Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Adultes surdoués : cadeau ou fardeau ? Dr Valérie Foussier.
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Cette plasticité cérébrale avec ce type de connexion explique un phénomène que vous avez sûrement déjà vécu au moins une fois dans votre vie : résoudre parfaitement un problème mathématique sans passer par les étapes intermédiaires, ce qui vous a valu des commentaires du style : vous avez copié sur votre voisin car vous n'avez rien démontré... ce qui avive bien votre volcan.
Elle est également responsable de phénomènes troublants : la persistance d'une odeur après sa disparition. La perception de celle-ci en évoquant un souvenir ou, après la stimulation d'un autre sens....
.../...
Adultes surdoués : cadeau ou fardeau ? Dr Valérie Foussier.
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:54, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=lj6ZGGBy-R8
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:56, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
La nature est une force, fais de ta nature, une force.
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
De ce point de vue, de nombreuses interprétations que nous faisons sur tout ce qui nous entoure, qu’elles soient justes ou pas, sont sous-jacentes.
Dans nos espoirs du quotidien, vivent aussi des schémas de pensée, des attributions et des évaluations personnelles.
L’espoir nous dit, par exemple : “Tiens encore un peu, et tu verras comment tout finira bien” ou quelque chose du genre : “Je suis sûr qu’au final, il se rendra compte que c’est moi qu’il aime vraiment.”
Nous parlons de faux espoirs, ceux qui cherchent seulement à nous réconforter quel qu’en soit le prix, ceux auxquels on s’accroche en espérant que la réalité soit toujours à notre mesure, sans dissonances, et sans brèches.
Nous savons tous que dans ce monde parfaitement imparfait, rien n’est infaillible, que celui qui aujourd’hui nous dit “je t’aime” sera absent demain, et que ce dont nous sommes maintenant sûrs se transformera peut-être dans peu de temps en une incertitude redoutable.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/IMAGE-3-19-e1468488992705.jpg
L’espoir sain, en opposition au faux espoir, ne donne pas lieu à la résistance. Il nous permet de voir les choses plus clairement et de façon plus mature, en étant conscients de ce qui n’est plus possible.
Il nous invite à distinguer aussi ce qu’il y a à l’horizon et la douce promesse que ce que nous avons perdu aujourd’hui peut nous guérir demain.
Parce qu’aucune défaite n’est la fin, mais le commencement de quelque chose de différent.
[size=30]Comment laisser tomber ce qui ne tient plus debout[/size]
Personne ne laisse rien tomber sans avoir auparavant lutté pour cela.
Tout ce que l’on aime ou que l’on apprécie demande de grands actes de courage, un investissement personnel et plus d’un renoncement.
Cependant, tout a une limite, et cette barrière infranchissable à laquelle nous ne devrions jamais renoncer est sans doute notre estime de nous-même, notre identité, et notre équilibre émotionnel.
Et alors, sans savoir comment, arrive un jour où tout change, où nous laissons partir les peurs, où tombe tout ce qui était caduque et douloureux pour donner naissance à une nouvelle réalité satinée de paix intérieure et de bien-être…[url=https://twitter.com/intent/tweet?text=Et alors, sans savoir comment, arrive un jour o%C3%B9 tout change, o%C3%B9 nous laissons partir les peurs, o%C3%B9%C2%A0tombe to...][/url]
Comme nous l’indique Brian Tracy, un des gourous actuels de la psychologie motivationnelle,
“on n’obtient jamais ce que l’on veut dans la vie si on se limite à espérer que les choses changent, si on se limite en exclusivité à nourrir les faux espoirs”.
C’est une façon de tomber dans le subtile abîme de la souffrance.
Pour éviter ces situations, nous vous proposons de considérer une série de stratégies pour pouvoir ouvrir les yeux sur l’espoir salutaire, celui qui sait regarder plus loin pour avancer.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/IMAGE-4-14-e1468489062229.jpgApprendre à accepter la réalité de ce qui se passe dans notre entourage
Il existe un livre très intéressant intitulé Aimer ce qui est, de Byron Katie.
Il nous apprend le courage de savoir accepter les réalités qui se produisent autour de nous, que ce soit au niveau affectif, professionnel ou personnel.
Il ne s’agirait pas du tout de nous résigner, mais d’être capables de nous aimer nous-mêmes pour continuer à avancer et favoriser ainsi de nouveaux et de meilleurs changements conformes à ce que nous méritons.
- Que nous le croyions ou non, nous avons un “radar” interne qui nous indique quand quelque chose ne va pas bien.Or parfois, nous ne voulons pas le voir parce que cela supposerait d’avoir à faire face à une chose à laquelle nous ne sommes pas préparés, comme une rupture, un changement…
- Nous devons voir ce mal-être, ce malheur, comme une invitation claire et directe à bouge et à agir avant tout de nourrir de faux espoirs.Il faut réaliser que quand ce mal-être devient chronique, il cesse d’être une stimulation pour nous envahir de négativité.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/IMAGE-5-8.jpg
Ce qui veut s’évanouir le fera de lui-même tôt ou tard. Retarder l’inévitable est une forme de torture que nous ne devrions pas encourager, parce qu’au bout du compte, renoncer n’est pas toujours un acte de faiblesse.
Au contraire, dire adieu à temps est le reflet de quelqu’un suffisamment fort et courageux pour laisser quelque chose s’en aller.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/ne-retenez-pas-des-amours-des-espoirs-ou-des-peurs-qui-voudraient-sevanouir/#Uex6ieGW3RRS2hx8.99
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 2:10, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
LA RÉSISTANCE ET LA PROCRASTINATION
Posted by Yannick | Fév 9, 2011 | Obstacles au développement personnel | 28 |
Ha, quel sujet passionnant, en plus, je suis en plein dedans. Je suis prêt à recommencer à écrire suite à ma convalescence et je me suis frappé le nez sur le mur de la résistance et la procrastination. Je suis impatient, frustré et, pour reprendre une expression que j’emploie souvent, j’ai l’impression d’être dans la vase jusqu’à la taille!
Je me suis dit que ce serait le meilleur temps pour en faire un article, alors voilà.
Cette période a commencé suite à une combinaison de facteurs qui m’ont fait entrer dans une période plus sombre, oh, rien de bien grave, je vais m’en remettre. Mais c’est dans les moments où je ne suis pas bien que la résistance et la procrastination ont de l’emprise sur moi.
Ces deux bêtes viennent alors s’immiscer dans mon quotidien, se mettent en travers de mes buts et m’empêchent de fonctionner à mon mieux.
BÉNIGNE ET MALIGNE
Il y a d’abord la procrastination banale et normale du quotidien parce que je suis fatigué ou parce que je n’en ai pas envie. Ex. cuisiner pour la semaine, faire du ménage, prendre un rendez-vous pour l’auto, etc.
Celle-là est bénigne, une question d’habitudes, de discipline et de circonstances.
Je me botte le derrière et je passe à l’action maintenant, ou je lâche prise et passe à l’action plus tard et j’assume.
« Quand on remet les choses à plus tard, ce plus tard vient toujours trop tôt. »– Grégoire Lacroix
Il y a aussi celle qui compte, la maligne, comme vis-à-vis mon blogue, mes projets d’avenir en développement personnel, mon alimentation, ma santé, etc.
Ce sont des choses importantes pour moi, pour mon avenir, ce sont des choses dont j’ai profondément envie, qui font que je m’accomplis et que je me sens vivant, et pourtant, me voilà à me river le nez et à fuir de tous bords tous côtés.
Je crois que la principale différence entre la procrastination bénigne du quotidien, et la maligne qui entrave notre avenir, c’est ça source…
LES PEURS ET LES ANGOISSES.
Voilà comment ça se passe pour moi. Je sais par expérience que la résistance se produit face à certaines peurs et angoisses qui sont très souvent inconscientes. Très rapidement, ces peurs sont canalisées vers des fuites diverses et la procrastination.
La plupart du temps, le mécanisme est inconscient jusqu’à ce que je n’aie plus le choix de m’ouvrir les yeux et de bouger, ou tout simplement abandonner.
Ce qui est beaucoup moins mon cas maintenant. Je me connais et je sais ce qui se passe. Ce qui fait qu’au lieu de fuir quand je sens de la résistance, je frustre, j’angoisse et je culpabilise jusqu’à ce que je n’aille plus le choix de bouger. Des heures et des heures de plaisir quoi. (rire)
Qu’elles sont mes peurs, c’est plutôt simple, la plupart du temps c’est la peur d’échouer et de perdre la face. Dans certains cas, c’est même la peur de réussir et d’avoir à faire face à de plus grands défis encore.
« Tu n’as peur de rien, tu n’as peur de personne. Sauf de toi-même. C’est la pire de toutes les peurs. »– Yves Thériault
C’est pour ça que la résistance et la procrastination ont plus d’emprise sur moi quand je vais moins bien et quand j’ai les blues. Ce n’est pas facile quand je suis à mon mieux alors… : )
QUE FAIRE?
Réaliser ce que l’on veut, et changer son discours intérieur.
Lorsque je suis dedans jusqu’à la taille comme maintenant, mon discours intérieur est très négatif et autocrate. C’est-à-dire que je me tape sur la tête parce que je ne fais pas ce que je devrais, et que je me pousse à bouger comme un bourreau le ferait.
Quand quelqu’un veux m’imposer quelque chose, peu importe quoi, mon premier réflexe c’est de m’opposer, de résister. Inconsciemment, ça fait la même chose quand c’est moi qui m’impose des choses.
Un truc que j’utilise c’est jours-ci, je réitère mes objectifs dans lesquelles je me sens bloqués.
Autrement dit, mon discours passe de « Y faut que je travaille sur mon site », à, « j’aime travailler sur mon site, je sais que c’est le point de départ vers de plus grands objectifs, c’est ce que je veux, quand je le fais, j’ai l’impression de m’impliquer dans ma vie et de créer. »
Tout ce qu’on s’impose part d’un désir réel et sincère. Me reconnecter avec ce désir m’aide à passer à l’action, à avancer.
« Le désir réprimé s’évanouit peu à peu jusqu’à n’être plus que l’Ombre du désir. »– William Blake
CHANGER DE PERSPECTIVE
Quand on est dans un trou, on a tendance à broyer du noir, on est entouré de terre, la perspective n’est pas très prometteuse. Une des premières choses à faire c’est de changer de perspective, de voir les choses pour ce qu’elles sont, de dédramatiser.
La vie est faite de hauts et de bas, de vagues.
Quand je suis dans un haut de vague, je dois profiter du momentum et laisser couler les choses, l’inspiration, le travail. Quand je suis dans un creux, je dois m’accrocher, savoir que le creux va passer, et faire un minimum d’efforts pour maintenir la direction. Il y a une montée qui s’en vient.
« Élever l’homme, c’est faire naître en lui des perspectives d’après lesquelles s’organiseront ses joies de demain. »– Anton Makarenko
BABY STEPS
Ce que je mets aussi en action c’est de faire des petits pas dans la direction où je veux aller. En ce faisant, je regagne du momentum, de la confiance et j’avance.
Normalement, j’écris entre une et deux heures par jours, ça coule et je ne force pas. Là, ça ne fonctionne plus du tout, je m’astreins donc à un 25 minutes d’écriture obligatoire depuis un peu plus d’une semaine et je fais plus de recherche, ce qui est plus facile pour moi.
Les deux ou trois premiers jours ont été pénibles, mais j’ai ensuite graduellement augmenté la durée de mes sessions d’écriture sans m’en rendre compte jusqu’au retour à la normale.
En anglais ils disent « do little, a lot! » Ce qui pourrait se traduire par « faites-en un peu, beaucoup ».
PRENDRE CONSCIENCE
Mes peaks de résistance et de procrastination coïncident presque toujours avec des creux de vagues de motivation et des blues plus généraux. Il faut savoir que les peaks et les creux n’arrivent pas du jour au lendemain. Ce sont des effets domino positifs ou négatifs qui nous entrainent vers les sommets et les abysses.
Je dois donc être honnête avec moi-même, savoir où je me situe et, ou je m’en vais en tout temps.
Je dois aussi être conscient de mes actions (et inactions) et être honnête face à leurs conséquences.
ÉLIMINER LE PERFECTIONNISME
J’ai peur d’échouer et d’avoir l’air fou, et en plus je dois écrire l’article parfait, courir un marathon, être Mr. Muscle… Tout ça est impossible et ça me met une pression énorme.
Il y plusieurs sortes de perfectionnisme, pour ma part je suis un perfectionniste paralysé. C’est tellement de travail de faire une tâche comme je le voudrais, que ça ne vaut même pas la peine de commencer. C’est ce qui a miné la plupart de mes efforts toute ma vie.
« Quelquefois l’échec est nécessaire à l’artiste. Cela lui rappelle que l’échec n’est pas un désastre définitif. Et cela le libère de la tapageuse contrainte du perfectionnisme. »– John Berger
Maintenant, quand je frappe un mur, je me force à faire le travail, peu importe le résultat, je réduis mes attentes et j’avance. Ça m’enlève une tonne de pression et j’ai beaucoup plus de facilité à avancer comme ça. C’est de cette façon que je grandis, j’aurais bien aimé apprendre ça à l’âge de 4 ans…
LA RÉSISTANCE ET LA PROCRASTINATION, LA CONCLUSION
« La plupart du temps, on ne résout pas les difficultés ; on les déplace, comme la poussière. »– Raymond d’Alost
Ces deux bêtes que sont la résistance et la procrastination m’ont souvent amené à abandonner mes projets, mes désirs ainsi qu’à rechercher la facilité dans les différents domaines de ma vie.
C’est pour ça qu’aujourd’hui je les prends très au sérieux.
Comme le disait Jules Renard,
« Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l’est pas. »
C’est la même chose pour le travail, la discipline et la persévérance. C’est quand tout nous détourne de nos buts qu’il faut faire preuve de ces qualités.
Alors, aujourd’hui, ici et maintenant, j’avancer comme je le peux.
https://www.avancersimplement.com/la-resistance-et-la-procrastination/
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 2:03, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Formation : Open-space, bureau partagé... trouver ses marques pour mieux travailler
Stage - Présentiel | Se sentir bien dans son espace de travail
Stage - Présentiel | Se sentir bien dans son espace de travail
La généralisation des aménagements de lieux de travail en open space et bureaux partagés crée des contraintes spécifiques liées à l’obligation de vivre avec un environnement que l’on ne maîtrise pas. Pour certains, le collectif, la difficulté à s’isoler pour se concentrer crée des insatisfactions, voire à terme un sentiment de mal être. L'objectif de cette formation est de vous aider à vous sentir bien et efficace dans votre espace de travail. Les clients ayant consulté cette formation ont également consulté
Le programme de la formation1/ Mieux se connaître pour travailler en open space
2/ Aménager son espace de travail en fonction de ses propres besoins
S’autoriser à exprimer ses besoins. 3/ Se ressourcer, se concentrer pour préserver son efficacité
4/ Maintenir son équilibre au quotidien
http://www.cegos.fr/formation-open-space/p-20168219-2016.htm |
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 2:05, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
5 phrases pour mûrir dans les mauvais moments
Nous passons tous par des mauvais moments qui marquent notre vie et qui, parfois, nous empêchent d’aller de l’avant.
Mais, toutes ces mauvaises expériences peuvent être des instants charnières qui nous permettent d’avancer, de mûrir et d’apprendre.
Les expériences négatives sont bien évidemment mal perçues, car nous avons conscience qu’elles sont mauvaises pour nous.
Elles nous font nous sentir mal, tristes…Mais, chacune d’entre elles nous a appris beaucoup plus que nous le pensons et elles sont bien plus positives que ce que nous pouvons imaginer.
“Gardez les bons souvenirs pour les mauvais moments et écoutez…Osez vivre, dire ce que vous pensez, ressentir ce que vous voulez, rêver ce dont vous désirez et reconnaître l’importance de tout ce que vous possédez.»-Rosana Rosana-
Les mauvais moments nous aident à grandir
Les mauvais moments nous permettent de réfléchir sur le cours de notre existence et de penser à ce que nous voulons vraiment, au chemin que nous voulons emprunter.
Mais, à certaines occasions, nous avons du mal à le faire et nous avons besoin d’une stimulation qui nous inspire.
Certaines personnes choisissent la musique, d’autres un bon livre ou un film.
Chaque phrase, chaque mot, chaque note peut nous aider à surmonter un mauvais moment, à le voir avec une autre perspective et à nous surpasser quand nous nous y attendons le moins.
Voilà toutes les raisons qui nous ont amené à partager avec vous 5 phrases que vous aimerez avoir à vos côtés lorsque vous passerez par un mauvais moment.
Ces citations vont vous aider, vous donner de l’air, vous motiver et vous inviter à réfléchir.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/mauvais-moments-prairie-florale.jpg
1. Aujourd’hui, vous êtes là où vos pensées vous ont amené ; demain vous serez là où vos pensées vous porteront.
Cette phrase du philosophe britannique James Allen est une réflexion très profonde qui renferme un grand enseignement.
Vous vous plaignez peut-être d’une situation que vous avez provoqué vous-même. Les décisions que vous prenez ont toujours des conséquences, positives comme négatives.
Si vous traversez une mauvaise période à cause de vos choix, l’heure est venue de les changer. Vous ne pouvez pas modifier le passé, mais vous pouvez modeler votre présent pour changer votre futur.
Pensez sérieusement à toutes les décisions que vous prenez, ne décidez jamais à la légère. Ce sont elles qui vous ont amené là où vous êtes.
Même si vous suivez ces conseils, les résultats peuvent ne pas être ceux que vous attendiez. Ne vous inquiétez pas, la vie est faite d’erreurs.
Continuez à bien peser vos options avant de choisir et apprenez de toutes les conséquences que vous devez affronter.
2. La vie ne consiste pas à avoir de bonnes cartes à jouer, mais à bien jouer celles que vous possédez.
C’est l’humoriste étasunien Josh Billings qui a prononcé cette phrase pleine de sagesse. Connaissez-vous des personnes qui se plaignent de tout ? Qui sont constamment négatives ?
Nous plaindre des situations que nous vivons ne sert absolument à rien. Acceptez ce que vous avez et agissez avec intelligence, il s’agit de votre meilleure option.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/mauvais-moments-reflets-femme.jpg
Si vous obtenez les meilleures cartes dans un jeu, mais que vous ne savez pas vous en servir, à quoi cela vous sert-il ?
Même si nous avons les meilleures atouts, si nous ne savons pas comment jouer, nous n’obtiendrons jamais les résultats que nous attendons. C’est une situation fréquente qui doit attirer notre attention.
Valorisez ce que vous avez et pensez à bien jouer toutes les cartes que vous avez entre les mains, car nous agissons parfois avant de réfléchir et que nous nous repentons des conséquences.
Agissez avec calme, personne ne vous met la pression pour que vous preniez des décisions précipitées.
3. Faites ce que vous pouvez avec ce que vous avez, là où vous êtes
Cette phrase de Theodore Roosevelt nous rappelle que nous sommes parfois notre propre ennemi.
Nous croyons souvent devoir tout faire de manière parfaite, en oubliant que nous pouvons nous tromper et que nous n’obtenons pas toujours les résultats que nous attendons.
Nous oublions souvent une chose pourtant élémentaire : l’effort que nous mettons dans toutes nos actions déterminera notre succès.
Trop nous concentrer sur le résultat provoquera en nous une grande frustration, qui nous incitera à jeter l’éponge si nous ne l’avons pas déjà fait.
Si nous apprenons à profiter du chemin sur lequel nous marchons, qui doit nous conduire à nos rêves, nous allons nous sentir en paix avec nous-mêmes.
Nous serons bien plus conscients qu’il n’est pas obligatoire d’être parfais, mais que les seules choses dont nous avons besoin sont la volonté et le goût de l’effort.
4. En trois mots, je peux résumer tout ce que j’ai appris sur la vie. Elle se poursuit.
Le poète étasunien Robert Frost nous rappelle ces moments de notre existence où nous pensions avoir tout perdu.
Les mauvais moments, parfois, nous font adopter une attitude défaitiste, ce qui provoque en nous le sentiment que nous sommes impuissants, que nous ne pouvons pas agir.
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La personne qui passe par la tragédie la plus horrible a le pouvoir de la surmonter, d’y survivre et de continuer à aller de l’avant.
Être positif est très important dans les situations difficiles car, même si cela peut paraître un peu rigide, tout finit par passer dans la vie. Ces mauvais moments ne seront plus qu’un souvenir dans le futur.
Ne pensez pas que c’est la fin de votre monde, que votre vie est terminée à cause d’une mauvaise passe.
Les émotions négatives vous inondent certainement, mais pas pour vous vaincre, simplement pour vous rendre plus fort. Il existera toujours un lendemain, même après les pires tempêtes.
5. Si vous n’aimez pas quelque chose, changez-la. Si vous ne pouvez pas la changer, changez votre façon de penser.
Cette phrase de Mary Engelbreit dénonce le fait que de rester empêtré dans une situation difficile est un comportement peu productif.
Quel est l’intérêt de vous maintenir dans une relation ou dans une situation qui vous fait du mal ? Il n’y en a pas.
Il existe bien sûr des circonstances de notre vie que nous ne pouvons pas changer. Dans ce cas, que pouvons-nous faire ?
La réponse est simple : changez votre manière de penser. L’acceptation est une étape importante pour nous libérer de tout ce qui peut nous faire du mal.
Ne laissez pas un mauvais vous faire penser que toute votre vie est ratée.
[url=https://twitter.com/intent/tweet?text=Ne laissez pas un mauvais vous faire penser que toute votre vie est rat%C3%A9e....][/url]
Vous traversez une mauvaise passe ? Laquelle de ces phrases vous semble la mieux adaptée à votre situation ? Si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à les partager avec nous.
Certaines citations méritent d’être plus connues, car elles renferment des enseignements qui peuvent nous être d’un grand secours lorsque nous passons par des moments difficiles.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/femme-avec-des-papillons-1.jpg
En savoir plus sur http://nospensees.fr/5-phrases-pour-murir-dans-les-mauvais-moments/#PExU27OeCDk0OJRa.99
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 2:09, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
En finir avec la souffrance
« La douleur et la souffrance sont inévitables tant et aussi longtemps que vous êtes identifié à votre mental, c'est-à-dire inconscient spirituellement parlant. Je fais ici surtout référence à la souffrance émotionnelle, également la principale cause de la souffrance et des maladies corporelles. Le ressentiment, la haine, l'apitoiement sur soi, la culpabilité, la colère, la dépression, la jalousie, ou même la plus petite irritation sont sans exception des formes de souffrance. Et tout plaisir ou toute exaltation émotionnelle comportent en eux le germe de la souffrance, leur inséparable opposé, qui se manifestera à un moment donné. N'importe qui ayant déjà pris de la drogue pour "décoller" sait très bien que le "planage" se traduit forcément par un "atterrissage", que le plaisir se transforme d'une manière ou d'une autre en souffrance. Beaucoup de gens savent aussi d'expérience avec quelle facilité et rapidité une relation intime peut devenir une source de souffrance après avoir été une source de plaisir. Si on considère ces polarités négative et positive en fonction d'une perspective supérieure, on constate qu'elles sont les deux faces d'une seule et même pièce, qu'elles appartiennent toutes deux à la souffrance sous-jacente à l'état de conscience dit de l'ego, à l'identification au mental, et que cette souffrance est indissociable de cet état.
Il existe deux types de souffrance : celle que vous créez maintenant et la souffrance passée qui continue de vivre en vous, dans votre corps et dans votre mental. Maintenant, j'aimerais vous expliquer comment cesser d'en créer dans le présent et comment dissoudre celle issue du passé.
La plus grande partie de la souffrance humaine est inutile. On se l'inflige à soi-même aussi longtemps que, à son insu, on laisse le mental prendre le contrôle de sa vie.
La souffrance que vous créez dans le présent est toujours une forme de non-acceptation, de résistance inconsciente à ce qui est. Sur le plan de la pensée, la résistance est une forme de jugement. Sur le plan émotionnel, c'est une forme de négativité. L'intensité de la souffrance dépend du degré de résistance au moment présent, et celle-ci, en retour, dépend du degré d'identification au mental. Le mental cherche toujours à nier le moment présent et à s'en échapper. Autrement dit, plus on est identifié à son mental, plus on souffre. On peut également l'énoncer ainsi :
PLUS ON EST À MÊME DE RESPECTER ET D'ACCEPTER LE MOMENT PRÉSENT,
PLUS ON EST LIBÉRÉ DE LA DOULEUR, DE LA SOUFFRANCE ET DU MENTAL.
Tant que vous êtes incapables d'accéder au pouvoir de l'instant présent, chaque souffrance émotionnelle que vous éprouvez laisse derrière elle un résidu. Celui-ci fusionne avec la douleur du passé, qui était déjà là, et se loge dans votre mental et votre corps. Bien sûr, cette souffrance comprend celle que vous avez éprouvée enfant, causée par l'inconscience du monde dans lequel vous êtes né. PLUS ON EST LIBÉRÉ DE LA DOULEUR, DE LA SOUFFRANCE ET DU MENTAL.
Cette souffrance accumulée est un champ d'énergie négative qui habite votre corps et votre mental. Si vous la considérez comme une entité invisible à part entière, vous n'êtes pas loin de la vérité. Il s'agit du corps de souffrance émotionnel. Il y a deux modes d'être : latent et actif. Un corps de souffrance peut être latent 90 % du temps. Chez une personne profondément malheureuse, cependant, il peut être actif tout le temps. Certaines personnes vivent presque entièrement dans leur corps de souffrance, tandis que d'autres ne le ressentent que dans certaines situations, par exemple dans les relations intimes ou les situations rappelant une perte ou un abandon survenus dans leur passé, au moment d'une blessure physique ou émotionnelle. N'importe quoi peut servir de déclencheur, surtout ce qui écho à un scénario douloureux de votre passé. Lorsque le corps de souffrance est prêt à sortir de son état latent, une simple pensée ou une remarque innocente d'un proche peuvent l'activer.
Plusieurs corps de souffrance sont exécrables mais relativement inoffensifs, comme c'est le cas chez un enfant qui ne cesse de se plaindre. D'autres sont des monstres vicieux et destructeurs, de véritables démons. Certains sont physiquement violents, alors que beaucoup d'autres le sont sur le plan émotionnel. Ils peuvent attaquer les membres de leur entourage ou leurs proches, tandis que d'autres préfèrent assaillir leur hôte, c'est-à-dire vous-même. Les pensées et les sentiments que vous entretenez à l'égard de votre vie deviennent alors profondément négatifs et autodestructeurs.C'est ainsi que les maladies et les accidents sont souvent générés. Certains corps de souffrance mènent leur hôte au suicide.Le corps de souffrance ne désire pas que vous l'observiez directement parce qu'ainsi vous le voyez tel qu'il est. En fait, dès que vous ressentez son champ énergétique et que vous lui accordez votre attention, l'identification est rompue. Et une dimension supérieure de la conscience entre en jeu. Je l'appelle la présence. Vous êtes dorénavant le témoin du corps de souffrance. Cela signifie qu'il ne peut plus vous utiliser en se faisant passer pour vous et qu'il ne peut plus se régénérer à travers vous. Vous avez découvert votre propre force intérieure. Vous avez accédé au pouvoir de l'instant présent.
Si vous pensiez connaître une personne, ce sera tout un choc pour vous que d'être pour la première fois confrontée soudainement à cette créature étrange et méchante. Il est cependant plus important de surveiller le corps de souffrance chez vous que chez quelqu'un d'autre.
Le corps de souffrance veut survivre, tout comme n'importe quelle autre entité qui existe, et ne peut y arriver que s'il vous amène à vous identifier inconsciemment à lui. Il peut alors s'imposer, s'emparer de vous, "devenir vous" et vivre par vous. Il a besoin de vous pour se "nourrir". En fait, il puisera à même toute expérience entrant en résonance avec sa propre énergie, dans tout ce qui crée davantage de douleur sous quelque forme que ce soit : la colère, un penchant destructeur, la haine, la peine, un climat de crise émotionnelle, la violence et même la maladie. Ainsi, lorsqu'il vous aura envahi, le corps de souffrance créera dans votre vie une situation qui reflétera sa propre fréquence énergétique, afin de s'en abreuver. La souffrance ne peut soutenir qu'elle-même. Elle ne peut se nourrir de la joie, qu'elle trouve vraiment indigeste.Remarquez donc tout signe de morosité, peu importe la forme qu'elle peut prendre. Ceci peut annoncer le réveil du corps de souffrance, celui-ci pouvant se manifester sous forme d'irritation, d'impatience, d'humeur sombre, d'un désir de blesser, de colère, de fureur, de dépression, d'un besoin de mélodrame dans vos relations, et ainsi de suite. Saisissez-le au vol dès qu'il sort de son état latent.
Lorsque le corps de souffrance s'empare, vous en redemandez. Soit vous êtes la victime, soit le bourreau. Vous voulez infliger de la souffrance ou vous voulez en subir, ou bien les deux. Il n'y a pas grande différence. Vous n'en êtes pas conscient, bien entendu, et vous soutenez avec véhémence que vous ne voulez pas de cette souffrance. Mais si vous regardez attentivement, vous découvrez que votre façon de penser et votre comportement font en sorte d'entretenir la souffrance, la vôtre et celle des autres. Si vous en étiez vraiment conscient, le scénario disparaîtrait de lui-même, car c'est folie pure que de vouloir souffrir davantage et personne ne peut être conscient et fou en même temps.
En fait, le corps de souffrance, qui est l'ombre de l'ego, craint la lumière de votre conscience. Il a peur d'être dévoilé. Sa survie dépend de votre identification inconsciente à celui-ci et de votre peur inconsciente d'affronter la douleur qui vit en vous. Mais si vous ne vous mesurez pas à elle, si vous ne lui accordez pas la lumière de votre conscience, vous serez obligé de la revivre sans arrêt. Le corps de souffrance peut vous sembler un dangereux monstre que vous ne pouvez supporter de regarder, mais je vous assure que c'est un fantôme minable qui ne fait pas le poids face au pouvoir de votre présence.
Dès que votre pensée se met au diapason du champ énergétique de votre corps de souffrance, vous y êtes identifié et vous le nourrissez à nouveau de vos pensées.Lorsque vous commencerez à vous désidentifier et à devenir l'observateur, le corps de souffrance continuera de fonctionner un certain temps et tentera de vous amener, par la ruse, à vous identifier de nouveau à lui. Même si la non-identification ne l'énergise plus, il gardera un certain élan, comme la roue de la bicyclette continue de tourner même si vous ne pédalez plus. A ce stade, il peut également créer des maux et des douleurs physiques dans diverses parties du corps, mais ceux-ci ne dureront pas.
Restez présent, restez conscient. Soyez en permanence le vigilant gardien de votre espace intérieur. Il vous faut être suffisamment présent pour pouvoir observer directement le corps de souffrance et sentir son énergie. Ainsi, il ne peut plus contrôler votre pensée.
Par exemple, si la colère en est la vibration énergétique prédominante et que vous avez des pensées de colère, que vous ruminez ce que quelqu'un vous a fait ou ce que vous allez lui faire, vous voilà devenu inconscient et le corps de souffrance est dorénavant "vous-même". La colère cache toujours de la souffrance.
Lorsqu'une humeur sombre vous vient et que vous amorcez un scénario mental négatif en vous disant combien votre vie est affreuse, votre pensée s'est mise au diapason de ce corps et vous êtes alors inconscient et ouvert à ses attaques. Le mot "inconscient", tel que je l'entends ici, veut dire être identifié à un scénario mental ou émotionnel. Il implique une absence complète de l'observateur.
L'attention consciente soutenue rompt le lien entre le corps de souffrance et les processus de la pensée. C'est ce qui amène la métamorphose. Comme si la souffrance alimentait la flamme de votre conscience qui, ensuite, brille par conséquent d'une lueur plus vive. Voilà la signification ésotérique de l'art ancien de l'alchimie : la transformation du vil métal en or, de la souffrance enconscience. La division intérieure est résorbée et vous devenez entier. Il vous incombe alors de ne plus créer de souffrance.
Le processus que je viens de décrire est profondément puissant mais simple. On pourrait l'enseigner à un enfant, et espérons qu'un jour ce sera l'une des premières choses que les enfants apprendront à l'école. Lorsque vous aurez compris le principe fondamental de la présence, en tant qu'observateur, de ce qui se passe en vous - et que vous le "comprendrez" par l'expérience -, vous aurez à votre disposition le plus puissant des outils de transformation.Concentrez votre attention sur le sentiment qui vous habite. Sachez qu'il s'agit du corps de souffrance. Acceptez le fait qu'il soit là. N'y pensez pas. Ne transformez pas le sentiment en pensée. Ne le jugez pas. Ne l'analysez pas. Ne vous identifiez pas à lui. Restez présent et continuez d'être le témoin de ce qui se passe en vous. Devenez conscient non seulement de la souffrance émotionnelle, mais aussi de "celui qui observe", de l'observateur silencieux. Voici ce qu'est le pouvoir de l'instant présent, le pouvoir de votre propre présence consciente. Ensuite, voyez ce qui se passe.
Ne nions pas le fait que vous rencontrerez peut-être une très grande résistance intérieure intense à vous désidentifier de votre souffrance. Ce sera particulièrement le cas si vous avez vécu étroitement identifié à votre corps de souffrance la plus grande partie de votre vie et que le sens de votre identité personnelle y est totalement ou partiellement investi. Cela signifie que vous avez fait de votre corps de souffrance un moi malheureux et que vous croyez être cette fiction créée par votre mental. Dans ce cas, la peur inconsciente de perdre votre identité entraînera une forte résistance à toute désidentification. Autrement dit, vous préféreriez souffrir, c'est-à-dire être dans le corps de souffrance, plutôt que de faire un saut dans l'inconnu et de risquer de perdre ce moi malheureux mais familier.
Vous seul pouvez le faire. Personne ne peut y arriver à votre place. Mais si vous avez la chance de trouver quelqu'un d'intensément conscient, si vous pouvez vous joindre à cette personne dans l'état de présence, cela pourra accélérer les choses. Ainsi, votre propre lumière s'intensifiera rapidement. Lorsqu'une bûche qui commence à peine à brûler est placée juste à côté d'une autre qui flambe ardemment et qu'au bout d'un certain temps elles sont séparées, la première chauffera avec beaucoup plus d'ardeur qu'au début. Après tout, il s'agit du même feu. Jouer le rôle du feu, c'est l'une des fonctions du maître spirituel. Certains thérapeutes peuvent également remplir cette fonction, pourvu qu'ils aient dépassé le plan mental et qu'ils soient à même de créer et de soutenir un immense état de présence pendant qu'ils s'occupent de vous.Examinez cette résistance. Regardez de près l'attachement à votre souffrance. Soyez très vigilant. Observez le plaisir curieux que vous tirez de votre tourment, la compulsion que vous avez d'en parler ou d'y penser. La résistance cessera si vous la rendez consciente. Vous pourrez alors accorder votre attention au corps de souffrance, rester présent en tant que témoin et ainsi amorcer la transmutation.
La première chose à ne pas oublier est la suivante :
TANT ET AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VOUS CRÉEREZ UNE IDENTITÉ QUELCONQUE À PARTIR DE LA SOUFFRANCE, IL VOUS SERA IMPOSSIBLE DE VOUS EN LIBÉRER.
Tant et aussi longtemps que le sens de l'identité sera investi dans la souffrance émotionnelle, vous sabotez inconsciemment toute tentative faite dans le sens de guérir cette souffrance ou y résisterez d'une manière quelconque. Pourquoi ? Tout simplement parce que vous voulez rester intact et que la souffrance est fondamentalement devenue une partie de vous. Il s'agit là d'un processus inconscient, et la seule façon de le dépasser est de le rendre conscient.Réaliser soudainement que vous êtes ou avez été attaché à votre souffrance peut-être la cause d'un grand choc. Mais dès l'instant où cette prise de conscience a lieu, l'attachement est rompu.
Un peu comme une entité, le corps de souffrance est un champ énergétique qui se loge temporairement à l'intérieur de vous. C'est de l'énergie vitale qui est prise au piège et ne circule plus.
Bien entendu, le corps de souffrance existe en raison de certaines choses qui se sont produites dans le passé. C'est le passé qui vit en vous, et si vous vous identifiez au corps de souffrance, vous vous identifiez par la même occasion au passé. L'identité de victime est fondée sur la croyance que le passé est plus puissant que le présent, ce qui est contraire à la vérité. Que les autres et ce qu'ils vous ont fait sont responsables de ce que vous êtes maintenant, de votre souffrance émotionnelle ou de votre incapacité à être vraiment vous-même.
La vérité, c'est que le seul pouvoir qui existe est celui propre à l'instant présent : c'est le pouvoir de votre propre présence à ce qui est. Une fois que vous savez cela, vous réalisez également que vous-même et personne d'autre êtes maintenant responsable de votre vie intérieure et que le passé ne peut pas l'emporter sur le pouvoir de l'instant présent.
L'inconscience le crée, la conscience le métamorphose. Saint Paul a exprimé ce principe universel de façon magnifique : "On peut tout dévoiler en l'exposant à la lumière, et tout ce qui est ainsi exposé devient lui-même lumière." Tout comme vous ne pouvez vous battre contre l'obscurité, vous ne pouvez non plus vous battre contre le corps de souffrance. Essayer de le faire créerait un conflit intérieur et, par conséquent, davantage de souffrance. Il suffit de l'observer et cela suppose l'accepter comme une partie de ce qui est ce moment. »
Eckhart Tolle
Extrait de
Mettre en pratique le pouvoir du moment présent
(Ariane Editions)
Extrait de
Mettre en pratique le pouvoir du moment présent
(Ariane Editions)
http://vivrelibre.free.fr/textes/souffrance.html
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Les Idées qui Parlent > Culture Innovation > Postures et Compétences > Faut-il penser dans la boîte ou hors de la boîte pour innover ?
On appelle communément la « boîte » en innovation le cadre de référence avec lequel on aborde un sujet qui doit être repensé : le contexte de l’entreprise concernée, l’équipe, le projet …
La question de « penser dans la boîte ou hors la boîte » dépend du contexte de l’entreprise :
1er contexte : lorsqu’une entreprise cherche à développer de nouvelles offres, de nouvelles stratégies, de nouvelles façons de faire…elle va se focaliser en priorité sur le résultat attendu.Puis surgit très vite la question : « Comment faire ? »Alors la logique veut que « la boîte » soit le « problème ».
Donc, si le problème est la boîte (et inversement), il est nécessaire de se défaire du problème pour pouvoir la repenser différemment et trouver de nouvelles solutions.
La question créative type associée peut se résumer à « et si tout était possible, comment ferions-nous ? » ou autre alternative de requestionnement avec l’approche orientée solutions « imagine que ton problème soit résolu, qu’est-ce qui serait différent ? A quoi le verrais-tu etc… »
2ème contexte : Dans une période de contraintes extrêmes (budgets réduits, effectifs exsangues, concurrence exacerbée…), d’autres organisations vont chercher à penser « dans la boîte » en tenant compte de leurs contraintes pour faire différemment.
Les méthodologies types associées sont celles de la « théorie des contraintes » (SIT), SCAMPER (que pouvons-nous réorganiser ? que pouvons-nous amplifier ? que pouvons-nous supprimer ? etc…) ou plus récemment Jugaad (faire plus avec mois, penser agile, viser la simplicité, intégrer les marges, suivre son coeur).
Plus largement, les deux approches énoncées « penser hors ou dans la boîte » soulèvent deux sujets de fond en innovation :
- l’entreprise connaît-elle sa « boîte » ?
- pourquoi penser sous forme d’alternative ?
De nombreux projets innovation démarrent sur des présupposés qui ne sont pas remis en question (exemple très simple de présupposé issu d’un récent workshop « pour faire une campagne publicitaire innovante il faut passer par une agence »; j’adore les agences mais il me semble que les alternatives ne manquent pas à l’heure du crowdsourcing !).
Avant de penser au COMMENT, repensons le QUOI pour éviter d’inventer une réalité de marché ou de contexte car la carte n’est pas le territoire !
Ensuite, aborder les méthodologies innovation sous forme d’alternatives me semble risqué face à des problématiques plus complexes qui requièrent de penser DANS et HORS la boîte en même temps pour élargir les solutions.
Enfin, les deux approches a priori contradictoires ne le sont à l’arrivée absolument pas car toutes les entreprises qui veulent produire du résultat (qu’il soit court, moyen ou long terme) se fixent les mêmes contraintes en amont avec des critères de sélection de projets (amélioration, rupture, nouveau business etc…).
Pour aller plus loin « dans la boîte », je vous recommande vivement le dernier livre de Drew Boyd « Inside the Box« ; pour en sortir, un ouvrage qui reste un incontournable : « Creative Whack Pack » de Roger van Oech et pour des requestionnements créatifs « responsables » : « The lean Design Institute » (livres gratuits à télécharger)
Pour conclure, quel est selon vous le plus gros présupposé de ce billet ?
Choisir comme image d’illustration une boîte carrée qui s’ouvre sur le dessus !!!
http://www.lesideesquiparlent.fr/faut-il-penser-dans-la-boite-ou-hors-de-la-boite-pour-innover/
La plupart des entreprises disposent d’un système de veille partagée, système plus ou moins élaboré, afin de capter les signaux / informations innovation. Plus récemment avec la mise en place des Réseaux Sociaux d’Entreprise (ou affiliés) et de communautés projets / pratiques, elles créent en complément des « bases de documentations, d’ouvrages, de Moocs » pour aller plus loin dans la connaissance de certains sujets (méthodes innovation, secteurs, processus, distribution…). » Je suis de plus en plus souvent amenée à proposer des « ouvrages » inspirants pour nourrir ce nouveau type de bibliothèque. La subtilité de l’exercice consiste à sélectionner la « bonne » source, à savoir une source pertinente, inspirante, accessible à tous.
Cette démarche d’ouverture et de réajustement des connaissances est essentielle pour éviter l’obsolescence accélérée des cadres de références techniques, managériaux… Mais elle comporte un deuxième volet aussi essentiel : si les livres (pour parler au sens large) nous révèlent à nous-mêmes, ils nous révèlent…tout court. Il révèlent une intention, une vision du monde.
S’interroger en équipe sur les livres qui orientent votre façon d’aborder l’innovation, le service client, le management, l’organisation….ouvre des portes inédites et fait gagner beaucoup de temps ensuite. Une équipe fonctionne en effet selon trois principes : le principe d’unicité (unicité de projet, de pratiques, d’appartenance), le principe de finalité (un même objectif) et le principe dé diversité.
Constituer/co-construire sa base de lecture au démarrage d’un projet permet un cadrage du champ de vision et d’actions très riche, offre un fil rouge puissant tout au long d’un projet et au-delà !
Je vous propose une mise en… lecture avec le dernier opus de Thierry Marx et Raphaël Haumont « L’innovation aux fourneaux » qui reprend toutes les caractéristiques d’une excellente source/livre à partager sur l’innovation, et ce, quel que soit votre domaine d’activité. Thierry Marx démontre qu’en cuisine aussi on sait parler « techno », rendre accessible la cuisine mais aussi un sujet (l’innovation) trop souvent verbeux.
Voici un petit résumé des 10 « recettes » détaillés dans l’ouvrage, à partager et appliquer sans modération
Source image : fotosearch |
La question de « penser dans la boîte ou hors la boîte » dépend du contexte de l’entreprise :
1er contexte : lorsqu’une entreprise cherche à développer de nouvelles offres, de nouvelles stratégies, de nouvelles façons de faire…elle va se focaliser en priorité sur le résultat attendu.Puis surgit très vite la question : « Comment faire ? »Alors la logique veut que « la boîte » soit le « problème ».
Donc, si le problème est la boîte (et inversement), il est nécessaire de se défaire du problème pour pouvoir la repenser différemment et trouver de nouvelles solutions.
La question créative type associée peut se résumer à « et si tout était possible, comment ferions-nous ? » ou autre alternative de requestionnement avec l’approche orientée solutions « imagine que ton problème soit résolu, qu’est-ce qui serait différent ? A quoi le verrais-tu etc… »
2ème contexte : Dans une période de contraintes extrêmes (budgets réduits, effectifs exsangues, concurrence exacerbée…), d’autres organisations vont chercher à penser « dans la boîte » en tenant compte de leurs contraintes pour faire différemment.
Les méthodologies types associées sont celles de la « théorie des contraintes » (SIT), SCAMPER (que pouvons-nous réorganiser ? que pouvons-nous amplifier ? que pouvons-nous supprimer ? etc…) ou plus récemment Jugaad (faire plus avec mois, penser agile, viser la simplicité, intégrer les marges, suivre son coeur).
Plus largement, les deux approches énoncées « penser hors ou dans la boîte » soulèvent deux sujets de fond en innovation :
- l’entreprise connaît-elle sa « boîte » ?
- pourquoi penser sous forme d’alternative ?
De nombreux projets innovation démarrent sur des présupposés qui ne sont pas remis en question (exemple très simple de présupposé issu d’un récent workshop « pour faire une campagne publicitaire innovante il faut passer par une agence »; j’adore les agences mais il me semble que les alternatives ne manquent pas à l’heure du crowdsourcing !).
Avant de penser au COMMENT, repensons le QUOI pour éviter d’inventer une réalité de marché ou de contexte car la carte n’est pas le territoire !
Ensuite, aborder les méthodologies innovation sous forme d’alternatives me semble risqué face à des problématiques plus complexes qui requièrent de penser DANS et HORS la boîte en même temps pour élargir les solutions.
Enfin, les deux approches a priori contradictoires ne le sont à l’arrivée absolument pas car toutes les entreprises qui veulent produire du résultat (qu’il soit court, moyen ou long terme) se fixent les mêmes contraintes en amont avec des critères de sélection de projets (amélioration, rupture, nouveau business etc…).
Pour aller plus loin « dans la boîte », je vous recommande vivement le dernier livre de Drew Boyd « Inside the Box« ; pour en sortir, un ouvrage qui reste un incontournable : « Creative Whack Pack » de Roger van Oech et pour des requestionnements créatifs « responsables » : « The lean Design Institute » (livres gratuits à télécharger)
Pour conclure, quel est selon vous le plus gros présupposé de ce billet ?
Choisir comme image d’illustration une boîte carrée qui s’ouvre sur le dessus !!!
http://www.lesideesquiparlent.fr/faut-il-penser-dans-la-boite-ou-hors-de-la-boite-pour-innover/
[size=30]Dis-moi ce que tu lis en équipe, je te dirai…[/size]
Les Idées qui Parlent > Culture Innovation > Dis-moi ce que tu lis en équipe, je te dirai…La plupart des entreprises disposent d’un système de veille partagée, système plus ou moins élaboré, afin de capter les signaux / informations innovation. Plus récemment avec la mise en place des Réseaux Sociaux d’Entreprise (ou affiliés) et de communautés projets / pratiques, elles créent en complément des « bases de documentations, d’ouvrages, de Moocs » pour aller plus loin dans la connaissance de certains sujets (méthodes innovation, secteurs, processus, distribution…). » Je suis de plus en plus souvent amenée à proposer des « ouvrages » inspirants pour nourrir ce nouveau type de bibliothèque. La subtilité de l’exercice consiste à sélectionner la « bonne » source, à savoir une source pertinente, inspirante, accessible à tous.
Cette démarche d’ouverture et de réajustement des connaissances est essentielle pour éviter l’obsolescence accélérée des cadres de références techniques, managériaux… Mais elle comporte un deuxième volet aussi essentiel : si les livres (pour parler au sens large) nous révèlent à nous-mêmes, ils nous révèlent…tout court. Il révèlent une intention, une vision du monde.
S’interroger en équipe sur les livres qui orientent votre façon d’aborder l’innovation, le service client, le management, l’organisation….ouvre des portes inédites et fait gagner beaucoup de temps ensuite. Une équipe fonctionne en effet selon trois principes : le principe d’unicité (unicité de projet, de pratiques, d’appartenance), le principe de finalité (un même objectif) et le principe dé diversité.
Constituer/co-construire sa base de lecture au démarrage d’un projet permet un cadrage du champ de vision et d’actions très riche, offre un fil rouge puissant tout au long d’un projet et au-delà !
Je vous propose une mise en… lecture avec le dernier opus de Thierry Marx et Raphaël Haumont « L’innovation aux fourneaux » qui reprend toutes les caractéristiques d’une excellente source/livre à partager sur l’innovation, et ce, quel que soit votre domaine d’activité. Thierry Marx démontre qu’en cuisine aussi on sait parler « techno », rendre accessible la cuisine mais aussi un sujet (l’innovation) trop souvent verbeux.
Voici un petit résumé des 10 « recettes » détaillés dans l’ouvrage, à partager et appliquer sans modération
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Du nouveau sur le site Nathalie ! UneVieExtra-Ordinaire.com : nouvel article Comment se présenter (et découvrir les autres)? Publié le Jul. 28, 2016, par Max Que ce soit dans notre cadre professionnel, ou personnel, nous avons régulièrement à nous présenter. Nouveaux collègues, nouveau groupe de travail, soirée avec des gens que l'on connait peu, etc. Et chaque fois, je cherche mes mots...pas vous? Évidemment, les 1ers éléments de présentation sont simples, très téléguidés (profession, âge, statut), mais comment aller au delà et partager ce qui est important pour nous, rapidement? J'ai eu l'occasion en cours cette année d'apprendre à se présenter via une 'carte personnelle', et je trouve le principe simple, et facile à réaliser. Qu'est ce qu'une carte personnelle?Dérivée des mindmaps, une carte personnelle va représenter sous forme d'arborescence les éléments importants de notre vie, selon nous. Classées en thèmes et sous thèmes, la jonction d'idée se fait facilement, et permet de descendre rapidement à un niveau de précision intéressant, sans avoir l'air d'un annuaire qui récite ses passions Voilà à quoi peut ressembler une carte personnelle : Comment utiliser une carte personnelle?Vous avez un groupe autour de vous, et vous avez l'envie (le besoin) d'apprendre à vous découvrir, et trouver vos points communs? [list="margin: 1.33em 0px 1.33em 40px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px; line-height: normal; width: auto; height: auto; float: none;"] [*]Réalisez votre carte personnelle en 1er, que ce soit sur une feuille vierge ou (mieux), sur un support que tout le monde peut voir (paperboard, tableau, etc) Inscrivez votre prénom au centre, puis les éléments majeurs de votre vie tout autour. Ensuite, pour chaque thème majeur, donnez un nouveau niveau de détail tant que cela vous parait pertinent. La carte doit rester lisible, et s'effectue en 5 à 10 mn max. [*]Une fois terminée, présentez votre carte personnelle en 5mn à votre entourage. Quand vous passez en 1er, si personne ne réagit, pas d'inquiétude, c'est totalement normal. [*]Une fois la présentation terminée, donnez le crayon à une autre personne, qui va à son tour créer sa carte. Les points de connexions vont apparaitre progressivement (pays visités, centres d’intérêts, etc). [/list] Selon le public et la motivation des personnes, chacun peut débuter sa carte personnelle à partir d'une feuille blanche, en choisissant les intitulés de 1er niveau, ainsi que le look de sa carte...ou bien se contenter de compléter une carte déjà pré-remplie sur les thèmes centraux. Exemple de carte à utiliser : Télécharger la carte personnelle à remplir Avant même de la partager avec d'autres personnes, créer sa carte est un petit exercice intéressant qui amène à se définir : savez-vous quels éléments vous allez mettre en avant?A bientôt ! Max PS : Besoin de passer à l'action rapidement ? >> Découvre les cartes de motivation >> Trouve le projet qui te fait vibrer http://www.unevieextra-ordinaire.com/comment-se-presenter-et-decouvrir-les-autres Tu croivais que c'est le même Max ? |
En tout cas il fait son max imum
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
«En savoir plus sur http://www.unevieextra-ordinaire.com/simplifier-simplifier-encore#wXwXTTC0wlZps7Gt.99
[un monde] qui ne sait plus de quoi il a réellement besoin et s’agite à combler dangereusement des désirs étrangers à notre faim profonde ». Martin Steffens
J’ai appris les vertus du minimalisme avec Léo Babauta il y a quelques années, et cela a été une découverte énorme. Il m’a appris à appliquer le mot « simplifier » à toutes les actions de ma vie : dans ce que je possède, ce que je fais au quotidien, dans mes envies.
Une fois toutes les simplifications en place, je pensais en avoir fini. Mais non, cela ne suffisait pas. La société, telle qu’elle est organisée, nous pousse à densifier constamment nos besoins, à multiplier nos choix, à compléter notre tableau de chasse des biens de consommation. Et notre vie redevient « full ».
Pour contrebalancer cette tendance, il est donc de notre ressort de procéder régulièrement à une phase de simplification. « Nettoyer » sa vie et son quotidien, comme on nettoierait une voiture.
L’objectif n’est pas de vivre chichement, mais d’avoir une vie + zen, concentrée sur nos actions prioritaires. En se dégageant de tout ce qui n’est pas important ni nécessaire, on se concentre + facilement, et on passe moins de temps à « gérer ».
J’aime bien voir ces actions de simplification comme de l’optimisation continue, petit à petit. On va essayer de ranger un bureau, ou simplifier un agenda, élément par élément. Couche par couche. Comme un oignon dont on retirerait les différentes peaux. Au fur et à mesure, le coeur se révèle.
Comment simplifier : le diagnostic survie
Si certaines fois, vous vous retrouverez avec une vie trop chargée, trop remplie, sans possibilité de réaliser vos envies, voici quelques pistes d’amélioration à suivre. C’est le « diagnostic survie » que je m’inflige quand je me retrouve moi-même dans cette situation.- Moins de mails
Quand je recommence à recevoir trop de mails, je me fais une phase de désabonnement massive. Il est difficile de réagir pour 1 email inutile, on se dit que ce n’est pas grave, qu’il est + rapide de le supprimer. Mais 40 fois par jour. Et on perd du temps, structurellement. Alors ne passons pas à coté des choses simples©, désabonnons-nous. Même si c’est intéressant, il sera toujours temps de revenir plus tard.
- Moins de connexions au net
Il n’y a pas de secret : si vous cherchez du temps, il semble assez facile de supprimer celui passé sur le net. C’est ce que j’avais testé dans mon défi « 7 jours sans ». Et vous savez quoi? Ça se fait.
Au pire, autorisez-vous un laps de temps sur internet (30m par jour?), et respectez-le. Mettez ce temps à profit pour avancer sur votre projet. Pas pour Facebook.
- Diminuer les engagements
Ouvrez votre agenda. Regardez dans tous les rendez-vous prévus cette prochaine semaine ce qui est obligatoire et indispensable. Supprimez le reste.
Si vous ne trouvez pas, posez vous la simple question : quels rendez vous me font avancer moi, dans mon projet de vie? ? N’ayez pas peur de dire non ou d’annuler, les gens comprendront, ils ont en général le même avis.
- Limitez votre consommation
Si on met de coté nos envies, et le pouvoir des publicités, que reste-il? Pas grand chose. Nous n’avons pas besoin d’acheter pour vivre. Sur 1 semaine donnée, au delà des achats pour manger, rien n’est vraiment obligatoire. Alors testez le mode « achats au minimum », en vous posant la question à chaque fois : « est-ce vraiment utile? »
Si la réponse est non, alors repoussez votre achat.
- Nettoyez, donnez, jetez.
Quand notre espace de vie est plein, cela signifie qu’il faut s’occuper de toutes ces choses. Des bibelots, des magazines, des fringues. Les ranger, les nettoyer, les déménager. En continu. Mais tout cela est-il bien utile?
Je vous conseille de faire de petites sessions « rangement », en prenant chaque semaine 1 élément de votre maison. Cela peut être un bout de pièce, une table, une étagère. Simplifiez au maximum, jetez ce qui n’est pas utile.
Pour décider de l’utilité des objets, j’utilise depuis quelques temps la question suivante : »me suis-je déjà servi de cet objet depuis 1 an? ». Si la réponse est non, alors il y a de fortes chances pour que vous ne vous en serviez pas dans l’année à venir. Ni la suivante.
- Une alimentation simple
Les achats peuvent également être simplifiés. Vous pouvez revenir à des denrées basiques : légumes, fruits, fruits à coque, viandes « brutes », épices. Préparez les aliments de base, pour éviter tout le surplus rajouté. Ce surplus qui fait consommer.
- Simplifiez vos activités
A l’heure où beaucoup d’occupations sont complexes, n’hésitez pas à revenir à quelques activités simples. Cuisiner soi-même, faire une ballade à pied, lire, boire un thé, raconter une histoire, etc. Des activités basiques, mais denses.
Éliminez le superflu. L’essentiel n’en sera que plus évident.Recherches utilisées pour cet article : conseils pour simplifier sa vie pdf, aider a simplifier sa vie
Sur le même thème
En savoir plus sur http://www.unevieextra-ordinaire.com/simplifier-simplifier-encore#wXwXTTC0wlZps7Gt.99
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Mr Zb
La dame à qui je vends un bouquin que je vais lui envoyer me répond ça :
"Vous êtes drôlement confiante... En général, les vendeurs attendent toujours d'être payés pour envoyer ce qu'ils vendent ! Formidable qu'il y ait encore des gens qui fonctionnent ainsi. Cependant, je veux bien vous envoyer le chèque immédiatement, si vous me donnez votre adresse. Chèque et livre se croiseront ainsi quelque part et se diront des choses intelligentes comme ce livre, du moins je l'espère !"
Je dois lui dire que je fonctionne à l'insu de mon plein gré au feeling ? Je dois lui dire que je connais un endroit où on est plusieurs à être plusieurs ? Je vais la laisser d'abord lire le dernier Boris que je lui vends après l'avoir lu, de la merde, elle vous trouvera elle même bon je ne serai plus son unique formidable..... mais bon.... mon égo devrait s'en remettre.
Sur le bon coin coin, tu seras un canard ma fille ? (dans une prochaine vie je prendrai option chieuse quand même ça doit être moins fatiguant )
La dame à qui je vends un bouquin que je vais lui envoyer me répond ça :
"Vous êtes drôlement confiante... En général, les vendeurs attendent toujours d'être payés pour envoyer ce qu'ils vendent ! Formidable qu'il y ait encore des gens qui fonctionnent ainsi. Cependant, je veux bien vous envoyer le chèque immédiatement, si vous me donnez votre adresse. Chèque et livre se croiseront ainsi quelque part et se diront des choses intelligentes comme ce livre, du moins je l'espère !"
Je dois lui dire que je fonctionne à l'insu de mon plein gré au feeling ? Je dois lui dire que je connais un endroit où on est plusieurs à être plusieurs ? Je vais la laisser d'abord lire le dernier Boris que je lui vends après l'avoir lu, de la merde, elle vous trouvera elle même bon je ne serai plus son unique formidable..... mais bon.... mon égo devrait s'en remettre.
Sur le bon coin coin, tu seras un canard ma fille ? (dans une prochaine vie je prendrai option chieuse quand même ça doit être moins fatiguant )
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Je crois que j'ai compris pourquoi on y voit un vieux machin
En fait toi qui n'a pas compris tu ne les as pas en mémoire tous et toutes les combattant(e)s de la vie et pour la vie dans ces chansons/musiques.....
En plus tu ne capeuhteuhs pas la superbe descente de gratte et l'asso formidable basse/gratte/batterie.
C'était pour ça. Il faut bien m'expliquer moi je suis une fille Et la masturbation intellectuelle parfois ça me rend sourde .
Chaque jour hp de Régisette et hop elle devient moins bête
En fait toi qui n'a pas compris tu ne les as pas en mémoire tous et toutes les combattant(e)s de la vie et pour la vie dans ces chansons/musiques.....
En plus tu ne capeuhteuhs pas la superbe descente de gratte et l'asso formidable basse/gratte/batterie.
C'était pour ça. Il faut bien m'expliquer moi je suis une fille Et la masturbation intellectuelle parfois ça me rend sourde .
Chaque jour hp de Régisette et hop elle devient moins bête
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Mais z'alors tu dois te faire chier comme un rat mort.... tu veux que la petite souris vienne te déposer un livre ou un cd sous ton oreiller ?
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Le conseil amoureux du soir : parfois pour pouvoir rouler des pelles, il faut savoir d'abord se prendre des râteaux et en attendant y'a le seau d'eau (si tu l'as pensé, continues à le penser il faut savoir en garder certaines dans son esprit )
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Esprit de la modération, t'es là ? (ou las parfois ?
[size=35]Eloge de la modération[/size]
[url=https://www.facebook.com/sharer/sharer.php?u=http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/dossiers/developpement-personnel/14079-eloge-moderation.htm&title=Eloge de la mod%C3%A9ration][/url] [url=http://twitter.com/intent/tweet?status=Eloge de la mod%C3%A9ration+http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/dossiers/developpement-personnel/14079-eloge-moderation.htm][/url]
VOIR AUSSI
Pour certains, le bonheur se juge à la quantité : toujours plus de possessions, toujours plus de sensations, mais d’autres privilégient la qualité. Ceux-là visent le « bonheur tranquille ». Cette aspiration à mener une vie calme, reposante et moins matérialiste a beaucoup à voir avec la modestie et l’esprit de modération, qui n’est pas seulement un comportement de consommateur, mais aussi, et surtout, une attitude générale dans l’existence, un style de vie et de pensée qui pourrait bien dessiner les contours de la société de demain.
Qu’est-ce donc que la modération ? Quels sont ses effets sur notre vie professionnelle, familiale, amoureuse ? A-t-elle des inconvénients ? Quels sont les maîtres à penser de la modération ? Rêver à sa mesure, avec des aspirations plus modestes, cela donne des ailes, permet de moins subir, de reprendre confiance en soi, d’écarter inquiétude et frustration, de retrouver le pouvoir de choisir. Et, au final, de vivre mieux et d’être plus heureux.
http://www.archambault.ca/chate-anne-bonheur-tranquillevivre-avec-lesprit-de-moderation-ACH003125322-fr-pr
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Pour veiller sur cet espace d’échange privilégié que sont les Vendredis Intellos, une équipe de neurones-modérateurs (anciennement appelé « Marraines ») est aux petits soins… Ses missions dépassent le simple cadre de la modération et permettent à chacun d’entre vous, lecteurs ou contributeurs de trouver l’aide et le soutien dont il peut avoir besoin.
Les neurones modérateurs sont donc là pour:
N’hésitez pas à les solliciter!!
https://lesvendredisintellos.com/moderation-aide-a-la-redaction/
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se modérer , verbe pronominal
Bon alors ? il est situé où dans mon cerveau mon modérateur du vendredi intello ? C'est qui qui fait un briefing ? là haut ? pour décider de se modérer ? ou pas ? C'est qui le chef de la baston ? qui discute avec le chef de "ben non laisses tomber" ?
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http://www.grappa.univ-lille3.fr/polys/apprentissage/sortie005.html
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Essayons de faire le point sur les bases neurobiologiques du libre-arbitre. Si nous arrivons à identifier un mécanisme de cette nature, nous ne douterions plus de l'existence de cette liberté supposée, et du même coup nous ne lui accorderions plus la même importance. C'est normal, cette découverte démystifierait son concept.
Expérience probante
Si le libre-arbitre existe et s'il est neurobiologiquement fondé, nous devrions être capables de l'identifier. Comment ? Par exemple, en analysant l'activité électrique et nerveuse d'un sujet qui prend librement une décision. C'est que des chercheurs ont fait, notamment Benjamin Libet et Robert Kane de l'Université de Californie. Ces deux scientifiques ont décidé d'analyser le cerveau pendant la prise de décision pour voir comment il réagit. Le protocole est simple, ils convoquent une personne et lui demandent de plier, volontairement, un doigt. Des appareils placés sur le cerveau doivent alors calculer le temps qui s'écoule entre la décision et l'action du motoneurone et du muscle responsables. Le temps compté est de 200 millisecondes, un temps tout à fait normal. Par contre ces mêmes capteurs détectent une activité électrique importante d' une demi-seconde, temps très long, avant la prise de décision. Comme si un facteur au sein du sujet agissait avant sa volonté. Une preuve du caractère illusoire du libre-arbitre ?
Le volontarisme au secours du libre-arbitre
Tous les jours nous prenons des décisions, plus ou moins importantes. Pratiquement à chaque fois nous en sommes conscients et savons pourquoi nous les prenons. Mais comme le démontre l'expérience précédente, cette prise de conscience ne déclenche pas la décision, elle ne fait que l'accompagner.
Le fort volontarisme qui caractérise nos sociétés va à l'encontre du concept de déterminisme total. Mais si nous ne sommes pas complètement déterminés ni complètement libres, que devons-nous penser ?
Retour sur l'expérience de Libet. Le sujet présent n'est pas totalement libre puisqu'il se prête au jeu de l'expérience. En revanche il jouit d'une totale, mais courte, liberté dans la décision du moment où il plie le doigt. Les résultats du test montrent que quelque chose dans le sujet choisit ce moment avant la volonté. Si le libre-arbitre existe, nous devrions être capables de l'identifier dans cette demi-seconde si mystérieuse.
Un libre-arbitre relatif ?
On ne peut ni le rejeter en bloc ni l'accepter sans réfléchir. Et si nous trouvions un terrain d'entente avec l'idée d'un libre-arbitre absolu. Lors d'un choix peu engageant, nous avons généralement autant de raison de choisir l'un que l'autre, si ce n'était pas le cas, nous ne nous poserions même pas la question. Il y a donc sans doute quelque chose, que nous appellerons ici le hasard par ignorance, qui avantage l'une des deux situations au profit du choix. Sur le plan neurobiologique, cela peut se schématiser : un réseau neuronal est avantagé par rapport à un autre. Toute notre incompréhension réside dans le fait que cet avantage n'est ni prévisible, ni déterminé.
C'est assez rassurant de se dire que finalement il peut exister. Pas sous la forme d'un facteur spécifique mais peut-être par un ensemble de phénomènes, comme si tout l'organisme et son passé se mobilisait pour nous donner un pouvoir relatif de décider librement.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/6.shtml
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Si le libre-arbitre existe, on doit pouvoir le trouver et le localiser dans notre organisme. Nous avons commencé à chercher du côté des gènes, sans succès, alors où peut-il se trouver ?
Dans le cerveau ?
Si nous sommes réellement dotés de cette capacité de choisir librement nous devrions être capables de l'expliquer physiologiquement, biologiquement. L'explication génétique ne tient pas la route, et ce n'est finalement pas étonnant. Imaginez, notre cerveau se construit continuellement et nous fait tels que nous sommes par la mémoire et l'expérience. Il est prédéfini par un plan biologique mais se construit par l'apprentissage et oriente nos comportements avec plus d'un million de milliards de connexions neuronales. Comme nous l'avons vu, la science a eu trop d'espoir à une époque dans le génome à tel point qu'elle a pensé pouvoir expliquer nos comportements à partir de 30 000 gènes en mettant de côté les fonctions cérébrales.
Où et comment pourrait se localiser le libre-arbitre ?
» Un gène ou des gènes et autres molécules en interaction :Impossible
» Une aire cérébrale dédiée à cette propriété : comme l'aire de Broca l'est au langage : impossible également. Généralement on arrive à démontrer la fonctionnalité d'une aire cérébrale par une lésion. Par exemple, une lésion dans l'aire de Broca peut priver du langage, ainsi nous savons que cette partie du cerveau joue un rôle dans cette aptitude.
» Une propriété due au système nerveux ?
Ou bien encore, le libre-arbitre peut être une propriété que l'on suppose, comme la conscience, mais que nous n'arrivons pas à expliquer aujourd'hui avec les outils scientifiques dont nous disposons. Comme le chaos, il paraît hasardeux alors qu'il est sans doute aussi un peu déterminé par un ensemble de lois naturelles formant un système très complexe que nous ne savons démêler.
Impossible de prôner un déterminisme absolu ni un idéalisme extrême. Douter du libre-arbitre est un exercice difficile et dérangeant pour l'esprit humain qui se définit aussi par sa liberté.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/5.shtml
Les gènes ne nous font pas. Ils ne déterminent pas notre sexualité, ni la violence de certains ni notre niveau social. Cela vous paraît évident mais cela ne fait pas si longtemps que certaines équipes de recherche comptaient bien combattre la criminalité et la pauvreté grâce au génome. Ce sont toutes les déviances qui découlent desthéories des "gènes-rois".
D'autres facteurs
Nos comportements ne sont pas le fruit des associations génétiques qui nous composent en partie. Que faut-il alors en penser ? Que nous choisissons librement ce que nous sommes et la manière dont nous agissons ? C'est là que la première évocation du libre-arbitre apparaît, et aussi les premiers doutes. Choisissons-nous réellement d'être hétérosexuel ou homosexuel ? Non, et nous ne naissons pas comme tel, aucun gène n'est en cause. En réalité nous interagissons pendant des années avec différents milieux : société, famille, etc. Nous sommes donc en quelques sortes soumis à un certain déterminismemais culturel cette fois-ci.
Une liberté feinte
Qu'est-ce que cela signifie ? Que notre libertécorrespond à notre ignorance ? Prenons un exemple léger pour mieux comprendre. L'exemple d'une jeune femme qui affirme ne pas vouloir se marier. Pour elle, ce choix illustre parfaitement sa liberté, elle le décide seule. Bien évidemment, il n'existe pas un gène du mariage, ce n'est donc pas une déficience génétique qui la pousse à réagir ainsi. C'est donc son libre-arbitre qui s'exprime ici. Vraiment ? Nous pouvons tout à fait imaginer que ce choix est déterminé par la société dans laquelle elle évolue, par exemple un milieu où le rite du mariage est valorisé et synonyme de norme sociale qu'elle combat, ou encore qu'elle a souffert de l'échec matrimonial de certains proches etc. En ce sens, sa liberté tant louée est feinte. Finalement, la vraie liberté, ici, réside dans la connaissance des causes extérieures qui modèlent nos choix.
Le rôle d'une vie ?
Au final que penser ? Nous sommes en partie déterminés par des facteurs biologiques et culturels. Si notre libre-arbitre est une simple illusion et que nos choix ne sont pas entièrement les nôtres, nous avons de quoi nous plonger dans une sérieuse crise identitaire. Si nous sommes à ce point déterminés et que notre liberté est en fait un leurre programmé, le libre-arbitre ne serait qu'une contrainte qui s'impose à nous en situation de choix.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/3.shtml
Nous recherchons quelque chose que nous ne savons finalement pas très bien définir, après tout le libre-arbitre qu'est-ce que c'est ? Comment pouvons-nous dire qu'un système, comme l'Homme est libre ou non ?
Libre ?
Un système libre, c'est avant tout un système imprédictible, donc que nous ne comprenons pas. En effet, si on arrive à comprendre sa fonctionnalité totale, c'est qu'il est parfaitement déterminé. Or, les outils d'analyse scientifique dont nous disposons ne nous permettent que d'étudier des systèmes simples. En présence d'un système complexe mais déterminé, nous sommes dans une impasse. L'imprévisibilité d'un tel ensemble ne nous parle pas, du coup nous la nommons liberté, à tort ou à raison.
De la complexité naît la liberté
Imaginons un instant que notre libre-arbitre existe bel et bien et qu'il soit sous-tendu par un arrière plan neuronal spécifique. Ainsi, l'Homme est un système complexe, définit par des lois naturelles. Ces lois fonctionnant ensemble, ajoutées au vécu de chacun amènent à un comportement individuel et particulier qui nous semble libre. Chacun d'entre nous aura ses réactions propres, alors que nous sommes en partie déterminés de la même manière. Peut-être alors que le libre-arbitre s'exprime ainsi : un système déterminé par différentes lois qui, mises en commun, forment un ensemble tout à fait imprédictible. A cet ensemble se greffe le vécu, la mémoire, etc., formant un tout autonome et libre (car non prévisible et non reproductible).
Comment en arriver à une telle hypothèse ? Tout simplement en regardant d'autres systèmes complexes déterminés comme certains automates cellulaires. En effet, leur système devient tellement complexe qu'au final, alors que nous en sommes les créateurs, ils semblent évoluer librement.
Systèmes complexes, en partie déterminés mais aussi conscients et autonomes, la question du libre-arbitre chez l'Homme est loin d'être résolue.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/7.shtml
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Et le neurone dit à l'autre : dis tu ne serais tu pas un peu sous tendu de l'arrière plan ?
et l'autre de lui répondre : tu sous entends quoi là ? je n'ai pas entendu...
[size=35]Eloge de la modération[/size]
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Revoir ses exigences affectives à la baisse !
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Plus que l'intensité que procure la passion, Anne Chaté recommande de miser sur "quelqu'un de bien" comme le chantait déjà Enzo. Qu'on se le dise, briller et se montrer exceptionnel au sein du couple est passé de mode.
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Agir sur l'impact écologique est sans doute le principal moteur de nos changements de mode de consommation, mais pas seulement ! Les périodes de fêtes sont l'occasion de nouvelles prises de conscience. Et si l'excès de cadeaux, de nourriture et de paillettes n'était plus tant au coeur de l'événement, que ce soit des retrouvailles familiales ou de la fête.
D'autant plus que faire plaisir devient difficile tant on a tout. Et surtout le superflu. "Consommer moins et miser davantage sur la qualité de présence et des moments passés ensemble relève de l'esprit de modération" développe Anne Chaté. L'être contre l'avoir… On a beau le savoir, on dérape encore souvent vers le déclic d'achat plus que l'engagement personnel.
Les bénéfices de l'esprit de modération
A première vue, l'esprit de modération semble bien loin de nos comportements actuels. Pourtant y adhérer entraîne des bénéfices. A commencer par le contentement de soi ! Les rêves que nous portons sont essentiels à notre évolution. "A condition qu'ils soient à notre mesure" précise la sociologue. Des aspirations plus modestes et réalisables permettent de prendre confiance en soi, donnent des ailes. A l'inverse, ceux que nous inspirent notre société et sa démesure peuvent nous laisser frustrés, voire inquiets ou épuisés par une quête, qui à bien y regarder n'est pas la nôtre.
Autre bénéfice escompté ? "L'esprit de modération met fin à la comparaison" assure Anne Chaté. Nous sommes ainsi faits que notre attention porte sur Untel qui a un meilleur poste, une plus jolie femme, des enfants plus charmants… et surtout un plus grand appartement ou une plus grosse voiture. En regardant ce que l'on a avec joie, bonheur, et gratitude, on s'évite de souffrir de l'envie, un vrai poison qui nous empêche de goûter le bonheur à portée de main.
Modération : on s'y met !
Chaque début d'année suscite l'engagement à de bonnes résolutions. Alors comment passer en mode "modération", justement ? Le moment est venu de lister les rêves à votre mesure. Posez-vous la question, "Qu'est-ce qui est important pour vous à vos propres yeux ?". Ouvrez les yeux sur votre situation actuelle, avec bienveillance, vous vous rendrez compte alors qu'elle a de la valeur. On ne se lève pas toujours ébahi de joie, d'être en bonne santé, d'être en couple, ou parents, que le soleil brille ou que la neige tombe. On devrait. Ça nous permettrait sans doute de faire un pas de fourmi ou de géant vers davantage de plaisir et d'authenticité. Et si ce qui peut nous paraître banal, était en réalité l'essentiel !
Catherine Maillard (son mari s'appelle Colas)Créé le 0 janvier 2010
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À propos de ce produit
Pour certains, le bonheur se juge à la quantité : toujours plus de possessions, toujours plus de sensations, mais d’autres privilégient la qualité. Ceux-là visent le « bonheur tranquille ». Cette aspiration à mener une vie calme, reposante et moins matérialiste a beaucoup à voir avec la modestie et l’esprit de modération, qui n’est pas seulement un comportement de consommateur, mais aussi, et surtout, une attitude générale dans l’existence, un style de vie et de pensée qui pourrait bien dessiner les contours de la société de demain.
Qu’est-ce donc que la modération ? Quels sont ses effets sur notre vie professionnelle, familiale, amoureuse ? A-t-elle des inconvénients ? Quels sont les maîtres à penser de la modération ? Rêver à sa mesure, avec des aspirations plus modestes, cela donne des ailes, permet de moins subir, de reprendre confiance en soi, d’écarter inquiétude et frustration, de retrouver le pouvoir de choisir. Et, au final, de vivre mieux et d’être plus heureux.
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MODÉRATION/AIDE À LA RÉDACTION
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se modérer , verbe pronominal
- Sens 1
Se modérer est utilisé pour parler d'un homme ou d'une femme qui tenterait de - contrôler ses émotions, ses paroles ou ses réactions, dans le but de ne pas aggraver une situation par un excès pouvant émaner de sa part.
Traduction anglais : to restrain, to control
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Bon alors ? il est situé où dans mon cerveau mon modérateur du vendredi intello ? C'est qui qui fait un briefing ? là haut ? pour décider de se modérer ? ou pas ? C'est qui le chef de la baston ? qui discute avec le chef de "ben non laisses tomber" ?
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Expérience probante
Si le libre-arbitre existe et s'il est neurobiologiquement fondé, nous devrions être capables de l'identifier. Comment ? Par exemple, en analysant l'activité électrique et nerveuse d'un sujet qui prend librement une décision. C'est que des chercheurs ont fait, notamment Benjamin Libet et Robert Kane de l'Université de Californie. Ces deux scientifiques ont décidé d'analyser le cerveau pendant la prise de décision pour voir comment il réagit. Le protocole est simple, ils convoquent une personne et lui demandent de plier, volontairement, un doigt. Des appareils placés sur le cerveau doivent alors calculer le temps qui s'écoule entre la décision et l'action du motoneurone et du muscle responsables. Le temps compté est de 200 millisecondes, un temps tout à fait normal. Par contre ces mêmes capteurs détectent une activité électrique importante d' une demi-seconde, temps très long, avant la prise de décision. Comme si un facteur au sein du sujet agissait avant sa volonté. Une preuve du caractère illusoire du libre-arbitre ?
Le volontarisme au secours du libre-arbitre
Tous les jours nous prenons des décisions, plus ou moins importantes. Pratiquement à chaque fois nous en sommes conscients et savons pourquoi nous les prenons. Mais comme le démontre l'expérience précédente, cette prise de conscience ne déclenche pas la décision, elle ne fait que l'accompagner.
Le fort volontarisme qui caractérise nos sociétés va à l'encontre du concept de déterminisme total. Mais si nous ne sommes pas complètement déterminés ni complètement libres, que devons-nous penser ?
Retour sur l'expérience de Libet. Le sujet présent n'est pas totalement libre puisqu'il se prête au jeu de l'expérience. En revanche il jouit d'une totale, mais courte, liberté dans la décision du moment où il plie le doigt. Les résultats du test montrent que quelque chose dans le sujet choisit ce moment avant la volonté. Si le libre-arbitre existe, nous devrions être capables de l'identifier dans cette demi-seconde si mystérieuse.
Un libre-arbitre relatif ?
On ne peut ni le rejeter en bloc ni l'accepter sans réfléchir. Et si nous trouvions un terrain d'entente avec l'idée d'un libre-arbitre absolu. Lors d'un choix peu engageant, nous avons généralement autant de raison de choisir l'un que l'autre, si ce n'était pas le cas, nous ne nous poserions même pas la question. Il y a donc sans doute quelque chose, que nous appellerons ici le hasard par ignorance, qui avantage l'une des deux situations au profit du choix. Sur le plan neurobiologique, cela peut se schématiser : un réseau neuronal est avantagé par rapport à un autre. Toute notre incompréhension réside dans le fait que cet avantage n'est ni prévisible, ni déterminé.
C'est assez rassurant de se dire que finalement il peut exister. Pas sous la forme d'un facteur spécifique mais peut-être par un ensemble de phénomènes, comme si tout l'organisme et son passé se mobilisait pour nous donner un pouvoir relatif de décider librement.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/6.shtml
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Ce qui nous rend libre : localiser le libre-arbitre | |
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Dans le cerveau ?
Si nous sommes réellement dotés de cette capacité de choisir librement nous devrions être capables de l'expliquer physiologiquement, biologiquement. L'explication génétique ne tient pas la route, et ce n'est finalement pas étonnant. Imaginez, notre cerveau se construit continuellement et nous fait tels que nous sommes par la mémoire et l'expérience. Il est prédéfini par un plan biologique mais se construit par l'apprentissage et oriente nos comportements avec plus d'un million de milliards de connexions neuronales. Comme nous l'avons vu, la science a eu trop d'espoir à une époque dans le génome à tel point qu'elle a pensé pouvoir expliquer nos comportements à partir de 30 000 gènes en mettant de côté les fonctions cérébrales.
Où et comment pourrait se localiser le libre-arbitre ?
» Un gène ou des gènes et autres molécules en interaction :Impossible
» Une aire cérébrale dédiée à cette propriété : comme l'aire de Broca l'est au langage : impossible également. Généralement on arrive à démontrer la fonctionnalité d'une aire cérébrale par une lésion. Par exemple, une lésion dans l'aire de Broca peut priver du langage, ainsi nous savons que cette partie du cerveau joue un rôle dans cette aptitude.
» Une propriété due au système nerveux ?
Ou bien encore, le libre-arbitre peut être une propriété que l'on suppose, comme la conscience, mais que nous n'arrivons pas à expliquer aujourd'hui avec les outils scientifiques dont nous disposons. Comme le chaos, il paraît hasardeux alors qu'il est sans doute aussi un peu déterminé par un ensemble de lois naturelles formant un système très complexe que nous ne savons démêler.
Impossible de prôner un déterminisme absolu ni un idéalisme extrême. Douter du libre-arbitre est un exercice difficile et dérangeant pour l'esprit humain qui se définit aussi par sa liberté.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/5.shtml
Les causes externes | |
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Nos comportements ne sont pas génétiquement programmés.Photo © Sandrine SANLAVILLE (Galerie photo de L'Internaute) |
Nos comportements ne sont pas le fruit des associations génétiques qui nous composent en partie. Que faut-il alors en penser ? Que nous choisissons librement ce que nous sommes et la manière dont nous agissons ? C'est là que la première évocation du libre-arbitre apparaît, et aussi les premiers doutes. Choisissons-nous réellement d'être hétérosexuel ou homosexuel ? Non, et nous ne naissons pas comme tel, aucun gène n'est en cause. En réalité nous interagissons pendant des années avec différents milieux : société, famille, etc. Nous sommes donc en quelques sortes soumis à un certain déterminismemais culturel cette fois-ci.
Une liberté feinte
Qu'est-ce que cela signifie ? Que notre libertécorrespond à notre ignorance ? Prenons un exemple léger pour mieux comprendre. L'exemple d'une jeune femme qui affirme ne pas vouloir se marier. Pour elle, ce choix illustre parfaitement sa liberté, elle le décide seule. Bien évidemment, il n'existe pas un gène du mariage, ce n'est donc pas une déficience génétique qui la pousse à réagir ainsi. C'est donc son libre-arbitre qui s'exprime ici. Vraiment ? Nous pouvons tout à fait imaginer que ce choix est déterminé par la société dans laquelle elle évolue, par exemple un milieu où le rite du mariage est valorisé et synonyme de norme sociale qu'elle combat, ou encore qu'elle a souffert de l'échec matrimonial de certains proches etc. En ce sens, sa liberté tant louée est feinte. Finalement, la vraie liberté, ici, réside dans la connaissance des causes extérieures qui modèlent nos choix.
Le rôle d'une vie ?
Au final que penser ? Nous sommes en partie déterminés par des facteurs biologiques et culturels. Si notre libre-arbitre est une simple illusion et que nos choix ne sont pas entièrement les nôtres, nous avons de quoi nous plonger dans une sérieuse crise identitaire. Si nous sommes à ce point déterminés et que notre liberté est en fait un leurre programmé, le libre-arbitre ne serait qu'une contrainte qui s'impose à nous en situation de choix.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/3.shtml
Les règles cachées | |
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Libre ?
Un système libre, c'est avant tout un système imprédictible, donc que nous ne comprenons pas. En effet, si on arrive à comprendre sa fonctionnalité totale, c'est qu'il est parfaitement déterminé. Or, les outils d'analyse scientifique dont nous disposons ne nous permettent que d'étudier des systèmes simples. En présence d'un système complexe mais déterminé, nous sommes dans une impasse. L'imprévisibilité d'un tel ensemble ne nous parle pas, du coup nous la nommons liberté, à tort ou à raison.
De la complexité naît la liberté
Imaginons un instant que notre libre-arbitre existe bel et bien et qu'il soit sous-tendu par un arrière plan neuronal spécifique. Ainsi, l'Homme est un système complexe, définit par des lois naturelles. Ces lois fonctionnant ensemble, ajoutées au vécu de chacun amènent à un comportement individuel et particulier qui nous semble libre. Chacun d'entre nous aura ses réactions propres, alors que nous sommes en partie déterminés de la même manière. Peut-être alors que le libre-arbitre s'exprime ainsi : un système déterminé par différentes lois qui, mises en commun, forment un ensemble tout à fait imprédictible. A cet ensemble se greffe le vécu, la mémoire, etc., formant un tout autonome et libre (car non prévisible et non reproductible).
Comment en arriver à une telle hypothèse ? Tout simplement en regardant d'autres systèmes complexes déterminés comme certains automates cellulaires. En effet, leur système devient tellement complexe qu'au final, alors que nous en sommes les créateurs, ils semblent évoluer librement.
Systèmes complexes, en partie déterminés mais aussi conscients et autonomes, la question du libre-arbitre chez l'Homme est loin d'être résolue.
http://www.linternaute.com/science/biologie/dossier/libre-arbitre/7.shtml
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Et le neurone dit à l'autre : dis tu ne serais tu pas un peu sous tendu de l'arrière plan ?
et l'autre de lui répondre : tu sous entends quoi là ? je n'ai pas entendu...
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
La musique peut-elle aider les jeunes enfants à parler ?
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/la-musique-peut-elle-aider-les-jeunes-enfants-a-parler?nl=myhn_nl2_1607
Et si un petit air de valse était bénéfique pour votre bébé ? C’est en tout cas l’un des styles musicaux qu’une équipe de chercheurs de l’Institut des sciences de l’apprentissage et du cerveau, à l’Université de Washington, a utilisé pour mettre en avant les effets positifs d’une éducation musicale précoce sur le développement de la parole chez les jeunes enfants. Comment la musique aide-t-elle ceux-ci à acquérir la parole ? Résumé de cette recherche très rythmée !
Pour leur étude, T. Christina Zhao et Patricia K. Kuhl avaient pour objectif principal de déterminer si les jeux musicaux pouvaient faciliter le développement de la parole chez les nourrissons. 20 enfants de 9 mois à qui on a appris à reproduire des rythmes de musique ont été comparés à 19 autres du même âge, qui eux se sont amusés à jouer avec des voitures et des cubes. Pendant 12 séances filmées de 15 minutes (étalées sur une période de 4 semaines), les chercheurs (avec l’aide des parents) ont donc fait écouter des chansons à trois temps (sélectionnées parmi des CD de musique publiés commercialement pour les nourrissons et les tout-petits) aux jeunes enfants et leur ont appris à battre la mesure ; ils devaient par exemple, secouer des maracas, taper du pied ou encore « rebondir ».
Après la fin de l’expérience, une semaine plus tard, tous les bébés ont passé un scanner pendant qu’on leur faisait écouter une série de sons musicaux occasionnellement altérés, avec par exemple, un affaiblissement des deux derniers temps d’un son, voire la suppression d’un temps. Mais pour évaluer la sensibilité des nourrissons à la parole, on leur a également soumis des structures syllabiques étrangères.
Quels sont les résultats ? A l’écoute de ces stimuli altérés, les bébés appartenant au groupe des jeux musicaux ont tous présenté une activité cérébrale plus forte que ceux du groupe témoin. L’attention des chercheurs s’est concentrée en particulier sur les régions à la fois temporale et préfrontale du cortex, qui jouent un rôle clé pour l’attention et la concentration. Selon les auteures, « le langage, comme la musique, revêt des caractéristiques rythmiques très fortes et c’est la capacité à identifier les différences dans les sonorités qui aide les bébés à apprendre à parler », expliquent-elles.
Leur étude fait apparaître que très tôt, un traitement des rythmes musicaux (à travers des jeux de reproduction de « temps ») peut se généraliser au traitement de la parole et améliorer la capacité des jeunes enfants à détecter les rythmes de celle-ci et aussi à les anticiper. Il est cependant important de souligner que le protocole expérimental utilisé dans cette étude combine l’expérience auditive avec d’autres modalités, en particulier motrice (les enfants devaient reproduire la rythmique en « bougeant »). Dès lors, il sera nécessaire de déterminer la contribution du système sensori-moteur dans l’apprentissage auditif, en établissant, par exemple, un protocole d’écoute passive.
Il n’en demeure pas moins que l’étude de T. Christina Zhao et Patricia K. Kuhl ouvre des perspectives plus larges encore ; les auteures concluant qu’ « une stimulation musicale précoce peut avoir des effets plus étendus sur les capacités cognitives. » Avoir le rythme dans la peau, est-ce l’avoir aussi dans la tête ?
Source : T. Christina Zhao et Patricia K. Kuhl, « Musical intervention enhances infants’ neural processing of temporal structure in music and speech », in PNAS, vol.113, n°19, 17 mars 2016.Pour leur étude, T. Christina Zhao et Patricia K. Kuhl avaient pour objectif principal de déterminer si les jeux musicaux pouvaient faciliter le développement de la parole chez les nourrissons. 20 enfants de 9 mois à qui on a appris à reproduire des rythmes de musique ont été comparés à 19 autres du même âge, qui eux se sont amusés à jouer avec des voitures et des cubes. Pendant 12 séances filmées de 15 minutes (étalées sur une période de 4 semaines), les chercheurs (avec l’aide des parents) ont donc fait écouter des chansons à trois temps (sélectionnées parmi des CD de musique publiés commercialement pour les nourrissons et les tout-petits) aux jeunes enfants et leur ont appris à battre la mesure ; ils devaient par exemple, secouer des maracas, taper du pied ou encore « rebondir ».
Après la fin de l’expérience, une semaine plus tard, tous les bébés ont passé un scanner pendant qu’on leur faisait écouter une série de sons musicaux occasionnellement altérés, avec par exemple, un affaiblissement des deux derniers temps d’un son, voire la suppression d’un temps. Mais pour évaluer la sensibilité des nourrissons à la parole, on leur a également soumis des structures syllabiques étrangères.
Quels sont les résultats ? A l’écoute de ces stimuli altérés, les bébés appartenant au groupe des jeux musicaux ont tous présenté une activité cérébrale plus forte que ceux du groupe témoin. L’attention des chercheurs s’est concentrée en particulier sur les régions à la fois temporale et préfrontale du cortex, qui jouent un rôle clé pour l’attention et la concentration. Selon les auteures, « le langage, comme la musique, revêt des caractéristiques rythmiques très fortes et c’est la capacité à identifier les différences dans les sonorités qui aide les bébés à apprendre à parler », expliquent-elles.
Leur étude fait apparaître que très tôt, un traitement des rythmes musicaux (à travers des jeux de reproduction de « temps ») peut se généraliser au traitement de la parole et améliorer la capacité des jeunes enfants à détecter les rythmes de celle-ci et aussi à les anticiper. Il est cependant important de souligner que le protocole expérimental utilisé dans cette étude combine l’expérience auditive avec d’autres modalités, en particulier motrice (les enfants devaient reproduire la rythmique en « bougeant »). Dès lors, il sera nécessaire de déterminer la contribution du système sensori-moteur dans l’apprentissage auditif, en établissant, par exemple, un protocole d’écoute passive.
Il n’en demeure pas moins que l’étude de T. Christina Zhao et Patricia K. Kuhl ouvre des perspectives plus larges encore ; les auteures concluant qu’ « une stimulation musicale précoce peut avoir des effets plus étendus sur les capacités cognitives. » Avoir le rythme dans la peau, est-ce l’avoir aussi dans la tête ?
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/la-musique-peut-elle-aider-les-jeunes-enfants-a-parler?nl=myhn_nl2_1607
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Penser d’abord à l’intérieur de la boîte
Billet de Luc Gendron paru le 18 mars 2015 | catégorie Education, G.P.S., Non classéVous connaissez ce test où il faut relier les neuf(9) points par seulement quatre(4) traits droits qui se touchent sans lever le crayon?
Sortez des sentiers battus! Pour innover, il faut penser en dehors de la “boîte”. C’est ce que proclament plusieurs gourous en innovation.
Et si les pistes de solutions et d’innovations étaient déjà dans la “boîte” de votre passé, de votre entreprise et de votre réseau d’affaires.
Stephen King et Perry Marshall
Dans On writing, Stephen King décrit son processus qui le guide dans la rédaction de ses “best sellers”. Il partage que ses meilleures inspirations proviennent de son vécu. Il compare la recherche des sujets et des scènes à de la spéléologie intérieure dans ses souvenirs.Perry Marshall voue une admiration à Stephen King pour sa façon de décrire ses histoires. Il propose de puiser également dans notre mémoire pour identifier des sujets évocateurs de “storytelling” dans les blogues ou infolettres. Quels sont les moments où vous avez senti un WOW après avoir dit ou réalisé quelque chose.
Enseigner comme vous aimez apprendre!
Dans son dernier livre «How to come up with great ideas and actually make them happen», Ewan McIntosh fait référence à Larry Rosenstock, fondateur de High Tech High.Ce dernier a consulté les enseignants de son réseau dans 28 villes pour qu’ils décrivent des moments où ils ont été vraiment heureux d’apprendre quelque chose dans le passé :
- it was a project
- it involved community
- it had fear of failure
- it had recognition of success
- it had a mentor
- it had public display of work (p.15)
Les réponses obtenues révèlent de précieuses pistes pour adapter les approches pédagogiques et pour stimuler les apprenants.
Ewan souligne également que l’innovation des systèmes organisationnels doit être une processus d’émergence interne avec un focus sur les clients ; non d’imposition externe.
Un musicien au “shipping”
Chez un client manufacturier, un travailleur à l’expédition avait une passion pour la musique. Il faisait parti d’un band et obtenait les engagements pour les concerts uniquement via les réseaux sociaux.J’ai proposé au propriétaire de l’entreprise de prendre un café avec son employé pour qu’il lui raconte comment il attire, qualifie et conclue ses contrats à distance sans rencontrer les clients.
Un expert déjà dans l’équipe!
Durant une séance de coaching avec trois conseillers stratégiques auprès des entrepreneurs, je découvre que l’un d’eux transigeait régulièrement sur Ebay. J’ai pris un moment pour mieux comprendre ces expériences. Durant nos échanges, il m’a demandé ce que je pensais du livre Ebay pour les nuls.Je lui ai répondu que c’est un “must-to-read” pour tous les entrepreneurs et les étudiants au MBA. L’expérience dans Ebay permet d’acquérir des connaissances précieuses pour développer les stratégies de commerce dans l’internet.
En assistant à notre discussion, ses deux autres collègues ont réalisé qu’ils avaient déjà une référence précieuse à proximité. Le regard sur lui n’a plus jamais été le même. Il est devenu une source d’inspiration et un catalyseur pour toute l’équipe.
Penser d’abord à l’intérieur de la “boîte”
Avec chacun de mes clients, avec mes “lunettes” et mes outils, je prends le temps de comprendre les habitudes de communications et de transactions numériques de l’équipe de direction, des employés, des fournisseurs et, bien sûr, de leurs meilleurs clients. À chaque fois je découvre des perles.Avant de penser en dehors de votre boîte ou d’acquérir un nouveau système (outil), il importe de connaître en profondeur l’évolution d’habitudes et des connaissances des meilleurs gens de votre réseau. Une introspection avec une écoute active permet d’identifier les actifs dont vous disposez déjà. À partir d’eux, vous pouvez apprendre et générer un effet de levier.
Qui sont les bizarres, les hors normes et les curieux à découvrir dans votre organisation? Vos instructeurs, vos mentors et vos sources pour innover sont souvent plus près que vous pensez.
http://aryane.com/2015/03/18/penser-dabord-a-linterieur-de-la-boite/
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2015/08/Resilience.jpg
La résilience : l’apprentissage qui naît de la souffrance
“C’est un privilège d’avoir vécu une vie difficile”Indira Gandhi
[url=https://twitter.com/intent/tweet?text=%E2%80%9CC%E2%80%99est un privil%C3%A8ge d%E2%80%99avoir v%C3%A9cu une vie difficile%E2%80%9DIndira Gandhi...][/url]
Etudier la manière dont les personnes intègrent les expériences de leur vie et leurs conséquences sur le reste de leur existence, est un travail que les psychologues et les scientifiques du monde entier ont essayé de comprendre depuis des décennies. Ces recherches ont donné lieu au développement de l’étude de la résilience.
La résilience est la capacité des êtres humains à surmonter des douleurs et des situations d’adversités, relativement extrêmes.
De nombreuses études ont été menées sur le développement de cette capacité chez un grand nombre de sujets ayant vécu des expériences dites «traumatiques» (accidents de la route, abus sexuels, divorces, abandon de famille, licenciement professionnel, etc.).
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2015/08/Resilience2.jpg
¨Lorsque ma souffrance a augmenté, je me suis vite rendu compte qu’il n’y avait que deux manières de répondre à cette situation : réagir avec amertume, ou transformer ma souffrance en une force créatrice. J’ai choisi cette dernière solution.”Martin Luther King
[url=https://twitter.com/intent/tweet?text=%C2%A8Lorsque ma souffrance a augment%C3%A9, je me suis vite rendu compte qu%E2%80%99il n%E2%80%99y avait que deux mani%C3%A8res...][/url]
A l’inverse de nombreuses personnes, il existe des sujets disposant d’une faculté de résilience exceptionnelle, qui peut se traduire par une excellence personnelle et professionnelle.
Nous allons vous montrer quelques cas dans lesquels certaines personnes hyper-résilientes se révèlent.
Nous vous commenterons les enseignements que nous pouvons tirer de l’attitude de ces personnes, dont la vie difficile doit être un exemple pour nous tous. Ils sont parvenus à convertir leur douleur en un «privilège» pour eux-mêmes :
La femme la plus laide du monde et le cirque des papillons
Nous allons vous parler de l’histoire de Nick Vujicic et de Lizzie Velasquez. Ce sont deux conférenciers motivationnels, qui expliquent à leur audience qu’il est fondamental de ne pas devenir la personne que les autres veulent vous imposer.
Les deux ont été considérés par de nombreuses personnes comme des gens ridicules et insignifiants, comme des êtres qui ne méritaient qu’injures et humiliations.
Mais ils sont parvenus à ignorer ces attaques pour faire comprendre au monde qu’ils sont deux belles personnes, comme les autres, capables de transmettre un message de positivité et de force, des enseignements tirés de ce qu’ils ont vécu en tant que personnes «différentes».
Ce sont deux exemples clairs de personnes résilientes, avec une histoire affective et sociale marquée par l’acquisition de choses dont nous disposons pour la plupart à la naissance.
Au lieu d’adopter une attitude défaitiste ou d’assumer l’étiquette de victime que leur donnait la société, ces deux personnes désormais célèbres sont parvenues à être les protagonistes principaux de leur existence.
Les leçons tirées de leurs souffrances sont celles qu’elles racontent dans leurs conférences. Elles nous apprennent que seul l’amour et le dépassement de soi peuvent nous permettre d’atteindre ce que l’on veut, en alliant simplicité et grandeur.
Il ne s’agit pas d’être riche ou célèbre, mais de vivre une vie qui n’est pas gouvernée par la frustration.
C’est pour cela qu’il existe une grande différence entre résistance et résilience. La résistance fait référence à une position stoïque et à une force passive, alors que la résilience représente la transcendance de la résistance et de la souffrance.
Ce qui a priori désavantage certaines personnes devient leur force principale. Ces personnes disposent d’une vision de la vie et d’une intelligence émotionnelle bien plus développées que la normal.
Nous ne pouvons pas parler de résilience sans parler du plus célèbre cas de cette incroyable faculté dans le monde : Nelson Mandela. Après avoir passé 27 ans en prison, il fut un exemple international de dépassement de soi et de lutte pacifique contre l’injustice.
Cette grande figure du XXème siècle doit inspirer chacun d’entre nous.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/resilience-lapprentissage-nait-de-souffrance/#tW86O3cSahhKsXkx.99
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image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/IMAGE-1-16-e1468488940277.jpg
Ne retenez pas des amours, des espoirs ou des peurs qui voudraient s’évanouir
Ne retenez pas ce qui veut tomber, ne nourrissez pas de rêves et d’espoirs ce qui est déjà cassé, ce qui chancelle et qui ne tient plus debout.
C’est très sage de s’en rendre compte et très courageux de savoir réagir à temps, parce que celui qui ne souhaite pas voir la réalité en face et qui porte chaque jour un bandeau sur les yeux et une armure, finit vide, dépourvu d’illusions et d’estime de lui-même.
Nous savons que ces derniers temps, une grande partie de la psychologie a voulu nous offrir des solutions adéquates pour atteindre nos rêves et nos objectifs.
Nous avons appris ce qu’est la pensée positive, l’auto-efficacité, la motivation, la confiance en soi…
Alors, que se passe-t-il quand une partie de ces choses que l’on a réussi à concrétiser commence à s’écrouler ?
Il y a des choses qui ne tiennent plus debout, des amours qui sont en noir et blanc et des espoirs déçus que nous nous efforçons de soutenir. Ce n’est pas ce qu’il faut faire. Vous devez vous défaire de ce qui voudrait s’évanouir… même si ça fait mal.
[url=https://twitter.com/intent/tweet?text=Il y a des choses qui ne tiennent plus debout, des amours qui sont en noir et blanc et des espoirs d%C3%A9%C3%A7us%C2%A0que ...][/url]
Croyons-le ou non, la croissance personnelle demande aussi de l’habileté au moment de deviner quelles batailles ne méritent plus la peine d’être livrées, quelles portes on doit fermer et quels aspects de notre vie il faut mieux laisser tomber.
Nous voulons aujourd’hui réfléchir avec vous sur ce sujet et vous proposer de mémoriser une série de stratégies pour faire face à ces situations compliquées de la meilleure manière.
image: http://nospensees.fr/wp-content/uploads/2016/07/IMAGE-2-19-e1468488901399.jpg
Faux espoirs et espoirs sains
Nous entendons souvent le mot «espoir» avec une dimension réconfortante et encourageante.
C’est comme une tape dans le dos les jours de doutes, comme une étreinte en période d’angoisse et une tasse de chocolat chaud les soirs de larmes.
Pourtant, plus qu’une émotion positive, l’espoir est aussi une dynamique cognitive à prendre en compte.
En savoir plus sur http://nospensees.fr/ne-retenez-pas-des-amours-des-espoirs-ou-des-peurs-qui-voudraient-sevanouir/#Uex6ieGW3RRS2hx8.99
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Pas facile tout ca hein
Ca fait longtemps que je m'interroge, faire le tris entre le bon espoir, le mauvais....
J'ai fini par trouver une solution, basé sur la hiérarchisation de l'espoir.
Plus j'évalue un espoir sain, plus il est en haut de la liste.
ca laisse l'espoir exister, ca permet de vivre et d'avancer
Ca fait longtemps que je m'interroge, faire le tris entre le bon espoir, le mauvais....
J'ai fini par trouver une solution, basé sur la hiérarchisation de l'espoir.
Plus j'évalue un espoir sain, plus il est en haut de la liste.
ca laisse l'espoir exister, ca permet de vivre et d'avancer
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Illusion
[ltr] Pour les articles homonymes, voir Illusion (homonymie).
Une illusion est une perception reconnue comme différente de la réalité.[/ltr]
2Illusions sensorielles
2.1Objets d'étude
2.2Sécurité
2.3Classification
2.4Illusions mémorielles
3Littérature et philosophie
4Voir aussi
4.1Bibliographie
4.2Articles connexes
4.3Notes et références
[ltr]
Im Reiche der Illusion (« Dans le domaine de l'illusion »), attraction auPrater de Vienne en Autriche, photographiée par Emil Mayer (de)entre 1905 et 1914.
[ltr]
Article détaillé : Illusionnisme.
Les arts du spectacle, par les décors, les costumes, les effets spéciaux, etc., permettent aux spectateurs de jouir d'un imaginaire fortement étalé.
Les prestidigitateurs, appelés aussi illusionnistes à partir du troisième tiers du xixe siècle1cultivent l'art de l'illusion avec la complicité émerveillée de ceux qui les regardent.
Dans le spectacle musical, le son stéréophonique crée l'illusion auditive de sources de son entre les enceintes acoustiques.
[ltr]
— Richard Gregory De la représentation dans ses rapports avec les illusions sensorielles2.
En ce qu'elles semblent prendre en défaut le fonctionnement des sens, les illusions, lorsqu'elles sont partagées par un grand nombre de personnes qui ne présentent aucune pathologie, fournissent aux chercheurs des questions intéressantes sur le système de la perception. Généralement, elles les obligent à se séparer d'une conception où la perception serait un enchaînement de causes et d'effets allant de la réalité physique à la conscience en passant par des organes spécialisés.
Dès les débuts des recherches psychophysiques, Helmholtz indique à propos de la perception visuelle la nécessité d'expliquer« comment l'expérience peut contredire l'expérience, et comment des éléments empruntés à l'expérience peuvent produire des illusions, bien qu'il semblerait que l'expérience ne pût nous enseigner que le vrai3 ».
Dans un avion, l'absence des repères habituels peut aboutir à des illusions persistantes.
[ltr]
Les illusions sensorielles sont, pour les personnes préoccupées de sécurité, un important objet d'études appliquées.
C'est particulièrement le cas dans les systèmes complexes comme l'aéronautique4 où il est reconnu que des erreurs radicales et persistantes peuvent amener à des catastrophes. L'illusion sensorielle prospère en compagnie des erreurs radicales et persistantes qui mènent à lacatastrophe : l'opinion erronée informe la perception illusoire, qui la renforce5.
Selon une statistique américaine, en aviation légère, la désorientation spatiale par illusions sensorielles est responsable de 37% des accidents mortels, et en aviation commerciale, selon une étude britannique, ils sont à l'origine de 12% des accidents6.
On trouve des préoccupations semblables dans la prévention des accidents de plongée sous-marine et même des accidents chirurgicaux7.
Richard Gregory, un neuropsychologue britannique spécialisé dans la perception, a donné un classement des illusions visuelles ; les critères de classement peuvent aisément se généraliser à l'audition et au toucher.
Le chercheur doit se garder de traiter identiquement deux phénomènes de nature différente. Le classement des illusions par origine permet d'éviter une explication embrouillée, là où un principe général simple, concernant une fonction du système, est plus satisfaisante. Par exemple, l'illusion lunaire peut susciter et a suscité des quantités d'explications extrêmement ingénieuses, et qui toutes contredisent une partie de l'expérience, si on en postule l'origine dans l'atmosphère, dans la rétine ou dans la perception de la distance, au lieu de considérer l'illusion comme une des nombreuses instances d'une perception des contrastes8.[/ltr]
Classification des illusions selon Richard Gregory9
[ltr]
Les limites entre les catégories sont sujettes à discussion. Particulièrement, celles entre le physiologique et le cognitif sont aujourd'hui indécises ; la psychologie s'intéresse à des systèmes très élémentaires et la physiologie étend son aire aux systèmes complexes. Les deux disciplines se rencontrent dans les neurosciences, pour lesquelles les illusions constituent des indices du mode de fonctionnement des sens.[/ltr]
Classification des illusions selon Jacques Ninio10
[ltr]
À ces illusions basées sur la reconnaissance erronée d'un phénomène présent, on peut ajouter les illusions où l'on conçoit le présent convenablement, mais on a l'impression d'un souvenir, pourtant impossible ; c'est le sentiment de « déjà vu ». Comme dans les illusions sensorielles, ce sentiment vient d'une confrontation problématique entre la mémoire et la réalité vérifiable11.
Sigmund Freud, définit l'« illusion » comme une croyance qui structure la perception, sans égard à sa capacité de produire des effets12.
Certains philosophes se sont attachés à « détruire l'illusion »13, impliquant par là même que la réalité, telle qu'ils la perçoivent, est objective, et que la description qu'ils en donnent n'est nullement l'objet d'une construction mentale. Cette tendance se retrouve chez des auteurs dont la pensée s'oppose par ailleurs en tout point : idéalistes et matérialistes, chrétiens et athées, scientistes et pragmatistes. Dans ces écrits polémiques, on peut considérer illusion, croyance, superstition, idéologie comme synonymes. Démasquer, dévoiler, montrer le caractère illusoire des apparences ou de la façon commune de les considérer est un ressort habituel de la rhétorique. C'est que ces « illusions » produisent des effets à condition qu'elles soient partagées. L'objet de la rhétorique est justement de leur faire substituer d'autres notions, plus favorables aux intérêts défendus par l'orateur.
Un autre courant, dont l'approche ressemble plus à celle des psychologues qui utilisent l'illusion sensorielle comme indice, étudie les croyances, superstitions, idéologies, comme reflets et instruments de maintien de la structure sociale14. Selon l'expression de James Sully (en) « l'illusion doit être considérée comme l'état naturel des mortels15 ». Pour éviter l'aspect polémique lié à la figure rhétorique du dévoilement, l'anthropologie sociale peut désigner les illusions collectives comme « classifications communes »16.
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[ltr] Pour les articles homonymes, voir Illusion (homonymie).
Une illusion est une perception reconnue comme différente de la réalité.[/ltr]
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Sommaire
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- 1Spectacle et divertissement
- 1.1Sur scène
- 1.2À domicile
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Spectacle et divertissement[modifier | modifier le code]
Sur scène[modifier | modifier le code]
[/ltr]Im Reiche der Illusion (« Dans le domaine de l'illusion »), attraction auPrater de Vienne en Autriche, photographiée par Emil Mayer (de)entre 1905 et 1914.
[ltr]
Article détaillé : Illusionnisme.
Les arts du spectacle, par les décors, les costumes, les effets spéciaux, etc., permettent aux spectateurs de jouir d'un imaginaire fortement étalé.
Les prestidigitateurs, appelés aussi illusionnistes à partir du troisième tiers du xixe siècle1cultivent l'art de l'illusion avec la complicité émerveillée de ceux qui les regardent.
À domicile[modifier | modifier le code]
Dans le spectacle musical, le son stéréophonique crée l'illusion auditive de sources de son entre les enceintes acoustiques.
Illusions sensorielles[modifier | modifier le code]
Objets d'étude[modifier | modifier le code]
[/ltr]« On considère généralement les illusions des sens comme des erreurs ou des fautes, de ce fait elles sont loin de représenter des données constitutives d'un savoir ou ayant valeur de vérité. C'est une volte-face que d'accepter les illusions comme des faits essentiels pour une appréhension scientifique de la nature de la science et de l'entendement »
[ltr]
— Richard Gregory De la représentation dans ses rapports avec les illusions sensorielles2.
En ce qu'elles semblent prendre en défaut le fonctionnement des sens, les illusions, lorsqu'elles sont partagées par un grand nombre de personnes qui ne présentent aucune pathologie, fournissent aux chercheurs des questions intéressantes sur le système de la perception. Généralement, elles les obligent à se séparer d'une conception où la perception serait un enchaînement de causes et d'effets allant de la réalité physique à la conscience en passant par des organes spécialisés.
Dès les débuts des recherches psychophysiques, Helmholtz indique à propos de la perception visuelle la nécessité d'expliquer« comment l'expérience peut contredire l'expérience, et comment des éléments empruntés à l'expérience peuvent produire des illusions, bien qu'il semblerait que l'expérience ne pût nous enseigner que le vrai3 ».
Sécurité[modifier | modifier le code]
[/ltr]Dans un avion, l'absence des repères habituels peut aboutir à des illusions persistantes.
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Les illusions sensorielles sont, pour les personnes préoccupées de sécurité, un important objet d'études appliquées.
C'est particulièrement le cas dans les systèmes complexes comme l'aéronautique4 où il est reconnu que des erreurs radicales et persistantes peuvent amener à des catastrophes. L'illusion sensorielle prospère en compagnie des erreurs radicales et persistantes qui mènent à lacatastrophe : l'opinion erronée informe la perception illusoire, qui la renforce5.
Selon une statistique américaine, en aviation légère, la désorientation spatiale par illusions sensorielles est responsable de 37% des accidents mortels, et en aviation commerciale, selon une étude britannique, ils sont à l'origine de 12% des accidents6.
On trouve des préoccupations semblables dans la prévention des accidents de plongée sous-marine et même des accidents chirurgicaux7.
Classification[modifier | modifier le code]
Richard Gregory, un neuropsychologue britannique spécialisé dans la perception, a donné un classement des illusions visuelles ; les critères de classement peuvent aisément se généraliser à l'audition et au toucher.
Le chercheur doit se garder de traiter identiquement deux phénomènes de nature différente. Le classement des illusions par origine permet d'éviter une explication embrouillée, là où un principe général simple, concernant une fonction du système, est plus satisfaisante. Par exemple, l'illusion lunaire peut susciter et a suscité des quantités d'explications extrêmement ingénieuses, et qui toutes contredisent une partie de l'expérience, si on en postule l'origine dans l'atmosphère, dans la rétine ou dans la perception de la distance, au lieu de considérer l'illusion comme une des nombreuses instances d'une perception des contrastes8.[/ltr]
Classification des illusions selon Richard Gregory9
[th]Physique[/th][th]Physiologique[/th][th]Cognitive[/th] | ||
Brumes, ombres | Chambre d'Ames Mouvements apparents | Cube de Necker Inversions figure/fond |
Stroboscopie Déviation des rayons lumineux | Adaptations géométriques Quinconces (Münsterberg) Effets de contraste | Illusions géométriques |
Miroirs | Désaccords entre canaux Effets consécutifs de mouvement Constances | Figures impossibles |
Arcs-en-ciels Moirés | Images consécutives Phosphènes | Contours subjectifs Remplissage de la tache aveugle |
Les limites entre les catégories sont sujettes à discussion. Particulièrement, celles entre le physiologique et le cognitif sont aujourd'hui indécises ; la psychologie s'intéresse à des systèmes très élémentaires et la physiologie étend son aire aux systèmes complexes. Les deux disciplines se rencontrent dans les neurosciences, pour lesquelles les illusions constituent des indices du mode de fonctionnement des sens.[/ltr]
Classification des illusions selon Jacques Ninio10
Disque de Benham | Bruit du coquillage | Physiologique - Fictions |
Bandes de Mach | Physiologique - Fictions | |
Effet Rawdon-Smith | Physiologique - distorsions | |
Illusion d'Ouchi | Fission mélodique | Cognitive - Ambiguïtés |
Contours subjectifs | Restitution auditive | Cognitive - fictions |
Effet Mc Collough | Effet Zwicker | Physiologique -fictions |
Couleur de la lune | Physiologique - distorsions | |
Négligence de la phase | Cognitive - paradoxes | |
La tête de pigeon | Cognitive - paradoxes | |
Illusion de Deutsch | Physiologique - paradoxes | |
Illusions géométriques | Cognitive - distorsions | |
Dominance de l'image | Cognitive - paradoxes |
Illusions mémorielles[modifier | modifier le code]
À ces illusions basées sur la reconnaissance erronée d'un phénomène présent, on peut ajouter les illusions où l'on conçoit le présent convenablement, mais on a l'impression d'un souvenir, pourtant impossible ; c'est le sentiment de « déjà vu ». Comme dans les illusions sensorielles, ce sentiment vient d'une confrontation problématique entre la mémoire et la réalité vérifiable11.
Littérature et philosophie[modifier | modifier le code]
Sigmund Freud, définit l'« illusion » comme une croyance qui structure la perception, sans égard à sa capacité de produire des effets12.
Certains philosophes se sont attachés à « détruire l'illusion »13, impliquant par là même que la réalité, telle qu'ils la perçoivent, est objective, et que la description qu'ils en donnent n'est nullement l'objet d'une construction mentale. Cette tendance se retrouve chez des auteurs dont la pensée s'oppose par ailleurs en tout point : idéalistes et matérialistes, chrétiens et athées, scientistes et pragmatistes. Dans ces écrits polémiques, on peut considérer illusion, croyance, superstition, idéologie comme synonymes. Démasquer, dévoiler, montrer le caractère illusoire des apparences ou de la façon commune de les considérer est un ressort habituel de la rhétorique. C'est que ces « illusions » produisent des effets à condition qu'elles soient partagées. L'objet de la rhétorique est justement de leur faire substituer d'autres notions, plus favorables aux intérêts défendus par l'orateur.
Un autre courant, dont l'approche ressemble plus à celle des psychologues qui utilisent l'illusion sensorielle comme indice, étudie les croyances, superstitions, idéologies, comme reflets et instruments de maintien de la structure sociale14. Selon l'expression de James Sully (en) « l'illusion doit être considérée comme l'état naturel des mortels15 ». Pour éviter l'aspect polémique lié à la figure rhétorique du dévoilement, l'anthropologie sociale peut désigner les illusions collectives comme « classifications communes »16.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
[/ltr]Sur les autres projets Wikimedia :
- illusion, sur le Wiktionnaire
[ltr]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
[/ltr]- (en) Richard Gregory, Seeing through illusions, Oxford U.P., 2009
- Jacques Ninio, La science des illusions, Paris, Odile Jacob, 1998.
[ltr]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
[/ltr]- Perception
- Illusion auditive
- Illusions d'optique
- Biais cognitif
- Hallucination
- Pareidolie
- L'Illusion comique
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Notes et références[modifier | modifier le code]
[/ltr]
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
bercer de faux espoirs
verbe pronominal illusionner
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L’espoir: motivation, sens à la vie et sens au travail
L’espoir et le sens sont tellement importants qu’ils nourrissent notre motivation et même notre désir de vivre.
Dans cet article, vous apprendrez comment vous doter d’une vision, de sens et d’espoirs qui nourriront votre bonheur quotidien et vous porteront au-delà de vos rêves.
Chaque jour, quand vous vaquez à vos activités, est-ce que vous leur accordez du sens, avez-vous l’espoir d’améliorer notre vie ?
Le sens de ce que nous faisons joue un rôle crucial dans notre envie de vivre. Personnellement, le sens de ce que je fais joue un très grand rôle.
C’est la raison pour laquelle j’écris ce blogue, mais j’ai toujours eu beaucoup de difficulté à me motiver pour faire ce en quoi je ne croyais pas.
C’est peut-être la raison pour laquelle je suis devenu entrepreneur: faire plein de tâches plates pour développer mon entreprise, ça va.
Mais les faire en contrepartie d’un salaire pendant que les propriétaires de l’entreprise se remplissent les poches ! J’en suis incapable.
Cela ne signifie pas qu’il n’est pas possible de trouver du sens dans son travail en privilégiant d’autres priorités, comme gagner sa vie pour élever ses enfants dans les meilleurs conditions possibles.
En fait, il n’y a pas de mauvais sens: le sens varie simplement d’une personne à l’autre selon nos expériences, nos intérêts, nos personnalités, etc.
Le docteur Alex Pattakos est un spécialiste du sens et de l’espoir. Ses travaux s’inspirent de ce que lepsychiatre Viktor Frankla observé dans les camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale.
Frankl a constaté que ceux qui entretenaient le plus d’espoirs, comme celui revoir leur famille ou de terminer un projet personnel d’envergure laissé inachevé, survivaient mieux et étaient plus positifs malgré les traitements inhumains que leur faisaient subir les nazis.
Selon le docteur Pattakos, de plus en plus de personnes recherchent un sens profond à leur existence: « Les gens commencent à réaliser qu’ils ne peuvent pas s’accomplir véritablement seulement à travers l’abondance matérielle et la gratification extérieure ».
La vie de tout être humain est pilotée par deux grandes forces. Le désir d’obtenir du plaisir et celui d’éviter la souffrance, qu’on peut résumer par la carotte et le bâton.
Notre motivation et nos actions s’articulent autour de ces grands pôles.
Mais dans nos sociétés riches, les aspirations dépassent rapidement la seule satisfaction des besoins vitaux. C’est ainsi que le sens et l’espoir entrent en jeu, notamment dans le désir de faire ce qui a le plus d’importance pour nous, ce qui nous permet de nous réaliser.
Prenez par exemple la bonne vieille pyramide des besoin d’Abraham Maslow (merci mille fois ausite de développement personnel Instantspresents.com auquel j’ai emprunté cette image):
Comme vous le voyez, les besoins physiologiques et ceux de sécurité sont habituellement comblés (nous avons cette chance). Et ce sont ceux à satisfaire en premier. Viennent ensuite tous les autres, d’ordre psychologique, social et identitaire.
On peut trouver beaucoup de sens à la vie dans les relations positives avec les autres (besoin d’amour et sentiment d’appartenance), dans le sentiment de reconnaissance à travers ce que nous faisons et, comme c’est le sujet de ce blogue, dans la recherche du bonheur, l’accomplissement, la réalisation de soi.
Alors, comment vous aider à donner du sens à votre vie, à la rendre plus riche, plus excitante, plus motivante ? Avec une vision. Je ne parle pas ici d’avoir des visions et de voir de petits bonhommes bleus de 50 centimètres ou despersonnages imaginaires, comme c’est parfois mon cas. Il s’agit plutôt d’une vision de vie.
Une vision est un excellent moyen de nourrir le sens que vous donnez à votre vie. Une vision dépasse le seul quotidien, elle transcende le banal et nous fait rêver.
Je dois vous avouer que, sans ma vision d’écrire des livres, si je ne m’étais pas concrètement imaginé dans la peau d’un auteur tenant un de ses livres dans ses mains, je n’en n’aurais jamais publié.
Sans ma vision de fonder une entreprise, je ne serais pas entrepreneur.
La vision nous aide à nous imaginer dans l’avenir. Elle rend excitante l’idée de réaliser ce qui n’existe pas encore. Car il m’a fallu consacrer detrès très très nombreusesheures de travail pour rédiger mes livresavant qu’ils ne soient publiés (et encore, il auraient pu ne jamais être publié).
Il m’a fallu plancher aussi très longtemps avant que macompagnie de conférences et de formations ne devienne réalité. Quand je la regarde aujourd’hui, et avec tout ce qu’elle m’apporte en terme de reconnaissance, d’excellentes relations, de revenus, etc., j’ai peine à m’imaginer que ce ne sont que des heures de travail et une vision qui lui ont permis de naître et d’améliorer ainsi ma vie !
Les personnes comme moi qui ont beaucoup de facilité à poursuivre une vision partagent un mélange de douce naïveté et d’idéalisme. Mais nul besoin d’avoir les mêmes problèmes mentaux que moi pour développer votre vision.
Votre vision est donc la manière dont vous voyez votre vie idéale. Sans vision, vous avancerez, mais beaucoup moins vite car vous n’aurez pas de raisons particulières de faire une chose plutôt qu’une autres (le fameux sens).
Même s’il n’est pas si facile de nous doter d’une vision qui nous propulse en avant, nous pouvons y travailler. Une vision se compose du sens et des espoirs qui vous donnent envie de vivre.
Elle peut impliquer l’amour, la famille, certaines activités et tout ce qui vous tient à cœur.
Il n’existe pas de recette magique pour vous doter d’une vision. Et rappelez-vous, aussi vrai que nous sommes tous différents des autres, chacun doit déterminer sa propre vision à partir de qui il (elle) est. Pour cela,nous devons d’abord bien nous connaître… Voici néanmoins certaines questions que vous pouvez vous poser sérieusement (avec un papier et un crayon, ou un ordinateur, ou une tablette…):
[list="box-sizing: border-box; margin-right: 0px; margin-bottom: 2.6rem; margin-left: 0px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Quels sont les résultats que je désire (le plus) obtenir dans ma vie ?
[*]À quel genre d’équilibre est-ce que j’aspire (entre ma carrière, mes relations interpersonnelles, etc.) ?
[*]Quels sont mes valeurs, mes goûts et mes intérêts ? Lesquels devrais-je poursuivre en priorité ? Lesquels sont le plus garants de bonheur pour moi ?
[*]Qu’est-ce qui fait la différence dans ma vie ? Qu’est-ce qui me fait vivre les émotions les plus positives et les plus intenses ?
[*]À quoi est-ce que j’aimerais ressembler dans 5, 10, 20 ans ? Qu’est-ce que j’aimerais avoir accompli dans l’avenir ?
[*]Quelles sont les activités auxquelles j’accorde le plus de valeur (je parle ici d’activités constructives, qui apportent quelque chose à votre vie. Si vous répondez « Être en vacances » ou « Écouter la télé », ça ne compte pas).
[/list]
Si vous faites cet exercice sérieusement, vous vous doterez des balises qui vous manquent peut-être pour préciser les contours de votre vision. Ensuite, continuez à vous questionner pour essayer de la préciser toujours plus. Cette précision vous aidera par la suite à imaginer les actions à poser pour la réaliser.
Pour enrichir votre vision,vous pouvez également poursuivre des valeurs et des vertus élevées, comme le propose Martin Seligman avec la psychologie positive. Le fait d’agir en accord avec vos valeurs décuple d’ailleurs votre motivation en plus de vous inonder de bonheur.
Et il semble que l’espoir soit toujours au rendez-vous, même dans les pires conditions. Alex Pattakos a travaillé en 2005 à un programme pour soutenir les travailleurs humanitaires qui allaient en Indonésie à la suite du Tsunami qui a balayé les côtes de plusieurs pays d’Asie.
À la suite de cette expérience, il rapporte que « loin d’avoir éteint l’espoir, le désastre n’avait pas été suffisant pour empêcher les survivants d’espérer un avenir positif pour eux-mêmes et pour leur nation. » En d’autres mots, « l’importance de l’espoir leur a permis de transcender l’horreur de leur situation »,.
Ainsi, plus vous enrichirez le sens de votre vie, plus vous nourrirez des espoirs réalistes, et plus vous vivrez une vie agréable et authentique. Vous serez aussi plus résilients face aux épreuves, plus optimistes, etvous assumerez plus facilement la responsabilité de votre vie.
Nous serons tous, un jour ou l’autre, confrontés à certains éléments de cette très déprimante liste… Lorsque cela vous arrivera, comme les personnes les plus optimistes, n’oubliez jamais que les problèmes sont temporaires. Ils sont aussi spécifiques, c’est-à-dire qu’il ne faut pas les généraliser à toute votre vie.
Avec ces convictions en tête, vous en serez quitte pour avancer vers votre vision et continuer à vous réaliser malgré les écueils !
Nous pouvons réaliser nos rêves si nous les considérons comme des objectifs réels qui s’accompagnent d’actions concrètes. Nous avions souvent de grands rêves lorsque nous étions jeunes et nous avons laissé au quotidien et aux commentaires négatifs entendus à droite et à gauche le soin de nous les faire oublier.
Le manque de vision et d’enthousiasme tient beaucoup dans le fait que nos actions quotidiennes ne nous satisfont pas suffisamment. Nous nous sommes éloignés de nos rêves et de ce que nous sommes vraiment. Cet exercice est l’occasion de commencer à vous réapproprier vos rêves, votre vie, bref, tout ce que vous êtes !
Pour réapprendre à rêver, rappelez-vous de tout ce qui est vraiment important pour vous. Et ne laissez pas des pensées du type « Mais c’est bien trop ambitieux » ou « Je ne suis pas réaliste » briser ces rêves. Croyez-vous que celles et ceux qui ont réalisé des rêves extraordinaires se sont contentés d’être réaliste ? Pas du tout ! Ils ont cru en leurs rêves et ont fait ce qu’il faut pour en faire une réalité. Je poursuis moi-même ce processus depuis plus de 15 ans maintenant et je peux vous assurer que ça fonctionne très bien.
Rédigez la liste de vos rêves en sautant une ligne entre chacun d’eux. Et à côté, précisez si ces rêves sont à court, moyen ou à long terme. Mettez-les ensuite par ordre d’importance.
Affichez bien en évidence la liste de ces rêves et lisez-la souvent (au moins une fois par semaine), car c’est la conviction que vous pouvez atteindre vos rêves et les actions que vous ferez qui vous permettront de les réaliser.
Si vous possédez une vision que vous poursuivez chaque jour sans relâche, partagez-nous la ! Comment donnez-vous du sens à votre vie ? J’ai hâte de vous lire dans les commentaires.
Source:http://www.nicolassarrasin.com/espoir-motivation-sens-vie-travail#ixzz4FtfYsO61
verbe pronominal illusionner
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L’espoir: motivation, sens à la vie et sens au travail
Pourquoi se jeter à l’eau avant que la barque n’ait chaviré ? (Proverbe Chinois)
Et moi de rajouter:À moins que ce ne soit pour repêcher le dentier que l’on a échappé…
L’espoir et le sens sont tellement importants qu’ils nourrissent notre motivation et même notre désir de vivre.
Dans cet article, vous apprendrez comment vous doter d’une vision, de sens et d’espoirs qui nourriront votre bonheur quotidien et vous porteront au-delà de vos rêves.
Vous trouverez gratuitement les autres chapitres de mon livre sur sa page: Se poser les bonnes questions. |
Espoir et sens: la base de la vie
Chaque jour, quand vous vaquez à vos activités, est-ce que vous leur accordez du sens, avez-vous l’espoir d’améliorer notre vie ?
Le sens de ce que nous faisons joue un rôle crucial dans notre envie de vivre. Personnellement, le sens de ce que je fais joue un très grand rôle.
C’est la raison pour laquelle j’écris ce blogue, mais j’ai toujours eu beaucoup de difficulté à me motiver pour faire ce en quoi je ne croyais pas.
C’est peut-être la raison pour laquelle je suis devenu entrepreneur: faire plein de tâches plates pour développer mon entreprise, ça va.
Mais les faire en contrepartie d’un salaire pendant que les propriétaires de l’entreprise se remplissent les poches ! J’en suis incapable.
Cela ne signifie pas qu’il n’est pas possible de trouver du sens dans son travail en privilégiant d’autres priorités, comme gagner sa vie pour élever ses enfants dans les meilleurs conditions possibles.
En fait, il n’y a pas de mauvais sens: le sens varie simplement d’une personne à l’autre selon nos expériences, nos intérêts, nos personnalités, etc.
Le docteur Alex Pattakos est un spécialiste du sens et de l’espoir. Ses travaux s’inspirent de ce que lepsychiatre Viktor Frankla observé dans les camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale.
Frankl a constaté que ceux qui entretenaient le plus d’espoirs, comme celui revoir leur famille ou de terminer un projet personnel d’envergure laissé inachevé, survivaient mieux et étaient plus positifs malgré les traitements inhumains que leur faisaient subir les nazis.
Selon le docteur Pattakos, de plus en plus de personnes recherchent un sens profond à leur existence: « Les gens commencent à réaliser qu’ils ne peuvent pas s’accomplir véritablement seulement à travers l’abondance matérielle et la gratification extérieure ».
La base de la motivation
La vie de tout être humain est pilotée par deux grandes forces. Le désir d’obtenir du plaisir et celui d’éviter la souffrance, qu’on peut résumer par la carotte et le bâton.
Notre motivation et nos actions s’articulent autour de ces grands pôles.
Mais dans nos sociétés riches, les aspirations dépassent rapidement la seule satisfaction des besoins vitaux. C’est ainsi que le sens et l’espoir entrent en jeu, notamment dans le désir de faire ce qui a le plus d’importance pour nous, ce qui nous permet de nous réaliser.
Prenez par exemple la bonne vieille pyramide des besoin d’Abraham Maslow (merci mille fois ausite de développement personnel Instantspresents.com auquel j’ai emprunté cette image):
Comme vous le voyez, les besoins physiologiques et ceux de sécurité sont habituellement comblés (nous avons cette chance). Et ce sont ceux à satisfaire en premier. Viennent ensuite tous les autres, d’ordre psychologique, social et identitaire.
On peut trouver beaucoup de sens à la vie dans les relations positives avec les autres (besoin d’amour et sentiment d’appartenance), dans le sentiment de reconnaissance à travers ce que nous faisons et, comme c’est le sujet de ce blogue, dans la recherche du bonheur, l’accomplissement, la réalisation de soi.
Une vision, pour plus de sens à sa vie
Alors, comment vous aider à donner du sens à votre vie, à la rendre plus riche, plus excitante, plus motivante ? Avec une vision. Je ne parle pas ici d’avoir des visions et de voir de petits bonhommes bleus de 50 centimètres ou despersonnages imaginaires, comme c’est parfois mon cas. Il s’agit plutôt d’une vision de vie.
Une vision est un excellent moyen de nourrir le sens que vous donnez à votre vie. Une vision dépasse le seul quotidien, elle transcende le banal et nous fait rêver.
Je dois vous avouer que, sans ma vision d’écrire des livres, si je ne m’étais pas concrètement imaginé dans la peau d’un auteur tenant un de ses livres dans ses mains, je n’en n’aurais jamais publié.
Sans ma vision de fonder une entreprise, je ne serais pas entrepreneur.
La vision nous aide à nous imaginer dans l’avenir. Elle rend excitante l’idée de réaliser ce qui n’existe pas encore. Car il m’a fallu consacrer detrès très très nombreusesheures de travail pour rédiger mes livresavant qu’ils ne soient publiés (et encore, il auraient pu ne jamais être publié).
Il m’a fallu plancher aussi très longtemps avant que macompagnie de conférences et de formations ne devienne réalité. Quand je la regarde aujourd’hui, et avec tout ce qu’elle m’apporte en terme de reconnaissance, d’excellentes relations, de revenus, etc., j’ai peine à m’imaginer que ce ne sont que des heures de travail et une vision qui lui ont permis de naître et d’améliorer ainsi ma vie !
Les personnes comme moi qui ont beaucoup de facilité à poursuivre une vision partagent un mélange de douce naïveté et d’idéalisme. Mais nul besoin d’avoir les mêmes problèmes mentaux que moi pour développer votre vision.
Votre vision est donc la manière dont vous voyez votre vie idéale. Sans vision, vous avancerez, mais beaucoup moins vite car vous n’aurez pas de raisons particulières de faire une chose plutôt qu’une autres (le fameux sens).
Même s’il n’est pas si facile de nous doter d’une vision qui nous propulse en avant, nous pouvons y travailler. Une vision se compose du sens et des espoirs qui vous donnent envie de vivre.
Elle peut impliquer l’amour, la famille, certaines activités et tout ce qui vous tient à cœur.
Quelques questions pour vous aider à déterminer une vision composée de sens et d’espoirs
Il n’existe pas de recette magique pour vous doter d’une vision. Et rappelez-vous, aussi vrai que nous sommes tous différents des autres, chacun doit déterminer sa propre vision à partir de qui il (elle) est. Pour cela,nous devons d’abord bien nous connaître… Voici néanmoins certaines questions que vous pouvez vous poser sérieusement (avec un papier et un crayon, ou un ordinateur, ou une tablette…):
[list="box-sizing: border-box; margin-right: 0px; margin-bottom: 2.6rem; margin-left: 0px; padding-right: 0px; padding-left: 0px;"]
[*]Quels sont les résultats que je désire (le plus) obtenir dans ma vie ?
[*]À quel genre d’équilibre est-ce que j’aspire (entre ma carrière, mes relations interpersonnelles, etc.) ?
[*]Quels sont mes valeurs, mes goûts et mes intérêts ? Lesquels devrais-je poursuivre en priorité ? Lesquels sont le plus garants de bonheur pour moi ?
[*]Qu’est-ce qui fait la différence dans ma vie ? Qu’est-ce qui me fait vivre les émotions les plus positives et les plus intenses ?
[*]À quoi est-ce que j’aimerais ressembler dans 5, 10, 20 ans ? Qu’est-ce que j’aimerais avoir accompli dans l’avenir ?
[*]Quelles sont les activités auxquelles j’accorde le plus de valeur (je parle ici d’activités constructives, qui apportent quelque chose à votre vie. Si vous répondez « Être en vacances » ou « Écouter la télé », ça ne compte pas).
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Si vous faites cet exercice sérieusement, vous vous doterez des balises qui vous manquent peut-être pour préciser les contours de votre vision. Ensuite, continuez à vous questionner pour essayer de la préciser toujours plus. Cette précision vous aidera par la suite à imaginer les actions à poser pour la réaliser.
Pour enrichir votre vision,vous pouvez également poursuivre des valeurs et des vertus élevées, comme le propose Martin Seligman avec la psychologie positive. Le fait d’agir en accord avec vos valeurs décuple d’ailleurs votre motivation en plus de vous inonder de bonheur.
L’espoir fait vivre
Et il semble que l’espoir soit toujours au rendez-vous, même dans les pires conditions. Alex Pattakos a travaillé en 2005 à un programme pour soutenir les travailleurs humanitaires qui allaient en Indonésie à la suite du Tsunami qui a balayé les côtes de plusieurs pays d’Asie.
À la suite de cette expérience, il rapporte que « loin d’avoir éteint l’espoir, le désastre n’avait pas été suffisant pour empêcher les survivants d’espérer un avenir positif pour eux-mêmes et pour leur nation. » En d’autres mots, « l’importance de l’espoir leur a permis de transcender l’horreur de leur situation »,.
Ainsi, plus vous enrichirez le sens de votre vie, plus vous nourrirez des espoirs réalistes, et plus vous vivrez une vie agréable et authentique. Vous serez aussi plus résilients face aux épreuves, plus optimistes, etvous assumerez plus facilement la responsabilité de votre vie.
Qu’est-ce qui nous fait perdre espoir ?
- De brusques changements dans notre vie.
- Un manque ou un excès de responsabilités.
- Une absence de stimulations et d’encouragements.
- Trop de stress et de soucis.
- Une déception ou une perte.
- Le fait de mettre la barre trop haut et d’échouer sans se donner de porte de sortie.
Nous serons tous, un jour ou l’autre, confrontés à certains éléments de cette très déprimante liste… Lorsque cela vous arrivera, comme les personnes les plus optimistes, n’oubliez jamais que les problèmes sont temporaires. Ils sont aussi spécifiques, c’est-à-dire qu’il ne faut pas les généraliser à toute votre vie.
Avec ces convictions en tête, vous en serez quitte pour avancer vers votre vision et continuer à vous réaliser malgré les écueils !
Exercice: Réappropriez-vous vos rêves !
Nous pouvons réaliser nos rêves si nous les considérons comme des objectifs réels qui s’accompagnent d’actions concrètes. Nous avions souvent de grands rêves lorsque nous étions jeunes et nous avons laissé au quotidien et aux commentaires négatifs entendus à droite et à gauche le soin de nous les faire oublier.
Le manque de vision et d’enthousiasme tient beaucoup dans le fait que nos actions quotidiennes ne nous satisfont pas suffisamment. Nous nous sommes éloignés de nos rêves et de ce que nous sommes vraiment. Cet exercice est l’occasion de commencer à vous réapproprier vos rêves, votre vie, bref, tout ce que vous êtes !
Pour réapprendre à rêver, rappelez-vous de tout ce qui est vraiment important pour vous. Et ne laissez pas des pensées du type « Mais c’est bien trop ambitieux » ou « Je ne suis pas réaliste » briser ces rêves. Croyez-vous que celles et ceux qui ont réalisé des rêves extraordinaires se sont contentés d’être réaliste ? Pas du tout ! Ils ont cru en leurs rêves et ont fait ce qu’il faut pour en faire une réalité. Je poursuis moi-même ce processus depuis plus de 15 ans maintenant et je peux vous assurer que ça fonctionne très bien.
Rédigez la liste de vos rêves en sautant une ligne entre chacun d’eux. Et à côté, précisez si ces rêves sont à court, moyen ou à long terme. Mettez-les ensuite par ordre d’importance.
Affichez bien en évidence la liste de ces rêves et lisez-la souvent (au moins une fois par semaine), car c’est la conviction que vous pouvez atteindre vos rêves et les actions que vous ferez qui vous permettront de les réaliser.
Deux excellentes lectures que je vous suggère:
- Viktor E. Frankl,Découvrir un sens à sa vie avec la logothérapie.
- Alex Pattakos, Ph.D.,Découvrir un sens à son travail: D’après les théories de Viktor Frankl.
Si vous possédez une vision que vous poursuivez chaque jour sans relâche, partagez-nous la ! Comment donnez-vous du sens à votre vie ? J’ai hâte de vous lire dans les commentaires.
Source:http://www.nicolassarrasin.com/espoir-motivation-sens-vie-travail#ixzz4FtfYsO61
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Paréidolie
(Redirigé depuis Pareidolie)
[ltr]
[size=11]Cet article est une ébauche concernant la psychologie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations desprojets correspondants.[/ltr][/size]
Le visage énigmatique de Pedra da Gavea à Rio de Janeiro au Brésil.
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Une paréidolie (du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d’eidos, « apparence, forme ») est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.[/ltr]
5Notes et références
6Bibliographie
7Voir aussi
7.1Articles connexes
7.2Liens externes
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Le cerveau structure son environnement en permanence, quitte à transformer les informations fournies par la rétine en objets connus. La paréidolie exprime la tendance du cerveau à créer du sens par l'assimilation de formes aléatoires à des formes référencées. Le siège cérébral de la fonction permettant d’identifier des formes, extrêmement importante pour la socialisation et le développement de l’espèce, se situe dans le lobe temporal. Une lésion de celui-ci peut entraîner des agnosies visuelles aperceptives (par exemple uneprosopagnosie, l’impossibilité d’identifier un visage) et occasionner, en réaction, des paréidolies.
Bien qu'elle puisse apparaître à la suite d'un dysfonctionnement du cerveau, la paréidolie est généralement causée par la tendance naturelle à assimiler des perceptions nouvelles à celles déjà connues et répertoriées. C'est la plupart du temps utile pour identifier un objet nouveau comme appartenant à une catégorie connue, mais peut entraîner des erreurs1. L'effet Stroop est une autre variété de cette même préférence des sens à interpréter une perception en la comparant à celles déjà connues. Cette préférence découle possiblement d'un avantage évolutif ayant mené à une hypersensibilité à détecter une présence (en), qui favorise la survie mais pas nécessairement la précision2. Ainsi, les erreurs se font presque toutes dans la même « direction » : des faux positifs (reconnaître une présence qui n'est pas là) plutôt que des faux négatifs (ne pas reconnaître une présence)3.
À la différence des autres illusions d'optique, qui découlent des lois universelles de la perception humaine, chacun peut, dans le cas des paréidolies, voir une chose différente. L'humain a tendance à deviner notamment des visages dès qu'un objet y ressemble4. Les attentes, les prédispositions, la culture de chacun a un impact sur ces « projections ». Par exemple, le test de Rorschach est basé sur cette fonction cognitive. Les paréidolies relèvent donc de phénomènes cognitifs complexes.
Les pistes neuro-cognitives pour expliquer la paréidolie tiennent de la neurophysiologie de la perception ainsi que de mécanismes innés de reconnaissance de forme : exemple des travaux sur les reconnaissances prototypiques du visage de l'espèce5.
Voir aussi : Message subliminal et Message à l'envers.
Dans L’Énergie spirituelle, Henri Bergson expose l’hypothèse selon laquelle c’est par une paréidolie, à partir des phosphènes naturels qui apparaissent lorsqu’on ferme les yeux, que sont élaborées les images des rêves.
Certains[Qui ?] trouvent dans ce phénomène une explication plausible aux messages audibles dans des enregistrements joués à l’envers, dans les cas où il s’agit d’une coïncidence (comme dans la chanson Better By You, Better Than Me de Judas Priest, par exemple).
Selon le mouvement sceptique contemporain, la paréidolie explique de nombreux cas de visions de figures iconiques ou religieuses (comme les apparitions mariales) ou encore ceux de messages par voix électronique.
L’identification de visages dans les nuages est un exemple classique de paréidolie.
En 2004, un toast sur lequel avait été perçue une image de la Vierge Marie a été vendu pour 28 000 dollars6.
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(Redirigé depuis Pareidolie)
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[size=11]Cet article est une ébauche concernant la psychologie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations desprojets correspondants.[/ltr][/size]
Le visage énigmatique de Pedra da Gavea à Rio de Janeiro au Brésil.
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Une paréidolie (du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d’eidos, « apparence, forme ») est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.[/ltr]
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Sommaire
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- 1Origines
- 2Interprétations
- 3Exemples
- 4Galerie
- 4.1Univers naturel
- 4.2À partir d'éléments artificiels
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Origines[modifier | modifier le code]
Le cerveau structure son environnement en permanence, quitte à transformer les informations fournies par la rétine en objets connus. La paréidolie exprime la tendance du cerveau à créer du sens par l'assimilation de formes aléatoires à des formes référencées. Le siège cérébral de la fonction permettant d’identifier des formes, extrêmement importante pour la socialisation et le développement de l’espèce, se situe dans le lobe temporal. Une lésion de celui-ci peut entraîner des agnosies visuelles aperceptives (par exemple uneprosopagnosie, l’impossibilité d’identifier un visage) et occasionner, en réaction, des paréidolies.
Bien qu'elle puisse apparaître à la suite d'un dysfonctionnement du cerveau, la paréidolie est généralement causée par la tendance naturelle à assimiler des perceptions nouvelles à celles déjà connues et répertoriées. C'est la plupart du temps utile pour identifier un objet nouveau comme appartenant à une catégorie connue, mais peut entraîner des erreurs1. L'effet Stroop est une autre variété de cette même préférence des sens à interpréter une perception en la comparant à celles déjà connues. Cette préférence découle possiblement d'un avantage évolutif ayant mené à une hypersensibilité à détecter une présence (en), qui favorise la survie mais pas nécessairement la précision2. Ainsi, les erreurs se font presque toutes dans la même « direction » : des faux positifs (reconnaître une présence qui n'est pas là) plutôt que des faux négatifs (ne pas reconnaître une présence)3.
À la différence des autres illusions d'optique, qui découlent des lois universelles de la perception humaine, chacun peut, dans le cas des paréidolies, voir une chose différente. L'humain a tendance à deviner notamment des visages dès qu'un objet y ressemble4. Les attentes, les prédispositions, la culture de chacun a un impact sur ces « projections ». Par exemple, le test de Rorschach est basé sur cette fonction cognitive. Les paréidolies relèvent donc de phénomènes cognitifs complexes.
Les pistes neuro-cognitives pour expliquer la paréidolie tiennent de la neurophysiologie de la perception ainsi que de mécanismes innés de reconnaissance de forme : exemple des travaux sur les reconnaissances prototypiques du visage de l'espèce5.
Interprétations[modifier | modifier le code]
Voir aussi : Message subliminal et Message à l'envers.
Dans L’Énergie spirituelle, Henri Bergson expose l’hypothèse selon laquelle c’est par une paréidolie, à partir des phosphènes naturels qui apparaissent lorsqu’on ferme les yeux, que sont élaborées les images des rêves.
Certains[Qui ?] trouvent dans ce phénomène une explication plausible aux messages audibles dans des enregistrements joués à l’envers, dans les cas où il s’agit d’une coïncidence (comme dans la chanson Better By You, Better Than Me de Judas Priest, par exemple).
Selon le mouvement sceptique contemporain, la paréidolie explique de nombreux cas de visions de figures iconiques ou religieuses (comme les apparitions mariales) ou encore ceux de messages par voix électronique.
Exemples[modifier | modifier le code]
L’identification de visages dans les nuages est un exemple classique de paréidolie.
En 2004, un toast sur lequel avait été perçue une image de la Vierge Marie a été vendu pour 28 000 dollars6.
Galerie[modifier | modifier le code]
Univers naturel[modifier | modifier le code]
[/ltr]- Tête d'indien dans les rochers, archipel des Ebihens (Bretagne, France).
- Profil perdu et buste de femme avec chapeau, manteau à collets et capuche, dans les gorges de Daluis(arrière-pays niçois, France), dite « la Gardienne des Gorges ».
- Figure anthropomorphe grimaçante, vue de trois quarts, schiste rouge, dans les gorges duCians (Alpes maritimes, France).
- Une photo satellite d’un rocher sur Mars, dont les ombres créent le célèbreVisage de Mars.
- Image fournie par la NASA, via Hubble : unelentille gravitationnellesituée à 4,5 millardsd’années-lumière de la Terre donne l’impression d’un gigantesque smiley.
- Le Sphinx des monts Bucegi, dans lesCarpathes (Roumanie).
- Tête d’amérindien, plus connue sous le nom deRock Face, dans lesRocheuses, état duColorado.
- Tête de chef indien, dans le roc, surnommée « El Indio », sur l’île deGran Canaria(Canaries).
- Profil humain se découpant sur le plateau de Marcahuasi, près deLima (Pérou).
- Tête humaine dans le roc, visible à Huatulco, état d’Oaxaca, Mexique.
- Le célèbre profil de l’île de Stac Levenish, dans l’archipel écossais deSaint-Kilda.
- Tête de chien endormi, dans une paroi du fjord du Saguenay, auQuébec.
- Sinus Iridum dont lePromontorium Heraclides au Sud-Ouest représente une tête de femme lunaire les cheveux au vent enlune gibbeuse7.
- Cachalot ou sous-marin ?
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À partir d'éléments artificiels[modifier | modifier le code]
[/ltr]- Une des plus fameuses paréidoliesphotographiques, où l'on voit une tête christiqueapparaître, alors qu'il s'agit en réalité d'un bébé coiffé d’un chapeau, simplement assis sur les genoux de son père, le tout sur fond de nature.
- Autre exemple plus ordinaire de paréidolie : un réveille-matin pouvant être perçu comme un visage triste.
- Une vieille pièce de mécanisme, évoquant la tête d’une bête fantastique.
- Une prise murale suggérant l'idée d’un visage souriant.
- Des défauts de goudron suggérant une partie de l’Europe occidentale.
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Notes et références
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
http://www.linternaute.com/actualite/societe/1318792-les-perles-des-appels-au-17/1319072-des-nuggets-chez-les-poulets?een=5f82247276eeee0b775a986ab566fa5d&utm_source=greenarrow&utm_medium=mail&utm_campaign=ml287_perlesdesappels
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=gM7BKS_SPw4
https://www.youtube.com/watch?v=UQ8rnWDcAr8
https://www.youtube.com/watch?v=HHQPP5KTkvI
https://www.youtube.com/watch?v=NKSB2lgRwSw
https://www.youtube.com/watch?v=UQ8rnWDcAr8
https://www.youtube.com/watch?v=HHQPP5KTkvI
https://www.youtube.com/watch?v=NKSB2lgRwSw
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=5-R35zCT1W0
https://www.youtube.com/watch?v=uJ7RwYawUB8
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
As tu remarqué qu'en fixant assez longtemps le texte rouge et vert de ta deuxième vidéo, on fini par le voir en 3D ?
Sympa la techno, j'avais pas essayé, energies..... speed!
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Revz a écrit:As tu remarqué qu'en fixant assez longtemps le texte rouge et vert de ta deuxième vidéo, on fini par le voir en 3D ?
Sympa la techno, j'avais pas essayé, energies..... speed!
Essaies de penser en écoutant ça Nettoyage et aérage de neuneus du Rhône (en toble) garanti
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=MFtULK9nvr8
Petit con Mais un con bisounours
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=vriiqRu19wU
Brian en kilt in the kiltchen
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
[size=36]À quoi tient l'espoir ?[/size]
Mots clés : Psychologie positive, psychologie, Espérance, Théorie de l'espoir
Par Pascale Senk - le 28/11/2014
Longtemps perçu comme un idéal un peu vain, l'espoir change de réputation avec la psychologie positive. Il apparaît comme un optimisme lié à l'action.
C'est un mot qui n'avait guère la cote. Peu évoqué dans le contexte actuel, qui en a pourtant cruellement besoin, ni chez les psychologues, plutôt habitués à fréquenter la désespérance, l'espoir, perçu peut-être comme l'idéal philosophique d'autres temps - on pense instantanément au grand œuvre d'André Malraux -, semblait jusque-là peu digne d'intérêt.
La psychologie positive est en train de changer cela. Deux chercheurs, notamment, Charles Martin-Krumm, à l'École supérieure du professorat et de l'éducation de Rennes, et Andréas Kraft, de l'université St Gallen, en Suisse, mènent depuis quatre ans une étude européenne à partir d'un questionnaire diffusé en Suisse, en Allemagne, en République tchèque, en Autriche et en France, en collaboration notamment avec le professeur Fabien Fenouillet, de l'université Paris Ouest-Nanterre.
Un processus cognitif opérationnel
«On a coutume de dire que les Français sont particulièrement pessimistes, nous allons pouvoir le mesurer par rapport à d'autres pays», se réjouit Charles Martin-Krumm. Ces travaux permettront de décrypter, entre autres, ce qui est source d'espoir, comment ce dernier interagit avec les perceptions de bien-être, passion, religion… des personnes interrogées. Sera aussi mesuré le rôle de ceux qui étaient jusque-là traditionnellement perçus comme des «porteurs d'espoir»: famille, politiques… et même banquiers*.
C'est que, pour la psychologie moderne, ce qui était longtemps perçu comme une émotion incontrôlable est désormais observable comme un processus cognitif opérationnel. Les chercheurs américains Snyder et Lopez notamment ont en ce sens donné une définition précise de la personne qui espère: «C'est quelqu'un qui se fixe des buts et a de fortes motivations, ainsi que la capacité à voir les chemins différenciés pour les atteindre», explique Charles Martin-Krumm.
La notion d'«intervention»
On est là bien loin d'une définition un peu «molle», qui faisait de l'espoir un mélange d'attente passive et d'optimisme béat. «La notion d'“intervention” est désormais prédominante, ajoute le chercheur. Ainsi, un pessimiste est surtout quelqu'un qui ne sait pas comment intervenir sur la réalité, quand celui qui espère se fonde sur la diversité des actions qu'il pense possibles.»
Actuellement, cette conception cognitive de l'espoir est investiguée dans le domaine de la santé, du fait de ses bénéfices présumés sur le bien-être des patients, la résilience, l'acceptation des soins et des conséquences pathologiques. Yann Delas, élève de l'ENS et doctorant en psychologie du sport, cherche, lui, à analyser les effets potentiels de l'espoir sur la réalisation d'un effort physique relativement intense, effectué sur cycloergomètre.
«Pour l'heure, il s'avère que l'espoir n'a pas vraiment d'effet sur la performance brute, explique le chercheur. En revanche, il peut avoir un impact sur la capacité des sujets à rebondir après une performance perçue comme un échec, lors de la réalisation d'une seconde performance par exemple, ou lorsque l'on mesure les progrès envisagés sur de futures performances.»
Théorie de l'espoir
Depuis une quinzaine d'années, la «théorie de l'espoir» a fait du champ scolaire un autre domaine d'étude privilégié. «Dernièrement, Feldman et Dreher (2012) ont procédé à une intervention de 90minutes destinée à augmenter le niveau d'espoir chez des étudiants, explique Yann Delas. Avant l'intervention, il était demandé aux sujets de choisir un but qu'ils souhaiteraient accomplir au cours des six prochains mois. Les résultats démontrent une augmentation significative du niveau d'espoir pour le groupe expérimental par rapport au groupe contrôle ayant bénéficié d'une intervention centrée sur la relaxation musculaire.» On peut donc présumer qu'il est possible, par des interventions spécifiques, d'améliorer à court terme le niveau d'espoir des individus.
Visualiser des actions concrètes, être capable d'identifier ses objectifs forment sans doute le socle sur lequel l'espoir peut grandir. C'est en cela que celui qui est plein d'espoir se différencie de l'optimiste: «Il sait qu'il va exercer un certain contrôle sur les événements, pouvoir agir pour atteindre ses objectifs, alors que l'optimiste jouit “simplement” de la capacité à percevoir que les événements vont bien se passer, parfois même indépendamment de sa marge d'action», explique Yann Delas. Ainsi, la sagesse populaire ne s'y est pas trompée: si «l'espoir fait vivre», c'est surtout parce qu'il implique la nécessité de vraiment connaître les projets qui nous tiennent à cœur et différents moyens pour les concrétiser. Sans cela, il risque toujours de rester une vertu illusoire.
* Pour participer à cette étude et connaître votre niveau personnel d'espoir: www.espoir2015.com
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
http://www.decitre.fr/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/3/1/1/6/9782311621587.pdf
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Enfants doués : quelques idées reçues
Chronique de Arielle Adda, 21/01/15 11:41Psychologue
Les enfants doués, en échec scolaire, malheureux, incompris... ? Arielle Adda dégomme les idées reçues qui circulent sur eux !
Il semblerait que, ces derniers temps, une vague de misérabilisme déferle sur les personnes douées, enfants comme adultes. A en croire les idées qui circulent, il faut bien se rendre à l’évidence : les personnes douées sont très malheureuses, elles seraient, en fait, accablées par un destin qui les dépasse, avant de les écraser. Elles n’ont pas choisi ce sort funeste, il convient donc de les plaindre, de leur porter assistance dans la mesure du possible, mais cette aide, que des âmes généreuses sont toutes prêtes à apporter, n’est pas toujours bien reçue.
Ainsi, on envisage de créer des classes pour enfants "différents" : elles regrouperaient les enfants doués, avec ceux qui présentent des troubles tels que la dyslexie. Un livre est paru récemment pour aider les parents en détresse, "lorsque votre enfant souffre de troubles plus ou moins sévères - précocité, dyslexie, harcèlement, hyperactivité, anxiété scolaire, maladie somatique etc.- vous vous sentez rapidement perdu…". (Fatma Bouvet de la Maisonneuve "Enfants et Parents en souffrance" Editions Odile Jacob). On conçoit bien que les parents d’enfants doués puissent être anéantis à la perspective des difficultés qu’ils vont rencontrer.
Dans la pensée courante, il est posé d’emblée que les personnes douées sont difficiles à comprendre à cause de leur fonctionnement particulier, elles sont à part et, d’ailleurs, elles ont peu d’amis, ce qui prouve bien leur singularité.
Les enfants doués seraient quasi systématiquement en échec scolaire à cause de l’ennui profond qui s’est abattu sur eux au début de la scolarité. En outre, ils ne savent pas travailler. Ils rêvent, c’est ce qu’ils sauraient le mieux faire, c’est même leur passe-temps préféré. Ceux qui réussissent, malgré tout, seraient aidés, pour ne pas dire portés, par des parents qui ne les lâchent pas d’une semelle tant que leur travail n’est pas fait.
A lire ces portraits attristants on pourrait penser que TOUS les autres enfants, c’est-à-dire les 98 % restant, ou même les 95 % restant, vont à l’école la joie au cœur, gambadant de plaisir ; ils se déprimeraient seulement en vacances, tant l’école leur manque.
Il y a évidemment des années noires, quand un profond fossé sépare l’enfant doué de son maître ou, plus tard, de certains de ses professeurs, mais quel enfant n’a pas connu ces moments de creux ?
On dira que le fossé est vraiment très profond, impossible à combler, creusé par quantité de malentendus et d’interprétations erronées : cet enfant trop questionneur, au savoir paradoxalement étendu dans certains domaines, répondant trop vite et toujours avec une agaçante pertinence, irrite au-delà de toute mesure un professeur qui a le sentiment de perdre son apanage, ou seulement de le voir fissuré par cet élève dérangeant et inclassable.
Il y a aussi des années lumineuses parce que le professeur goûte infiniment les qualités de cet élève vif et curieux. Il décèle chez lui des trésors qui ne demandent qu’à être révélés, justement par quelqu’un dont c’est la fonction et qui éprouvera un plaisir sans cesse renouvelé à participer à l’éclosion de tant de dons.
Ainsi, un maître remplaçant a été très heureux d’avoir dans sa classe un enfant le mettant au courant des us et coutumes de l’école et de l’avancée du programme. Cette complicité spontanément établie a rendu service à tout le monde. Pourtant, à bien y regarder, les rôles de chacun étaient un peu modifiés, mais personne n’y a trouvé à redire.
Le don intellectuel est exercé avec tant de naturel qu’il n’étonne pas, c’est quand il n’est pas compris comme tel qu’il déclenche des torrents de désordres.
Lorsque l’enfant doué se sent compris, reconnu, apprécié pour ce qu’il est réellement, il est absolument enchanté, il donne avec joie le meilleur de lui-même.
Alors qu’on hésite parfois à faire passer un test, comme s’il s’agissait d’un événement tellement perturbateur qu’il demanderait une longue préparation et des conditions idéales de passation, les enfants doués sont généralement ravis de cette séance : ils ont réussi des tâches difficiles et ils en ont été largement félicités. Ils repartent avec une image étincelante d’eux-mêmes.
Elle dissipe les ombres entachant jusque-là cette image, ils se sentent à la fois plus légers et plus forts. Ils pensent qu’ils vont désormais pouvoir s’autoriser à envisager leur avenir sans se croire trop ridicules, trop rêveurs, trop utopistes. On leur a révélé qu’ils possédaient une force leur permettant de tracer leur voie comme ils le désiraient.
Un enfant en pleine possession de ses dons, pouvant rencontrer des semblables, au moins de temps à autre, est un enfant heureux ;
les adultes qui l’entourent apprécient également son incessante créativité, d’autant plus agréable que son souci de perfection le pousse à fignoler toutes ses productions et à y trouver du plaisir.
Adulte, il met à profit toutes les connaissances acquises pour réaliser ses rêves d’accomplissement. S’il a la chance d’être aidé par un entourage compréhensif et prêt à lui donner tous les moyens sans s’imposer trop de sacrifices, il concrétise avec bonheur ses ambitions et tout le monde en recueille les bienfaits.
Qui ne préfère être soigné par un médecin au diagnostic sûr, dont on estime la perspicacité, rencontrer un professeur qui a parfaitement cerné chaque enfant et dont les cours sont passionnants, au point même d’être à l’origine de certaines vocations, ou encore recourir à un artisan connaissant son métier ? De surcroît, ceux qui ont le goût de leur travail l’exécutent à merveille.
C’est une assertion sans cesse ressassée, qu’il est tout de même préférable de rappeler de temps à autre : les personnes douées, enfants ou adultes, ne peuvent se satisfaire d’un travail bâclé, ce souvenir laisserait une trace dérangeante, de la même façon qu’une tache imparfaitement nettoyée sur un costume.
Les personnes douées qui n’ont pas eu la chance d’être accompagnées suffisamment longtemps pour concrétiser leurs désirs déploient parfois des forces inimaginables pour y arriver "quand même". Cet accomplissement peut survenir plus tard, quand les conditions sont plus propices. C’est alors une victoire encore plus méritoire, son goût est inimitable.
Ce sont ceux qui sont encore à la recherche d’eux-mêmes et qui hésitent à envisager cette explication qui souffrent et tâtonnent. Heureusement, la piste du don intellectuel est de plus en plus évoquée, elle finira bien par être banalisée. Cette perspective semble peut-être encore utopique pour le moment, mais Internet contribue largement à diffuser les informations sur ce sujet.
L’amitié, et plus encore l’amour, reste le point le plus délicat à aborder. C’est peut-être dans ce domaine essentiel qu’il convient, justement, de conserver sa vigilance : il est impératif qu’une union soit conclue entre pairs pour être durable, c’est alors que le couple amical ou amoureux forme un ensemble solide, capable d’affronter bien des tempêtes. C’est une règle d’or qu’on ne doit jamais négliger : on évite alors les déconvenues, les souffrances et la solitude, ou une situation vécue comme telle, donc plus douloureuse encore. En complète harmonie, on avance du même pas.
http://www.journaldesfemmes.com/maman/expert/59706/enfants-doues---quelques-idees-recues.shtml
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:38, édité 1 fois
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=TUDxxzaC0Co
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=keDMkVzgE2E
La rue qui est à moi et à ceux et celles que j'aime
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=YrI4IWgeHZI
Encore un qui joue comme deux manches
Encore un qui joue comme deux manches
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=a6g5xuIRoxw
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
En tout cas ce n'est pas, appeler le Nord "les Hauts de France" que ça a haussé la température Cela dit, je suis sure de ne pas faire de dépression mouah suite à de violentes variations de température.
M'en fous je suis un haut potentiel de France
qui n'aime pas quand il fait chaud.
Fière d'être DKlée, whé et mon coeur fait boom.
https://www.youtube.com/watch?v=QcjMdN0574ABon je retourne me culturer.
https://www.youtube.com/watch?v=JNo86HEt86w
https://www.youtube.com/watch?v=lGpOdvPyWIk
Je suis t'mi pas chtimi (ni mais elle fait le maximum pour la mire en couleurs) )
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=Kl1BqksVnw4
https://www.youtube.com/watch?v=UQgEa7W7Mqk
https://www.youtube.com/watch?v=QRjSxHv-aRA
https://www.youtube.com/watch?v=Cx1_otE_HTg
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Demain matin, baby sitting de mon "petit cul" charmeur doué sur et très haut potentiel.
à 4 ans ? je peux démarrer avec ACDC ? ou c'est déjà trop tard ? En 4h on doit pouvoir se faire au moins quatre conférences... la tectonique des plaques, le syndrome du bouchon qui flotte et ne se retourne pas comme les tartines même si on y met de la confiture, métaphysique des tubes des années 80 et le syndrome de Martine doit se lever à 7h en fa mineur, non je plaisante, on a prévu Farmville, coloriage, jeux de société, musique, dessin et pâte à modeler et reportage sur les tracteurs et le cimentage des dalles, qui sur un parvis près de chez moi sont apparemment mal positionnés.
L'avantage quand tu es douée à 45 ans, c'est qu'au moins, même sans enfants t'es équipée pour une matinée de 4 ans ou alors je le mets devant la télé pendant 4h ?. on peut exploiter les jeunes doués discrètement ? plomberie, électricité ?
Bon je vais me coucher tout de suite, au cas où, une matinée HP ça risque de donner
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=ctUUdvUCL4k
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:48, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Un doigt de musky, une graine dans l'oreille, c'est bon j'ai révisé, je suis prête
https://www.youtube.com/watch?v=rJSF_0LPyoo
https://www.youtube.com/watch?v=rJSF_0LPyoo
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:49, édité 1 fois
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=VmwLc6MiZY0
et ça me va bien
et ça me va bien
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Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Celui qui me fera divorcer de la musique, il n'est pas né, moi je vous le dis C'est la base le noyau dur.
Toujours présente, on peut toujours compter sur elle, elle a tout Elle est parfaite
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Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
https://www.youtube.com/watch?v=SjEZtanmupc
Tout se règle en chanson, et tout le monde gagne du temps
Tout se règle en chanson, et tout le monde gagne du temps
Dernière édition par Iamsosure le Lun 15 Aoû 2016 - 1:50, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Très bon
Oui, tout pareil
(mais des fois, il faut avouer, elle soul un peu Et c'est pour ça qu'on l'Aime tant )
Oui, tout pareil
(mais des fois, il faut avouer, elle soul un peu Et c'est pour ça qu'on l'Aime tant )
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
Très marrant la dernière, on a posté en croisé
Invité- Invité
Re: Paramètres Polyvalents et Modèle de Base
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Je suis d'humeur rieuse
Je suis d'humeur rieuse
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