Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
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Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
nikko76 a écrit:je jette tous les jours un oeil à cette file....elle me met de bonne humeur...tu as le côté cabotin, plein de verve, d'un LF Céline.Et des coups d'oeils vraiment intéressants sur pas mal de sujets... Voilà pour flatter ton égo.
Pas encore lu Murray...faut qu je passe commande chez amazon ( non, boite de merde.) Je vais plutôt fureter chez mes bouquinistes préférés de la place Hoche : eux, ils aiment vraiment les livres.
Notre temps est si rongé de bonnes intentions, si désireux de faire le bien qu'il voit le mal partout.
L'Empire du bien est son ouvrage de référence.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Notre temps est si rongé de bonnes intentions, si désireux de faire le bien qu'il voit le mâle partout.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Numero6 a écrit: rappelons-nous l'adage "c'est plus fatiguant de tendre le poing que d'ouvrir la bouche".
Sauf pour le manchot !
Ah mais, t'imagines la complainte d'un phoque sur une jetée en Alaska, assis AUTOUR d'une bite gonflable ?
"On parle pas la bouche pleine !" Suce...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Stroumph grognon, il y a deux pseudo dont j'ai mis plusieurs mois à saisir le sens, Carla de Miltraize et toi.
Je dis ça, je dis rien.
Je dis ça, je dis rien.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Très bonne, la citation. Je vais chercher l'empire du bien...
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben moi je viens juste de saisir celui de Carla.
Je dis tout jeudi !
Je dis tout jeudi !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
nikko76 a écrit:Très bonne, la citation. Je vais chercher l'empire du bien...
Préfère l'empire des sens...
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
tu as envie de finir la bite coupée net, suce ces p'tits bleus ? Moi pas trop...je vais donc rester sur l'empire du bien. La thématique de son livre me plait bien, du reste...vu ce que j'ai pu en grappiller ici et là ces 10 dernières minutes.
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
J'ai comme l'intuition que l'empire du bien est bien plus castrateur.
Invité- Invité
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Dernière édition par _ le Lun 28 Sep 2015 - 22:11, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ben enfin tore ! Numéro6 y s'en fout des PN ! Il a bien assez à faire avec les sorcières !!
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ce matin, foin de cette humeur atrabilaire si fréquente sur ce fil, ma configuration astrale vient de faire volte-face, je ne suis plus que délicatesse, amour et évanescence éthérée.
Je voudrais vous faire partager cette paix intérieure, comme saura vous en convaincre le titre du spoiler.
Je voudrais vous faire partager cette paix intérieure, comme saura vous en convaincre le titre du spoiler.
- Putain de gonzesses !:
Font chier ces connes, ça chouine pour un rien, ça n'aime pas le foot, ça déteste la violence physique, ça se pâme sur le lac des cygnes et ça vénèrent des couleurs à la con comme le fuchsia ou le mauve.
Et puis alors, susceptibles de suce ces petits bleus, t'essaye de lui montrer que tu en as dans le pantalon, que tu niques sa race au mâle alpha, tu lui laisse cigler la douloureuse par respect de son autonomie, tu lui expliques la vie, tu lui apprends ce dont elle a besoin, alors qu'elle ne le sait pas elle-même, merde, mais que veut-elle de plus ?
Elles s'intéressent aux fringues, aux chaussures, aux spartiates, aux mules, aux bottines, aux Converse, ce qui reste quand même, quoi qu'on en dise, des pompes.
Si jamais tu ne remplis pas les cases, elles s'en occupent, si tu ne détailles pas par le menu le pourquoi du comment qu'elles te mettent les organes en effervescence, elles sont capables de t'inventer des perversités insoutenables.
Ah et puis alors la causette ! Parler, échanger, communiquer, maintenir le contact, sentir, éprouver, ressentir, bon, mais quand est-ce qu'on baise ? c'est bien beau tout ça mais ça n'éponge pas les aumônières.
Sans compter cette éternelle sensation de manque, d'incomplétude, du besoin d'être remplie, comblée, en un mot : satisfaite. Pire : comprise.
Cette foutue manie de noyer le poisson, de créer un rideau de fumée, d'effectuer un double-salto inversé au lieu de parler franchement. Après elle s'offusque qu'on ne les comprenne pas !
Comment voulez-vous comprendre qu’apprêtée au maximum des ses ressources, flattée sur sa coiffure, sa robe, ses pieds, son intelligence, quand elle prononce "j'ai l'impression que je ne te plais pas", il faille comprendre "tu ne me plais pas" ? Mais savent-elles qu'il existe ce qu'on appelle un langage articulé ? Le but n'est pas seulement de produire des sons les plus aigus ou les plus graves.
Et puis les filles, elles font toujours comme si on était sourds comme des pots, c'est pas trois fois qu'elles nous expliquent, c'est trois mille fois. Ceci dit on ne comprend pas plus à la première qu'à la trois millième fois ce qu'elles racontent, ce doit être codé. Ceci n'aurait pas grande importance, de toute façon pour ce qu'elles ont à dire... mais c'est ce bruit de fond permanent qui finit par ébranler la patience du plus résistant des hommes, comme un marteau-piqueur dans la rue.
Il y a des jours où je me demande si elles n'auraient pas tendance à penser qu'elles peuvent nous dire n'importe quoi, au prétexte que de toutes façons, on s'en fout et qu'on ne comprend rien. C'est quand même la meilleure celle-là ! Ils ne leur viendraient jamais à l'esprit d'utiliser un langage cohérent ?
Égalité, égalité, égalité, elles n'ont que ce mot-là à la bouche. Je ne vois pas bien le principe du truc. Quand je regarde le cul d'une gonzesse, il ne me faut pas un logiciel de la NASA pour faire la distinction avec celui d'un pote, le premier m'inspire, le deuxième je ne peux pas vous dire exactement, je n'ai jamais regardé.
Il faut bien reconnaitre que tous ces petits détails n'aident pas. Bof, à force, on fait avec. Pas le choix, sinon c'est Vivagel et Veuve Poignet. De toute façon, on encaisse, et d'autant mieux que s'il fallait les écouter, on n'en finirait jamais. Alors elles font semblant d'utiliser un langage logique, et on fait semblant de croire qu'on y accorde de la valeur.
Qu'elles continuent de nous frapper avec leurs petits mots musclés, on fera semblant d'en souffrir.
Paix, amour et réconciliation.
Non, je crois que le pire, ce qui les met dans des états de fureur inimaginable, c'est quand on les retourne pour la leur faire à l'envers. Tourne-toi chérie je vais t'ouvrir des horizons. Et ça couine, et ça vitupère et ça proteste, ça appelle sa mère, la nature, ça prend à témoin les copines, les éternelles rivales.
Le pire du pire c'est quand un homme est plus intelligent, plus réceptif, plus flou, plus faux-cul, plus affirmatif, plus à double-sens qu'elles. Oh putain, ça c'est redoutable, leur logiciel bug, comprennent plus rien.
En gros quand le mec leur renvoie cette image de bourrin qu'elles voudraient exclusivement masculine.
Parce que le malheureux qui possède le décodeur, c'est tant pis pour sa gueule, il entend tout, à son corps défendant. Messieurs, ne faites jamais l'erreur fatale d'écouter ce qui se dit dans un vestiaire de sport de Fitness, marais fétide d'où émanent sans aucune pudeur des odeurs diaboliques et des considérations sur le sexe et l'amour dignes de "dépeçage et équarrissage du veau sous la mère". C'est pire que de se prendre le TGV dans les gencives. La femme sensible et fragile, pleine de finesse et de délicatesse, tu parles d'une morue, oui. Fini le mystère féminin, terminé les rêves de princesse, la violence du rapport de force t'explose la tronche. Rien n'est innocent, rien n'est fortuit, tu t'aperçois que les femmes ne parlent jamais pour rien et que leur détermination ferait pâlir d'envie une section du SWAT.
Rien dans leur entrainement ne les prépare à l'imprévisible, qu'un mec dispose du même câblage, des mêmes connexions, des mêmes logiciels, des mêmes radars sensibles comme des puceaux. Haute trahison. C'est tellement imprévisible que pour elles c'est impossible, ça ne peut pas exister.
Depuis le début de l'humanité aucune femme n'a jamais trahi, aucune femme n'a révélé à un homme cette logique implacable. Trop risqué, suicidaire. Le plan de bataille est soigneusement crypté par des mamours, des choupinets d'amour, des poutous plein de tout pour mon doudou. Le camouflage est parfait, la propagande permanente, les frappes chirurgicales ininterrompues, la stratégie n'a pas changé depuis l'aube de l'humanité.
Le lavage de cerveau qu'elles nous infligent est si totalitaire, forcément si parfait parce qu'élaboré par des femmes, donc parfait, que pas une seule seconde elles ne supposent qu'une de leurs victimes soumises ait échappé aux séances de conditionnement. Il faut dire que ça commence dés le début, dés la naissance, tu crèves la dalle, tu chiales et tu dois te taper la doublette, amour contre nourriture, amour contre popo. Laisse tomber l'amour maman, et fais péter le lolo. J'ai la dalle moi, que la Comtesse de Segur aille se faire rétablir le métabolisme dans le port de Hambourg, la poésie ne remplacera jamais les calories.
Et tout comme ça, l'amour, l'amour, l'amour. Tu veux bouffer, l'amour. Tu veux baiser, l'amour. Tu veux de bonnes notes, l'amour. Tu veux des mauvaises notes, tu brises le cœur de maman. L'amour c'est comme le chocolat, elles en foutent partout jusqu'à la nausée.
Enfin l'amour, c'est vite dit. C'est du renaming, du rebadging, l'amour ne sert qu'à masquer le plus grand secret caché depuis qu'Eve a déconné avec l'arbre de la connaissance, le truc qu'elles n'avoueront jamais à personne, pas aux hommes, pas aux femmes, pas à elles-mêmes, le truc que les lacérations infligés par trois chats sauvages hystériques maintenus dans leurs braies ne parviendront pas à faire monter à la surface de leurs lèvres pulpeuses, les femmes ont besoin d'un homme.
Maintenant vous savez. Une femme qui avouerait avoir besoin de son mec, c'est à peu près aussi probable que Barak Obama remerciant Ben Laden pour services rendus à la démocratie lors d'un discours sur l'état de l'Union.
Un mec peut vivre sans gonzesse. L'inverse est beaucoup moins vrai, beaucoup, beaucoup, beaucoup moins.
C'est dit. Rassurez-vous les filles, cela n'aura aucun impact, on ne déconditionne pas un cerveau noyé depuis des décennies à l'aide une simple phrase.
Mais si, elle t'aime, Kevin, rhooo, je plaisantais, pauvre petit bonhomme va, mais non, mais non, rassure-toi, elle t'aime tout très fort, c'est pour ça qu'elle te fera à bouffer, c'est pour ça qu'elle t'exigera dans son lit, c'est pas du tout parce qu'elle a besoin de toi, rhooo, mais qui t'as dit ça mon gamin, mais c'est ignoble, un malfaisant surement, allez, allez, sèche tes larmes, mouche, vas-y, mouche, làààà, c'est bien, mon petit bonhomme, mais oui, mais oui, moi aussi je t'aime.
Putaaiinn le boulet... Encore un qui ne se réveillera que quand sa tendre moitié demandera le divorce. Abruti ! L'amour c'est pour la vitrine, dans l'arrière-boutique c'est un homme qui est attendu.
Un mec à l'état de nature dans nos sociétés ça s'appelle un gay. Les gays réussissent à choquer les hétéros. Parce qu'un gay ça enfile gaiement son petit camarade sans se poser de question, il échappe totalement à l'embargo imposé par les femmes, amour contre tirage de crampe.
Que Pablo de chez Schmidt en face se fasse perforer l'intime par un splendide malien ne lui pose aucun cas de conscience à l'hétéro, non, ce qui lui file la nausée c'est ce truc dégueulasse, l'amour sans Amoouurr, comme une bête.
Un gay qu'une femme emmerde peut se permettre de clamer à voix haute "mais qu'est-ce qu'elle me veut la pétasse ?", c'est toléré. Même le mari n'osera pas protester. Un gay c'est un peu comme une femme, ça fait autant de bruit et tu n'as pas droit aux torgnoles. C'est ça qui fait chier. Ce qu'il se fout dans le fion, on s'en branle.
Pour vous donnez une image approximative, prélevez délicatement l'hémisphère bital d'un cerveau de gay, greffez-le avec minutie et un peu de colle époxy dans la boite crânienne d'un hétéro (aucune crainte, il y a de la place normalement) et lâcher la créature dans ce monde de femmes. Waaa nom de dieu, le programme amour contre turlutte ça lui fait tout drôle à Franky, il rechigne, il déplore, il constate "mais qu'est-ce qu'elle me veut cette conne ?". Oui, un hétéro c'est toujours moins raffiné qu'un gay. Désolé les mecs (c'était notre infommerciale sponsorisée par la LGBT).
La femelle est tétanisée, (et je rappelle qu'une femme au bord de la tétanie... non, rien), sidérée.
Il ne peut s'agir que d'une mutation, d'une anomalie génétique, d'un mec OGM, un trans-genre quelconque.
Et quand par miracle elles sont informées de cette anomalie, quand elles acceptent de penser l'impensable, leur logiciel continue de tourner en boucle, et donc, pour la plupart, elles continuent de taper à grands coups d'amour dans la gueule, elles réclament leur du, pire que les amerloques avec le pétrole. Comme avec le bon gros bourrin de base, le gros con standard qui ne comprend jamais rien à rien, plus insensible qu'une femme délaissée.
L'amour c'est comme la démocratie, où tu bouffes ou c'est le tapis de bombes. En attendant, le pétrole c'est pour nous.
Toute la beauté du truc c'est que ce coup-ci la ressource convoitée se confond avec la population à soumettre.
Égalité, égalité, mais quand elles savent très bien les dégâts espérés chez la rivale par cette phrase si faussement empathique "tu as bonne mine ma chériiie", (ce qui pour les bourrins masculins qui me lisent signifie environ : "ben ma grosse, tu mollis pas du brownie ces temps-ci"), il leur est totalement impossible d'accepter de penser qu'un homme puisse en faire autant, entendre la pique masquée par le compliment. Un mec c'est pas conçu pour lire entre les lignes. Ça se saurait depuis le temps. Plus y sont cons, plus y sont bons.
Comme il leur impossible d'intégrer ce nouvel algorithme dans leur logiciel, il leur est impossible de seulement envisager que la réaction agressive en face puisse provenir d'un décodeur performant.
Toute perturbée elles sont, nos chéries.
Parce que dans l'hypothèse farfelue où la pique est perçue à sa juste valeur, la réponse venant d'une femme ressemble à "tu sais, si Matheo ne t'a pas rappelé, c'est surement qu'il est occupé", en aucun cas elle ne s'attend à "tu me cherches, connasse ?".
Alors Numero6, il y va crescendo. Il commence léger, il tente de signaler qu'il possède le décodeur, il taquine, il renvoie les balles. Mais... NON. L'hypothèse qu'un mec possède le décodeur est de l'ordre du sacrilège. J'aurais plus vite fait de les convaincre qu'un six-cylindres avec quatre arbres à came en tête capables de délivrer 350 ch avec seulement 2 litres de cylindrée c'est l'aboutissement de la présence humaine sur cette terre. Donc les vacheries continuent, en salves d'autant plus rapprochées que mes réactions semblent de plus en plus discordantes : "je trouve que tu manques d'empathie", la réponse attendue n'a rien à voir avec "oui, moi aussi je t'emmerde connasse !".
Et l'aveuglante évidence qu'il est pris pour un con de mec provoque chez lui la même réaction que quand un connard se hasarde à prétendre que sa bagnole n'est pas terrible. Faut pas. Personne n'a le droit de faire le moindre commentaire sur ma caisse. Personne.
Numero6, c'est plus chiant qu'une femme et un gay réunis dans un corps de gorille, en théorie tu as le droit de taper, en pratique tu te retrouves à poil dans la rue avec une clavicule en bouillie.
Putain, mais qu'elle est lourde celle-là ! Je rêve où elle me prenait pour un con ?
Pas grave, la femelle repart avec la confirmation que, quand même, sur terre, c'est pas facile la vie d'une femme avec tous ces mecs qui ne comprennent rien, et que la lutte pour le féminisme, c'est pas demain qu'elle pourra y renoncer. Il faudra bien qu'un jour ils finissent par comprendre tous ces bas-du-fronts que les rapports de force et la violence ne seront jamais une solution.
Si seulement elles pouvaient commencer par le mettre en pratique !
Parce que la violence psychologique c'est moins spectaculaire mais ça fait autant de ravages.
Le pire cauchemar pour une femme, c'est 100 kilos de testostérone de pur hétéro, équipés d'un cerveau de jouvencelle en pâmoison, aussi sensible, aussi imprévisible, aussi irascible et encore plus susceptible que leur meilleure copine, en exigence de respect non conditionnel.- Mais non, je déconne:
- Le pire c'est de ne pas trouver sa taille pour ce magnifique petit haut le premier jour des soldes.
Je suis pas gros, je suis musclé, connasse.
Parce qu'en plus de tout ça, avec mon logiciel de jeune fille, mais que je vous trouve lourdingues avec vos gros sabots et vos rapports de force incessants. Sauf toi, bien sur, ma chérie, mon aimée, ma libellule, tu es en beauté, comme toujours.
Et pendant ce temps-là, Nicolas, il baise.
'Tchulé.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Spécial copinage.
Vidéo produite par la fille d'une collègue. La collègue se décide à laisser tomber sa sonde d'écho pour se lancer dans la corrections des copies des demandes de subventions de réalisateurs en herbe. Vous pouvez bien vous marrer mais écrire en bon français, sans trop de fautes de syntaxe, n'est pas leur priorité... Or c'est vital pour eux. Une correction, c'est 300 euro par dossier pour enfin - il était temps - m'impliquer dans ce qui m'aimante.
y a des gonzesses qui déchirent !
Se faire plaisir à écrire, non mais, je vous demande un peu...
Vidéo produite par la fille d'une collègue. La collègue se décide à laisser tomber sa sonde d'écho pour se lancer dans la corrections des copies des demandes de subventions de réalisateurs en herbe. Vous pouvez bien vous marrer mais écrire en bon français, sans trop de fautes de syntaxe, n'est pas leur priorité... Or c'est vital pour eux. Une correction, c'est 300 euro par dossier pour enfin - il était temps - m'impliquer dans ce qui m'aimante.
y a des gonzesses qui déchirent !
Se faire plaisir à écrire, non mais, je vous demande un peu...
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
AH qu'il est bon de lire tout haut ce que l'on pense, putain de gonzesse, ben parfois avec ma compagne, je me lâche, et je lui dit ce que je pense, pas tout, sinon je devrais la tuer après, et mes enfants ont encore besoin de leur mère, quoi que ?
PS : Il y a belle lurette que je me serai barré avec ce que je lui ai dit, mais que voulez vous elle m'aime !
PS : Il y a belle lurette que je me serai barré avec ce que je lui ai dit, mais que voulez vous elle m'aime !
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Il y a belle lurette que je me serai barré avec ce que je lui ai dit, mais que voulez vous elle m'aime !
Toi aussi tu es admis dans l'arrière-boutique ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je reconnais que ma réplique n'est pas terrible. Faut que je fasse un break, j'ai les neurones au tapis.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Il y a belle lurette que je me serai barré avec ce que je lui ai dit, mais que voulez vous elle m'aime !
Toi aussi tu es admis dans l'arrière-boutique ?
Il y a bien longtemps que je ne rêve plus, mais l'espoir fait vivre comme on dit.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Si tu b.... aussi bien que tu "écris" (ce sur quoi je n'ai en fait aucun doute, mon coté pressentiment ça, j'ai un don), si tu passes dans le coin, n'hésites pas à passer prendre un café si tu le souhaites, je te montrerais mon tricot...
d'ailleurs faut que je pense à aller le récupérer là où je l'ai oublié hier soir, on avait une soirée "révolution" et j'avais le rôle du "sans culotte" mais j'y suis allée avec tout mon culot, beaucoup de Q, pas beaucoup d'eau cela dit, bref....
et sinon ? tu préfères un pull ou un bonnet ? une maille à l'endroit, une maille à l'envers....
d'ailleurs faut que je pense à aller le récupérer là où je l'ai oublié hier soir, on avait une soirée "révolution" et j'avais le rôle du "sans culotte" mais j'y suis allée avec tout mon culot, beaucoup de Q, pas beaucoup d'eau cela dit, bref....
et sinon ? tu préfères un pull ou un bonnet ? une maille à l'endroit, une maille à l'envers....
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Il y a bien longtemps que je ne rêve plus, mais l'espoir fait vivre comme on dit.
Désolé, mais je donne raison à ton épouse, le Nutella tue littéralement le gout délicat de l'asperge.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Hélas tout cela ne reste que littéraire.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Nath a écrit:
et sinon ? tu préfères un pull ou un bonnet ? une maille à l'endroit, une maille à l'envers....
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Numero6 a écrit:Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Il y a bien longtemps que je ne rêve plus, mais l'espoir fait vivre comme on dit.
Désolé, mais je donne raison à ton épouse, le Nutella tue littéralement le gout délicat de l'asperge.
Absolument ! Rien ne vaut une petite vinaigrette maison.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
@ Y a Nathalie qui te demande "quand est-ce qu'on baise ?"
C'est quoi ces fadaises ? mais j'en sais rien moi, de quoi tu parles ? T'as pensé à ramener du Stéradent ?
C'est quoi ces fadaises ? mais j'en sais rien moi, de quoi tu parles ? T'as pensé à ramener du Stéradent ?
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Ca y est j'ai rencontré le Bisounours de ma vie.
Je revenais mon kébab du lundi à la main, me disant qu'en fait le manger avec plein de sauce curry
(à part, madame est servie) ne résoudrait aucun problème diplomatique, et en fait je me suis dit que finalement je me trompais peut être,
ça tombe c'est le kébab la solution à tout.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
et sinon tu fais des bulles ?
remuer la queue et brossage des dents trois fois par jour hein !
bonne journée
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Les gens disent des conneries !
Putain le flash !
Les gens disent des conneries, sont irrationnels, hommes et femmes confondus, toouussss.
En plus ils en font !
Merdmerdmerde. Ça m'arrange pas tout ça, rien n'est simple, tout se complique.
Je glandais encore à mater une vidéo consacrée aux PUA. Thème du jour : et pourquoi qu'elle a accepté de baiser avec moi si en fait elle ne m'aime pas vraiment ? (le type déplorait que la position de la méduse échouée au soleil, doublée de l'énergie d'un fonctionnaire à 14 h le vendredi après-midi, s'accordait mal à son enthousiasme sexuel débordant).
The Coach lui explique qu'avec deux mecs dans sa vie, la gonzesse se garde deux opportunités, c'est pas le grand amour, mais elle lui trouve quelque chose sans vraiment s'enflammer.
Donc elle l'apprécie mais sans plus.
Le coach s'adresse à un type qui a bien tout appris ses cours précédents, un petit gars consciencieux, un adepte de la prévention du rhume de gland par confinement chaud et humide.
Le fond du problème était le suivant : et pourquoi qu'elle m'a laissé la trombiner si je ne lui fais pas plus d'effet qu'un électeur sur les décisions politiques ?
Et c'est là que j'ai eu le flash, quand le coach lui a répondu "mais mon biquet, parce que jusqu'à présent tu as fait tout bien comme il faut, parce que tu m'as écouté", .../... "tu ne lui déclenche pas le signal majeur, mais d'un autre coté elle te trouve un certain intérêt et (roulement de tambours) tu ne lui as pas fourni de solution de tir pour t'éjecter définitivement de sa vie".
Badammmm. Le choc.
Oui, parce que chaque information m'apporte son anti-thèse (je ne sais pas d'où ça vient cette manie de toujours tout retourner à l'envers. Nath va prendre une douche, va faire un jogging, ça va te détendre, bises, non parce que je commence à me méfier avec toi, parce que déjà "retourner", hmmm, bon, mais "retourner à l'envers" je sens déjà tes arborescences faire le grand 8, ça pique).
La contre-proposition de cette sentence, c'est que sans les cours du coach le type aurait commis pleins d'erreurs propices à l'éjection fracassante par un ravageur "tu es trop bien pour moi" sur FB.
Le petit jeune je le sentais sensible, très futé, tout bien. Mais en temps normal, il aurait fait plein de conneries dans l'approche de sa dulcinée (trois orifices dont un seul silencieux).
Les gens disent des conneries ! Merde alors !
Et ça ne m'arrange pas du tout, mais alors pas du tout.
Parce que tant que je ne savais pas que j'entrais par la grande porte dans le spectre de la douance, aux temps bénis des colonies, je me doutais bien que les gens disaient des conneries, mon coté intuitif sans doute.
Mais voilà, maintenant que j'ai rejoint mes sœurs de sang (ne le prenez pas mal les mecs, mais si vous pouviez dégager... on vous rappellera, c'est ça, laisser votre ouatessape) je tente de pénétrer à grands coups de rein ravageurs et de réflexions sublimes le monde hostile car normatif des normo-pensants.
Comment pense-t-on quand on a une pensée linéaire, comment pense-t-on quand on ne pense pas, comment pense-t-on lorsque la principale préoccupation est de guetter comment pensent les leaders ?
C'est du reverse ingeneering, je regarde les comportements pour deviner le code source.
Et c'est du boulot.
Et là, ce matin, chancelant, pantelant, abasourdi, je comprends que les Normatifs sont imprévisibles, irrationnels et mon dieu, quelle horreur, disent des conneries !!!
Le choc.
Non mais vous imaginez la complexité pour intégrer ce paramètre !
Mettons qu'une gentille souhaite attirer mon attention. Comme elle n'a pas la moindre idée de comment fonctionne un mec (pourquoi faire ? il y en a 200 qui attendent devant sa porte la bite à la main) elle va m'adresser en pleine face une phrase qui pour elle n'a qu'une seule signification "je m'intéresse à toi connard" mais qui va atteindre, meurtrir, dépecer à la pince à ongles, mon orgueil masculin, ma virilité triomphante, ma bagnole.
Non, salope, jamais ma Ferrari n'a fonctionné au Diesel. Assimiler cet aboutissement de l'art mécanique à une vulgaire Audi ou à un monospace-sept-places-mari-enfants-maman-canari c'est criminel.
Comment ne pas y déceler un instinct crapoteux, le plaisir sadique de nuire, une mentalité de Wlad l'empaleur d'Europe Centrale avant la chute du mur ? Comment ? En acceptant cette morne réalité : elle vient de dire une connerie.
Bien sur, en gentleman, je lui arrache son harnachement H&M, je lui laisse payer les consos, je lui caresse les omoplates à coup de cactidés et je repars au volant de mon bolide, intérieur cuir, boite séquentielle, palettes au volant. Ne t'inquiète pas, Félina, elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait.
Alors qu'en pratique, la mignonne petite brune aux longs cheveux noués par un chignon négligé ( aaarrgghhhh) me signalait qu'elle ne rejetait pas totalement la possibilité d'une révision des 2000 km par votre serviteur, le Midas de l'amour.
Je vous le dis mes biens chères sœurs, entrer en douance c'est pire que le petit séminaire, faut vraiment être motivé. C'est un chemin ingrat, semé de clous rouillés, d'ascèse et de PN, toujours le but ultime se recule.
Tu crois commencer à déchiffrer le normo-pensant, et paf, tu t'aperçois qu'il n'est pas seulement normatif, mais aussi irrationnel, imprévisible, soumis aux humeurs, à la météo, à sa hiérarchie, à ses hormones.
A ce rythme-là, je me demande si je vais aller jusqu'à l'Ordination de la douance.
Finalement, con, c'est bien. Et puis avec le prix d'un test de QI, j'ai de quoi remplir le réservoir de Félina, ma Félina d'amour.
Putain le flash !
Les gens disent des conneries, sont irrationnels, hommes et femmes confondus, toouussss.
En plus ils en font !
Merdmerdmerde. Ça m'arrange pas tout ça, rien n'est simple, tout se complique.
Je glandais encore à mater une vidéo consacrée aux PUA. Thème du jour : et pourquoi qu'elle a accepté de baiser avec moi si en fait elle ne m'aime pas vraiment ? (le type déplorait que la position de la méduse échouée au soleil, doublée de l'énergie d'un fonctionnaire à 14 h le vendredi après-midi, s'accordait mal à son enthousiasme sexuel débordant).
The Coach lui explique qu'avec deux mecs dans sa vie, la gonzesse se garde deux opportunités, c'est pas le grand amour, mais elle lui trouve quelque chose sans vraiment s'enflammer.
Donc elle l'apprécie mais sans plus.
Le coach s'adresse à un type qui a bien tout appris ses cours précédents, un petit gars consciencieux, un adepte de la prévention du rhume de gland par confinement chaud et humide.
Le fond du problème était le suivant : et pourquoi qu'elle m'a laissé la trombiner si je ne lui fais pas plus d'effet qu'un électeur sur les décisions politiques ?
Et c'est là que j'ai eu le flash, quand le coach lui a répondu "mais mon biquet, parce que jusqu'à présent tu as fait tout bien comme il faut, parce que tu m'as écouté", .../... "tu ne lui déclenche pas le signal majeur, mais d'un autre coté elle te trouve un certain intérêt et (roulement de tambours) tu ne lui as pas fourni de solution de tir pour t'éjecter définitivement de sa vie".
Badammmm. Le choc.
Oui, parce que chaque information m'apporte son anti-thèse (je ne sais pas d'où ça vient cette manie de toujours tout retourner à l'envers. Nath va prendre une douche, va faire un jogging, ça va te détendre, bises, non parce que je commence à me méfier avec toi, parce que déjà "retourner", hmmm, bon, mais "retourner à l'envers" je sens déjà tes arborescences faire le grand 8, ça pique).
La contre-proposition de cette sentence, c'est que sans les cours du coach le type aurait commis pleins d'erreurs propices à l'éjection fracassante par un ravageur "tu es trop bien pour moi" sur FB.
Le petit jeune je le sentais sensible, très futé, tout bien. Mais en temps normal, il aurait fait plein de conneries dans l'approche de sa dulcinée (trois orifices dont un seul silencieux).
Les gens disent des conneries ! Merde alors !
Et ça ne m'arrange pas du tout, mais alors pas du tout.
Parce que tant que je ne savais pas que j'entrais par la grande porte dans le spectre de la douance, aux temps bénis des colonies, je me doutais bien que les gens disaient des conneries, mon coté intuitif sans doute.
Mais voilà, maintenant que j'ai rejoint mes sœurs de sang (ne le prenez pas mal les mecs, mais si vous pouviez dégager... on vous rappellera, c'est ça, laisser votre ouatessape) je tente de pénétrer à grands coups de rein ravageurs et de réflexions sublimes le monde hostile car normatif des normo-pensants.
Comment pense-t-on quand on a une pensée linéaire, comment pense-t-on quand on ne pense pas, comment pense-t-on lorsque la principale préoccupation est de guetter comment pensent les leaders ?
C'est du reverse ingeneering, je regarde les comportements pour deviner le code source.
Et c'est du boulot.
Et là, ce matin, chancelant, pantelant, abasourdi, je comprends que les Normatifs sont imprévisibles, irrationnels et mon dieu, quelle horreur, disent des conneries !!!
Le choc.
Non mais vous imaginez la complexité pour intégrer ce paramètre !
Mettons qu'une gentille souhaite attirer mon attention. Comme elle n'a pas la moindre idée de comment fonctionne un mec (pourquoi faire ? il y en a 200 qui attendent devant sa porte la bite à la main) elle va m'adresser en pleine face une phrase qui pour elle n'a qu'une seule signification "je m'intéresse à toi connard" mais qui va atteindre, meurtrir, dépecer à la pince à ongles, mon orgueil masculin, ma virilité triomphante, ma bagnole.
Non, salope, jamais ma Ferrari n'a fonctionné au Diesel. Assimiler cet aboutissement de l'art mécanique à une vulgaire Audi ou à un monospace-sept-places-mari-enfants-maman-canari c'est criminel.
Comment ne pas y déceler un instinct crapoteux, le plaisir sadique de nuire, une mentalité de Wlad l'empaleur d'Europe Centrale avant la chute du mur ? Comment ? En acceptant cette morne réalité : elle vient de dire une connerie.
Bien sur, en gentleman, je lui arrache son harnachement H&M, je lui laisse payer les consos, je lui caresse les omoplates à coup de cactidés et je repars au volant de mon bolide, intérieur cuir, boite séquentielle, palettes au volant. Ne t'inquiète pas, Félina, elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait.
Alors qu'en pratique, la mignonne petite brune aux longs cheveux noués par un chignon négligé ( aaarrgghhhh) me signalait qu'elle ne rejetait pas totalement la possibilité d'une révision des 2000 km par votre serviteur, le Midas de l'amour.
Je vous le dis mes biens chères sœurs, entrer en douance c'est pire que le petit séminaire, faut vraiment être motivé. C'est un chemin ingrat, semé de clous rouillés, d'ascèse et de PN, toujours le but ultime se recule.
Tu crois commencer à déchiffrer le normo-pensant, et paf, tu t'aperçois qu'il n'est pas seulement normatif, mais aussi irrationnel, imprévisible, soumis aux humeurs, à la météo, à sa hiérarchie, à ses hormones.
A ce rythme-là, je me demande si je vais aller jusqu'à l'Ordination de la douance.
Finalement, con, c'est bien. Et puis avec le prix d'un test de QI, j'ai de quoi remplir le réservoir de Félina, ma Félina d'amour.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
(j'y vais mais je peux en musique ? merci, bises aussi).
sinon le gars (oh ouit oh ouit un gars) qui m'a dit que j'étais un truc, il a utilisé le mot "versatile"
et sinon je suis pas sûr qu'il faut mettre de l'essence dans son chat
(je suis partie, je suis partie
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
La tyrannie des crétins !
Du temps de ma phase mystique de la zèbritude, une vidéo m'avait particulièrement intéressée. Pour plein de raisons, d'abord parce que je pensais passer un test, parce que la psychologue a un décolleté plongeant, qu'elle n'arrête pas de tripoter son micro, c'est horrible et j'adore souffrir des osselets.
Il y avait dans cette vidéo quelque chose qui me tarabustait le mental. Il m'a fallu plusieurs visionnages pour oublier le contenu et m'intéresser à la forme. Je ne parvenais pas à cerner exactement la distance entre la pensée de l'oratrice et le ton, le personnage employé, la façade proposée aux futurs candidats du "file-moi 300 boules, et je te donnerais un chiffre qui va changer ta vie." J'arguais pour une fausse ingénuité, destiné à décomplexer le surdoué qui aurait un peu tendance à se penser supérieur à tout le monde.
J'aime gagner. Je ne frappe que les plus faibles que moi, je ne m'attaque qu'aux jolies filles (les moches sont beaucoup trop sur la défensive), et si je fais du sport c'est uniquement si mes 120 kilos de muscles me garantissent un avantage. Alors, moi, je veux bien passer un test de QI pour bercer ma mélancolie de sa sanction numérique, mais à une condition, une seule : faut que j'explose les scores. Non mais c'est vrai quoi !
Et alors, il y a ce passage dans la vidéo où elle donne des exemples d'associations qui permettent de débusquer le surdoué comme un lapin avec un furet.
Aucune idée d'à quoi peut bien ressembler un WAIS, mais passer un test sans avoir tricher avant, revu les annales, copier les meilleurs et vérifier si j'étais en terrain favorable, pas de ça Lisette !
Et selon elle, l'association "En quoi le vent et l'eau se ressemblent" évoque la notion de force, d'énergie, la Big Picture des surdoués.
Mais pas chez moi.
Dans ma tête, l'eau et le vent, ça donne ça :
Merde, déjà deux points de moins ! Mais c'est de la merde ces tests ! Filer de 200 à 400 boules pour être évaluer par une personne qui attend que je prononce, ou pas, un des mots sur son listing, ça craint.
Bichette, t'es sure que sur ton listing tu n'as pas la réponse "mer démontée avec un ciel chargé d'électricité" ?
L'angoisse. Si je repars avec un résultat à moins de 120 je me suicide dans l'heure. Ou pire, je passe pour un con.
Et je viens de revisionner la vidéo, à jeun. The choc. La psychologue est mignonne mais super limitée. Tout simplement. Elle s'est tapée la messe selon JSF, elle a tout bien appris par coeur, je suis maintenant capable de voir à quel point le sujet des surdoués est un moyen de faire bouillir la marmite.
Et qu'elle pense bien faire.
Sincèrement.
A la manière des crétins.
Elle part au charbon. Elle apprend minutieusement la théorie, elle déroule le protocole JSF. Il existe un problème, elle contribue en bonne petite fourmi consciencieuse, en petit soldat infatigable à proposer ses services. Tout va bien, elle gagne des sous en échange d'un travail, un travail utile, les surdoués pour elle c'est Spock en Bermuda, elle est capable de comprendre que ça existe, elle en a appris toutes les caractéristiques par cœur, elle leur fait passer des tests. Un test qu'elle a payé 1200 euros. Consciencieuse.
Et en fait non, il n'y aucun personnage, aucun jeu, aucune distance, elle ne se fait pas plus modeste qu'elle n'est pour éviter de froisser le surdoué mélancolique. Non.
La vérité la plus totale, la plus énorme, donc la plus invisible, les tests de QI c'est pour les crétins.
Je l'aime bien Véronique Burban, elle a l'air toute gentille, consciencieuse. Il semblerait qu'elle soit honnête en plus, elle n'assure pas le suivi psychologique après l'annonce du chiffre magique. Elle veut bien tester Spock, mais de là à lui faire la causette...
Je savais qu'historiquement l'usage du test d'Alfred Binet avait été dévoyé par les amerloques élitistes, qu'il avait été conçu à l'origine pour dépister les débiles dans les classes. A l'époque on disait les débiles. Ce qui est faux. Aujourd'hui, tout le monde sait qu'il s'agissait en réalité de "surdoués ayant affadi leur potentiel par un faux-self imposé par une société de classe, l'alcool et les travaux aux champs". Reconnaissons-leur au moins le sens de la formule, aux testeurs de cette époque heureusement révolue.
Et en regardant cette mignonne et gentille tâcheronne, expliquer à l'assemblée le drame d'être surdoué, les difficultés de l'entourage, l'isolement, la dépression, le pourquoi leur cerveau fait des bulles, les tenants et les aboutissants de leur singularité, je me suis dit, connard, comment as-tu pu prendre ce truc au sérieux ?
Voici donc une gentille et mignonne crétine de base qui vient m'expliquer qu'en passant son test à la con (oui, je prends la carte bleue), je vais enfin avoir une image fiable de mon univers intérieur !
Alors que son putain de test n'inclue pas la réponse "mer démontée avec un ciel chargé d'électricité".
Un test de QI ne sert à rien à un surdoué. Ce qu'il veut c'est des amis, des femmes, de la bière et déconner le plus souvent possible en en foutant le moins possible. Comme tout le monde.
Le véritable service à rendre à un surdoué, parce qu'en plus d'être un pur génie, méconnu, mais un génie quand même, je suis grand et magnanime, c'est de lui démontrer qu'il y a plein de gens pour qui le vent et l'eau, c'est au mieux des trucs qu'on entend à la météo. Au mieux. Au pire ils sont obligés de regarder dans le manuel des réponses du WAIS.
Et que pour ces gens-là, il faut mettre des cases dans des protocoles, des fiches cartons dans des classeurs, et que l'intelligence, ma brave dame, il y a des tests pour ça.
Et que ça n'empêche pas de les aimer !
Eux ne considèrent pas du tout qu'il s'agisse d'une arnaque. Pour eux c'est logique. Un problème, un protocole. Et 300 boules pour un chiffre magique. Pour eux, c'est rationnel de faire débuter une prise en charge psychologique par un test prévu pour les débiles.
C'est tout le problème, ils essayent d'utiliser avec les surdoués les démarches psychologiques bien standards, bien lourdingues, psychanalyse tout ça, et c'est eux qui ont besoin d'un test de QI pour s'y retrouver, pour tenter d'établir un dialogue avec Monsieur Spock.
Et encore, là, je vous parle du haut du panier.
Pas de la ménagère de moins de 50 ans qui ne connait qu'éveil intérieur, estime de soi, œdipe, séquelles d'une enfance douloureuse, et que ma brave dame, QI ou pas QI, je vois pas pourquoi ça ne marcherait pas avec vous.
Le problème n'est pas qu'ils ne veulent pas accepter de vous faire passer un test. Le problème est que leur merde ne marche pas. Avec personne. Mais que les autres sont trop cons pour s'en apercevoir. Ils sont contents, ils ont raconté leur vie, ils ont abordés des contextes psychologiques. Y sont contents.
Accepter de réduire son intelligence au résultat d'un test de QI c'est aussi débile que mettre du lainage à 80° c dans la machine. Faut pas.
Les tests de QI sont conçus pour les crétins.
Vendus par des crétins.
Avec une logique de crétins.
Maintenant c'est à vous de voir. Sus à la tyrannie des crétins !
Et ne venez pas me casser les couilles avec vos ergotions malvenues. Rappelez-vous la joie de Malcom quand il apprend qu'il va être intégré dans une classe de "tête d'ampoules" !
Bon, je ne connais pas le sujet, pour des enfants en âge scolaire, faut voir. Si c'était aussi utile et efficace que certains le voudraient, le débat serait clos depuis longtemps.
Du temps de ma phase mystique de la zèbritude, une vidéo m'avait particulièrement intéressée. Pour plein de raisons, d'abord parce que je pensais passer un test, parce que la psychologue a un décolleté plongeant, qu'elle n'arrête pas de tripoter son micro, c'est horrible et j'adore souffrir des osselets.
Il y avait dans cette vidéo quelque chose qui me tarabustait le mental. Il m'a fallu plusieurs visionnages pour oublier le contenu et m'intéresser à la forme. Je ne parvenais pas à cerner exactement la distance entre la pensée de l'oratrice et le ton, le personnage employé, la façade proposée aux futurs candidats du "file-moi 300 boules, et je te donnerais un chiffre qui va changer ta vie." J'arguais pour une fausse ingénuité, destiné à décomplexer le surdoué qui aurait un peu tendance à se penser supérieur à tout le monde.
J'aime gagner. Je ne frappe que les plus faibles que moi, je ne m'attaque qu'aux jolies filles (les moches sont beaucoup trop sur la défensive), et si je fais du sport c'est uniquement si mes 120 kilos de muscles me garantissent un avantage. Alors, moi, je veux bien passer un test de QI pour bercer ma mélancolie de sa sanction numérique, mais à une condition, une seule : faut que j'explose les scores. Non mais c'est vrai quoi !
Et alors, il y a ce passage dans la vidéo où elle donne des exemples d'associations qui permettent de débusquer le surdoué comme un lapin avec un furet.
Aucune idée d'à quoi peut bien ressembler un WAIS, mais passer un test sans avoir tricher avant, revu les annales, copier les meilleurs et vérifier si j'étais en terrain favorable, pas de ça Lisette !
Et selon elle, l'association "En quoi le vent et l'eau se ressemblent" évoque la notion de force, d'énergie, la Big Picture des surdoués.
Mais pas chez moi.
Dans ma tête, l'eau et le vent, ça donne ça :
Merde, déjà deux points de moins ! Mais c'est de la merde ces tests ! Filer de 200 à 400 boules pour être évaluer par une personne qui attend que je prononce, ou pas, un des mots sur son listing, ça craint.
Bichette, t'es sure que sur ton listing tu n'as pas la réponse "mer démontée avec un ciel chargé d'électricité" ?
L'angoisse. Si je repars avec un résultat à moins de 120 je me suicide dans l'heure. Ou pire, je passe pour un con.
Et je viens de revisionner la vidéo, à jeun. The choc. La psychologue est mignonne mais super limitée. Tout simplement. Elle s'est tapée la messe selon JSF, elle a tout bien appris par coeur, je suis maintenant capable de voir à quel point le sujet des surdoués est un moyen de faire bouillir la marmite.
Et qu'elle pense bien faire.
Sincèrement.
A la manière des crétins.
Elle part au charbon. Elle apprend minutieusement la théorie, elle déroule le protocole JSF. Il existe un problème, elle contribue en bonne petite fourmi consciencieuse, en petit soldat infatigable à proposer ses services. Tout va bien, elle gagne des sous en échange d'un travail, un travail utile, les surdoués pour elle c'est Spock en Bermuda, elle est capable de comprendre que ça existe, elle en a appris toutes les caractéristiques par cœur, elle leur fait passer des tests. Un test qu'elle a payé 1200 euros. Consciencieuse.
Et en fait non, il n'y aucun personnage, aucun jeu, aucune distance, elle ne se fait pas plus modeste qu'elle n'est pour éviter de froisser le surdoué mélancolique. Non.
La vérité la plus totale, la plus énorme, donc la plus invisible, les tests de QI c'est pour les crétins.
Je l'aime bien Véronique Burban, elle a l'air toute gentille, consciencieuse. Il semblerait qu'elle soit honnête en plus, elle n'assure pas le suivi psychologique après l'annonce du chiffre magique. Elle veut bien tester Spock, mais de là à lui faire la causette...
Je savais qu'historiquement l'usage du test d'Alfred Binet avait été dévoyé par les amerloques élitistes, qu'il avait été conçu à l'origine pour dépister les débiles dans les classes. A l'époque on disait les débiles. Ce qui est faux. Aujourd'hui, tout le monde sait qu'il s'agissait en réalité de "surdoués ayant affadi leur potentiel par un faux-self imposé par une société de classe, l'alcool et les travaux aux champs". Reconnaissons-leur au moins le sens de la formule, aux testeurs de cette époque heureusement révolue.
Et en regardant cette mignonne et gentille tâcheronne, expliquer à l'assemblée le drame d'être surdoué, les difficultés de l'entourage, l'isolement, la dépression, le pourquoi leur cerveau fait des bulles, les tenants et les aboutissants de leur singularité, je me suis dit, connard, comment as-tu pu prendre ce truc au sérieux ?
Voici donc une gentille et mignonne crétine de base qui vient m'expliquer qu'en passant son test à la con (oui, je prends la carte bleue), je vais enfin avoir une image fiable de mon univers intérieur !
Alors que son putain de test n'inclue pas la réponse "mer démontée avec un ciel chargé d'électricité".
Un test de QI ne sert à rien à un surdoué. Ce qu'il veut c'est des amis, des femmes, de la bière et déconner le plus souvent possible en en foutant le moins possible. Comme tout le monde.
Le véritable service à rendre à un surdoué, parce qu'en plus d'être un pur génie, méconnu, mais un génie quand même, je suis grand et magnanime, c'est de lui démontrer qu'il y a plein de gens pour qui le vent et l'eau, c'est au mieux des trucs qu'on entend à la météo. Au mieux. Au pire ils sont obligés de regarder dans le manuel des réponses du WAIS.
Et que pour ces gens-là, il faut mettre des cases dans des protocoles, des fiches cartons dans des classeurs, et que l'intelligence, ma brave dame, il y a des tests pour ça.
Et que ça n'empêche pas de les aimer !
Eux ne considèrent pas du tout qu'il s'agisse d'une arnaque. Pour eux c'est logique. Un problème, un protocole. Et 300 boules pour un chiffre magique. Pour eux, c'est rationnel de faire débuter une prise en charge psychologique par un test prévu pour les débiles.
C'est tout le problème, ils essayent d'utiliser avec les surdoués les démarches psychologiques bien standards, bien lourdingues, psychanalyse tout ça, et c'est eux qui ont besoin d'un test de QI pour s'y retrouver, pour tenter d'établir un dialogue avec Monsieur Spock.
Et encore, là, je vous parle du haut du panier.
Pas de la ménagère de moins de 50 ans qui ne connait qu'éveil intérieur, estime de soi, œdipe, séquelles d'une enfance douloureuse, et que ma brave dame, QI ou pas QI, je vois pas pourquoi ça ne marcherait pas avec vous.
Le problème n'est pas qu'ils ne veulent pas accepter de vous faire passer un test. Le problème est que leur merde ne marche pas. Avec personne. Mais que les autres sont trop cons pour s'en apercevoir. Ils sont contents, ils ont raconté leur vie, ils ont abordés des contextes psychologiques. Y sont contents.
Accepter de réduire son intelligence au résultat d'un test de QI c'est aussi débile que mettre du lainage à 80° c dans la machine. Faut pas.
Les tests de QI sont conçus pour les crétins.
Vendus par des crétins.
Avec une logique de crétins.
Maintenant c'est à vous de voir. Sus à la tyrannie des crétins !
Et ne venez pas me casser les couilles avec vos ergotions malvenues. Rappelez-vous la joie de Malcom quand il apprend qu'il va être intégré dans une classe de "tête d'ampoules" !
Bon, je ne connais pas le sujet, pour des enfants en âge scolaire, faut voir. Si c'était aussi utile et efficace que certains le voudraient, le débat serait clos depuis longtemps.
Dernière édition par Numero6 le Mar 1 Sep 2015 - 14:25, édité 1 fois
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Je ne suis pas un QI, je suis un homme libre !
J'ai pas pu m'en empêcher.
J'avais la réponse depuis le début. M'a fallu un temps fou pour accepter que ma réponse était la bonne. Me fallait une logique dans laquelle l'intégrer.
L'intelligence présente assez peu d'applications pratiques.
C'est bon,
J'ai pas pu m'en empêcher.
J'avais la réponse depuis le début. M'a fallu un temps fou pour accepter que ma réponse était la bonne. Me fallait une logique dans laquelle l'intégrer.
L'intelligence présente assez peu d'applications pratiques.
C'est bon,
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
(bon donc 2 malbo sans s ? c'est bien ça ? rien d'autre ? la presse ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Tu sais, numéro6, le QI, c’est comme la moustache d’Hitler (désolé, j’avais que cet exemple, vraiment paradimatique, pour illustrer le concept) : un trait identificatoire qui permet entre autre de se « reconnaitre entre soi », et tout ce qui va avec cet « entre soi » : les souffrances communes, particulièrement…et, à partir de là, éventuellement, de se sentir plus fort, moins seul. Dans le pire des cas, d’exclure (Tous ceux qui sont pas HQI/zèbres : des cons, au fond… j’ai lu des posts qui allaient un peu dans ce sens. Cela m’a fait froid dans le dos). On est dans le « même », l’identique au-delà des différences, dès lors que le « trait » est là. Note pour plus tard : une étude à faire sur la constitution des communautés, particulièrement internet, fondées sur le partage d’un « trait identificatoire » unique. Les très grands (si si ! Y a une communauté qui rassemble les hommes de plus d’1M90 et les femmes de plus d’1M80…entre grands, ils se comprennent mieux, tu sais ;-)) , les « borderline », les anorexique/boulimiques…
Est-ce que c’est une conséquence de l’atomisation du corps social ? A défaut de former « une nation », unie par un idéal, un grand discours, on fait avec les moyens du bord, et on se « retrouve », de façon très narcissique, à partir d’un nombre très petits de caractéristiques communes ? Le concept d’identité a de beaux jours devant lui, en fait ! Sarkozy avait tort de s’en faire…le problème, c’est qu’il s’agit d’identités communautaires…des micro-identités, discrètes, juste visibles sur un forum, plus rarement in real life.
Est-ce que c’est une conséquence de l’atomisation du corps social ? A défaut de former « une nation », unie par un idéal, un grand discours, on fait avec les moyens du bord, et on se « retrouve », de façon très narcissique, à partir d’un nombre très petits de caractéristiques communes ? Le concept d’identité a de beaux jours devant lui, en fait ! Sarkozy avait tort de s’en faire…le problème, c’est qu’il s’agit d’identités communautaires…des micro-identités, discrètes, juste visibles sur un forum, plus rarement in real life.
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Oui, Nikko, c'est un peu comme si des roux se réunissaient pour partager leurs expériences de stigmatisations capillaires. Ça ne créerait pas comme par magie des affinités électives.
Je me suis rendu compte que, passé le plaisir de discuter sans aucun effort, je retrouvais exactement les mêmes caractères, les mêmes comportements, les mêmes incompréhensions (ça j'ai exploré au maximum, tout à fait inattendu), superQI ou pas.
Je passe sur le droit divin de faire chier son monde au nom d'une capacité de réflexion nobiliaire.
J'esquive la dépression engendrée par l'isolement, le manque de gniac, un environnement déprimant.
Contrairement aux roux qui sentent un peu fort, je ne me souviens pas avoir jamais entendu quelqu'un me reprocher que je sois trop intelligent. Jamais.
Que je me prenne pour plus intelligent que tout le monde, souvent.
Sur ce forum aussi.
Rien ne change. Au réunion des Roux Anonymes je suis convaincu qu'on me ferait le même reproche.
J'ai l'impression qu'on intériorise un discours dominant en cultivant une certaine particularité, en l'analysant, en la disséquant. Toutes les discussions portant sur les indices globaux, les indices verbaux, les sub-tests finissent par me faire un peu peur. J'ai une petite angoisse quand je constate les efforts qui sont faits pour tenter de valider les passerelles entre les entrailles d'un test et les boyaux de la tête.
Le discours dominant qui n'est fait que de minorités s'imposant à la majorité doit avoir une influence, chercher SA minorité est devenue la norme.
Je me suis rendu compte que, passé le plaisir de discuter sans aucun effort, je retrouvais exactement les mêmes caractères, les mêmes comportements, les mêmes incompréhensions (ça j'ai exploré au maximum, tout à fait inattendu), superQI ou pas.
Je passe sur le droit divin de faire chier son monde au nom d'une capacité de réflexion nobiliaire.
J'esquive la dépression engendrée par l'isolement, le manque de gniac, un environnement déprimant.
Contrairement aux roux qui sentent un peu fort, je ne me souviens pas avoir jamais entendu quelqu'un me reprocher que je sois trop intelligent. Jamais.
Que je me prenne pour plus intelligent que tout le monde, souvent.
Sur ce forum aussi.
Rien ne change. Au réunion des Roux Anonymes je suis convaincu qu'on me ferait le même reproche.
J'ai l'impression qu'on intériorise un discours dominant en cultivant une certaine particularité, en l'analysant, en la disséquant. Toutes les discussions portant sur les indices globaux, les indices verbaux, les sub-tests finissent par me faire un peu peur. J'ai une petite angoisse quand je constate les efforts qui sont faits pour tenter de valider les passerelles entre les entrailles d'un test et les boyaux de la tête.
Le discours dominant qui n'est fait que de minorités s'imposant à la majorité doit avoir une influence, chercher SA minorité est devenue la norme.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"chercher SA minorité est devenue la norme."
elle a l'air de rien, cette petite phrase mais c'est du lourd. Bien résumé.
PS: après tu vois, c'est sympa ce forum : on parle de soi - car c'est bien ce que l'on fait, ici : passer notre temps à se contempler le nombril, à exhiber nos petites différences qui nous rendent si uniques...moi qui passe ma vie professionnelle à écouter les autres (et à remarquer que, justement, les autres, eux, ne savent pas écouter : c'est dramatique ! ) ben cela me délasse... Je pourrais me parler à moi-même à voix haute (ou basse.) ce serait presque pareil. Mais bon, c'est mieux de maintenir l'illusion d'une réelle communication.
elle a l'air de rien, cette petite phrase mais c'est du lourd. Bien résumé.
PS: après tu vois, c'est sympa ce forum : on parle de soi - car c'est bien ce que l'on fait, ici : passer notre temps à se contempler le nombril, à exhiber nos petites différences qui nous rendent si uniques...moi qui passe ma vie professionnelle à écouter les autres (et à remarquer que, justement, les autres, eux, ne savent pas écouter : c'est dramatique ! ) ben cela me délasse... Je pourrais me parler à moi-même à voix haute (ou basse.) ce serait presque pareil. Mais bon, c'est mieux de maintenir l'illusion d'une réelle communication.
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
En cherchant ma minorité, je n'ai trouvé que moi, ouf je suis normal !
Invité- Invité
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Bon, je ne connais pas le sujet, pour des enfants en âge scolaire, faut voir. Si c'était aussi utile et efficace que certains le voudraient, le débat serait clos depuis longtemps.
J'avais trouvé un article qui affirmait que (dans le pays d'où était issus l'article), les classes pour surdoués avaient au mieux une absence totale d'effet, et au pire un impact négatif (fournir une image biaisée du monde). L'argument majeur était qu'un surdoué s'emmerde à peu près autant dans une classe de surdoués, que dans une classe "ordinaire".
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
L'argument sans sources étant qu'un suprasursurdoué s'emmerde à peu près autant sur un forum de surdoués, que sur un forum "ordinaire".
______________- Messages : 399
Date d'inscription : 31/08/2015
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
C'est surtout d'être en classe qu'est emmerdant !
De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Non plus que sur les forums de surdoués hauts potentiels zébrés ?Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Stauk a écrit:Non plus que sur les forums de surdoués hauts potentiels zébrés ?Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
Ça existe ce genre de truc ?
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Ça existe ce genre de truc ?Stauk a écrit:Non plus que sur les forums de surdoués hauts potentiels zébrés ?Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
Je veux mon n'veux : http://adulte-surdoue.fr/
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Stauk a écrit:Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Ça existe ce genre de truc ?Stauk a écrit:Non plus que sur les forums de surdoués hauts potentiels zébrés ?Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:De toute façon les vrais surdoués y vont pas en cours, pas besoin.
Je veux mon n'veux : http://adulte-surdoue.fr/
Poûaaa !!!
Invité- Invité
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
Andromaque a écrit:Sinon, ne te plains pas de te faire épingler pour ce que tu sembles être : bien plus qu'un quinqua libidineux au surmoi chancelant et au sophisme facile, un Tartuffe.
Je ne dis pas que c'est faux, mais je ne dis pas que c'est complètement vrai.
Andromaque a écrit:Numéro 6 a écrit:Sauf quand on explique les liens entre la famille Huxley et son rôle capital dans la diffusion des théories mondialistes et eugénistes.
C'est ainsi que l'aspect "visionnaire" perd de sa superbe. Ce n'est pas une vision, c'est un programme politique.
Une boutade pour finir. Au-delà des idées contenues dans ce livre, connaissez-vous quelqu'un qui a dévoré ce livre, ne pouvant le lâcher avant de l'avoir fini, comme toute œuvre majeure qui se respecte ?
L'enfer est dans les détails.
En effet. Huxley était un initié eugéniste. Dans son courrier il donne la clef du Meilleur des mondes en livrant le sens réel du titre. C'est une référence à Voltaire. Et le mot le plus important est escamoté au grand public, mais divulgué à ses esprits frères. Le vrai titre non tronqué est "Le meilleur des mondes possibles".
Pour Huxley, le genre humain est profondément mauvais, stupide et ne doit pas être laissé livré à lui-même. D'où ce souhait d'un monde contrôlé par des méthodes non aversives. Pour lui, ce qu'il décrit c'est "le meilleur des mondes possibles" pour une humanité imbécile et inconséquente qui doit être contrôlée et neutralisée par des moyens assez softs pour ne pas entraîner de rébellion.
Moi aussi ce livre m'est souvent tombé des mains. J'ai dû faire un réel effort pour le terminer. Aussi sec que l'esprit qui l'a rédigé.
Se faire valider à trente années de distance une vague impression de malaise à la lecture d'un bouquin censé être un classique... par l"excellente, la distinguée, la cultivée Andromaque... pour cette fois je ne relèverais pas le "Tartuffe".
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre
"Pour Huxley, le genre humain est profondément mauvais, stupide et ne doit pas être laissé livré à lui-même. D'où ce souhait d'un monde contrôlé par des méthodes non aversives. Pour lui, ce qu'il décrit c'est "le meilleur des mondes possibles" pour une humanité imbécile et inconséquente qui doit être contrôlée et neutralisée par des moyens assez softs pour ne pas entraîner de rébellion."
Et il aurait pas un peu influencé les néo-conservateurs américains, alors (qui se réclament plutôt de léo-strauss, soit dit en passant...) Car ce que j'ai pu lire à leur propos, pour les besoin d'un roman, semble se rapprocher de cette vision "élitiste" et méprisante...
Et il aurait pas un peu influencé les néo-conservateurs américains, alors (qui se réclament plutôt de léo-strauss, soit dit en passant...) Car ce que j'ai pu lire à leur propos, pour les besoin d'un roman, semble se rapprocher de cette vision "élitiste" et méprisante...
nikko76- Messages : 837
Date d'inscription : 29/07/2015
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