Zèbre et écrivain, compatible ou non?
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Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
J'aime cette façon de voir les choses : l'art de dire beaucoup en peu de mots.
Il faut que je retienne ça. Je pense qu'en utilisant cette faculté à bon escient ils est possible de faire de grandes choses.
On est pas obligé de pondre un pavet pour une explication qui tiendrait en une dizaine de page.
Il faut que je retienne ça. Je pense qu'en utilisant cette faculté à bon escient ils est possible de faire de grandes choses.
On est pas obligé de pondre un pavet pour une explication qui tiendrait en une dizaine de page.
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Je ne vais pas me poser en spécialiste de cette approche (je tends vers le synthétique mais n'y arrive pas forcément).
Cependant, j'ai pu voir par le passé, dans le contexte d'un travail de type scientifique, des problèmes associés à cette approche.
Dans certains cas, je voulais exprimer par écrit une pensée complexe. Cette pensée était exprimée de manière synthétique, mais comme elle était complexe, elle demandait néanmoins un texte relativement long.
Résultat: je perdais plus ou moins tout le monde, entre ceux qui n'avaient pas le "courage" de lire un texte aussi long et ceux qui l'avaient mais avaient du mal avec sa densité.
Les premiers attendaient un texte très court, exempt d'explications dont ils se foutaient complètement. Soit ils se reposaient sur moi et attendaient de savoir ce qu'ils devaient penser, soit ils savaient que de toute manière ils "devaient" s'opposer à moi pour des raisons politiques et c'était plus simple si je restais à un haut niveau d'affirmations non étayées.
Les seconds, a priori plus ouverts, attendaient une explication plus didactique, avec développements, exemples et répétitions.
Pour moi, si on considère les livres sur la zébritudes, celui de Cécile Bost (quand on enlève les témoignages illustratifs) correspond au style qui me convient mais peu déplaire à beaucoup. Celui de JSF est plus verbeux mais risque de mieux plaire à la majorité.
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Ah l'écriture. Un sujet magnifique, presque divin presque. Sachant que je ne crois pas en dieu, j'utilise cet adjectif dans le sens de proche de la perfection hein.
Alors l'écriture, je m'y suis mis il y a 4 mois. Oui, 4 mois, c'est bien ça. Au début, j'ai apprécié. Puis je suis devenu accro, ma "dose" d'écriture quotidienne est devenu nécessaire à ma vie, à ma bonne humeur. On m'a dit que j'étais doué, et que j'avais atteint un niveau énorme en seulement 4 mois. Ca je n'en sais rien. Toujours est-il que je vais devenir écrivain. Il le faut. C'est le seul métier que je pourrais exercer sans me tirer une balle dans la tête.
Après, y arriverais-je, je ne sais pas. Je sais au moins que j'ai une très grande imagination : Je n'écris que des trucs originaux ou presque, et j'ai encore pleins d'idées d'histoires à développer. Ensuite, je ne peux que remarquer que j'améliore mon style, que petit à petit j'arrive à mieux faire passer mes sentiments par le prisme des mots.
Par contre, contrairement à certains ici, je suis plutôt un synthétiseur. J'écris trop court. Mais je réussis à corriger ce problème, en petit à petit apprenant à écrire un premier jet mieux décrit, plus précis.
Voila, c'était ma petite participation sur un sujet qui me tient à coeur.
Alors l'écriture, je m'y suis mis il y a 4 mois. Oui, 4 mois, c'est bien ça. Au début, j'ai apprécié. Puis je suis devenu accro, ma "dose" d'écriture quotidienne est devenu nécessaire à ma vie, à ma bonne humeur. On m'a dit que j'étais doué, et que j'avais atteint un niveau énorme en seulement 4 mois. Ca je n'en sais rien. Toujours est-il que je vais devenir écrivain. Il le faut. C'est le seul métier que je pourrais exercer sans me tirer une balle dans la tête.
Après, y arriverais-je, je ne sais pas. Je sais au moins que j'ai une très grande imagination : Je n'écris que des trucs originaux ou presque, et j'ai encore pleins d'idées d'histoires à développer. Ensuite, je ne peux que remarquer que j'améliore mon style, que petit à petit j'arrive à mieux faire passer mes sentiments par le prisme des mots.
Par contre, contrairement à certains ici, je suis plutôt un synthétiseur. J'écris trop court. Mais je réussis à corriger ce problème, en petit à petit apprenant à écrire un premier jet mieux décrit, plus précis.
Voila, c'était ma petite participation sur un sujet qui me tient à coeur.
hardkey- Messages : 227
Date d'inscription : 01/05/2011
Age : 30
Localisation : Dans la boite avec ce fucking chat mort vivant.
une passion
Je conçois totalement que l'écriture peut devenir une vrai passion, un besoin. Malheureusement je n'en suis pas à ce point.
J'ai des idées, j'en ai des tonnes, mais impossible de les synthétiser, de les transcrire. Souvent d'ailleurs mon cerveau va plus vite que mes mains, ce qui fait que je perds la moitié en cours de route. C'est agaçant, enervant...
Je pense que c'est ça qui me bloque le plus. Je suis obligé de m'arrêter d'écrire car je ne sais plus ce que je voulais mettre, alors que ma tête est déjà deux phrases plus loin, ou même quelques pages plus loin.
Comme on dit, je veux aller plus vite que la musique.
En tout cas pour ce qui est de ta passion, vas y à fond. Tu es jeune,cela te permettra d'évoluer énormément. Pour ma part à 30 ans, j'ai l'impression de perdre du temps tous les jours.
Ca fait plus de 10 ans que je cherche quoi faire de ma vie, je crois d'ailleurs que je vais chercher longtemps encore.
J'ai des idées, j'en ai des tonnes, mais impossible de les synthétiser, de les transcrire. Souvent d'ailleurs mon cerveau va plus vite que mes mains, ce qui fait que je perds la moitié en cours de route. C'est agaçant, enervant...
Je pense que c'est ça qui me bloque le plus. Je suis obligé de m'arrêter d'écrire car je ne sais plus ce que je voulais mettre, alors que ma tête est déjà deux phrases plus loin, ou même quelques pages plus loin.
Comme on dit, je veux aller plus vite que la musique.
En tout cas pour ce qui est de ta passion, vas y à fond. Tu es jeune,cela te permettra d'évoluer énormément. Pour ma part à 30 ans, j'ai l'impression de perdre du temps tous les jours.
Ca fait plus de 10 ans que je cherche quoi faire de ma vie, je crois d'ailleurs que je vais chercher longtemps encore.
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Est-ce possible qu'un non-Z écrive autre chose que de la merde ?
Rus In Urbe- Messages : 359
Date d'inscription : 24/08/2011
Age : 44
Localisation : 70ème quartier administratif de Paris
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
lol pas faux...
Pour revenir sur le sujet après quelques introspections. Comment un Z peut écrire un roman alors que lorsqu'il a une phrase en tête et qu'il commence a l'écrire il soit déjà 15 phrases plus loin alors qu'il n'a toujours pas fini de taper cette première et pour le coup il ne sait plus ou il en est et donc se frustre et ne parvient plus à trouver cette première phrase alors qu'elle été bien formulé au départ.
Deuxième chose, avoir envie de se lancer dans l'écriture d'un roman mais avoir tellement peur de l'échec qu'on ne parvient pas à démarrer l'écriture de celui-ci. Pire encore si on commence ce roman et qu'au bout du premier chapitre, en l'ayant relu, on se dit "ben c'est pas parfait , ça ne sert à rien que je continus". Satané perfectionnisme !
Suis-je la seule à réagir ainsi ?
Pour revenir sur le sujet après quelques introspections. Comment un Z peut écrire un roman alors que lorsqu'il a une phrase en tête et qu'il commence a l'écrire il soit déjà 15 phrases plus loin alors qu'il n'a toujours pas fini de taper cette première et pour le coup il ne sait plus ou il en est et donc se frustre et ne parvient plus à trouver cette première phrase alors qu'elle été bien formulé au départ.
Deuxième chose, avoir envie de se lancer dans l'écriture d'un roman mais avoir tellement peur de l'échec qu'on ne parvient pas à démarrer l'écriture de celui-ci. Pire encore si on commence ce roman et qu'au bout du premier chapitre, en l'ayant relu, on se dit "ben c'est pas parfait , ça ne sert à rien que je continus". Satané perfectionnisme !
Suis-je la seule à réagir ainsi ?
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Betadream a écrit:
Deuxième chose, avoir envie de se lancer dans l'écriture d'un roman mais avoir tellement peur de l'échec qu'on ne parvient pas à démarrer l'écriture de celui-ci. Pire encore si on commence ce roman et qu'au bout du premier chapitre, en l'ayant relu, on se dit "ben c'est pas parfait , ça ne sert à rien que je continus". Satané perfectionnisme !
Suis-je la seule à réagir ainsi ?
Pas parfait, nul, inintéressant ou du moins n'intéressant que soi, et j'en passe
Elmoon- Messages : 246
Date d'inscription : 16/06/2010
Age : 35
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Je suis un écrivant, et un auteur pas encore officiellement publié.
L'écriture est mon élément naturel, et je suis naturellement littéraire. Tout me porte vers la (haute) littérature, ce qui est fort ambitieux ! Mais étant donné mon tempérament et mes grandes différences, je ne suis pas vraiment capable d'écrire des textes normaux (d'ailleurs, je n'en lis pas très souvent). Je mène toujours plusieurs projets en même temps. Actuellement, j'ai trois pièces de théâtre (mais plutôt de "théâtre de fauteuil"), une sorte d'autofiction globale comprenant des miscellanées ordonnées - oxymore ! -, de nombreux textes, pouvant se lire à de nombreux niveaux, et avec un nombre fou de références claires, subtiles, ou cachées, à pas mal de choses, divers projets de tous types, dont un, quasiment impossible, d'oeuvre de fantasy/merveilleux poétique. Et un long poème en prose onirique apocalyptique que j'ai sans doute trop délaissé.
Le problème, c'est que mes intérêts sont très très différents de ceux du lecteur lambda (auquel de toute façon la plupart de mes textes ne sont pas destinés), et qu'ils risquent peut-être aussi de ne pas être ceux du lecteur éclairé, même de l'amateur de littérature exigeante... C'est effectivement le risque du "cela n'intéresse que moi".
Concernant les zèbres en général, je ne sais pas, mais je suppose qu'il y a différentes manifestations de l'aspect "réflexion plus rapide que la normale" et qu'elles n'ont pas toutes le résultat que tu indiques...
Je suis personnellement assez intéressé par la description de cette manière, de ce fonctionnement de pensée. La plupart du temps avec moi, "cela se fait tout seul", comme si une sorte d'inconscient avait déjà produit au préalable, sans que j'aie besoin d'y réfléchir, dans un mûrissement qui peut être soit rapide soit long, des phrases, des paragraphes et des pages. Mais je ne parle pas ici de l'inconscient profond de la psychanalyse. J'ai fait référence dans un autre sujet à l'écriture automatique, mais pas de confusion : ce qui sort est parfaitement ordonné. Et ce n'est pas non plus vraiment le résultat d'une "inspiration". Bien entendu, même si parfois la structuration de ces écrits ne nécessite pas d'effort conscient, il y a quand même du travail, bien entendu.
Quelques remarques : je sais que la doxa a quasiment identifié l'écrivain et le romancier, mais c'est loin d'être vrai dans l'absolu (et d'ailleurs on aurait de bonnes raisons de s'attrister de cette mainmise du "roman", archi-genre d'ailleurs si protéiforme désormais qu'on finit par recourir à des arguments pas très solides pour tenter de défendre son immense extension). Ne vous limitez pas au roman ! Ne vous limitez pas, d'ailleurs, à un genre. Même si vous souhaitez écrire des textes à large public et essayer d'en retirer quelques agréables sous, le lectorat est là pour des textes moins conventionnels, et je pense que ce peut être un terrain d'élection si vous vous sentez et si vous êtes différents. Il serait également bête, à cause d'une obsession d'écrire un roman, de manquer l'occasion de se découvrir un talent dans l'écriture de nouvelles, grand genre beaucoup moins chouchouté par les lecteurs, mais extrêmement intéressant, et qui par sa différence apporte de la fraîcheur (écrire une nouvelle est une autre expérience). La poésie, quant à elle, est un domaine à part, qui dépasse le seul royaume de la littérature.
J'avoue que je réserve le qualificatif d'"écrivain" à une certaine catégorie d'auteurs... Presque tout le monde peut être auteur, mais être écrivain, c'est une autre affaire à mes yeux ... Quant à être un "grand écrivain", c'en est encore une autre !
Pour répondre à la question initiale : les Z, les surdoués, les HP, HQI ou ce que vous voulez, ont sans doute davantage de facilités en ce qui concerne l'écriture, et peuvent trouver beaucoup de plaisir, et en causer chez leurs lecteurs, en devenant auteurs et en étant publiés.
Dernier conseil : plus on lit de bonnes choses, mieux on écrit, plus on s'enrichit, et plus on est en mesure d'enrichir ses écrits !
L'écriture est mon élément naturel, et je suis naturellement littéraire. Tout me porte vers la (haute) littérature, ce qui est fort ambitieux ! Mais étant donné mon tempérament et mes grandes différences, je ne suis pas vraiment capable d'écrire des textes normaux (d'ailleurs, je n'en lis pas très souvent). Je mène toujours plusieurs projets en même temps. Actuellement, j'ai trois pièces de théâtre (mais plutôt de "théâtre de fauteuil"), une sorte d'autofiction globale comprenant des miscellanées ordonnées - oxymore ! -, de nombreux textes, pouvant se lire à de nombreux niveaux, et avec un nombre fou de références claires, subtiles, ou cachées, à pas mal de choses, divers projets de tous types, dont un, quasiment impossible, d'oeuvre de fantasy/merveilleux poétique. Et un long poème en prose onirique apocalyptique que j'ai sans doute trop délaissé.
Le problème, c'est que mes intérêts sont très très différents de ceux du lecteur lambda (auquel de toute façon la plupart de mes textes ne sont pas destinés), et qu'ils risquent peut-être aussi de ne pas être ceux du lecteur éclairé, même de l'amateur de littérature exigeante... C'est effectivement le risque du "cela n'intéresse que moi".
Comment un Z peut écrire un roman alors que lorsqu'il a une phrase en tête et qu'il commence a l'écrire il soit déjà 15 phrases plus loin alors qu'il n'a toujours pas fini de taper cette première et pour le coup il ne sait plus ou il en est et donc se frustre et ne parvient plus à trouver cette première phrase alors qu'elle été bien formulé au départ.
Concernant les zèbres en général, je ne sais pas, mais je suppose qu'il y a différentes manifestations de l'aspect "réflexion plus rapide que la normale" et qu'elles n'ont pas toutes le résultat que tu indiques...
Je suis personnellement assez intéressé par la description de cette manière, de ce fonctionnement de pensée. La plupart du temps avec moi, "cela se fait tout seul", comme si une sorte d'inconscient avait déjà produit au préalable, sans que j'aie besoin d'y réfléchir, dans un mûrissement qui peut être soit rapide soit long, des phrases, des paragraphes et des pages. Mais je ne parle pas ici de l'inconscient profond de la psychanalyse. J'ai fait référence dans un autre sujet à l'écriture automatique, mais pas de confusion : ce qui sort est parfaitement ordonné. Et ce n'est pas non plus vraiment le résultat d'une "inspiration". Bien entendu, même si parfois la structuration de ces écrits ne nécessite pas d'effort conscient, il y a quand même du travail, bien entendu.
Quelques remarques : je sais que la doxa a quasiment identifié l'écrivain et le romancier, mais c'est loin d'être vrai dans l'absolu (et d'ailleurs on aurait de bonnes raisons de s'attrister de cette mainmise du "roman", archi-genre d'ailleurs si protéiforme désormais qu'on finit par recourir à des arguments pas très solides pour tenter de défendre son immense extension). Ne vous limitez pas au roman ! Ne vous limitez pas, d'ailleurs, à un genre. Même si vous souhaitez écrire des textes à large public et essayer d'en retirer quelques agréables sous, le lectorat est là pour des textes moins conventionnels, et je pense que ce peut être un terrain d'élection si vous vous sentez et si vous êtes différents. Il serait également bête, à cause d'une obsession d'écrire un roman, de manquer l'occasion de se découvrir un talent dans l'écriture de nouvelles, grand genre beaucoup moins chouchouté par les lecteurs, mais extrêmement intéressant, et qui par sa différence apporte de la fraîcheur (écrire une nouvelle est une autre expérience). La poésie, quant à elle, est un domaine à part, qui dépasse le seul royaume de la littérature.
J'avoue que je réserve le qualificatif d'"écrivain" à une certaine catégorie d'auteurs... Presque tout le monde peut être auteur, mais être écrivain, c'est une autre affaire à mes yeux ... Quant à être un "grand écrivain", c'en est encore une autre !
Pour répondre à la question initiale : les Z, les surdoués, les HP, HQI ou ce que vous voulez, ont sans doute davantage de facilités en ce qui concerne l'écriture, et peuvent trouver beaucoup de plaisir, et en causer chez leurs lecteurs, en devenant auteurs et en étant publiés.
Dernier conseil : plus on lit de bonnes choses, mieux on écrit, plus on s'enrichit, et plus on est en mesure d'enrichir ses écrits !
Mairon- Messages : 231
Date d'inscription : 20/08/2012
Localisation : France
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Mairon, j'ai bien lu tout ce que tu as écrit. C'est vrai que j'ai tendance a vouloir écrire pour faire de l'argent car c'est une solution de facilité, et surtout ne sachant que faire de ma misérable existence.
J'ai essayé ce que je voulais essayer, ou presque car la barrière des diplômes est la plus forte.
Donc oui j'ai tendance a vouloir faire quelque chose que les gens aiment, en l'occurence des romans.
Mais je suis plus doué pour les nouvelles. Plus simple pour moi car moins détaillées. C'est surement pour ça qu'écrire un roman me parait complexe.
Ah tiens une question, on m'a toujours dis que je faisais des erreurs de syntaxe. J'ai un peu cherché, mais j'ai toujours pas compris ce que c'était. Si quelqu'un peut m'expliquer ce serait gentil.
Une autre chose qui me turlupine, j'écris, je lis je trouve ça pas assez élaboré donc je rajoute des mots, des adjectifs, résultats on me dit qu'il faut que j'apprenne à écrire. Suis-je condamné à chercher sans cesse des complications?
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? hein !?!
J'ai essayé ce que je voulais essayer, ou presque car la barrière des diplômes est la plus forte.
Donc oui j'ai tendance a vouloir faire quelque chose que les gens aiment, en l'occurence des romans.
Mais je suis plus doué pour les nouvelles. Plus simple pour moi car moins détaillées. C'est surement pour ça qu'écrire un roman me parait complexe.
Ah tiens une question, on m'a toujours dis que je faisais des erreurs de syntaxe. J'ai un peu cherché, mais j'ai toujours pas compris ce que c'était. Si quelqu'un peut m'expliquer ce serait gentil.
Une autre chose qui me turlupine, j'écris, je lis je trouve ça pas assez élaboré donc je rajoute des mots, des adjectifs, résultats on me dit qu'il faut que j'apprenne à écrire. Suis-je condamné à chercher sans cesse des complications?
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? hein !?!
Re: Zèbre et écrivain, compatible ou non?
Pour ma part, j'ai dit à ma mère à 9 ans "je veux être écrivain", elle m'a répondu gentiment que oui, mais qu'à moins d'être reconnue, on ne pouvait pas en faire son métier.
J'aime écrire, mais alors sans aucune contrainte, avec mon propre style, en me foutant des conventions. Je n'ai jamais dépassé les 3 pages, je fais plutôt des poèmes courts et percutants, la longueur n'est pas nécessaire selon moi. Donc difficile d'être écrivain quand on est zèbre et qu'on ne respecte pas les conventions... Mais c'est aussi novateur et on va le rechercher aussi peut être ?
J'ai déjà été publiée une fois mais pas en tant que "roman" ni "nouvelle" puisque je n'en ai pas écrit, un court texte en prose. Je doute avoir la patience d'écrire un bouquin, même si je pense que je finirai par le faire, mais ce jour-là je "saurais" sur quoi l'écrire, ce sera évident, une intuition, j'attends toujours
Voilà ma petite expérience. Si c'est ton projet, continue de travailler et propose aux éditeurs, je pense qu'effectivement c'est très compatible, nous avons une telle intensité au monde que j'ai l'impression que les autres n'ont pas les mêmes yeux que moi par exemple, on ne voit pas les mêmes choses et on ne les décrit pas de la même manière.
J'aime écrire, mais alors sans aucune contrainte, avec mon propre style, en me foutant des conventions. Je n'ai jamais dépassé les 3 pages, je fais plutôt des poèmes courts et percutants, la longueur n'est pas nécessaire selon moi. Donc difficile d'être écrivain quand on est zèbre et qu'on ne respecte pas les conventions... Mais c'est aussi novateur et on va le rechercher aussi peut être ?
J'ai déjà été publiée une fois mais pas en tant que "roman" ni "nouvelle" puisque je n'en ai pas écrit, un court texte en prose. Je doute avoir la patience d'écrire un bouquin, même si je pense que je finirai par le faire, mais ce jour-là je "saurais" sur quoi l'écrire, ce sera évident, une intuition, j'attends toujours
Voilà ma petite expérience. Si c'est ton projet, continue de travailler et propose aux éditeurs, je pense qu'effectivement c'est très compatible, nous avons une telle intensité au monde que j'ai l'impression que les autres n'ont pas les mêmes yeux que moi par exemple, on ne voit pas les mêmes choses et on ne les décrit pas de la même manière.
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