Tout fout le camp je te dis.
Le couteau? Ah non, c'est juste pour me détacher d'ici. S'tu veux après je te le laisse. Ou pas.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Décidément la meilleure file, avec les interventions déjantée de Numero6.
Moi je suis tombé dans le panneau du 20 sur 40...la truffe !
Moi je suis tombé dans le panneau du 20 sur 40...la truffe !
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est quoi le truc avec le lapin crétin? Parce que je me sens visé sans trop comprendre pourquoi et ça ne me plait pas trop.
Invité- Invité
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