Flying on the other side ;)
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Re: Flying on the other side ;)
Cela revient comme un mantra : "Je me mets devant celui que je suis ... je me mets devant celui que je suis ... je me mets devant celui que je suis ... je me mets devant celui que je suis , ..."
Je me brûle et me taraude, je me console, me gâte, m'aime et me déteste. Et finis par le vivre en tant que moi ! Je vire te je volte, je connais et j'oublie, je me creuse et vais vers la fumée qui me constitue, la mettre dans une bouteille que je me fabrique pour me donner corps ...
Mes propres limites, choisies, me donnent le moyen de délimiter l’extérieur. Je me confronte à ce que j'apprécie et n'apprécie pas, pour jauger, pour adapter ma surface et ma pensée ... pour les rendre plastiques ... et pour aimer les couleurs, toutes les couleurs de la vie ...
Je me brûle et me taraude, je me console, me gâte, m'aime et me déteste. Et finis par le vivre en tant que moi ! Je vire te je volte, je connais et j'oublie, je me creuse et vais vers la fumée qui me constitue, la mettre dans une bouteille que je me fabrique pour me donner corps ...
Mes propres limites, choisies, me donnent le moyen de délimiter l’extérieur. Je me confronte à ce que j'apprécie et n'apprécie pas, pour jauger, pour adapter ma surface et ma pensée ... pour les rendre plastiques ... et pour aimer les couleurs, toutes les couleurs de la vie ...
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Très intéressante la différence entre honte et culpabilité...
Je vais y penser... cette nuit !
Déjà je suis tt à fait d'accord avec la force de celui qui est dans l'arène, opposée à celle du critique...
Je ne sais pas pourquoi cela me rappelle les discussions sur le ressenti, impossible à juger, au contraire des actes...
Mais les actes si on remonte à l'arène, c'est beau en soi
Le chat qui se mord la queue
Sauf si l'on se dépêtre du jugement !
Je vais y penser... cette nuit !
Déjà je suis tt à fait d'accord avec la force de celui qui est dans l'arène, opposée à celle du critique...
Je ne sais pas pourquoi cela me rappelle les discussions sur le ressenti, impossible à juger, au contraire des actes...
Mais les actes si on remonte à l'arène, c'est beau en soi
Le chat qui se mord la queue
Sauf si l'on se dépêtre du jugement !
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Flying on the other side ;)
L'image de soi (François Brooks)
Non pas « Je pense, donc je suis », mais plutôt « On réagit, donc j'existe ».
Cet après-midi, à cheval sur mon vélo, j'ai croisé un couple de Gothiques qui marchaient sur le trottoir. Peau blanche comme neige, cheveux noircis, vêtements noirs de la tête aux pieds, sveltes et propres sur leur personne, anneau dans le sourcil, il était frappant de constater à quel point leur look ne laissait rien au hasard. De toute évidence, ils avaient mis un temps fou à peaufiner cette image qu'ils voulaient donner d'eux-mêmes.
S'il n'y avait qu'eux ! Les punks, les motards, les homosexuels, les femmes, les rétros, les vedettes, les juges et combien d'autres, tous, par leurs tenues vestimentaires, maquillages, tatous, breloques et autres accessoires se fabriquent une image qui leur est chère et qu'ils tiennent à donner d'eux-mêmes. Et quand ce n'est pas une image vestimentaire, c'est l'image culturelle qui est soignée. Catholiques, enseignants, artisans et Monsieur Tout-le-monde mettent leur honneur à faire voir l'image intérieure qu'ils cultivent. Ces derniers, partisans du Renard de Saint-Exupéry, pensent que l'on ne voit bien qu'avec le cœur et que l'essentiel est invisible pour les yeux. Ils n'en travaillent pas moins à se fabriquer une image qui donnera à leur personne une existence sociale dans laquelle ils tentent d'être confortable.
Ce souci de l'existence sociale commence généralement avec la puberté. Dès l'adolescence, on se met à appâter, comme si le souci de la reproduction de l'espèce nous commandait de nous présenter aux autres sous un mode défini dictant les apparats spécifiques que l'on doit choisir. Selon nos préférences, une foule de mouvements de mode possibles nous donne l'embarras du choix. Vêtements, cheveux, bijoux et tatous seront sélectionnés avec soin pour se choisir un clan d'appartenance « séductive ». Nous pouvons même en créer de nouveaux si le cœur nous en dit. Mais gare aux exclusions !
« Être soi-même », ça veut dire quoi dans ce contexte ? N'est-ce pas plutôt « chercher à être ce qui nous plait chez les autres » ? Si je veux être heureux, être aimé, combien d'automutilations (maquillage, piercing, tatous, vêtements inconfortables) ne serai-je pas prêt à subir pour que mon image sociale soit recherchée ? Et à plus forte raison par la souffrance, « denrée rare » surévaluée à notre époque où la moindre peine infligée à l'autre nous rend passible de sanctions criminelles.
À cet égard, je m'amuse parfois à penser que si on imposait certaines mutilations (ou même façons d'être spécifiques) comme on en voit sur le corps des « percés » souvent dans la rue, ceux-ci se révolteraient et feraient un retentissant procès à leur bourreau. Le dieu Liberté de notre époque veut qu'une souffrance qu'on s'impose soit acceptable, si peu naturelle soit-elle, alors qu'on refuse l'obligation de se conformer à ce qui nous dérange, même si c'est nécessaire.
Pourtant, c'est l'image de soi, c'est-à-dire ce que l'on veut montrer aux autres, ce qu'on pense qu'ils veulent voir (ou ne pas voir) qui conduit à de telles bizarreries. Ainsi, je fais encore de l'autre, par mon geste d'automutilation, mon tyran. La liberté est-elle possible quand on se soucie de l'image de soi ?
Notre existence n'est-elle pas pipée du fait même qu'il est impossible de choisir de naître ? Et que, jetés dans la vie, nous n'avons pas le choix non plus de vivre ou non sous l'influence des autres. Sartre disait que les autres sont notre enfer ; mais ne sont-ils pas avant tout ce que nous sommes : ils nous procurent l'existence. « Nous ne sommes que les autres » disait Henri Laborit. Ce qu'ils pensent de nous, voilà ce que nous sommes. Je suis ce qu'on pense de moi. Et à plus forte raison, si je meurs demain.
Est-il possible de vivre sans devoir se conformer au regard tyrannique de l'autre ou au regard que je pense qu'il a sur moi ? Qui suis-je une fois que plus personne ne me regarde, seul chez-moi ? Suis-je moi-même ou ne suis-je pas encore ce que j'ai intériorisé des autres qui m'ont fabriqué ? Et si l'individu que je pense être n'était qu'une chimère, qu'une illusion ?
Non pas « Je pense, donc je suis », mais plutôt « On réagit, donc j'existe ».
Cet après-midi, à cheval sur mon vélo, j'ai croisé un couple de Gothiques qui marchaient sur le trottoir. Peau blanche comme neige, cheveux noircis, vêtements noirs de la tête aux pieds, sveltes et propres sur leur personne, anneau dans le sourcil, il était frappant de constater à quel point leur look ne laissait rien au hasard. De toute évidence, ils avaient mis un temps fou à peaufiner cette image qu'ils voulaient donner d'eux-mêmes.
S'il n'y avait qu'eux ! Les punks, les motards, les homosexuels, les femmes, les rétros, les vedettes, les juges et combien d'autres, tous, par leurs tenues vestimentaires, maquillages, tatous, breloques et autres accessoires se fabriquent une image qui leur est chère et qu'ils tiennent à donner d'eux-mêmes. Et quand ce n'est pas une image vestimentaire, c'est l'image culturelle qui est soignée. Catholiques, enseignants, artisans et Monsieur Tout-le-monde mettent leur honneur à faire voir l'image intérieure qu'ils cultivent. Ces derniers, partisans du Renard de Saint-Exupéry, pensent que l'on ne voit bien qu'avec le cœur et que l'essentiel est invisible pour les yeux. Ils n'en travaillent pas moins à se fabriquer une image qui donnera à leur personne une existence sociale dans laquelle ils tentent d'être confortable.
Ce souci de l'existence sociale commence généralement avec la puberté. Dès l'adolescence, on se met à appâter, comme si le souci de la reproduction de l'espèce nous commandait de nous présenter aux autres sous un mode défini dictant les apparats spécifiques que l'on doit choisir. Selon nos préférences, une foule de mouvements de mode possibles nous donne l'embarras du choix. Vêtements, cheveux, bijoux et tatous seront sélectionnés avec soin pour se choisir un clan d'appartenance « séductive ». Nous pouvons même en créer de nouveaux si le cœur nous en dit. Mais gare aux exclusions !
« Être soi-même », ça veut dire quoi dans ce contexte ? N'est-ce pas plutôt « chercher à être ce qui nous plait chez les autres » ? Si je veux être heureux, être aimé, combien d'automutilations (maquillage, piercing, tatous, vêtements inconfortables) ne serai-je pas prêt à subir pour que mon image sociale soit recherchée ? Et à plus forte raison par la souffrance, « denrée rare » surévaluée à notre époque où la moindre peine infligée à l'autre nous rend passible de sanctions criminelles.
À cet égard, je m'amuse parfois à penser que si on imposait certaines mutilations (ou même façons d'être spécifiques) comme on en voit sur le corps des « percés » souvent dans la rue, ceux-ci se révolteraient et feraient un retentissant procès à leur bourreau. Le dieu Liberté de notre époque veut qu'une souffrance qu'on s'impose soit acceptable, si peu naturelle soit-elle, alors qu'on refuse l'obligation de se conformer à ce qui nous dérange, même si c'est nécessaire.
Pourtant, c'est l'image de soi, c'est-à-dire ce que l'on veut montrer aux autres, ce qu'on pense qu'ils veulent voir (ou ne pas voir) qui conduit à de telles bizarreries. Ainsi, je fais encore de l'autre, par mon geste d'automutilation, mon tyran. La liberté est-elle possible quand on se soucie de l'image de soi ?
Notre existence n'est-elle pas pipée du fait même qu'il est impossible de choisir de naître ? Et que, jetés dans la vie, nous n'avons pas le choix non plus de vivre ou non sous l'influence des autres. Sartre disait que les autres sont notre enfer ; mais ne sont-ils pas avant tout ce que nous sommes : ils nous procurent l'existence. « Nous ne sommes que les autres » disait Henri Laborit. Ce qu'ils pensent de nous, voilà ce que nous sommes. Je suis ce qu'on pense de moi. Et à plus forte raison, si je meurs demain.
Est-il possible de vivre sans devoir se conformer au regard tyrannique de l'autre ou au regard que je pense qu'il a sur moi ? Qui suis-je une fois que plus personne ne me regarde, seul chez-moi ? Suis-je moi-même ou ne suis-je pas encore ce que j'ai intériorisé des autres qui m'ont fabriqué ? Et si l'individu que je pense être n'était qu'une chimère, qu'une illusion ?
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
A méditer ...
« Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots » Jean Jaurès
« Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots » Jean Jaurès
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Histoire des mesures de la vitesse de la lumière
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/histoire_des_mesures_de_la_vitesse_de_la_lumiere.9182
Ce qui fait mousser le champagne (mieux que la physique théorique n'est-ce pas ? )
http://www.canal-u.tv/video/espci_paristech/ce_qui_fait_mousser_le_champagne.10935
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/histoire_des_mesures_de_la_vitesse_de_la_lumiere.9182
Ce qui fait mousser le champagne (mieux que la physique théorique n'est-ce pas ? )
http://www.canal-u.tv/video/espci_paristech/ce_qui_fait_mousser_le_champagne.10935
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Hello remis ??
Putain ça fait chier... ma connection défaille.. je ne peux rien écouter ou en saccade... toutes les 2 mn youpi !!!!
Bon, ...petit coucou du soir....
Putain ça fait chier... ma connection défaille.. je ne peux rien écouter ou en saccade... toutes les 2 mn youpi !!!!
Bon, ...petit coucou du soir....
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
Age : 55
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Re: Flying on the other side ;)
Remis oui ^^
Et toi, ta journée ?
Tu peux quand même taper du texte ...
Et toi, ta journée ?
Tu peux quand même taper du texte ...
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
yes....!
oui bonne journée.... j'ai une mamie alzheimer, vraiment trop gentille, qui m'a fait des câlins...trés intenses....j'ai été trés touchée!!!!!
plus un monsieur en phase terminale avec qui j'ai bien échangé.... donc bien remplie en émotions...
oui bonne journée.... j'ai une mamie alzheimer, vraiment trop gentille, qui m'a fait des câlins...trés intenses....j'ai été trés touchée!!!!!
plus un monsieur en phase terminale avec qui j'ai bien échangé.... donc bien remplie en émotions...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Ah oui quand même ... ^^
Tu as pas mal de courage et de recul alors !
Tu as pas mal de courage et de recul alors !
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
il le faut.... sinon tu ne vas pas loin...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
... j'adore ce smiley..... alors
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
ou sa monture... pour galopper sur les chemins tortureux de la vie...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Ouais, mais comme ma monture (et parles pas de lunettes, hein !) c'est moi ... ^^
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
AA...flelou... Je fixe ma selle...et me mets en route.... j'ai au moins 140 cheveaux sous mon capot..
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Vavavoummmm... j'aime quand ça va vite...
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Ouais ... j'en avais 320 sur la mienne de voiture ... loin tout ça !
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Oh...putain con !!! bonjour les amendes....de nos jours !
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Au fond de moi, je détecte assez vite ceux qui cherchent à circonvenir pour attirer l'attention, monopoliser de l'énergie pour se faire entourer ...
Ce qui est profondément curieux en surface, mais explicable au fond par leur déception à ne pas intéresser, c'est que ceux qui veulent attirer le discours pour se sentir exister utilisent l'ironie pour cacher leur peine que l'autre n'ait pas à faire qu'à jouer ...
Introspection ... chère amie si souvent ignorée et si dure à atteindre ... combien sont-ils à te fuir ... de part la peur de finir par se trouver eux-mêmes ...
Ce qui est profondément curieux en surface, mais explicable au fond par leur déception à ne pas intéresser, c'est que ceux qui veulent attirer le discours pour se sentir exister utilisent l'ironie pour cacher leur peine que l'autre n'ait pas à faire qu'à jouer ...
Introspection ... chère amie si souvent ignorée et si dure à atteindre ... combien sont-ils à te fuir ... de part la peur de finir par se trouver eux-mêmes ...
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Tu parles pour moi.. lol
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Loool
C'est une réflexion générique, et je me suis aussi trouvé dans ce cas il fut un temps. Autant te dire le sens critique qu'il me faut manifester envers moi pour en arriver à écrire ça !
C'est une réflexion générique, et je me suis aussi trouvé dans ce cas il fut un temps. Autant te dire le sens critique qu'il me faut manifester envers moi pour en arriver à écrire ça !
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Bon.... je suis HS, ce soir...je vais aller me pioter... et faire une bonne grace mat ...
A demain....
A demain....
Lemniscate le papillon- Messages : 6348
Date d'inscription : 29/06/2012
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Re: Flying on the other side ;)
Je continue à alimenter le fil des fiches de lecture.
https://www.zebrascrossing.net/t9171p40-fiche-de-lectures#384961
https://www.zebrascrossing.net/t9171p40-fiche-de-lectures#384961
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Les 5 vertus du silence :
Le silence apaise votre système nerveux
Beaucoup de bruits de notre quotidien ne sont pas les bienvenus dans nos conduits auditifs. Que ce soient les bruits de klaxons, votre collègue de bureau qui parle trop fort à votre goût ou encore la perceuse du voisin le samedi matin, ces bruits vous irritent et vous agacent. Éliminez les sources de bruits qui vous dérangent vous permet de reposer vos oreilles mais surtout votre système nerveux qui réagit fortement car des bruits sont vécus comme des agressions. Vous serez donc plus zen.
Le silence permet de vous retrouver
Personnellement, les moments de silence me permettent un retour à moi. Je m’écoute mieux quand le silence se fait. Je ne suis plus parasitée par des bruits qui ne m’appartiennent pas et je suis donc disponible pour écouter ma radio interne.
Du coup, c’est dans ces moments la, ou j’ai les idées les plus créatives qui jaillissent. Et ces moments me font l’effet d’un retour à la maison vraiment régénérant.
Le silence vous permet d’écouter la musique de la Vie
Pour moi, le silence n’est pour moi pas vraiment silencieux. Le silence me fait plus penser à la musique de l’univers que nous n’entendons plus au quotidien du fait de la cacophonie ambiante. Un peu comme un tableau magnifique que nous n’aurions pas vu car il était recouvert de papier de journaux sans intérêt. Se poser dans le silence permet cela : admirer et ressentir la beauté du monde.
Le silence vous permet de cultiver votre silence interne
Le silence externe m’aide à me reconnecter à mon silence interne, c’est-à-dire à mettre mon cerveau en mode OFF. Grâce à lui, je me reconnecte plus facilement.
Heureusement il est possible, avec de l’entrainement, de faire cela sans attendre que le monde fasse silence. La pratique de la méditation m’aide beaucoup pour cela. A force, je peux accéder à mon silence interne même quand le monde externe est bruyant.
Le silence pour garder la pureté de l’indicible
Ne vous êtes-t- il jamais arrivé d’essayer d’exprimer quelque chose de très personnel, une expérience, un ressenti, une émotion et de ne pas arriver à trouver les bons mots ? Ou bien à utiliser les mots qui se rapprochent le plus de votre expérience mais qu’étant inexacts, ils gâchent votre ressenti ? Ou encore, bien que la personne auprès de qui vous l’avez exprimé ne reçoit pas comme vous le souhaitez votre vécu ?
Personnellement cela m’est déjà arrivé plusieurs fois et depuis pour ne pas gâcher certains sentiments, ressentis et expériences, je préfère pour certains sujets me taire. Ainsi je garde bien au chaud au fond mon cœur, mon expérience qui, du coup, n’est pas altérée. Certains appellent cela avoir un jardin secret.
Le silence apaise votre système nerveux
Beaucoup de bruits de notre quotidien ne sont pas les bienvenus dans nos conduits auditifs. Que ce soient les bruits de klaxons, votre collègue de bureau qui parle trop fort à votre goût ou encore la perceuse du voisin le samedi matin, ces bruits vous irritent et vous agacent. Éliminez les sources de bruits qui vous dérangent vous permet de reposer vos oreilles mais surtout votre système nerveux qui réagit fortement car des bruits sont vécus comme des agressions. Vous serez donc plus zen.
Le silence permet de vous retrouver
Personnellement, les moments de silence me permettent un retour à moi. Je m’écoute mieux quand le silence se fait. Je ne suis plus parasitée par des bruits qui ne m’appartiennent pas et je suis donc disponible pour écouter ma radio interne.
Du coup, c’est dans ces moments la, ou j’ai les idées les plus créatives qui jaillissent. Et ces moments me font l’effet d’un retour à la maison vraiment régénérant.
Le silence vous permet d’écouter la musique de la Vie
Pour moi, le silence n’est pour moi pas vraiment silencieux. Le silence me fait plus penser à la musique de l’univers que nous n’entendons plus au quotidien du fait de la cacophonie ambiante. Un peu comme un tableau magnifique que nous n’aurions pas vu car il était recouvert de papier de journaux sans intérêt. Se poser dans le silence permet cela : admirer et ressentir la beauté du monde.
Le silence vous permet de cultiver votre silence interne
Le silence externe m’aide à me reconnecter à mon silence interne, c’est-à-dire à mettre mon cerveau en mode OFF. Grâce à lui, je me reconnecte plus facilement.
Heureusement il est possible, avec de l’entrainement, de faire cela sans attendre que le monde fasse silence. La pratique de la méditation m’aide beaucoup pour cela. A force, je peux accéder à mon silence interne même quand le monde externe est bruyant.
Le silence pour garder la pureté de l’indicible
Ne vous êtes-t- il jamais arrivé d’essayer d’exprimer quelque chose de très personnel, une expérience, un ressenti, une émotion et de ne pas arriver à trouver les bons mots ? Ou bien à utiliser les mots qui se rapprochent le plus de votre expérience mais qu’étant inexacts, ils gâchent votre ressenti ? Ou encore, bien que la personne auprès de qui vous l’avez exprimé ne reçoit pas comme vous le souhaitez votre vécu ?
Personnellement cela m’est déjà arrivé plusieurs fois et depuis pour ne pas gâcher certains sentiments, ressentis et expériences, je préfère pour certains sujets me taire. Ainsi je garde bien au chaud au fond mon cœur, mon expérience qui, du coup, n’est pas altérée. Certains appellent cela avoir un jardin secret.
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Re: Flying on the other side ;)
http://www.canal-u.tv/video/espci_paristech/chimie_des_atmospheres_planetaires.10960
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/flammes_du_soleil.9171
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/virgo_au_lapp_a_la_recherche_des_voix_de_l_univers.9498
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
http://www.canal-u.tv/video/cerimes/faisceaux_d_ions_lourds_collisions_nucleaires_et_macrophysique_du_noyau.9168
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Re: Flying on the other side ;)
Résumé du " Silence de la mer " (Auteur : Vercors)
Résumé
En 1941, en pleine guerre, un jeune soldat allemand, Werner Von Ebrennac, vient s’installer chez un homme et sa nièce. Son arrivée se fait dans un silence insoutenable et à travers un malaise fou. Mais « Dieu merci, il a l’air convenable ». C’est un jeune homme poli qui parle constamment, sans jamais obtenir de réponses, sans jamais même en attendre. Il semble vivre seul dans un monde de statues.
Le jeune Werner prend l’habitude, durant l’hiver, de venir se chauffer au feu de foyer, où il égaye son soliloque. Les relations de l’Allemagne et de la France est son sujet le plus fréquent. Il parle d’art, de littérature et de musique, puisqu’il est lui-même France pour pouvoir y apporter quelque chose, mais aussi pour pouvoir y prendre en échange. Un peu à chaque soir, ce sont ses idées que l’on entend dans la maison française. Et les soirées se terminent toujours de la même manière : « Je vous souhaite une bonne nuit ».
Un beau jour, Werner apprend à ses hôtes qu’il ira passer ses deux semaines de permission à Paris, où des amis l’attendent. À son retour, il met une semaine avant d’adresser la parole à ses hôtes. Un soir, alors que durant la journée il a croisé le vieil homme, il descend lourdement voir celui-ci et sa nièce. Il leur demande d’oublier tout ce qu’il a pu dire durant les six derniers mois et expose les plans des Allemands contre la France avant de quitter définitivement la maison.
Commentaire
Le silence de la mer est un roman fort simple, mais renfermant plusieurs éléments qui demandent réflexion et approfondissement. D’abord, l’action elle-même aurait pu causer un problème à l’auteur si elle avait été connue durant la guerre : un français qui héberge un Allemand, c’est plus que subversif pour des hommes qui ne pensent qu’à leur propre victoire. Mais ce qu’il faut voir à travers l’action des personnages, c’est une philosophie fort humaine : nous sommes tous humains, les limites de nos pays ne sont visibles que sur les cartes que nous dressons.
Le roman de Vercors est philosophique et possède une structure narrative qui donne un essor considérable à cette philosophie. Le silence est d’ailleurs un thème et une action qui vient beaucoup influencer la vision que l’on a de l’intrigue. Les premiers mots adressés à Werner Von Ebrennac sont « Entrez, monsieur », alors que celui-ci est sur le point de partir définitivement, à la fin du roman. Et dire que ces mots sont en fait la cristallisation du sentiment éprouvé par le vieil homme envers le plus jeune : une certaine sympathie, une inquiétude. Et les derniers mots qui lui sont adressés, par la nièce, « Adieu », ne viennent que quelques minutes après, à peine. Une porte s’est ouverte, mais personne n’a eu le temps d’y passer. Pourtant, toute l’émotion du moment y est et y demeurera. Voilà ce qu’est Le Silence de la mer de Vercors.
Citations
« Les Anglais, reprit-il, on pense aussitôt : Shakespeare. Les Italiens : Dante. L’Espagne : Cervantès. Et nous [les Allemands], tout de suite : Goethe. Après, il faut chercher. Mais si on dit : et la France ? Alors, qui surgit à l’instant ? Molière ? Racine ? Hugo ? Voltaire ? Rabelais ? Ou quel autre ? Ils se pressent, ils sont comme une foule à l’entrée d’un théâtre, on ne sait pas qui faire entrer d’abord. »
« Un chef qui n’a pas l’amour des siens est un bien misérable mannequin. »
« J’appris ce jour-là qu’une main peut, pour qui sait l’observer, refléter les émotions aussi bien qu’un visage, - aussi bien et mieux qu’un visage car elle échappe davantage au contrôle de la volonté. »
« Il serrait les mâchoires avec une telle énergie que je voyais saillir les pommettes, et une veine, épaisse et tortueuse comme un ver, battre sous la tempe. Soudain, toute la peau de son visage remua, dans une sorte de frémissement souterrain, - comme fait un coup de brise sur un lac ; comme, aux premières bulles, la pellicule de crème durcie à la surface d’un lait qu’on fait bouillir. »
Résumé
En 1941, en pleine guerre, un jeune soldat allemand, Werner Von Ebrennac, vient s’installer chez un homme et sa nièce. Son arrivée se fait dans un silence insoutenable et à travers un malaise fou. Mais « Dieu merci, il a l’air convenable ». C’est un jeune homme poli qui parle constamment, sans jamais obtenir de réponses, sans jamais même en attendre. Il semble vivre seul dans un monde de statues.
Le jeune Werner prend l’habitude, durant l’hiver, de venir se chauffer au feu de foyer, où il égaye son soliloque. Les relations de l’Allemagne et de la France est son sujet le plus fréquent. Il parle d’art, de littérature et de musique, puisqu’il est lui-même France pour pouvoir y apporter quelque chose, mais aussi pour pouvoir y prendre en échange. Un peu à chaque soir, ce sont ses idées que l’on entend dans la maison française. Et les soirées se terminent toujours de la même manière : « Je vous souhaite une bonne nuit ».
Un beau jour, Werner apprend à ses hôtes qu’il ira passer ses deux semaines de permission à Paris, où des amis l’attendent. À son retour, il met une semaine avant d’adresser la parole à ses hôtes. Un soir, alors que durant la journée il a croisé le vieil homme, il descend lourdement voir celui-ci et sa nièce. Il leur demande d’oublier tout ce qu’il a pu dire durant les six derniers mois et expose les plans des Allemands contre la France avant de quitter définitivement la maison.
Commentaire
Le silence de la mer est un roman fort simple, mais renfermant plusieurs éléments qui demandent réflexion et approfondissement. D’abord, l’action elle-même aurait pu causer un problème à l’auteur si elle avait été connue durant la guerre : un français qui héberge un Allemand, c’est plus que subversif pour des hommes qui ne pensent qu’à leur propre victoire. Mais ce qu’il faut voir à travers l’action des personnages, c’est une philosophie fort humaine : nous sommes tous humains, les limites de nos pays ne sont visibles que sur les cartes que nous dressons.
Le roman de Vercors est philosophique et possède une structure narrative qui donne un essor considérable à cette philosophie. Le silence est d’ailleurs un thème et une action qui vient beaucoup influencer la vision que l’on a de l’intrigue. Les premiers mots adressés à Werner Von Ebrennac sont « Entrez, monsieur », alors que celui-ci est sur le point de partir définitivement, à la fin du roman. Et dire que ces mots sont en fait la cristallisation du sentiment éprouvé par le vieil homme envers le plus jeune : une certaine sympathie, une inquiétude. Et les derniers mots qui lui sont adressés, par la nièce, « Adieu », ne viennent que quelques minutes après, à peine. Une porte s’est ouverte, mais personne n’a eu le temps d’y passer. Pourtant, toute l’émotion du moment y est et y demeurera. Voilà ce qu’est Le Silence de la mer de Vercors.
Citations
« Les Anglais, reprit-il, on pense aussitôt : Shakespeare. Les Italiens : Dante. L’Espagne : Cervantès. Et nous [les Allemands], tout de suite : Goethe. Après, il faut chercher. Mais si on dit : et la France ? Alors, qui surgit à l’instant ? Molière ? Racine ? Hugo ? Voltaire ? Rabelais ? Ou quel autre ? Ils se pressent, ils sont comme une foule à l’entrée d’un théâtre, on ne sait pas qui faire entrer d’abord. »
« Un chef qui n’a pas l’amour des siens est un bien misérable mannequin. »
« J’appris ce jour-là qu’une main peut, pour qui sait l’observer, refléter les émotions aussi bien qu’un visage, - aussi bien et mieux qu’un visage car elle échappe davantage au contrôle de la volonté. »
« Il serrait les mâchoires avec une telle énergie que je voyais saillir les pommettes, et une veine, épaisse et tortueuse comme un ver, battre sous la tempe. Soudain, toute la peau de son visage remua, dans une sorte de frémissement souterrain, - comme fait un coup de brise sur un lac ; comme, aux premières bulles, la pellicule de crème durcie à la surface d’un lait qu’on fait bouillir. »
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Extraordinaires photos...
Elles illustrent pour moi le silence.
Comme si l'absence d'humains était un gage de ce silence et de la tranquillité qui en découle...
En même temps saurions-nous nous contenter de vivre seul au milieu de rien ?
Et comment faire quand tu as systématiquement un petit bruit dans ta voiture à chaque fois que tu y grimpes ?!!!
Elles illustrent pour moi le silence.
Comme si l'absence d'humains était un gage de ce silence et de la tranquillité qui en découle...
En même temps saurions-nous nous contenter de vivre seul au milieu de rien ?
Et comment faire quand tu as systématiquement un petit bruit dans ta voiture à chaque fois que tu y grimpes ?!!!
Ise- Messages : 7899
Date d'inscription : 18/10/2012
Age : 55
Re: Flying on the other side ;)
Une nouvelle semaine commence. A vivre pleinement. A respirer dans chaque instant qui passe, m'abreuvant de tout signe, de tout changement, de toute impulsion.
Il est tant et tant de signaux qui affluent quand je lève ma " tête intérieure ", quand je regarde sans participer, quand j'ouvre mes canaux de perception sans les laisser toucher ce que je ressens, sans transformer le signal en fait.
Les apories ne viennent que de la surcharge de l'esprit devant le fait assimilé comme un jet vers soi, censé mous atteindre. Le recul les fait disparaitre, comme retomberait une pierre devant moi si je me mets hors de sa portée. Ainsi, la trajectoire qu'elle emprunte m'est complètement visible, et je profite d'autant mieux de son observation.
La sérénité et la liberté sont les fruits de ce détachement. Elles rident l'âme comme le vent ride les dunes ci-dessus. Ces rides sont le reflet de l'adaptation et de l’expérience. Elles bougent, s'adaptent, mais ne changent en rien la qualité de la dune, qui profite de leur mouvement pour se déplacer, changer de forme tout en gardant sa consistance.
Paraitre n'est pas être. Communiquer sur le mode généralement admis n'est pas être. Être, c'est se dire, sans fard. Être, c'est être mobile. Être, c'est être un. Être, ce n'est pas vouloir briller ni être adopté (symbole de fragilité quand à la croyance de sa propre existence). Être réside dans l'affichage de ce que l'on est en substance.
Cela frise-t-il la dureté ? Bien au contraire ! C'est se libérer du regard des autres, de ceux qui jugent la différence par rapport au contexte généralement admis. C'est être autonome et se vivre librement.
C'est bien loin de la ruée des mots, de la précipitation à vouloir être partout et tout le temps dès qu'une opposition se manifeste, afin de laisser une trace de soi de peur d'être oublié.
Le pathos, le tragique, s'affiche toujours sous un masque de domination supposée : Je n'existe que si je me manifeste auprès d'autres, que si j'ai du retour. Manichéisme mâtiné d'aristotélisme, où la science mathématique (qui ne fait que mettre des mots sur ce qui existe déjà au fur et à mesure qu'elle en prend conscience) devient le Dieu de la raison.
Si ceux qui s'en revendiquent en étaient tellement persuadés, pourquoi donc s’appuieraient-ils tant dessus ?
Non non. Il existe autre chose qui impressionne : Mais qui suis-je donc pour ne point pouvoir affronter les différences ? Qui suis-je donc pour ne pas trouver ma propre voie ?
Faire comme la dune ... vivre. Et s'adapter aux conditions climatiques ... en ne cessant de bouger tout en restant soi ...
Il est tant et tant de signaux qui affluent quand je lève ma " tête intérieure ", quand je regarde sans participer, quand j'ouvre mes canaux de perception sans les laisser toucher ce que je ressens, sans transformer le signal en fait.
Les apories ne viennent que de la surcharge de l'esprit devant le fait assimilé comme un jet vers soi, censé mous atteindre. Le recul les fait disparaitre, comme retomberait une pierre devant moi si je me mets hors de sa portée. Ainsi, la trajectoire qu'elle emprunte m'est complètement visible, et je profite d'autant mieux de son observation.
La sérénité et la liberté sont les fruits de ce détachement. Elles rident l'âme comme le vent ride les dunes ci-dessus. Ces rides sont le reflet de l'adaptation et de l’expérience. Elles bougent, s'adaptent, mais ne changent en rien la qualité de la dune, qui profite de leur mouvement pour se déplacer, changer de forme tout en gardant sa consistance.
Paraitre n'est pas être. Communiquer sur le mode généralement admis n'est pas être. Être, c'est se dire, sans fard. Être, c'est être mobile. Être, c'est être un. Être, ce n'est pas vouloir briller ni être adopté (symbole de fragilité quand à la croyance de sa propre existence). Être réside dans l'affichage de ce que l'on est en substance.
Cela frise-t-il la dureté ? Bien au contraire ! C'est se libérer du regard des autres, de ceux qui jugent la différence par rapport au contexte généralement admis. C'est être autonome et se vivre librement.
C'est bien loin de la ruée des mots, de la précipitation à vouloir être partout et tout le temps dès qu'une opposition se manifeste, afin de laisser une trace de soi de peur d'être oublié.
Le pathos, le tragique, s'affiche toujours sous un masque de domination supposée : Je n'existe que si je me manifeste auprès d'autres, que si j'ai du retour. Manichéisme mâtiné d'aristotélisme, où la science mathématique (qui ne fait que mettre des mots sur ce qui existe déjà au fur et à mesure qu'elle en prend conscience) devient le Dieu de la raison.
Si ceux qui s'en revendiquent en étaient tellement persuadés, pourquoi donc s’appuieraient-ils tant dessus ?
Non non. Il existe autre chose qui impressionne : Mais qui suis-je donc pour ne point pouvoir affronter les différences ? Qui suis-je donc pour ne pas trouver ma propre voie ?
Faire comme la dune ... vivre. Et s'adapter aux conditions climatiques ... en ne cessant de bouger tout en restant soi ...
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Salut Ise
Quel plaisir de te voir ici ! Je rédigeais le post ci-dessus pendant que tu écrivais
Je pense que tu vas trouver des éléments de réponses quant à ma vue à l'intérieur. J'attends tes commentaires avec intérêt !
Quel plaisir de te voir ici ! Je rédigeais le post ci-dessus pendant que tu écrivais
Je pense que tu vas trouver des éléments de réponses quant à ma vue à l'intérieur. J'attends tes commentaires avec intérêt !
Invité- Invité
Re: Flying on the other side ;)
Accepter
L'acceptation ainsi expliquée dans le dictionnaire démontre bien qu'elle n'est pas seulement tournée vers ce qui fait "plaisir" ...
- Consentir à prendre quelque chose, à recevoir ce qui est posé (Ce qui peut être un Oui ou un Non, un départ ou une arrivée, un avis convergent ou divergent, etc. )
- Se déclarer prêt à faire quelque chose, à assumer une charge, à courir tel ou tel danger. (et donc accepter de ne pas être d'accord et faire ce que l'on ressent sans pour autant juger - ce qui n'est pas accepter ...)
- Consentir à subir quelque chose, à le tolérer de la part de quelqu'un, l'admettre, le supporter. (et par la même suivre sa voie)
- Considérer quelque chose comme juste, fondé, exact, l'admettre, l'approuver. (manifester des points d'accroche quand ils sont fondés par rapport à sa propre réflexion et tolérer ce qui divise sans pour autant être contraint à une poursuite d'interaction)
L'acceptation ainsi expliquée dans le dictionnaire démontre bien qu'elle n'est pas seulement tournée vers ce qui fait "plaisir" ...
Invité- Invité
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