Je ne suis pas un HQI, je suis un homme libre

Centaure Z'ailée a écrit:Je m'envoie des fleurs pour être tombée sur cette conférence que j'ai trouvée riche.

C'est toujours plus agréable de fréquenter des gens qui s'aiment.  

Le changement de paradigme de nos sociétés est flagrant. François de Closet avait pondu un ouvrage dans les années 80 sur l'impudeur élitiste des hommes de médias et des politiques. Il souhaitait par exemple que les producteurs d'émissions télévisées acceptent de se soumettre à la sanction de l'audimat. A cette époque, c'était bienvenue.
Maintenant, on aimerait que Cyril Hanounah arrête de nous tirer vers le bas.
Avant on se faisait chier avec des émissions destinées à des happy few élitistes, on pouvait au moins espérer que ça tire certains vers le haut.
Maintenant on est saturé de vulgarité et de bassesse, ce n'est même plus drôle. Et ça tire le plus grand nombre vers le bas.
Dans les deux cas, c'est de la merde. Du verbiage dans l'ancien temps, de la trash TV maintenant, mais c'est toujours de la merde.

Je suis en train de répondre à ton post précédent, mais ça me prend plus de temps que prévu.



@Mily, Everybody lies.

Et oui, c'est absolument dingue, même quand leur vie est en danger.



@Pola, tu poses une bonne question, peut-on transmettre une information valable en partant d'une base théorique fausse ?

Je serais moins radical que toi, je pense que oui. J'ai lu deux bouquins de Béatrice Millètre. Dans les deux j'ai senti la volonté de transmettre un message bienveillant. C'est braneux, les concepts sont confus, on dirait parfois la pesanteur sentencieuse d'un mémoire de M2, mais nombre de ses observations sont justes, basées sur l'expérience, l'observation personnelle.
C'est fou ce qu'on peut faire avec une intelligence juste suffisante.

Et puis j'aime bien son aspect goudou, il apporte une certaine crédibilité, le fait de ne pas tout renvoyer à soi comme le font la plupart des femmes, le mépris des apparences. Dans la vidéo par exemple, on peut supposer que la présentatrice et elle disposent d'une intelligence équivalente.
Dans un cas la présentatrice n'arrête pas de jouer sur la séduction, elle cherche toujours à présenter son meilleur profil à la caméra, et comme toute séductrice elle vogue sur les idées convenues, ne cherche surtout pas à révéler son esprit critique.
Dans l'autre, la Béatrice nous fait un remake de " on n'est pas des pédés ", méfions-nous des a priori, la science cause, écoutons-là. Elle fait comme si elle soumettait sa réflexion aux données actuelles de la science.

Elle transmet un message avec les moyens à sa disposition. Elle est intelligente mais pas brillante.
Ceci dit son propos ne trouve un certain écho que parce qu'elle brode sur un sujet à la mode.
Les couples décrits dans la littérature entre l'extraverti brillant et l'introverti stabilisant sont foison. Ou plus simplement, dans un couple, il était courant de s'interroger sur l'hypothèse de la réussite du mari si sa femme n'avait pas été là. Sherlock Holmes et le Dr Watson. Cherchez la femme.

@Zizi, " personne ne parle de la dérive des incontinents ", heu... , la subir c'est pas déjà suffisant ?

J'attends...

Cool, je n'avais pas vu les choses sous cet angle

ah l'homme, son coté combes hâtifs, ça finit toujours dans des duels songland

Ouf, j'ai fini ma tartine.

Centaure, c'était très marrant ta description du comportement équin, je m'y reconnais parfaitement. C'est exactement ce que je cherchais à définir en grattant mes petits mickeys : " ils ne s'exécuteront jamais si la communication non verbale est contradictoire ".
Pareil pour moi. Le plus difficile est de faire comprendre que l'on a senti une contradiction.
Le signaler simplement est impossible. Les gens ne supportent pas l'idée d'envoyer des messages à leur insu. Ils prétendent faire comme les gouvernants, maitriser leur communication.

J'ai cherché, je me suis creusé les méninges, mais impossible de mettre des mots sur ce que j'avais en tête.

La seule chose qui sortait c'était : " L'empathie est dépendante de la connaissance ".

Se mettre à la place de l'autre, penser avec sa tête, tout cela se fait dans le cadre limité de notre expérience de vie.

J'ai fini par comprendre pourquoi je n'arrivais pas à la moindre conclusion, sur quoi je butais. LA grosse limite de l'empathie c'est quand elle nécessite de penser l'absence. Quand on aborde la projection du vide ou du rien.

Je peux lire toute la littérature consacrés aux psychopathes, je ne parviens pas à penser avec la tête d'un type pour qui trancher une gorge ne déclenche pas plus d'émotions que de scier du bois. L'exercice est trop complexe ou trop douloureux.

Partant de cette idée, j'ai déroulé ma liste des courses. Quand j'ai l'impression de tenir un truc je le teste avec ce qui m'intrigue jusque là.

Comment penser avec la tête d'un con ? Ça collerait bien avec la difficulté des gros surdoués de conceptualiser une pensée de crétin. Vu les parcours universitaires ou professionnels des gros surdoués que je connais, ce n'est en aucun cas de la fausse modestie ou de la posture. Non, je le vois bien, ils sont incapables de se projeter dans la tête d'un abruti, vous, moi, le commun des mortels. Comment ça marche quand ça marche pas ?
On retrouve cette interrogation tout au long de l’œuvre de Michel Audiard. Il a tenté de définir à de nombreuses reprises le concept du con. Si ses répliques sont géniales, elles sont finalement très pauvres en concept. " Les cons ça osent tout, c'est même à ça qu'on les reconnait ".
On atteint les limites de l'empathie.
On peut facilement avoir l'impression qu'ils le font exprès, que c'est impossible d'être aussi cons sans l'avoir décidé, qu'il y a intention de nuire.
Parce qu'on est incapable de penser à quel point ils sont cons.

C'est très difficile de penser l'absence. Longtemps je me suis fait traiter de tarlouze. Et j'aimais pas forcément me coucher de bonne heure, gnagnagna. Pour des raisons dont la logique m'échappait totalement, la couleur de mes fringues, mes gestes, mon attirance pour des trucs vachement gays comme Fragonard ou le Lac des cygnes. Mais je ne comprenais pas pourquoi c'était catalogué gay. L'esthétique gay m'a toujours rebutée, il manque toujours un truc, la magnificence du chaos hétérosexuel.
Atteindre un niveau de perfection avec un pinceau, réussir la série de fouettés du Lac des cygnes, je trouve que c'est super-balèze, pas du tout tafiole. Je suis en admiration devant la quantité de travail et la réussite artistique qu'elle permet. Je trouve ça très viril au contraire.

Comme je ne comprenais pas, j'ai demandé poliment. J'ai donc gentiment cassé des gueules, puis j'ai interrogé les édentés.

- Et là, je suis toujours une tafiole ?

- Oh l'autre petit pédé, y fe bat comme une fille !

L'affaire se compliquait. Être viril ne consistait pas seulement à casser des gueules, il fallait en plus adopter un style réglementaire.

J'ai adopté. J'ai appris un sport de combat. J'ai recassé des gueules avec style et compétence. J'ai bien aimé, c'était plus facile qu'avant.
Et heureusement, parce que le mec de base, la honte de sa vie, l'humiliation définitive, c'est de se faire mettre à terre par une femme ou un pédé. Le pédé peut être champion du monde de boxe Thaï, ça ne change rien à l'équation. Par principe biologique, un mec, un vrai, doit toujours gagner un combat contre une femme ou un pédé. C'est comme ça. Faut pas chercher. C'est l'équation originelle. Sinon, c'est lui qu'est pédé.
Petite pensée émue pour le genou de Mily.

Et c'est pour ça je pense que je n'ai jamais rien compris à leur définition de la virilité. Tout simplement parce qu'il n'y en a pas. T'es un mec, t'es viril, point. Sinon t'es une tafiole. Point.
Pour être viril, faut être un mec.
Pour être un mec, faut aimer balancer des pains comme ça sans raison, bourrer comme un con sur l'autoroute, défoncer des chattes, boire des bières en déconnant entre potes, toujours défendre son territoire même s'il se réduit à une boite aux lettres, une place de parking, ou à la chieuse qui partage sa couche.
Cette description est typiquement tafiolesque.
Un mec, ça ne se définit pas, un mec c'est un mec.

Là, t'es viril. C'est pas compliqué. Rien à voir avec la performance pugilistique. Ben moi, je trouve que c'est très très compliqué. C'est très difficile quand il n'y a rien à comprendre.
Parce que si j'ai bien compris, la première condition pour être viril, c'est précisément de ne pas se poser de question. De rentrer dans la meule, solide sur les appuis. S'interroger c'est se tafioliser.


Il m'en a fallu du temps et des explications à n'en plus finir pour envisager que, peut-être, ce qu'on peut qualifier de sensibilité de type tafiolesque (ou pire, de type féminin, la honte ) était absent chez les autres mecs. Juste : y a pas.

- Donc je suis anormal ?

- T'sais t'es quand même fatiguant à la longue... Tout ce que t'as à savoir c'est que ça n'existe pas chez les autres. C'est tout. C'est simple. Et tu fais avec.

- Ouais, ouais, ouais, I see. Je suis normal, les autres aussi sont normaux, mais ils sont pas foutus pareil... ouais, ouais, ouais, c'est logique tout ça... Une aspirine, un Doliprane, une soupe, et hop, au lit, je m'y recolle demain, là je sature.



Je vais être honnête, j'ai beau le savoir, je n'y arrive toujours pas. J'arrive toujours pas à comprendre comment c'est quand y a pas.

Au sommet de cet édifice complexe se trouve ma boite de Pandore, le sujet que j'évite rigoureusement, le danger de tous les dangers, la spontanéité.

On m'a dit que parfois des gens faisaient des trucs, comme ça, sans réfléchir. J'ai entendu dire que certaines de ces structures complexes que l'on qualifie d'humains se hasardaient à parler, à agir, sans qu'aucune réflexion n'en soit à l'origine.
Honnêtement, j'y crois pas trop, faut se méfier de la rumeur, toutes ces histoires sont trop absurdes.
Je ne me sens pas complotiste du tout, je veux bien croire à quelques exceptions au niveau mondial, mais prétendre me faire croire qu'il y a plein d'êtres humains qui font des trucs spontanés, sans analyse, sans intention particulière, sans machiavélisme, je veux bien entendre le concept, mais pas plus.

Faire un truc sans réfléchir. Mais c'est quoi le projet ?

C'est au minimum une mise en danger. Qui pourrait courir ce risque ? Agir spontanément c'est fabriquer un piège dans lequel on est certain de chuter. C'est descendre une piste noire les yeux bandés. C'est impossible, personne n'est assez con pour prendre de tels risques. Ça peut pas exister, c'est contraire à toute la théorie de l'évolution, les anxieux survivent, les paranoïaques survivent, mais la spontanéité, c'est forcément létal. Non ?

Comment ça se passe dans la tête de quelqu'un qui fait un truc spontané ? Quels circuits sont-ils court-circuités ? J'ai beau me presser la glande à empathie, me mettre sous perfusion de LSD, écoutez du Miley Cirhus, pas moyen, ça dépasse tout ce que je suis capable de conceptualiser. Pire que de penser le vide et l'infini en même temps. JE-PEUX-PAS.

Ce qui n'est pas sans me poser quelques problèmes. J'avais remarqué que je n'étais jamais en repos avec qui que ce soit tant que je n'étais pas parvenu à déterminer ses intentions, bonnes ou mauvaises, peu importe, mais comprendre ses motivations. Dans le doute, je me casse.

Par exemple quand Madame beuglait " va-z-y, défonce moi la chaa-aa-a-aatte, voyou ! ", tant que je n'étais pas parvenu à un schéma psychanalytique solide, à établir une cohérence fiable dans le domaine des rapports mère-fille, la reproduction des schémas familiaux, à jauger le rapport de force inévitable contenu dans cette injonction vulgaire, pas moyen de me détendre, donc pas moyen de bander. Donc pas d'alternative pour ma réponse à la demande de Madame. Donc une suspicion de sabotage. Donc la manifestation de l'habituelle malveillance féminine, si soucieuse de domination et de castration.

Et je ne me trompais pas. Une fois le piège déjoué par l’entregent d'une flaccidité contrôlée, la véritable nature de la femelle se révélait, pleine de fiel et de rage.

- Tu ne m'aimes pas ?

- Y te plait pas mon cul ?

- T'es pédé ?

- Je suce pas aussi bien qu'un homme ?

- Y te plaisent pas mes bas ?

- Tu préfères Louanne, c'est ça, hein, cette petite salope ?

- T'as du diabète, des soucis au boulot, du cholestérol ?

Et à la fin de l'envoi, je touche :

- Tu sais, ça arrive à tout le monde, faut pas t’inquiéter.

Salope, truie pourrie, castratrice, tu croyais m'avoir, hein ? Remet ton string, le piège était grossier, tu me prends pour un con ou bien ?

Au moins j'aurais compris pourquoi la spontanéité favorise la survie de l'espèce. L'inconscience est mère de la reproduction. Pour faire des enfants, il faut être complètement fou, c'est le minimum requis, poser son cerveau sur la table de nuit.

M'a fallu de l'apprentissage pour savoir répondre à la question piège : combien de sucres tu mets ?
Combien de sucre je mets généralement ? Ou combien de sucres j'ai envie aujourd'hui ? Et comment je peux savoir combien de sucres j'ai envie sans avoir gouté le café ? T'en penses quoi des gens qui mettent trois sucres ? C'est plus valorisant à tes yeux ceux qui ne mettent pas de sucre ?
C'est ingérable ce truc, ingérable.
Alors j'ai définitivement choisi de m'en tenir à une réponse monolithique : deux. Quoiqu'il arrive, je répondrais toujours deux. Rien ne me fera changer d'avis. Une fois pour toutes, la réponse est : 2. ( non, pas 42 : 2 ).

Par contre, je n'ai trouvé aucune parade contre le spontané aléatoire de l'autre. Quand elle me répond " deux ", alors que la veille elle n'en avait mis qu'un dans sa tasse, je pars à la quête d'infos complémentaires. Elle a faim ? Elle a besoin de réconfort ? Elle aime pas mon café ? Elle aime pas le café ?
Mais, WTF, pourquoi aujourd'hui, pourquoi maintenant, me demande-t-elle deux sucres ?


De tous les trucs qui me sont impossibles à conceptualiser, la spontanéité représente pour moi la quête du Saint Graal. J'en ai entendu parler dans les légendes, mais je ne sais pas du tout à quoi ça ressemble.


J'avais écrit : " L'empathie est dépendante de la connaissance ".

Ben voui, je crois qu'on peut le dire.

Alors, Centaure, la question qui se pose au sujet des chevaux menteurs, t'aurais pas tendance à mentir, toi, un peu, de temps en temps, comme ça, pour le fun ? Comme on dit cheu nous, on ne trouve que ce qu'on cherche, et on ne cherche que ce qu'on connait.      

...

ben un con ça pense pas

hier j'ai appelé un plombier inconnu mais conseillé , virile comme une pute à Pigalle, se tortillant du cul et mettant des gants pour vérifier la plomberie de ma chaudière

(remarquez cet esprit de possession : MA chaudière)

mon Nhomme (revérifier mon esprit possessif...) lui demande pourquoi il met des gants pour déboulonner un écrou ?

l'autre tafiole de répondre avec sa voix suraigue : c'est pour garder mes mains douces pour les filles car elles aiment ça

moi qui m'était plongée dans le cliché "mais comment un plombier peut-il être PD" je me retrouvais face a une incompréhension

mon incompréhension de la situation

aussitôt je me remémorais mon ami S. homo et papa de 4 enfants
en me disant : tu ne peux pas tout piger ma p'tite !

merde

je ne peux pas tout piger

je peux tout comprendre mais pas tout piger

c'est une gageure !

ben non c'est la vie:
et tu es tout aussi conne que ceux que tu trouves cons ....

alors que toi , tu crois penser

mais dis donc ma p'tite , tu penses ou tu crois penser ?

Numéro6 a écrit:Alors, Centaure, la question qui se pose au sujet des chevaux menteurs, t'aurais pas tendance à mentir, toi, un peu, de temps en temps, comme ça, pour le fun ? Comme on dit cheu nous, on ne trouve que ce qu'on cherche, et on ne cherche que ce qu'on connait.

lol Question à la con, mais pas tant que ça...

Question à la con, parce que oui, je mens, je ne suis pas asperger, donc comme tout le monde je mens. Mais pas si con que ça comme question, parce que cela a fait l'objet de plusieurs conversations avec ma psy.

pour ce qui est du conscient:

Pour ce qui est de l'inconscient:

Centaure qui joue les psy de Numéro6:

Tiens, ce cheval ne ment pas comme ils le disent "en faisant semblant de faire le mort", c'est de l’anthropomorphisme foireux ; il essaie de dire "je ne veux pas être monter" avec le seul moyen qu'il a trouvé pour s'exprimer... Il a vu qu'on ne montait pas les chevaux couchés ou morts, alors il les imite pour faire passer son message.

Ils sont cons à trouver ça drôle ! Ce cheval a probablement des douleurs atroces aux niveaux des dents ou du dos pour refuser d'être monté. Maintenant, c'est possible qu'il refuse d'être monté, juste par révolte et là, j'applaudis.



Quant à mon cheval, je ne saurai jamais ce qui l'a décidé à s'exprimer ainsi. A l'époque, on ne faisait pas venir les ostéo pour chevaux et rarement les dentistes, du coup, cette raison de s'exprimer ainsi reste un mystère pour moi.

Obsessionnel surement. Mais apparemment c'est pas la principale difficulté.

Suradaptation. Je passe mon temps à déchiffrer et à jouer avec les règles des autres. Je joue avec les règles de l'autre, et à la fin je craque parce que je trouve que l'autre ne respecte pas ses propres règles. C'était bien la peine de se faire chier...

Comme si une personnalité pouvait avoir la fiabilité d'une Constitution...

Lâcher prise, je crois que c'est typiquement féminin, vivre avec mes propres règles, ce devrait plus être la direction à suivre.
Ça parait simple énoncé comme ça, mais ouichtre, j'ai l'impression d'apprendre une langue étrangère avec la notice d'une étagère Ikea.

C'est tellement plus facile d'analyser une autre personne.

il essaie de dire "je ne veux pas être monter" avec le seul moyen qu'il a trouvé pour s'exprimer...

Et là, es-tu sure de ton interprétation ?


Quant à mon cheval, je ne saurai jamais ce qui l'a décidé à s'exprimer ainsi.

Parce qu'on peut quand même se demander si le boitement était une forme d'expression. Il n'avait peut-être rien de spécial à te dire. Peut-être qu'il ne s'adressait pas à toi.

Je peux aller jusqu'à supposer que tu as eu une difficulté à interpréter son attitude parce qu'au départ tu as voulu qu'elle compose un message.

Amos a écrit:Une petite piste pour comprendre à la fois la spontanéité, la virilité ou la connerie : l'absence de remords.

Ou l'irresponsabilité non ?
(c'est pareil, mais en ôtant la dimension d'a posteriori).

Numero6 a écrit:il essaie de dire "je ne veux pas être monter" avec le seul moyen qu'il a trouvé pour s'exprimer...

Et là, es-tu sure de ton interprétation ?


Quant à mon cheval, je ne saurai jamais ce qui l'a décidé à s'exprimer ainsi.

Parce qu'on peut quand même se demander si le boitement était une forme d'expression. Il n'avait peut-être rien de spécial à te dire. Peut-être qu'il ne s'adressait pas à toi.

Je peux aller jusqu'à supposer que tu as eu une difficulté à interpréter son attitude parce qu'au départ tu as voulu qu'elle compose un message.

Ça arrive souvent les chevaux qui boitent en sortant de l'écurie et qui ne boitent plus sur le chemin du retour. Le fait est qu'il ne s'agit en aucun cas d'une réelle boiterie, il n'y pas de douleur à compenser. Sinon, il boiterait tout le temps. Avant, on se disait "il ment c'est un fainéant" et même si c'est vrai que les chevaux n'ont pas de raison de vouloir travailler, l'explication du mensonge est purement de l'anthropomorphisme. Je pense au contraire qu'on a tendance à minimiser ce que les chevaux essaient de dire avec leur communication non verbale.

La première fois que ma jument m'a montré son cul, je me suis demandée pourquoi elle m'agressait, je me suis mise à l'écart. La deuxième fois, je l'ai grattée, elle avait l'air contente, à remuer la bouche. La troisième fois, à force de lui gratter la queue, j'y ai trouvé une tique ; une fois la tique enlevée, ma jument m'a fait face. Elle est patiente quand même. Surtout que c'est un mytho le nombre de fois, le manège a duré bien plus longtemps que ça ! Quand ma jument me montre son cul,  je peux être sûre que je vais trouver une tique dans sa queue... Quoi de plus simple ?

"Parce qu'on peut quand même se demander si le boitement était une forme d'expression."

Pourtant, pour moi, c'est limpide. Le cheval utilise la communication non verbale bien mieux que nous (et c'est un euphémisme). Il voit qu'on reconnait la boiterie comme raison de ne pas le monter, puisqu'on descend dès qu'il boite. Il boite donc, comme si c'était une phrase pour dire "je ne veux pas être monté". Après, les raisons sont généralement physiologiques tout de même, souvent un problème de dents ou de dos.

Centaure tu me laisses perplexe. Je n'arrive pas à savoir si on dit la même chose ou pas. Je pense que oui.

Dans ce cas précis j'aimerais bien savoir si un vieux de la vieille en matière de canassons aurait compris le message de la croupe tout de suite.
J'ai toujours été surpris par la sagesse des vieux paysans. Sans prétention, ils décrivent les comportements animaux, ils les voient, ils ne sentent pas le besoin d'interpréter ou de commenter, ils regardent, c'est tout.
Et je les trouve bien plus pertinents en matière d'analyse comportementale que la plupart des psychologues que je connais. Les psy utilisent une théorie pour décrypter le réel. Les paysans vont direct au réel.

Et Centaure, je te prie de noter le respect que je t'accorde, j'ai résisté à la tentation de la plaisanterie fine avec ton Quand ma jument me montre son cul,  je peux être sûre que je vais trouver une tique dans sa queue...
Et pourtant, c'est pas l'envie qui me manque...

Il y a ceux qui comprennent de travers et ceux qui prennent les choses à l'envers

Et celles qui avalent de travers, on en fait quoi ?

Désolé, il fallait que ça sorte... C'est plus des perches, c'est des pylônes.

On peut les mettre chez les compréhensives ?

On peut. En tout cas, on espère.

Mais arrêtez, Numéro 6 est le mec le plus normal de la planète !!
Et toi, arrête z'y donc ton Numéro avec toutes tes questions puisque tu connais toutes tes réponses.
La seule question que je me pose, est : sucre ou pas de sucre dans ton café ???

^^:

Mon café ?

Ca sera sans cuillère !

Ouais enfin, ils ont des bonnes idées des paysans... Faut les écouter, mais faut surtout réfléchir, parce qu'ils disent quand même un tas de conneries, autant que les autres ! Quand un paysan me dit : "Il a un claquage aux tendons ? Ben faut le passer au feu !" du genre ça :



Ben je réponds "oui, oui, bonne journée !"

Nan mais sans dèc', ils ont quand même un sacré nombre de croyances de merde. Sérieux ? Je comprends toujours pas que ce genre de barbarie soit encore pratiquée... J'ai un tendon de claqué moi ? Tu crois qu'à l'hosto, ils ont foutu de la ferraille au feu pour me l'appliquer dessus ? Non bon, ben alors quoi ? Les chevaux sont différents des humains ? Ben non, pas du point de vue de la carcasse toujours. Ma pharmacie externe et celle de mes chevaux est la même.

Pola a écrit:Mon café ?

Ca sera sans cuillère !

Pitchounette je m'adressais au vieux de sa vieille !

J'AI BU TROP DE CAFE, JE SUIS ENERVEE !

Tant qu'il reste un peu de sang dans le café ...

Ouais, moi aussi Patate.

Bah, quand tu sais tout, c'est comme annoncer que tu connais toutes les réponses en proposant de jouer au Trivial Pursuit, ça motive pas les foules, personne n'a envie de jouer avec toi.

Et moi j'adore lire Centaure sur ses expériences chevalines. C'est tout mimi. Ça me touche beaucoup. C'est très féminin. Et moi, dés que c'est féminin...

Merde, ce sont les détails qui nous trahissent

des fois c'est meugnon

C'est ceux qui en parle le plus qui en font le moins ! Fais chier ce pied !

Je veux bien un autre café, avec deux sucres (roux) svp. Merci Numéro6...

Quel gentleman !

J'avoue Patate, c'est original ! C'est fait au feu ?? han, ça doit faire mal quand même...

Numero6 a écrit:Ouais, moi aussi Patate.

Bah, quand tu sais tout, c'est comme annoncer que tu connais toutes les réponses en proposant de jouer au Trivial Pursuit, ça motive pas les foules, personne n'a envie de jouer avec toi.

Et moi j'adore lire Centaure sur ses expériences chevalines. C'est tout mimi. Ça me touche beaucoup. C'est très féminin. Et moi, dés que c'est féminin...

Ca dépend si tu joues pour la gagne ou pour le jeu...


On sait, on sait, tu te touches beaucoup !

Du sang dans le café ?? Mon Dieu ! mais ça ferait du boudin !!

...

Centaure Z'ailée a écrit:J'avoue Patate, c'est original ! C'est fait au feu ?? han, ça doit faire mal quand même...

la réponse par la dame, elle même : "Héhé, si tu en as vraiment envie, la douleur est secondaire je t'assure ^^
Lance toi dans un petit motif comme j'avais fait, c'est vraiment gérable.

Qu'est-ce que tu voudrais, et où ?

J'en profite pour montrer les dernières photos de ma scar qui a blanchit, elle bougera plus trop maintenant je pense.
Elle est à 1 an et 7/9 mois"

ma mamie disait : faut souffrir pour être belle ^^

Pour les curieuses :

Méthodes de scarification :

 Dans le cadre des modifications corporelles, on distingue deux sortes de scarification : les scarifications en relief et les scarifications en creux. Les premières s'obtiennent en incisant simplement la peau, les deuxièmes en enlevant une partie de l'enveloppe superficielle de celle-ci, toutes ces blessures restant bénignes ( cutting ). Une autre méthode encore consiste à brûler superficiellement la peau ( burning, ou branding ). Un traitement est ensuite appliqué directement sur la scarification pour à la fois limiter les risques d'infection et empêcher les blessures de cicatriser normalement. Les motifs demeurent mystérieux.

C'est la même chose, plus jeune on appelait ça des feu en raies. C'est vieux comme tout mais reste un des meilleur traitement en cas de grosse tendinite.

C'est un peu un résumé de ce qui se passe en médecine. Ce qui parait brutal peut parfois être la meilleure solution. Brutal ne signifie pas forcément mauvais.
Le problème de nombres de femmes toubibs c'est qu'elles se montrent intraitables quand il faudrait savoir se montrer souple, et laxistes quand il faudrait se montrer ferme.

Conclusion : respect absolu des protocoles au-delà de tout respect humain, et mollesse dans le recours à la chirurgie où à certaines procédures d'apparence rude.

J'adore le féminin, mais je ne crois pas qu'il soit un modèle en toutes circonstances.

Numero6 a écrit:C'est la même chose, plus jeune on appelait ça des feu en raies. C'est vieux comme tout mais reste un des meilleur traitement en cas de grosse tendinite.

Je sais pas où t'as été trouvé ça, mais c'est une source de merde. C'est très douloureux et il n'y a AUCUNE PREUVE SCIENTIFIQUE que ça ait un quelconque effet positif...

Ben, sur le forum où tu as piqué la photo. En matière de jambes de chevaux, mes compétences sont assez limitées...

J'adore le féminin, mais je ne crois pas qu'il soit un modèle en toutes circonstances.

Tu me t'étonnes !

C'est un forum de courses... En matière de travail bâclé pour que le cheval reparte plus vite, ça ils s'y connaissent ! lolol

Non, mais plus sérieusement, cette pratique a fait l'objet de plusieurs études sérieuses et les vétos s'y refusent largement. Les quelques qui pratiquent encore sont ceux qui rationalisent en disant "on a toujours fait comme ça !"

Je ne dis pas, c'est vrai, les paysans, il y a cent ans, comprenaient mieux leurs chevaux que les cavaliers d'aujourd'hui, mais faut pas prendre tout ce qu'ils disent non plus pour argent comptant.

@ Patate, je préfère le style de tatouage avec des touches aquarelles, c'est assez à la mode, du genre :

https://www.facebook.com/AlekseyPlatunov/timeline

Mais j'ai un faible pour L'Oiseau... J'adore son style ! Je me vois bien faire un petit gold fish sur ma cheville pour masquer les cicatrices, avec des explosions de couleurs aquarelles...

https://www.facebook.com/loiseautattoo/timeline

Mais je sais, pfff... C'était juste pour broder sur ton refus de faire mal à ta monture.

En Sarthe, on dit " la coutume, c'est la loi ". C'est une bonne stratégie de survie. On applique ce qui a marché dans le passé. Mais on ne sait pas pourquoi.

Par exemple, la tradition interdisait de servir aux animaux une nourriture qui n'aurait pas été cuite au préalable. Souvenir d'une épidémie peut-être.
Toujours est-il que le premier revenu d'Allemagne après la première guerre mondiale, qui avait appris son métier auprès des paysans allemands, et qui ne cuisait pas la nourriture des bêtes, est passé pour un hérétique.
C'est quand même des bœufs à la base.

Je faisais plutôt référence à leur sens de l'observation. Tel cochonnet qu'il faut protéger parce qu'ils voient que la mère veut le bouffer. Telle portée menacée de mort si la mère voit qu'on les a touchés... J'ai entendu des observations d'une grande finesse sur les bêtes.

Centaure : les tattoos je les préfère sur les autres. J'aime pô avoir mal et je me dis qu'avec la peau qui va inexorablement pendouiller, ça va être moche.

C'est pour ça que je n'en ai pas ! Quand je serai vieille et toute fripée, peut être... Il fera avec les plis et ça ne sera pas pire

T'as raison, optimisons le pli et le surpli !

"Un café ?
- Avec un peu de physique s'il vous plaît !"

https://vimeo.com/144595829

Stérilisons la peste brune !


Résultat des régionales fidèle aux prévisions. Ça fait déjà un moment que les analystes politiques avec cerveau ont évoqué la volonté de Hollande de favoriser le FN pour finir par gagner face à lui au deuxième tour des présidentielles 2017.

Dans la série " on fait causer les personnes les plus antipathiques de France contre le FN ", il ne manquait plus que BHL. Pour faire grimper le score. En 2015, existe-t-il encore un français qui ignorent les funestes conséquences des humeurs belliqueuses de BHL ?

Je peux supposer que certains craignent réellement de voir le FN prendre les manettes en France. Rassurez-vous, ça n'arrivera pas. Ce n'est pas eux qui ont le pognon. Le pouvoir décisionnaire des présidents de régions porte sur moins de 10 % du budget, tout le reste est déjà budgété avec les incompressibles. Or, les régions n'ont plus de pognon. Le problème dans les années à venir va consister à gérer des régions en faillite.

Couper les budgets des plannings familiaux ? Whao, quelle audace ! Les plannings sont totalement inutiles depuis de nombreuses années. Couper les budgets d'un nombre incalculable de commissions ou d'associations totalement inutiles, qui engraissent des inutiles à la sueur du contribuable, voilà qui aurait du être fait depuis longtemps.
Donc le FN va se taper le sale boulot. Et il n'est pas impossible qu'il réussisse à équilibrer les comptes, le niveau de gaspillage a atteint des sommets.
Quand tous les branleurs subventionnés vont devoir trouver un boulot honnête, ils vont découvrir la vraie France, celle où tu dois bosser beaucoup pour pas gagner grand-chose, la France qui va voter pour le FN, celle qui en a plein le cul de l'esclavage démocratique.

Désolé les enfants, il va falloir se taper les discours moralisateurs des esclavagistes, de tous ceux qui profitent du système, tous ceux qui vont vouloir s'accrocher à leurs sièges confortables. Donc Marine le Pen ne rêve que de nettoyer la jungle de Calais au Napalm, Philippeau et ses mignons trépignent d'impatience pour s'attaquer au lobby gay, et Marion Maréchal, la louve de Nuremberg, va rendre sanctionnable du pal l'IVG et le divorce.

Ben moi, j'ai du mal à imaginer Philippeau en Feld-Marchal, ou alors pour se faire fouetter dans un jeu sado-maso. Marion est la seule à l'assemblée nationale à avoir adopté la juste distance avec le discours haineux de l'Obersturmführer Valls, dit Manu la tremblote.

Ben ouais, on en est là. On en a tellement marre de se faire mépriser pour la Kommandantur au pouvoir, au nom des forces de progrès et de la lutte contre le racisme, qu'on est prêt à voter pour les branquignoles du FN.

Leur seule chance de se maintenir au pouvoir c'est que les autres ont fait tellement n'importe quoi, qu'il ne va pas être difficile de faire mieux. Commencer par arrêter de jeter l'argent par les fenêtres et d'augmenter les impôts pourraient suffire.

Je sais bien que la Propagandastaffel tente de nous faire prendre les dirigeants actuels du FN pour de dangereux néo-nazis qui ne rêvent que de reconquérir le Maghreb et d'éliminer les autochtones, de transformer la France en Stalag et d’interdire l'iPhone 6s.

Alors j'ai retrouvé les vidéos du Tribunal des Flagrants Délires où Jean-Marie le Pen était invité. Ces images, venues d'un temps où ne chiait pas dans son froc sans savoir pourquoi, nous montrent un JMLP hilare lors des attaques virulentes de Desproges et de Luis Rego. Un niveau de dérision qui se ferait censuré immédiatement aujourd'hui.
Pourquoi ? Parce que je pense que le niveau de bouffonnerie de nos dirigeants atteint de tels sommets que la moindre ironie suffirait à en faire exploser le grotesque en pleine lumière.
Que le Premier Ministre de la France ait pu considéré qu'un humoriste nègre puisse mettre en danger la République, quand même, ça fout les boules.
Ou alors ce n'est pas la République que le nègre menace. Ce sont les bouffons qui la dirigent.

Rien que pour la gueule déconfite d'Estrosi ou de l'autre porcinet de Xavier Bertrand, il valait la peine d'être vécu ce premier tour. Ces types nous méprisent. C'est réciproque. La nouvelle peste brune c'est ça. Ils font dans leur froc.

où-est-la-question a écrit:Ce qui me frappe moi , outre ,bien sur ,la perfection du pas et la beauté de sa jambe-arabesque c'est que sa bride (amovible) , à mon avis , elle peut se la brider sur n'importe quelle paire de hauts talons qui lui conviennent

Car oui tout est dans cette bride qui lui permet de faire corps avec son soulier

et ça , ça m'esbrouffe ça m'espante car elle se bride en effet juste au coup de pied mais pas n'importe comment , elle harnache son pied en somme et le talon est sa cravache

bon je dis ça... faites comme si je n'avais rien dit

J'ai failli oublier. C'était dans un coin de ma tête depuis un moment.
Au cas ou (c'est bientôt Nowel), ce sont des Soy Porteno 910

http://www.argentinatangoshoes.com/product/SP910azul

Il doit y avoir un modèle équivalent chez Repetto.

Merci Milly, tu avais mis le lien sur le site Porteno, ou bien je l'avais trouvé dans les commentaires de la vidéo youtube (oui, je crois que c'est plutôt ça).


Pourquoi j'adore les Louboutin :

- Parce que c'est un objet qui ne devrait pas exister. Excessif, arrogant, et finalement peu adapté pour le plus grand spectacle du monde, la souplesse animale du pas d'une élégante.

- Parce que la semelle rouge est un code pour parvenue de mauvais gout, négligeant l'objet pour en afficher le prix indécent.

- Parce que l'aplomb du talon est tracé avec un fil à plomb, dictateur de l'équilibre, tyrannie de l'esthétique.

- Parce que c'est l'objet pour l'objet, parce qu'il est absurde, parce qu'il faut être une femme pour s'imposer ça. Parce qu'il garde son insolence quelle que soit la séductrice qui le porte. Les Pigalle resteront toujours des Pigalle.


Pourquoi j'adore les Porteno :

- Parce que c'est une pièce de connaisseur traduisant un savoir-faire remarquable dans le domaine du bottier. La pointe du talon se rapproche du centre de gravité, la cambrure est conçue pour soutenir la voute plantaire, les contreforts à la pointe du soulier offrent un appui suffisant. En les regardant, on voit le pied. C'est un soulier au service du pied. Avec malgré tout un talon délirant de 9,5 cm. Du vrai travail d'orfèvre.
Moitié moins cher que les Louboutin.

- Parce que toutes ces contraintes lui interdisent l'extravagance intransigeante des Louboutin, il se met au service du pied, il est conçu pour les plus exigeants des pieds, celui des danseuses. Il se fait humble serviteur, au service de sa majesté le petit peton. Moitié moins cher que des Louboutin.

- Parce qu'il ne devient superfétatoire que par celle qui le chausse, parce que son attrait est dépendant de celle qui le porte. Il ne devient sexuel qu'animé par sa marionnettiste. C'est un soulier qui limite ses effluves dans le temps, son existence est danseuse-dépendant.


Par schéma pré-cablé, les Louboutin ont le mérite de déclencher l'attrait par leur simple présence. Les Porteno n’enivrent que le temps d'un tango.

Un peu la même différence qu'entre une actrice et un metteur en scène. L'une se montre, l'autre met en valeur.


Et sinon, tes poissons panés palmés vont bien dans tout ça ?